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A SUIVRE...
mais sachez que je trouve ces gens dégueulasses; ayant le brevet d'icône de la gauchiasse, ils vont désormais se permettre des dégueulasseries encore plus indécentes: la chiasse coule sans retenue.
Attendu ce mercredi 30 mars dans les kiosques, le journal satirique s'attire déjà les foudres du public français et étranger sur les réseaux sociaux. La raison? Une couverture jugée "irrespectueuse" parodiant les tragiques événements du 22 mars dernier en
Serait-ce la une de trop pour Charlie Hebdo? Le journal satirique, lui aussi tragiquement victime d'attentats le 7 janvier 2015, n'est pas encore sorti dans les kiosques qu'il promet déjà de faire polémique en France et en Belgique. Connu pour ses reprises très critiques de l'actualité, l'hebdomadaire a choisi de revenir avec beaucoup de sarcasmes sur les attentats de Bruxelles survenus le 22 mars dernier.
Loin de s'être censuré, le dessinateur Riss a, pour illustrer le tragique événement qui a fait 35 morts et plus de 300 blessés, dessiné le chanteur Stromae entouré de membres tailladés et charcutés sur fond d'un drapeau belge. Un clin d'oeil à l'actualité d'autant plus morbide que l'artiste a perdu son père lors du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994.
"Papa où t'es?" demande l'interprète du tube planétaire Papaoutai. "Ici", "Là", "Et là aussi", répondent en chœur des bouts de corps, vraisemblablement déchiquetés par les bombes qui ont explosé à Bruxelles la semaine dernière. Loin s'en faut d'être revenu sur les attentats belges, Charlie Hebdo a littéralement mis en pièces la question des attentats.
Une réponse "vulgaire" qui n'est pas du tout du goût des internautes, qui n'ont pas manqué de faire savoir leur mécontentement sur Twitter.
Les services du Foreign Office ont confirmé vendredi le décès de ce ressortissant Britannique de 51 ans. Originaire de Hartlepool (Nord-Est de l’Angleterre) était installé à Bruxelles avec sa compagne Charlotte, également britannique, et leur fils unique, Henry.
Mardi matin, il était présent à l'aéroport de Bruxelles-National quand l'attentat a eu lieu, selon La Capitale. Après cette attaque, il avait envoyé un message à sa tante signalant qu’il allait bien et qu’il était en sécurité. C’était juste avant de prendre le métro pour se rendre à son travail où il n’est jamais arrivé.
Il a été tué par l’explosion à la station Maelbeek. Programmeur IT, c’était un employé travailleur et consciencieux selon les témoignages recueillis par le Daily Mail.
Avec sa compagne, il formait un couple adorable, formidable et très uni confie un de leurs amis.
Bruxelles était tout autant leur foyer que le Royaume-Uni où ils se rendaient régulièrement pour voir leur famille et leurs amis. Ils devaient s’y rendre ce week-end à l’occasion de l’anniversaire de leur fils Henry.
http://www.lalibre.be/actu/belgique/decede-a-maelbeek-david-dixon-avait-echappe-a-l-attaque-de-zaventem-56f53c9835702a22d5b8e738?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
Je suis triste pour cette famille... et toutes les autres....
hélas, cela ne va pas s'arrêter... nous en avons pour une bonne décennie.
Tribunal : "T'es mort, gros porc, mangeur de cochons"
Me Eve Mori, en défense, a insisté sur le contexte familial: "La famille a pardonné ce qu'elle a fait ce jour-là".
Un petit bout de femme entre dans le box des prévenus, encadrée de gendarmes. Un joli visage qui va contraster d'emblée avec ce qu'on lui reproche : violence avec arme (un couteau de cuisine), menaces de mort, notamment en raison de la religion. Un couple s'avance à la barre: depuis le box, Amira Khazri envoie un baiser. "Souhaitez-vous vous constituer partie civile ?", demande la juge Marion Chavarot. Le couple fait non de la tête et se rassied, laissant le tribunal relater les faits. Fin février, à Vitrolles.
Par textos, la jeune femme a menacé sa sœur, son beau-frère, leurs enfants, dans un contexte familial dont on découvre qu'il est lié à un différend locatif. "J'étais bien installée dans l'appart', j'avais ma petite indépendance, et puis il y a eu un souci avec l'appartement", explique la prévenue. La juge détaille : "Oui, votre sœur et votre beau-frère étaient les locataires en titre, et vous n'aviez pas pu récupérer le bail de votre soeur..." Sommée de partir, la jeune femme a alors commencé à envoyer des insultes, des menaces, visant sa sœur, son beau-frère non musulman, traité de "gros porc", de "mangeur de cochon". La prévenue tente de se défendre : "Je suis quelqu'un de calme, j'ai ma famille, j'ai jamais fait de mal à personne, avant". Elle poursuit, entre deux sanglots : "Je voulais juste l'énerver, je pensais pas les messages. Et puis les enfants de ma soeur je les aime comme si c'étaient les miens..."
"Ce n'est pas très affectueux, ça"
La juge revient sur le contenu d'un SMS : "Vous avez écrit 'Je vais tuer tes cons de cochons d'enfants'... Ce n'est pas très affectueux, ça". La prévenue explique que si son beau-frère n'était pas venu, "y'aurait pas eu tout ça... Je voulais juste me défendre et lui lancer un truc. Moi j'aurais jamais été chez eux les provoquer. Avec ma soeur, on se dispute mais le lendemain ça va toujours mieux". Reste qu'il s'agit là de faits plus graves qu'une simple dispute, la prévenue ayant transpercé le bras de son beau-frère avec un couteau, rappelle la juge, avant d'inviter le couple à venir s'exprimer devant les juges, même si depuis, la plainte a été retirée. La sœur de la prévenue évoque le passé des jeunes femmes, leur enfance en Tunisie: "Elle a dû se sentir agressée quand il est venu, les hommes de chez nous sont pas des tendres...", résume-t-elle. Pour l'accusation, le procureur Blériot revient sur son intention de faire mal, par les mots et par les gestes : "Ces menaces sont difficiles à entendre, puis après avoir blessé son beau-frère, elle envoie ce SMS : 'Regarde, je l'ai planté, MDR'". Il requiert 8 mois de prison dont 6 avec sursis et mise à l'épreuve durant 18 mois, comportant obligation de soins et de travail.
Des réquisitions bien trop dures, juge Me Mori, qui détaille la fusion affective entre les deux sœurs : "Ils lui ont pardonnée. Ce jour-là, elle dépasse les bornes mais ces 15 jours de prison ont permis de mettre de l'ordre et de la sérénité. Qu'elle reste en prison est inutile". Le tribunal, après en avoir délibéré, condamne Amira Khazri à un an de prison dont deux mois ferme avec mandat de dépôt, pour les violences, les menaces contre sa sœur et son beau-frère (en raison de sa religion).