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Femmes - Page 68

  • Bisous, bisous...

    23 janvier 2015

    Journée internationale des câlins

    Plus connue sous son nom anglais "Hug Day", la journée internationale des câlins est célébrée le 21 janvier de chaque année, et ce depuis les années 70

    Quelques chiffres

    - 7 minutes de câlin par jour pour se sentir heureux.

     - des enfants qui grandissent plus (!) quand ils ont des parents qui s'embrassent.

    - un câlin géant avec 462 personnes (en 1998 à Winnipeg)

    Le câlin originel

    C'est le 29 Mars 1986 que le révérend Kevin Zaborney eut l'idée de la première journée des câlins. Il avait constaté que le début d'année et jusqu'à la St Valentin (14 février) était une période de plus forte tendance à la déprime. Les fêtes de fin d'année passées, un grand nombre de personnes souffriraient en effet d'un manque de contact émotionnel.

    L'idée de libérer son affectivité sans attendre et recevoir des marques d'amour était née sous la forme d'un mouvement vers le "câlin gratuit".

    Comment procéder ?

    Le principe est simple: un individu propose, dans un lieu public, une accolade sans contrepartie à une personne choisie au hasard et le manifeste par une petite pancarte sur laquelle il est écrit "câlin gratuit".

    Allez, hop! tous ensemble: osez!

     

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  • Peinture sur bouche 3

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  • FRANCAIS, FRANCAISE: VOTRE LIBERTE EST EN DANGER! Faites passer à tout l'internet!

    Mais enfin: ils sont totalement givrés!

    A propos de la grève des médecins: la presse gauchiasse ne parle que de la généralisation du tiers payant, occultant le fait que si la nouvelle loi de santé passe, le secret médical sera largement "entamé".

    Le patient aura le droit de refuser que son secret médical soit accessible  (voir la liste plus bas, ca fait un max de personnes qui pourront avoir accès au dossier). Mais s'il refuse, il ne sera plus remboursé!

    Par ailleurs, étant donné qu'il y a déjà eu des " gags" de la part d'hôpitaux, avec des dossiers patients se retrouvant sur le net, très lisibles, suite à des failles de sécurité, à la vue de tous donc...

    On peut avoir peur

    L'autre gros problème est que la loi donne beaucoup trop de pouvoir aux agences régionales de santé.

    Par ailleurs:

    Notre système de santé coute cher (12% du PIB), est déficitaire, les patients cotisent beaucoup et sont mal remboursés:

    Une personne atteinte d'une grave maladie et qui donc obtient l'Ald doit pourtant payer 50 cts pour chaque boîte de médicament, 1 euro par visite médicale, 2 euros pour chaque transport ambulance (quand elle trouve des ambulanciers qui veulent bien la transporter, et ça n'arrive jamais! sauf si elle est sur un brancard); 50 cts pour chaque passage chez le kiné! Ne parlons pas des sommes qui ne sont pas remboursées sur les actes de radiologie ni les frais d'hôtellerie d'hôpital… et je ne veux même pas vous indiquer les 4 jours de carence pour être mis en maladie…. alors que les ponctionnaires ont vu supprimé leur seul jour de carence “parce que c'était humiliant“ comme à osé le dire leur ministre de tutelle. La plupart des gens ne savent pas qu'il y a quelques années, elle était au Parti Communiste! Encore une qui ne se gêne pas pour retourner sa veste! y'en a qui doivent écouter en bourse la chanson de Dutronc!

    Vous connaissez des gens qui ne vont pas se faire arranger les dents, d'autres qui ne peuvent payer leurs lunettes: alors, imaginez les difficultés financières pour les personnes atteintes de très graves pathologies. Les mutuelles ont l'obligation de ne pas rembourser ces inventions de ticket modérateur…

    Les professionnels de santé (kiné, infirmières, médecins etc.. ) sont les moins payés d'Europe (nous sommes avant-derniers : en moyenne une consultation médicale dans tout pays civilisé coute 40 à 50 euros); une amie médecin me disait qu'au Luxembourg, ils ne remboursent qu'une fois tous les deux ans la visite chez l'ophtalmo!

