Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Liberté - Page 49

  • Gloire à notre France éternelle!

    Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie
    Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.
    Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau.
    Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère;
    Et, comme ferait une mère,
    La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs! aux vaillants! aux forts!
    À ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    C'est pour ces morts, dont l'ombre est ici bienvenue,
    Que le haut Panthéon élève dans la nue,
    Au-dessus de Paris, la ville aux mille tours,
    La reine de nos Tyrs et de nos Babylones,
    Cette couronne de colonnes
    Que le soleil levant redore tous les jours!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts!
    À ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    Ainsi, quand de tels morts sont couchés dans la tombe,
    En vain l'oubli, nuit sombre où va tout ce qui tombe,
    Passe sur leur sépulcre où nous nous inclinons;
    Chaque jour, pour eux seuls se levant plus fidèle,
    La gloire, aube toujours nouvelle,
    Fait luire leur mémoire et redore leurs noms!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs ! aux vaillants! aux forts!
    A ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    Victor Hugo

  • Tel est pris....

    Brioux (79) : un chien retrouve la trace d’un délinquant en reniflant une pierre lancée sur des pompiers

    Un jeune de 19 ans va comparaître ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Niort. Il a reconnu avoir attiré des pompiers dans un guet-apens, dans la nuit de lundi 30 à mardi 31 octobre, à Brioux-sur-Boutonne dans les Deux-Sèvres.

    Les pompiers appelés pour des feux de poubelles arrivent sur place vers 1 heure du matin mais ne peuvent pas s’approcher plus du lieu d’intervention. Des conteneurs leur barrent la route. C’est à ce moment-là que leur camion se fait attaquer. Quelqu’un leur jette une grosse pierre sur le véhicule. Personne n’est blessé. Pour confirmer l’identité de l’auteur des faits, les enquêteurs font appel – et c’est exceptionnel – à la brigade cynophile de Poitiers.

    Le chien renifle la pierre lancée sur le camion de pompiers et en quelques minutes remonte la trace du suspect sur un kilomètre, jusqu’à son domicile. Derrière la porte se trouve un jeune homme de 19 ans, un garçon en rupture, dans une situation familiale compliquée, déjà condamné quand il était mineur par le tribunal pour enfants

    France Bleu

  • 10 vaches vont aux prés?

    Des vaches ont des clarines ? Plaintes contre les agriculteurs…

    Chroniques judiciaires d’une France qui devient folle

    De dangereuses délinquantes empêchent l’honnête citoyen de se mouvoir à sa guise en Vallée verte (Haute-Savoie).

    “L’agriculteur de Vailly (Haute-Savoie) est l’objet d’une plainte pour "obstruction de la voie publique" car ses dix vaches empruntent la voie communale pour aller aux prés, nous informe France Bleu.

    Extrait de sa page Facebook :

    Cette histoire risible fait suite à une autre plainte concernant le bruit des cloches de vaches du Chablais cette fois-ci, toujours en Haute-Savoie:

    "Excédés par le bruit de tintement, douze propriétaires de résidences secondaires, presque tous britanniques, avaient lancé début septembre une pétition contre les clarines des bovins de la commune"  rapporte encore France Bleu Pays de Savoie.

    Et si les Français se plaignaient contre le tapage nocturne pendant le ramadan, le rap à tout-va, les rodéos sauvages, les moto-cross et les quads des cités? Chiche?

    L’étendue de la connerie humaine est vraiment infinie on peut l’affirmer sans crainte de se tromper, cette histoire n’est malheureusement pas un cas isolé.

    Trop souvent des citadins vont habiter a la campagne (du moins ce qu’il en reste) et veulent la façonner tout comme l’était la ville d’où ils viennent, béton goudron centre commercial et parking, lotissements bien ordonnés.

    Le boucan des sirènes de pompiers, voitures de police embouteillages et défilés de ponctionnaires ne les dérange pas, ils sont conditionnés pour ça; par contre le coq du paysan qui chante, les cloches des vaches, la transhumance des moutons, les chasseurs ou même les cloches de l’église ça ils ne supportent pas!

    Certains se plaignent du  "vacarme " provoqué par le chant des cigales!

    J’ai connu un personnage qui a eu la chance et surtout les moyens de se payer une belle maison entourée d’arbres sur un beau terrain plat. Un arbre ça perd ses feuilles et il faut les ramasser c’est comme ça depuis la nuit des temps… c’est la nature… et puis les enfants entrent dans la maison avec de la terre sous les godasses… et oui les arbres poussent dans la terre!

