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Femmes - Page 65

  • Génial!

    Gardien de parking virtuel pour conducteurs handicapés bien réels

    L'hologramme d'un homme en fauteuil roulant apparaît lorsqu'un conducteur valide commence à se garer sur une place réservée aux personnes handicapées.

    Une association russe a mené une percutante campagne de sensibilisation au respect des places de parking pour personnes handicapées. L’hologramme d’un homme en fauteuil roulant s’adressait aux conducteurs indélicats. La virtualité pour pointer les dérives de la réalité.

    "STOP!" Le cri retentit dans le parking. Juste au moment où un conducteur valide s’apprête à se garer sur une place réservée aux personnes handicapées. Sur l’emplacement, jusqu’alors vide, apparaît un homme en fauteuil roulant. Un hologramme. L’image en 3D s’anime: " Pourquoi êtes-vous surpris? C’est une place pour personnes handicapées".

    "Je ne suis pas qu’un pictogramme sur le sol" d’un parking

    L’association Dislife a mené cette opération coup de poing à Moscou, il y a quelques semaines. Plus de 30% des conducteurs russes ne respectent pas les places réservées aux personnes handicapées. Comme si elles n’existaient pas… L’agence de communication Y&R a donc imaginé cette campagne pour contrer les idées reçues.  "Qu’est ce que vous faites? demande l’hologramme aux contrevenants. Je ne suis pas qu’un pictogramme sur le sol ! Ne faites pas comme si je n’existais pas. Oui, je suis bien réel. S’il vous plaît, trouvez une autre place de parking".

    Un clip de sensibilisation pour poursuivre la campagne

    Le dispositif a été mis en place, le temps de l’opération, dans plusieurs centres commerciaux et d’affaires dans la capitale russe: une caméra pour vérifier la présence du macaron sur le pare-brise et un projecteur d’hologramme vidéo. Dislife en a tiré un clip de sensibilisation, mis en ligne le 24 avril.

    Et, en attendant d'aller voir le clip

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    FAITES PASSER, SVP - Merci

     

     

     

     

     

  • Les héros du quotidien? les seuls, uniques... les parents d'enfants handicapés!

    Mon fils a le syndrome de Pica: il mange du bois, du papier, du carton... Terrifiant

    Par Elodie Nourrisson, Maman de Thomas

    Le syndrome de Pica est un trouble du comportement alimentaire caractérisé par l'ingestion durable de substances non nutritives. Le plus souvent, il est diagnostiqué chez des enfants souffrant de troubles autistiques. Elodie Nourrisson, maman d'un petit garçon de six ans, fait face à ce syndrome au quotidien. Son fils Thomas ingurgite du bois, du papier, du carton et du tissu. Témoignage.

    On a diagnostiqué chez mon fils Thomas un trouble envahissant du développement quand il avait deux ans et demi. Après un bilan psychométrique, nous avons appris qu’il souffrait d’autisme typique sévère avec profil cognitif très hétérogène, d'un trouble du déficit de l'attention, d'un trouble d'acquisition de la coordination et qu’il était également atteint du syndrome de Pica. J’ai alors arrêté de travaillé pour m’occuper de lui.

    Nous étions dépassés par son comportement

    Quand on m’a parlé pour la première fois du syndrome de Pica, je ne savais pas que ça existait. Cette maladie touche certains enfants atteints d’autisme sévère et se manifeste par l’ingestion obsessionnelle d’éléments non comestibles.

    Dès son plus jeune âge, Thomas s’est donc mis à manger tout ce qui lui passait sous la main: bois, papier, carton… C’était terrifiant. Quand on rentrait à la maison, il se jetait sur les meubles en bois pour les dévorer. Et à l’extérieur, dans les jardins d’enfants, par exemple, il lui arrivait de mordre les aires de jeux et les bancs en bois.

    À ce moment-là, j'étais très inquiète pour mon fils, car je n'avais jamais vu ce genre de comportements chez d'autres enfants. Nous n'avions pas de réponses à nos questions et nous ne savions pas à quoi cela était dû.

    La crèche était tout aussi dépassée que nous, car Thomas y avait causé de très gros dégâts. Il avait notamment mangé la structure motrice intérieure en bois ou encore les marches du toboggan. On ne gérait pas spécialement la situation, on était dépassés.