    Le fonctionnement global de ce système que le monde entier nous envie et que personne ne recopie, n'est donc pas optimal ; on perd de l'argent quelque part.

    De plus, nous sommes en face d'une crise de démographie médicale (désert médical dans Paris par ex. Dans certains coins de France, on va chez l'ophalmo après avoir patienté 9 mois, ici à Toulouse, il faut patienter 6 mois pour un rendez-vous chez une gynéco après avoir appelé une dizaine qui refusent d'augmenter leur clientèle): et les médecins étrangers dont tout le monde espère naïvement qu'ils régleront le problème: s'installent surtout en ville. A l'hôpital. les jeunes diplômés ne sont que 10% à s'installer en libéral.,

    mathématiquement, çà va coincer..

    Pas la peine d'avoir fait l'ENA pour le comprendre.

    vidéo si vous êtes pressés, commencer à 3 mn 30 environ...

    https://www.youtube.com/watch?v=4N1ADLRzq9g&feature=youtu.be

     

    Le texte reprenant en partie la vidéo est ici:

    http://www.contrepoints.org/2014/12/25/192492-projet-de-loi-sante-aujourdhui-est-un-beau-jour-pour-mourir

     

    Extrait: mais tout l'article est bien

    "Aujourd’hui est un beau jour pour mourir" est une parole prêtée aux guerriers Sioux et Cheyennes le jour de la bataille de Little Big Horn contre les troupes de Custer qui attaquaient leur village. Cela veut dire que c’est la dernière bataille, celle où se joue la survie. Le dernier choix libre est la mort au combat.

    Aujourd’hui ce qui reste de la médecine libérale livre son dernier combat pour sa survie. Cette loi santé aura aussi des conséquences graves pour les patients. Il semble que bien peu de gens en soient conscients. Ainsi, non seulement la Sécu rembourse de moins en moins et prélève de plus en plus mais… La loi santé met fin au secret médical.

    Sur ce point les lignes qui suivent sont une synthèse, imparfaite, d’une partie de l’intervention du Dr Didier Legeais qui mérite d’être largement diffusée.

    La Loi santé prévoit la création d’un secret médical partagé sous contrôle de l’Assurance maladie avec des données médicales et administratives. Cette base de données est donc contrôlée par le financeur. Le malade peut s’y opposer mais s’il s’y oppose il n’aura plus accès aux soins parce que, en pratique, une personne ne pourra avoir accès aux soins que si elle figure dans cette base de données.

    Le secret médical sera confié à un groupe de professionnels. Quand quelqu’un confiera son intimité à un médecin, elle appartiendra à l’ensemble du groupe y compris les secrétariats médicaux administratifs, les infirmières, les aides-soignantes et les services d’urgence etc.

    Elle crée le Système national des données médico-administratives qui regroupe toute les données sociales y compris revenus, aides sociales, subventions.

    L’article L1461-1 prévoit "un système national des données médico-administratives qui rassemble et met à disposition

    – Les données issues des systèmes d’information hospitaliers mentionnés

    – Les données du système d’information de l’assurance maladie

    – Les données des causes de décès mentionnées

    – Les données médico-sociales notamment de l’action sociale et des familles

    – Les données de remboursement par bénéficiaire transmises par les organismes d’assurance maladie complémentaires".

    Tout médecin, tout système hospitalier, c’est-à-dire tous les hôpitaux, toutes les cliniques, tous les cabinets, tout lieu où la personne passe, renseignent la base de données.

    À l’intérieur il y aura toutes les données de l’assurance maladie, toutes les cotisations, tous les montants, tous les volumes, les données des causes de décès, les données médico-sociales notamment celles de l’action sociale des familles, allocations familiales, naissances, logement, les données de remboursement par les complémentaires santés.

    Mais que viennent faire les caisses d'allocations familiales dans notre secret médical?

    L’accès à ces données est réservé à des intermédiaires: laboratoires de recherche ou bureaux d’études publics ou privés qui présentent à la CNIL un engagement de conformité à un référentiel incluant des critères d’expertise ou d’indépendance.

