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Autres animaux

  • Ha ben dis, donc!

    Un perroquet volé à un policier crie son nom en voyant une patrouille trois ans plus tard

    Ce sont des forces de police qui ont retrouvé le perroquet dans une cage sur un trottoir.

    Par valeursactuelles.com

    Les animaux peuvent parfois nous surprendre, mais il est question ici d’un perroquet particulièrement singulier. En effet, il y a trois ans, un policier municipal de la ville de Marseille s’était fait subtiliser son perroquet gris du Gabon. "Si un jour vous le voyez, il dira probablement son nom, Jako", disait-il à ses collègues, nous rapporte La Provence.

    Son propriétaire gardait espoir de le voir réapparaître, et il a bien fait. D’après les informations de La Dépêche, ce jeudi 28 septembre, un équipage de la police municipale alors en patrouille à Marseille remarque une cage sur un trottoir avec à l’intérieur un oiseau. L’un des agents reconnaît immédiatement un perroquet gris du Gabon. Une espèce dont le commerce illégal est répandu.

    LE PERROQUET A CRIE SON NOM EN RETROUVANT SON PROPRIETAIRE

    Les forces de police se sont donc approchées de la cage quand soudain, le perroquet a crié "Jako", qui n’est autre que le nom du perroquet du policier municipal. L’un des agents a immédiatement fait le rapprochement avec l’oiseau de son collègue. Ce dernier a été saisi et confié à une association avec un seul but: que son identification soit officiellement confirmée.

    Et après vérification, le perroquet était bien Jako, qui est donc réapparu trois ans après s’être volatilisé. Les retrouvailles entre l’oiseau et l’agent ont eu lieu le lendemain et se sont révélées fructueuses puisque le perroquet a crié son nom en revoyant son propriétaire.

     

  • Résultat des élections

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  • C'est bien connu, les vaches ont des ailes

    A Toulouse, on ne dit pas bacon, on dit: cansalade -roulée ou plate

    41% des jeunes enfants américains pensent que le bacon provient d’une plante

    Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université Furman (États-Unis) indique à quel point, chez les enfants américains âgés de 4 à 7 ans, la perception de la provenance de la nourriture peut être biaisée. Selon les résultats, plus d’un tiers pensent que le bacon, les hot dogs, les nuggets de poulet, les crevettes, les hamburgers et même le fromage sont d’origine végétale. Et ce constat étonnant ne sous-entend pas que les enfants sont à blâmer, bien au contraire.

    Encore plus surprenant: les chercheurs ont également constaté que près de la moitié des enfants de cette tranche d’âge pensent que les frites sont d’origine animale… Selon l’étude, l’une des raisons pour lesquelles les enfants connaissent mal l’origine des aliments courants pourrait être que beaucoup d’entre eux sont très peu exposés à la façon dont ils sont cultivés.

    Les parents sont les principaux responsables de ces lacunes

    “Les parents peuvent délibérément taire les informations sur l’abattage des animaux pour tenter de préserver l’innocence des enfants, considérant les réalités de la production de viande comme trop effroyables pour que les enfants les connaissent à un jeune âge », écrivent les chercheurs dans l’étude. Mais ne serait-il pas plus convenable de les informer un minimum de la provenance dès que possible? Épargner les détails ou en minimiser certains suffirait probablement à « préserver leur innocence“ le temps qu’ils soient aptes à digérer la vérité sur la chaîne de transformation de certains de leurs aliments favoris.

    Les enfants ne doivent pas être tenus dans l’ignorance de la façon dont nous obtenons la viande, soulignent-ils.

    Source : Journal of Environmental Psychology