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Liberté - Page 51

  • Mal, mal... mais que j'ai mal à ma France!!!!

    Paris: Nadine Z., une femme de 85 ans, expulsée de son logement

    Nadine Z., une retraitée de 85 ans, locataire d’un appartement dans le 19e arrondissement de Paris s’est retrouvée à la rue il y a une semaine en raison d’une dette de 4.000 euros de loyers impayés.

    Voisins et associations se mobilisent. Nadine Z., 85 ans, a été expulsée le 12 juillet dernier de son logement dans le 19e arrondissement de Paris. Si une solution d’hébergement temporaire lui a été proposée, la retraitée, qui refuse de se rendre à l’hôtel, a été accueillie dans un local associatif après une nuit passée à l’hôpital. Une situation qui découlerait de plusieurs années de dettes.

    Voilà 30 ans que Nicole Z. habite quai de la Loire dans le 19e arrondissement de Paris. Fille de résistant, auteure de plusieurs livres de psychologie, elle a été, dans sa jeunesse, l’assistante du prix Nobel de chimie, Frédéric Joliot-Curie. Figure du quartier, elle a vendu il y a une dizaine d’années son appartement mais a contracté un " bail à vie " avec le nouveau propriétaire pour un loyer modéré.

    Au fil des ans, les ennuis se sont accumulés, les dettes avec. Selon l’association Droit Au Logement (DAL), la retraitée, placée sous tutelle, a été assignée au tribunal d’instance en 2014 pour une dette de 4.000 euros de loyers impayés. " Manifestement elle ne se défend pas ", déplore le collectif qui avance comme raison probable un manque d’information envers la vieille dame. Trois ans plus tard, la situation n’est donc pas résolue et Nicole Z. a vu policiers et huissiers débarquer chez elle la semaine dernière.

    “ Hier, on m’a fait sortir de chez moi pour me prendre mon appartement" , explique-t-elle dans une vidéo filmée par l’un de ses voisins. " Depuis je n’ai pas pu rentrer chez moi et j’aimerais bien rentrer chez moi“.

    Ce jour-là, la retraitée était sortie de chez elle quand les huissiers sont venus procéder à son expulsion. Quand elle est rentrée, les serrures avaient été changées. (salopards!)

    Une solution d’hébergement temporaire lui a été proposée mais la vieille dame refuse d’aller à l’hôtel. Elle a donc été accueillie dans un local associatif où elle a passée plusieurs nuits. Mercredi, elle a été hospitalisée en urgence et a passé la nuit à l’hôtel Lariboisière. Mais chaque jour, elle vient s’asseoir sur les marches de son immeuble. […]

    bfmtv

  • Le présitante: qui a de l'autorité pour insulter le grand général de Williers, doit mettre cette “autorité“ de tout petit caporal à gueuler vers ceux qui ne font pas leur travail!

    Lettre ouverte à Emmanuel Macron sur la réduction des heures d'aides humaines

     

     

  • Une si grande dame..... bien plus que vous ne le croyez!

    Simone Veil, ministre de la Santé, pas que devant les caméras

     

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    Dans les années 90, alors que le sida fait des ravages, Simone Veil doit s’entretenir en direct avec un malade. Rien ne se passe comme prévu.

    Le 1er décembre 1994, Simone Veil, alors ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, doit apparaître à la télévision pour la journée mondiale de lutte contre le sida. Tout est organisé pour le tournage. L’hôpital Broussais. Service d’immunologie. Elle doit sortir de la chambre d’un malade, faire son discours. Et ce discours lancera en direct le JT du 20 heures sur TF1.

    1994, les gens crevaient du VIH. Non! Ils ne mouraient pas du VIH, mais des effets du virus sur la capacité du corps à se défendre, à se gérer. Avec lui, les gens attrapaient tout, n’importe quoi. Puis ils maigrissaient, maigrissaient. Puis ils claquaient.

    Hôpital Broussais donc, dans le XIVe arrondissement, service d’immunologie du professeur Kazatchkine, un personnel engagé dans la course contre la montre et contre la mort qui déferle, soutenu par la présence de volontaires de l’association Aides.

    L’équipe de télévision arrive, se met en place. Puis Mme Veil. Mais, celle-ci joue la difficile. Elle a des exigences. Elle ne veut pas que sa présence soit juste symbolique. Elle refuse de jouer le jeu et de sortir de la chambre vide aménagée pour les besoins du tournage et pour sa tranquillité. Elle exige de parler avec un malade avant le tournage. Elle veut être - au moins pour vingt minutes, le temps d’une conversation - dans le vrai. Un vrai malade dans une vraie chambre.

    En tant que responsable des volontaires, on me demande d’identifier un patient hospitalisé qui serait prêt à jouer le jeu. A parler avec la ministre. A l’aider à se mettre en condition, pour ensuite quitter la chambre d’hôpital devant les caméras et être interviewée, en direct, par les journalistes. Il faut trouver vite. Qui est hospitalisé ce soir-là? Je regarde la liste des personnes. Beaucoup en fin de vie. Pas possible de leur imposer ça sans qu’ils puissent donner un consentement réel. D’autres, moins malades, sans doute capables de jouer le jeu. Mais qui acceptera?

    Puis un nom ressort du lot. De prénom, David. La trentaine. Alité avec plusieurs infections graves. 50 kilos au lieu de ses 70 kilos d’avant la maladie. Mais la tête OK. Quelqu’un avec du caractère. De l’est de la France. David a de l’humour, de la conversation, un point de vue. Il saura jouer le jeu.