    Vous croyez qu'ils vont respecter ce qu'ils exposent à la CNIL les laboratoires privés?

    C'est très, très grave! la gauchiasse porte atteint à nos libertés fondamentales!

    Et nous avons donné la lumière au monde? et nous indiquons aux dictatures comment être des pays démocratiques: on est des fous furieux!

     

    Bla-blabla de merde qui veut rien dire

    "Les données du système national des données technico-administratives permettant une identification directe (…) ne peuvent être utilisées dans les conditions définies par la loi du 6 janvier 1978 que pour permettre des traitements dans l’intérêt des personnes concernées ou en cas de menace sanitaire grave pour tout ou partie de la population ou pour effectuer des appariements de fichiers ou des agrégations de données répondant aux finalités mentionnées à l’article L 1461-1:

    "Les agents de l’agence régionale de santé n’ont accès aux données de santé à caractère personnel que si elles sont strictement nécessaires à l’accomplissement de leurs missions".

    L’État crée un numéro d’identification national pour l’identification directe. Ce numéro est à la disposition de l’État. Seul l’État définit ce qu’est une menace sanitaire grave… comme la grippe par exemple (souvenir, souvenir !).

    La base de données est alors accessible immédiatement et la personne n’a pas son mot à dire. Appariements de fichiers ou des agrégations de données autorisent toutes les dérives. Les données personnelles sont soumises également à l’arbitraire des agents des ARS s’ils estiment en avoir besoin pour leurs missions:

    "Art L 1111-8-1: le numéro d’inscription au registre national d’identification des personnes physiques est utilisé comme identifiant de santé des personnes pour leur prise en charge à des fins sanitaires et médicosociales dans les conditions prévues". ça, c'est pour les allocs.

    Lors de la première consultation une personne peut le refuser mais il est indispensable à la facturation et à la prise en charge de tous ses soins y compris de l’aide médicosociale, allocations familiales etc.

    L’État est en train de mettre en place une base de données qui aura pour objectif de contrôler l’intégralité de l’intimité des personnes. Le secret médical et le reste sera asservi à un système politique. Tout cela ne peut se mettre en place qu’à une seule condition: le tiers payant généralisé obligatoire.

    Je vous souhaite un bon réveillon: remplissez votre panse, demain, vous pleurerez!

     

  • Peinture sur bouche 2

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    ET AUSSI

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2014/12/23/peinture-sur-bouche-5518857.html

  • Peinture sur bouche

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  • Note mise pour les anti-vaccins: contrarien-ne, apprends à mourir!

    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/11/03/23000-pourquoi-meningites-graves-sont-difficiles-diagnostiquer

    Pourquoi les méningites graves sont difficiles à diagnostiquer

    En 2013, il y a eu 585 cas d'infections invasives à méningocoque recensés en France. Cinquante personnes en sont mortes et 49 ont présenté des séquelles précoces.

    "Naître avec le printemps, mourir avec les roses." Si Émilie aime tout particulièrement ce premier vers du poème de Lamartine, dont elle a repris le titre pour son propre récit *, c'est qu'elle a failli périr, d'une méningite, à la fin de l'été. "J'ai juste un petit bout de doigt qui m'a été enlevé, dit-elle aujourd'hui, mais quand je vois les séquelles je me dis: pourquoi ai-je encore mes jambes? Pourquoi ai-je encore ma tête?"

    Car aujourd'hui, Émilie Sougey sait tout de la méningite, des premiers signes à l'issue parfois dramatique (50 morts en France l'an dernier), en passant par les séquelles parfois très lourdes. Elle sait que l'infection peut se propager à tout le corps et nécessiter des amputations des doigts, mains, pieds, jambes. Elle sait tout cela… Mais elle n'en savait rien ce jour de prérentrée des terminales du lycée Notre-Dame-des-Victoires, à Voiron, où elle a commencé à se sentir mal, torturée par un mal de tête terrible. Ses parents non plus.