    Thomas était comme "possédé"

    Dans ces moments-là, il était très difficile d'arrêter Thomas, car il était comme "possédé". D’ailleurs, je compare souvent les manifestations du syndrome de Pica au comportement d’un drogué, car ceux qui sont atteints de ce trouble ont une attitude addictive.

    Quand on tente d’arrêter Thomas, c’est très compliqué: il fait une crise, il s’énerve et il peut même donner des coups. Pourtant, nous devons l’en empêcher, car ingurgiter de tels matériaux peut-être néfaste pour sa santé. Cela peut en effet provoquer des occlusions intestinales, des problèmes dentaires ou encore des étouffements.

    Par chance, il n’a jamais eu de problème jusqu’à présent, mais j’ai souvent eu peur. Quand je lui retirais ses couches, petit, j’y retrouvais parfois des morceaux de bois ou d’autres matériaux non comestibles. Un jour, j’ai paniqué, car sa couche était complètement bleue: Thomas avait ingurgité des pièces d’un puzzle de cette couleur.

    Nous avons dû changer tous nos meubles

    Pour que notre fils ne mange pas des matériaux non comestibles, nous avons dû modifier notre environnement. Nous avons commencé par remplacer tous nos meubles en bois par des meubles en fer.

    Nous avons ensuite mis tous les matériaux sensibles dans des armoires, sous clé ou en hauteur, afin que Thomas n’y ait pas accès. Toute cette réorganisation nous a coûté des milliers d’euros et pourtant, cela ne suffit pas: nous devons surveiller Thomas en permanence.

    Aujourd’hui, il a six ans. Il est assez grand pour comprendre qu’il n’a pas le droit d’ingurgiter certaines choses. Alors, il se cache souvent pour le faire, car ses pulsions sont irrépressibles. Il lui arrive par exemple d’aller aux toilettes et de croquer dans un rouleau de papier WC.

    En plus du bois, du papier et du carton, Thomas ingurgite désormais du tissu. Il mange notamment la mousse du canapé, les oreillers, les peluches ou encore ses propres vêtements.

    Pour éviter cela, nous lui avons acheté un doudou en une quinzaine d’exemplaires. Il l’emmène partout avec lui, afin de pouvoir le mâchouiller en permanence. Sans ça, Thomas peut revenir de l’école avec des vêtements déchirés, car il ne peut pas s’empêcher de les manger.

    Le syndrome de Pica ne se guérit pas

    Mis à part beaucoup de vigilance et un bon suivi médical, il n’y a pas grand-chose à faire pour remédier au syndrome de Pica. Thomas est donc suivi par un pédopsychiatre, une orthophoniste ou encore un psychomotricien. Ces professionnels l’accompagnent au quotidien.

    Son syndrome de Pica est dû à une désorganisation des troubles sensoriels. Il suit donc la méthode A.B.A. (analyse comportementale appliquée) et il est également traité pour ses troubles de l’oralité par une orthophoniste. L’objectif? Désensibiliser sa sphère orale, pour le soulager.

    Il suit aussi le protocole de Wilbarger, qui consiste à brosser le corps des enfants afin de les habituer au toucher et il prend également un traitement composé de Risperdal et de Ritaline, car en plus de l’autisme et du syndrome de Pica, Thomas a aussi été diagnostiqué hyperactif et dyspraxique.

    Si ces méthodes peuvent améliorer son quotidien, il n’y a pas de traitement au syndrome de Pica. Quatre ans après le diagnostic, nous avons réussi en réduire légèrement les manifestations, mais seulement par période. Thomas devra peut-être vivre avec ce syndrome toute sa vie.

    Le quotidien des enfants peut être amélioré

    Avec le temps, je vis mieux cette situation. Comme nous avons réaménagé la maison, le quotidien est plus simple. Mais nous devons être vigilants en permanence, que ce soit chez nous où à l’extérieur.

    Après m’être occupée de Thomas pendant plus de six ans, j’ai décidé de reprendre mon activité professionnelle à mi-temps. Je suis heureuse, mais aussi inquiète, même si je sais qu’il est entouré par des personnes compétentes.

    Personnellement, je me suis toujours sentie épaulée par les médecins et mes proches. C’est essentiel et si d’autres parents dont les enfants sont touchés par le syndrome de Pica me lisent, j’aimerais leur dire de bien s’entourer.

    Si ce syndrome ne peut pas être traité, leur quotidien et celui de leur enfant peut être amélioré, grâce à un réaménagement de leur environnement, à l’A.B.A., mais aussi aux traitements des troubles sensoriels.

