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Femmes - Page 72

  • zavez pas vu Marion? on l'a cherche partout!!!!

    Marion ? Il vous aime !

    Avenue Pierre-Brossolette, à Troyes, un riverain a décidé de déclarer sa flamme… en grand ! Sur le mur d’une maison, l’amoureux transi a tendu un drap blanc et déclaré sa flamme… en rose. "Marion, je t’aime :)", a-t-il ainsi écrit.

    Un message auquel un autre petit malin a déjà répondu : "Nous aussi on l’aime ta Marion".

    Marion, vous qui lisez sûrement notre journal, répondez-lui ! Mais, pour cela, pensez aux petites annonces… Ne dit-on pas " pour vivre heureux, vivons cachés "?

     

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  • P'tit vélo, pas de toto! bon pour la planète, tout ça!!!!

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  • pour ceux qui restent encore quelques temps, n'oubliez pas...

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  • La petite juive qui représentait la nation aryenne!

    Le "parfait bébé aryen" du IIIe Reich était une petite fille juive

    Hessy Taft, née Levinsons, en couverture d'un magazine nazi.

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    Hessy Taft a récemment fait don au mémorial de Yad Vashem de Jérusalem d'une couverture de magazine sur laquelle elle apparaît. Une image d'elle bébé qu'un photographe professionnel avait fait exprès d'envoyer aux nazis dans le cadre d'un concours pour trouver "le plus beau bébé aryen".

     "Maintenant, je peux en rire. Mais si les nazis avaient su qui j'étais vraiment à l'époque, je ne serais pas en vie aujourd'hui". Hessy Taft et ses proches ont gardé le secret pendant des années. Mais son don le mois dernier au Mémorial de Yad Vashem de Jérusalem, raconté ce mardi dans la presse israélienne et anglo-saxonne, met en lumière son étonnante histoire.

    Il y a quelques jours, Hessa Taft a en effet offert au mémorial des victimes juives de la Shoah une copie d'une couverture de magazine nazi, représentant un bébé aux joues rondes et aux yeux grand ouverts. Ce bébé, c'est elle, en 1935. A l'époque, comme le raconte le site du Musée Mémorial de l'Holocauste à Washington,  Hessy Levinsons, née en 1934 en Allemagne de parents juifs originaires de Lettonie, est photographiée par un professionnel à la demande de sa mère, qui veut garder un simple souvenir des jeunes années de son enfant. Quelques mois plus tard, elle se rend compte avec effroi que la photo de sa fille figure en une du magazine nazi "Sonne ins Haus" (Du soleil dans la maison) daté du 24 janvier 1935, un des rares journaux à être autorisés à l'époque.

    Terrorisée à l'idée des conséquences que cette publication peut avoir si les nazis se rend compte que le bébé en "une" est juif, elle se précipite chez le photographe. Ce dernier lui explique que le régime lui a demandé d'envoyer des photos de bébés pour un concours destiner à trouver celui représentant le parfait exemple de la race aryenne. Le professionnel avoue qu'il savait pertinemment que Hessy était juive et qu'il a envoyé cette photo pour ridiculiser le régime hitlérien. L'histoire, selon le journal allemand Bild, raconte même que le ministre de la propagande Joseph Goebbels aurait personnellement choisi la photo de l'enfant.

     "Une petite revanche"

    A cette époque, l'image a un tel succès que des cartes postales sont même créées à son effigie. La photo figure même sur les devantures de certains magasins de vêtements pour enfants. Mais Hessy est loin de profiter de cette popularité inattendue. Ses parents, qui ont trop peur qu'on la reconnaisse et qu'on la questionne sur son identité, font en sorte qu'elle reste le plus possible à la maison. En 1936, son père est arrêté pendant quelques jours par la gestapo. La famille décide ensuite de quitter l'Allemagne. Elle se réfugie en Lettonie, puis en France avant de partir pour Cuba et de s'installer finalement aux États-Unis, à la fin des années 1940.

    Hessy Taft, aujourd'hui âgée de 80 ans, est professeur de chimie à New York. En remettant au mémorial de Yad Vashem une copie de cette couverture de magazine, elle a fait part de son émotion au journal Bild en se remémorant cette histoire: "C'est pour moi une petite revanche. Une satisfaction, en quelque sorte".