    "Si j'avais su…" Cette phrase terrible trotte dans la tête de tous les bénévoles de Méningites France Association Audrey et Petit Ange qui organisaient le 7 octobre dernier un colloque sur les séquelles de la méningite, à l'Institut Pasteur. "J'ai perdu ma fille d'une méningite à méningocoque B en moins de 22 heures en janvier 2003. Elle avait 4 ans", raconte Patricia Merhan-Sorel, présidente de Petit Ange, qui plaide pour une meilleure information des parents. Car dans une forme appelée Purpura fulminans, tout peut basculer extrêmement vite.

    Fièvre et maux de tête

    Or même un médecin peut se laisser surprendre et mettre une forte fièvre sur le compte d'une infection banale. "Il y a des cas où les enfants ont été renvoyés à la maison après avoir vu un médecin ou être allés à l'hôpital", regrette Mme Merhan-Sorel. Inutile de blâmer le praticien, il voit bien plus d'infections sans gravité que de gravissimes méningites. "Fiez-vous à votre instinct de maman", souffle-t-elle. N'hésitez pas à faire le 15 qui saura évaluer la situation. Voire rappeler si elle n'évolue pas favorablement.

    Car le diagnostic reste difficile et la triade classique de signes "fièvre, raideur de nuque et altération de la conscience" est fluctuante. Ainsi la "raideur de nuque" n'est pas toujours présente, en particulier chez les nourrissons. La fièvre et les maux de tête sont en revanche plus habituels, car la pression cérébrale augmente et l'infection est généralisée, c'est une septicémie. La diffusion des méningocoques (il existe aussi des méningites dues à des virus mais elles sont en principe moins dangereuses) dans tout le corps explique le risque d'atteinte des petits vaisseaux faisant apparaître des taches rouges ou violacées, comme des piqûres d'épingle, sur la peau: le Purpura fulminans.

    Ces lésions signent l'urgence et renforcent la nécessité de ne pas perdre de temps. C'est une question d'heures. "On évoque toujours les maux de tête mais avant d'arriver dans les méninges c'est une infection sanguine", explique le Dr Muhamed-Kheir Taha, responsable du Centre national de référence des méningocoques à l'Institut Pasteur de Paris.

    Vaccins

     "Même lorsque le diagnostic est précoce et le traitement est adapté, la mortalité reste forte", explique Catherine Olivier, professeur de pédiatrie à l'université Paris-VII. En 2013, il y a eu 585 cas d'infections invasives à méningocoque recensés en France, dont 14 dans les départements d'outre-mer. Le pic saisonnier a eu lieu en février (71 cas) et l'incidence la plus faible en septembre (31 cas). Un à deux cas par jour en France, c'est peu, d'où l'importance de rester vigilant avec ses enfants. Sur les 585 malades recensés l'an dernier, 50 sont morts et 49 ont présenté des séquelles précoces. Les classes d'âge les plus touchées sont, détaille l'Institut de veille sanitaire, les nourrissons de moins de un an (82 cas), les adolescents de 17-19 ans (71 cas) et les plus de 90 ans (13 cas).

    Le traitement de la méningite repose sur l'antibiothérapie en urgence mais il existe aussi des vaccins préventifs contre les souches les plus fréquentes. L'an dernier en France, sur les 561 cas d'infections invasives à méningocoque pour lesquels le sérogroupe était connu, il s'agissait essentiellement du B (326 cas, soit 58 %) et du C (146 cas, 26 %). La vaccination contre le méningocoque C est désormais recommandée à tous les nourrissons à 12 mois, avec une dose de rattrapage jusqu'à 24 ans révolus. En revanche, la vaccination contre le méningocoque B ne fait pas pour l'instant l'objet d'une recommandation générale et il n'est pas remboursé en dépit de son coût élevé, ce qui suscite la colère de pédiatres interrogés par des familles aux revenus modestes. Il est conseillé aux personnes à risque élevé d'infection (certains déficits immunologiques notamment) et à titre temporaire dans des zones géographiques délimitées ou pour une population identifiée, selon le Haut conseil de santé publique.

    *  Comme un papillon, disponible chez l'auteur Sougeyemilie@hotmail.fr.