    Le syndrome de Pica se vit au jour le jour et quoi qu’il arrive, il ne faut pas baisser les bras.

    Propos recueillis par Anaïs Chabalier.

    http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1355039-mon-fils-a-le-syndrome-de-pica-il-mange-du-bois-du-papier-du-carton-terrifiant.html?cm_mmc=EMV-_-LEPLUS-_-20150420_NLLEPLUS-_-mon-fils-a-le-syndrome-de-pica-il-mange-du-bois-du-papier-du-carton-terrifiant#xtor=EPR-4-[DernContrib]-20150420

     

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

     

  • Et, une fois de plus, j'ai raison!!!!

    Antirides: le Botox pourrait atteindre le cerveau et la moelle épinière

    Cette nouvelle pourrait en inquiéter plus d'une.

    Prisé des stars du show-biz pour contrer les rides, le botox finirait sa route dans le cerveau. C’est en effet ce qu’affirme une équipe de scientifiques australiens qui viennent de publier une étude dans The Journal of Neuroscience.

    D’après cette équipe de l'Université du Queensland (près de Brisbane), les molécules de toxine botulique, utilisées par les chirurgiens esthétiques pour atténuer les rides, se déplacent par les nerfs, jusque dans le cerveau et la moelle épinière des patients. Pour parvenir à cette conclusion, une équipe de chercheurs australiens, français et britanniques ont suivi, grâce à une technique de microscopie électronique de pointe, le trajet de la toxine dans l'organisme.

    Face à cette découverte, les auteurs ne se veulent cependant pas alarmants. Interrogé par le site Top Santé, Frédéric Meunier, co-auteur de l'étude confie: “Le botox est un traitement sans danger, qui est utilisé depuis plus de 20 ans. Il n'engendre aucun effet indésirable, en dehors de la paralysie locale, et est un fantastique médicament pour traiter les maladies entraînant une hyperactivité musculaire. Tout pourrait dépendre de la quantité de toxine présente dans le système nerveux“.

    "Cette découverte est inquiétante, compte tenu de l'extrême puissance de cette neurotoxine", a déclaré Frédéric Meunier, coauteur de l'étude.

    La mémoire potentiellement affectée

    Dans Le Plus de L’Obs, Jacques Hugon, neurologue et chef de service au Centre Mémoire Paris Nord Ile-de-France estime pour sa part que si le Botox arrive au cerveau, se posent alors d’autres questions. « Cette toxine est connue pour inhiber la libération d’acétylcholine, un neurotransmetteur jouant un rôle important dans le système nerveux central, puisqu’il est indispensable pour la mémoire et l’apprentissage. »

    Il rajoute: “Si la toxine botulinique entrait dans le cerveau, cela aurait l’effet inverse, en empêchant le "relargage" de l’acétylcholine. Cela pourrait donc freiner les capacités mnésiques et avoir un effet néfaste sur les capacités d’apprentissage. Mais tout cela reste bien évidemment à mettre en évidence et dépend de la dose qui passerait dans le cerveau “ conclut-il.

    Moins d’impulsions envoyées au cerveau

    Cette découverte n’est pas la première qui montre que le Botox a des effets sur le cerveau. En mesurant l’activité électrique du cerveau avant et après une injection de toxine botulique des chercheurs de l’université de Zurich ont démontré que la substance diminue aussi les signaux électriques produits par le cerveau.

    L’étude montre également que le botox influence d’autres zones plus éloignées du site d'injection, notamment une région cérébrale qui commande les mouvements de la main. « Après injection de la toxine la sensibilité de la main s’en est trouvée altérée », commentent ces chercheurs dans une intervention à la télévision suisse (rts). Des conclusions que la société fabricante de Botox (Allergan) a toujours réfutées.

    Pour rappel, le Botox est un produit courant et autorisé en France depuis 2003, les médecins et les chirurgiens en proposent sous forme d'injections renouvelables tous les 6 mois. Il atténue les rides en provoquant une paralysie ciblée des muscles. Enfin, au-delà de ses effets potentiellement toxiques, le Botox est une piste intéressante comme traitement de certaines pathologies (cancer de l'estomac, insuffisance urinaire, migraines).  

     

    Je l'ai déjà indiqué dans mon site:

    www.moins2rides.com

     

  • Au poil, dit la mouche, je vole! 2

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  • Beaux seins!

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