     

    EPATANT!

  • Note grave: ce n'est pas une plaisanterie... exigeons d'être protégé-es!

    Virus Ebola: nouvelle irresponsabilité gouvernementale?

    C’est media-press-info qui nous alerte sur l’extension du fléau, et sur la mollesse des réactions étatiques pour limiter les possibilités d’importation en France de celui-ci.

    " L’organisation Médecins Sans Frontières a annoncé vendredi que l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest était désormais " hors de contrôle" .

    Le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée sont contaminés par cette " deuxième vague " de l’épidémie. Des cas suspects sont également signalés au Mali. Mais Bart Janssens, directeur des opérations médicales de MSF, constate l’inefficacité des gouvernements africains ainsi que de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) devant ce fléau.

    Sur les 528 malades recensés ces deux dernières semaines dans cette partie de l’Afrique, au moins 337 sont déjà morts. Ce ne sont là que des chiffres provisoires. La fièvre Ebola commence généralement de façon anodine, par des symptômes comme la toux et une fatigue intense qui sont souvent négligés, puis se manifeste rapidement par des vomissements, des diarrhées et d’effrayantes hémorragies. Dans 9 cas sur 10, la mort survient en une semaine.  A ce jour, il n’existe aucun vaccin contre ce terrible virus extrêmement contagieux.  De simples changements de draps ont, par le passé, entraîné la contamination mortelle de membres du personnel médical.

    Equipes médicales françaises sur place

    Des équipes de l’Institut Pasteur et des médecins de différentes ONG sont arrivées fin mars à l’aéroport de Conakry, capitale guinéenne, avec pour mission de " limiter au maximum " le risque de transmission de l’épidémie sur le sol européen.

    Pourtant, les vols entre les pays contaminés et la France ne sont toujours pas interrompus.  Le Sénégal est plus efficace : il a fermé depuis plusieurs semaines ses frontières terrestres avec la Guinée. Et l’Arabie saoudite a interrompu l’octroi de visas aux Guinéens. Mais à Conakry, on continue à embarquer à destination de Roissy…

    Il faut cesser de manger des chauves-souris ainsi que les viandes de brousse

    Les consignes médicales aux populations africaines sont essentiellement orientées vers les question d’alimentation. Selon divers épidémiologistes, les chauves-souris seraient en grande partie responsables de la transmission du virus à divers animaux sauvages comme, notamment, les singes. Il est donc recommandé avec insistance aux Africains de ne plus consommer ni chauves-souris ni viandes de brousse. Mais faute de contrôles, ces recommandations ont un effet très limité, et singes, rats et autres rongeurs se retrouvent encore sur les étals.

    Or, le consommateur de ces nourritures à haut risque, une fois contaminé, devient ultra-contagieux à la fois par le sang, le sperme, la sueur, la salive ainsi que les selles.

    Viandes de brousse importées clandestinement en France

    Le grand souci, c’est notamment le trafic de viandes de brousse entre l’Afrique de l’Ouest et l’Europe. Une enquête publiée en 2010, sur base du travail des services de douane ainsi que de la société zoologique de Londres, avait estimé que cinq tonnes de nourriture " potentiellement contaminée " débarquaient chaque semaine à l’aéroport Charles de Gaulle en provenance du Cameroun, de Centrafrique, du Congo,…

    Ces estimations inquiétantes se voyaient confirmées en octobre 2012, lors de l’Opération Hope menée par les douanes. " En France ont été saisis près de 813 kg de viandes d’origines diverses (dont 318 kg provenant d’animaux sauvages), plus d’une tonne de poissons et mollusques, 1,2 tonne de fruits et légumes et plus de 70 kg de chenilles. Les agents des douanes ont trouvé de la viande de serpent, de crocodile, de chèvre, de bœuf, de mouton, d’éléphant, d’antilope, de porc-épic, de pangolin, de singe,… La grande majorité de ces produits ont été saisis à Roissy sur des passagers en provenance d’Afrique de l’Ouest. "

    A l’époque déjà, les douanes insistaient sur le risque sanitaire que faisait courir cette importation clandestine de nourriture transportée dans des conditions d’hygiène inqualifiables. Les douanes mettaient en garde contre l’intrusion en France de maladies comme la grippe aviaire, la fièvre aphteuse et… le virus Ebola.