    19 h 40. Tout est prêt pour le tournage en direct. Elle entre dans la chambre. Je les présente l’un à l’autre. Je quitte la chambre pour attendre à l’extérieur, les laisser faire leur conversation. Puis je dois attendre les quinze minutes de conversation. Puis taper à la porte vers 19 h 55 pour faire signe à Mme Veil qu’elle devait sortir de la chambre devant les caméras.

    J’attends. Les journalistes attendent. Les techniciens attendent. 19 h 55, je tape à la porte. Rien. 19 h 58, les journalistes commencent à s’énerver. Je tape de nouveau. J’entrouvre la porte. Madame Veil est là. Debout juste à l’autre côté de la porte. Elle me regarde rapidement, puis retourne la tête. Elle pleure. Elle essuie les yeux. Puis elle me regarde de nouveau. D’une voix secouée, mais claire, avec une fermeté qui ne permet aucune discussion, elle me dit, en faisant référence aux équipes et aux journalistes: "Faites que ces gens s’en aillent. Faites que ces gens s’en aillent".

    Elle referme la porte. Je me retourne. J’annonce aux équipes de tournage que c’est raté pour ce soir. Elle ne sortira pas de la chambre devant les caméras. Elle ne parlera pas aux journalistes! Scandale! Ils remballent leurs affaires, énervés. Le journal de 20 heures s’est débrouillé sans le tournage prévu.

    A l’hôpital, Mme Veil est restée encore une demi-heure dans la chambre en question. En sortant, elle s’excuse auprès de moi. Elle me dit: "C’était trop dur. Ça me faisait penser aux camps. Aux camps de concentration. On parlait de choses si graves. Il est si maigre, si maigre. C’était trop dur". Ensuite, elle est partie.

    Puis l’étonnant. Madame Veil n’a pas tout simplement disparu. Elle est revenue à l’hôpital. L’Association Aides était présente à l’hôpital Broussais les mercredis soirs. Telle une volontaire de base, elle est revenue le mercredi soir. Pour rencontrer les malades. Pour faire ce que nous faisions aussi, donner de notre temps, écouter, réconforter, discuter, apporter de la vie. Pas tous les mercredis mais régulièrement.

    Une heure, deux heures. Parfois, si c’était en fin de soirée, son chauffeur la ramenait chez elle, puis me déposait chez moi après. On parlait du réel. Du vécu réel des gens dans les hôpitaux, dans les soins, de l’hôpital, de celles et ceux qui y travaillent. Mais tout cela, c’était hors champ, pas devant les caméras.

    David est mort dans les semaines qui suivirent. C’était une époque si dure. Avant l’arrivée des traitements efficaces. Tout le monde crevait. Toutes les semaines, la première question en arrivant: qui est mort cette semaine? Mais on avait une ministre de la Santé. On avait une ministre de la Santé.

    Bon voyage, David. Bon voyage, Simone. Je suis fier d’avoir fait votre connaissance.

     

  • Général de Villiers: la Vraie France, à genoux, vous demande humblement pardon

    D'un côté, il y a un type qui n'a même pas la quarantaine, qui n'a rien vu de la vie et que quand on lui pince le nez voit s'écouler le lait du nourrisson…..

    Le présitante qui n'a même pas fait le service militaire, qui est incapable de démonter et remonter un fusil… et qui est tout juste capable de remonter les bretelles aux autres…

    Un type arrogant qui sans peines et sans cervelle (juste une conjoncture d'événements favorables) se trouve propulsé par une petite partie d'un peuple de nantis, à la peau du ventre bien tendue…. qui se prend pour le Christ et Jupiter réunit….

    Plus vieux que son beau-fils, maqué à une vieille peau tellement botoxée que quand elle cligne des yeux, ses fesses remontent….

    Un vieux jeune con, accroché à sa cassette remplie par les Forces de l'Argent qui nous esclavagisent et nous sucent la moelle des os à chacune de nos respirations….

    Un fanfaron arrogant qui partirait en courant et en criant “maman“ en arrivant sur un champ de bataille….

    et de l'autre côté,

    le plus grand chef militaire que la France reconnaissante à installée à ce poste pour tous les services rendus à la Patrie et qui a usé ses godillots sur tous les champs de batailles des 45 dernières guerres,

    qui a payé le prix du sang et de la mitraille….

    et à qui, pour toute reconnaissance, un petit con viens lui dire: “ta gueule, je suis le chef“ en se haussant du col comme un coquelet minable aux ergots limés à racler les planches de son guichet de demandeur de prébandes…..

    Alors, la France des sans-dents, la Marianne insoumise qui ne baisse jamais la tête devant quelque barbarie que ce soit, la France des Vrais Français qui peuvent étêter un Roi par Dieu consacré à Saint-Denis, cette France-là te dis: casse toi, pauvre con avant qu'on te fasse lécher le plancher des vaches!

    Signé: la France d'En Bas qui ne respecte pas les abrutis pompeux et “siphonés“ qui s'affranchissent du respect dû aux anciens, couturés et blessés qui nous protègent, la tête haute et altière.

     

  • VIVE NOUS! et que la bête crève!

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  • Vive les chiens militaires! ils nous protègent.....

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  • Vive les chiens militaires! ils nous protègent.....

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  • Vive les chiens militaires! ils nous protègent.....

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    Oui, je sais, ces chiens militaires sont américains: changez le drapeau et ce sont les nôtres!