    Ce gros problème pour ces gens nés et élevés en ville fut vite résolu; les arbres furent abattus (la plus grande partie) et le terrain goudronné: plus de terre dans la maison et plus de feuilles a ramasser.

    Ils avaient reproduit l’environnement d’où ils venaient! Alors pourquoi venir habiter a la campagne?

     

     GO HOME LES ROSBIFS!

  • JE BALANCE MES PORCS!

    Cela a commencé dès l'âge de 14 ans (en 1964), quand j'étais ouvrière en confection: beaucoup de filles se trouvaient aux meilleures places de l'usine parce qu'elles couchaient avec les petits chefs.

    J'ai perdu un chouette travail très bien payé: j'avais 20 ans… j'ai réussi haut la main (et il parait que j'étais la seule depuis 25 ans) à finir un problème concocté par l'expert comptable pour un groupe de 5 hommes d'affaires qui cherchaient une secrétaire de direction, mais, ils ne m'ont pas embauchée parce que j'étais trop jeune et trop belle et qu'ils seraient tentés… le pognon avant la galipette!

    Le suivant, c'est un patron d'imprimerie, aujourd'hui décédé qui m'a proposé de me payer un bel appartement et tout le confort si je le recevais deux fois par semaine; j'avais 21 ans.

    Ma fille un an. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Le second patron m'a proposé du travail  de secrétaire de direction si je lui permettais de me rendre visite deux fois par semaine; j'avais 23 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Un autre, un collègue m'a fait perdre un emploi de photograveur dans un quotidien sports (à l'époque, hebdo sur le rugby) parce que je lui ai refusé de lui faire une “pi…“ dans le labo photogravure et comme j'ai refusé, il a raconté au chef d'atelier que je lui avais bien fait ce que j'avais refusé et que j'étais une salop' qui “foutrait“ le bordel dans l'imprimerie. J'avais 24 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

    A cette époque aussi, j'ai était contactée par un chef de photogravure du grand quotidien régional qui me proposait un emploi mais, il “fallait passer à la casserole“. J'ai installé cette histoire sur le blog de mon site:

    http://www.josyanejoyce.com/voyances2/index.html

    Pdf: le droit de cuissage. Et pourtant: toujours maman célibataire sans allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    A 25 ans, je rentrais fourbue d'une grande journée de travail (vive les heures sup') et un homme m'a mis les mains aux fesses: comme l'abruti roulait en mobylette, il m'a soulevée et je suis pratiquement tombée; j'ai dû me rattraper tant bien que mal pendant qu'il s'enfuyait sans se retourner et que je l'insultais de tout ce que je pouvais hurler….

    Etc… etc…

     

    Comme j'ai la chance de ne pas avoir de rides, quand ma fille a eu l'âge d'aller en boîte et que c’est moi qui conduisait, je ne vous dis pas ce que j'ai entendu des jeunes de son âge alors que j'avais 20 ans de plus qu'eux!

     

    Des porcs, y'en a partout, depuis toujours, à toutes les strates de la société!

     

  • L’écriture inclusive, la nouvelle fabrique des crétin·e·s

    En matière de sexisme, tout a-t-il déjà été dénoncé? Arriverions-nous trop tard? Non ! Il reste la langue. On la savait sexiste, surtout le français qui ne connaît pas le neutre et pour lequel le masculin l’emporte sur le féminin. Mais on n’avait encore rien entrepris là-contre.

    Alors voici l’écriture inclusive. On avait bien essayé les formulations épicènes (usage de mot désignant aussi bien le masculin que le féminin), et d’autres moyens, comme de préciser " le ou la ", etc. Mais l’objectif n’était alors que d’ajouter une précision sans trop alourdir les phrases. Car il peut se trouver nécessaire de marquer dans le langage le genre auquel on fait allusion, par exemple pour éviter les malentendus. C’est souvent le cas des contrats et plus généralement des textes juridiques où la clarté doit l’emporter sur toute autre considération.

    L’exclusion à portée de clavier

    Si, dans le langage parlé, il est aisé de préciser les genres sans alourdir l’expression, dans l’expression écrite, il en va tout autrement. D’où l’invention d’une écriture spéciale dite inclusive qui ajoute à l’écriture des mots des terminaisons nouvelles, séparées par un point médian (à mi-hauteur, alt-0183 ‘‘·’’).