     

    Plus récemment encore, en décembre 2013, la police et les services sanitaires avaient fait une descente dans le quartier Château-Rouge (XVIIIe arrondissement de Paris), connu pour ses boutiques et restos africains. Les découvertes avaient été significatives : morceaux de viandes de singes, de gazelles, de rongeurs et… de chauves-souris.

    Il faut interrompre les vols en provenance des pays contaminés

    Les hôpitaux français ont reçu toutes les indications concernant le protocole à suivre en cas d’urgence liée à un malade porteur du virus Ebola. Mais lorsqu’on sera arrivé à ce stade, il sera trop tard.

    Il faut que les gouvernements européens prennent rapidement des mesures courageuses. Il faut, bien sûr, continuer à tenter de vaincre le virus en Afrique. Mais il faut sans tarder interrompre les vols en provenance des pays contaminés et renforcer les contrôles douaniers sur tous les vols en provenance de l’Afrique de l’Ouest.

    C’est urgent !

    http://www.chretiente.info/201406264410/virus-ebola-nouvelle-irresponsabilite-gouvernementale/

     

    autre article ici:

    http://rue89.nouvelobs.com/2014/06/26/virus-ebola-lennemi-invisible-terrorise-les-experts-253236

  • A table! j'ai dit: à tableueeeeeeeeeeeeeeeee

    Une septuagénaire tue son mari puis cuisine ses organes à Longwy

    Une septuagénaire interpellée le 22 mai pour le meurtre de son mari de 80 ans à Longwy, est allée jusqu'à cuisiner plusieurs organes de la victime.

    La septuagénaire interpellée a été incarcérée à la prison de Nancy. Elle aurait cuisiné les organes de son mari après l'avoir tué.

    C'est un drame qui secoue la petite ville de Longwy, en Meurthe-et-Moselle. Une septuagénaire a été interpellée le 22 mai dernier, pour le meurtre de son mari de 80 ans. Selon une source proche du dossier, la femme aurait cuisiné dans une casserole le coeur, le nez et les organes génitaux de la victime.

    Les enquêteurs ignorent cependant si elle les a consommés, a-t-on précisé de même source.

    Tué à coups de pilon de mortier à épices

    Les faits s'étaient produits dans la nuit du 21 au 22 mai dans une maison ouvrière. La femme, âgée de 71 ans, avait été interpellée dans la matinée, les vêtements souillés de sang et de restes biologiques de son mari.

    Les enquêteurs avaient dès le départ constaté que la victime avait été tuée à coups de pilon de mortier à épices, avant d'être dépecée et éviscérée.

    L'enquête a depuis permis d'établir que la meurtrière présumée avait ensuite fait "cuire le cœur, le nez et les organes génitaux dans une casserole, mais on ne sait pas si elle les a mangés", a précisé une source proche du dossier.

    "Une crise de folie"

    "Manifestement, on est face à une crise de folie, non pas douce, mais furieuse", a commenté l'avocate de la suspecte, Me Caroline Depretz, qui a indiqué que sa cliente souffrait "de troubles délirants".

    C'est une voisine, chez qui la meurtrière présumée s'était rendue peu après le drame, qui avait alerté les forces de l'ordre.

    La suspecte était restée muette en garde à vue. Elle a depuis été placée dans l'unité psychiatrique du centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville, dans l'attente d'expertises psychiatriques qui devront établir si elle est accessible ou non à une sanction pénale.

    "Avant les faits, il semble qu'elle avait des troubles de la personnalité qui n'ont pas été pris en charge. On peut se demander si elle n'a pas complètement perdu la tête", a insisté son avocate, qui a notamment évoqué "des troubles hallucinatoires".

    Jusqu'alors sans histoire, la suspecte a élevé ses dix enfants à Longwy avec son époux, qui travaillait dans la sidérurgie.

    "Selon certains, elle disait en avoir peur, mais depuis les faits, elle ne s'explique pas et ne donne aucun mobile", a précisé une source proche de l'enquête.