    Il est inutile de répéter ici ce qu’ont très bien dit Raphaël Enthoven, Alain Finkielkraut, Alain Bentolila et bien d’autres et les féministes, dont nous sommes, n’ont rien à gagner à ce petit jeu, risible, de démolition de la langue écrite. Et l’échec est assuré, même si les pétroleuses (qui ne sont pas des pétroleurs au féminin) du féminisme réussissent à institutionnaliser l’écriture inclusive, conformément aux directives du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes. L’échec est assuré, car la langue, y compris la langue écrite, qui n’est nullement un simple redoublement de la langue orale, est une réalité vivante qui n’évolue que selon ses propres lois et non par décret. Lui ajouter, de l’extérieur, des sophistications alambiquées est impossible.

    Déjà une réalité…

    Mais voici que cette écriture entre à l’école, par la voie d’un grand éditeur, Hatier, dont un manuel destiné au CE2 a décidé d’adopter les conventions du Manuel d’écriture inclusivedu Haut Conseil cité plus haut. On peut se demander quelles sont les motivations de cet éditeur… Ce manuel aura du mal à se vendre, car il s’agit d’un ouvrage militant et non d’un simple ouvrage scolaire.

    À supposer, cependant, que cette écriture devienne obligatoire, les erreurs seraient-elles des "fautes" d’orthographe ou des délits passibles de la correctionnelle pour incitation à la haine sexiste? À quand des élèves de CE2 au tribunal des mineurs pour délit orthographiques?

    Manipulation des masses

    Alors, puisqu’il s’agit d’école où des enfants se verraient imposer des options partisanes, plusieurs remarques sont à formuler.

    1. Les enfants des écoles sont de plus en plus, sous couvert d’égalité, une masse de manœuvres pour des intérêts partisans particuliers et spécifiques. On a déjà vu les ABCD de l’égalité derrière laquelle pouvait se lire cette fameuse théorie du genre qui n’existe pas. On a vu la promotion de la famille homoparentale et il n’y a pas jusqu’aux rythmes scolaires qui, sous couvert de respecter les rythmes naturels font entrer des associations un peu particulières dans les écoles. L’écriture inclusive est une tentative de même nature.
    2. Pédagogiquement, pourtant l’écriture inclusive rend la lecture particulièrement difficile à un âge où beaucoup d’enfants lisent encore très mal et l’idée que c’est seulement une petite habitude à prendre ne vaut que pour les lecteurs confirmés et nullement pour les enfants qui apprennent à lire.

    — Elle rend la lecture particulièrement difficile notamment pour ceux qui, à cet âge, et ils sont nombreux, continuent d’oraliser intérieurement dans leur lecture silencieuse.

    — Elle rend la lecture à haute voix totalement chaotique. Exemple: l’élève doit deviner que "agriculteur·rice·s" se lit agriculteurs agricultrices et non agriculteurrice.

     — Elle embrouille l’orthographe. Exemple, pris dans ce manuel, "Les artisan·e·s". Il devra d’abord apprendre la fonction particulière du point médian qui fait que le s s’ajoute au masculin comme au féminin. Il n’en reste pas moins que l’élève voit écrit "les artisan" sans le s. C’est de la cacographie. Et ici, le coup des "moutonsssss" ne pourra pas fonctionner même avec le talent de Louis Jouvet.

    1. Ce manuel, qui initie aux sciences et notamment à l’histoire (histoire de nulle part) avoue benoîtement avoir faussé les choses pour qu’il y ait parité. Autant d’hommes que de femmes. Il faut réécrire l’histoire.
    2. Toutes les subtilités orthographiques (accord avec le substantif le plus proche) sont totalement hors de portée des élèves et l’effet de contribution " à une éducation à l’égalité entre tous " risque fort de n’être pas très visible.
    3. En revanche le conflit avec la majorité des parents – ils ne sont pas tous boboïsés – risque bien d’être frontal et l’exode vers l’enseignement privé relancé.

    Histoire d’en rire…

    Faire payer à la langue d’avoir une histoire n’est pas sans conséquence. La féminisation des mots ne rend pas toujours service aux femmes. Lorsqu’on dit écrivaine, on signale plus la femme que l’écrivain. Sans compter que les amoureux de la langue ne peuvent manquer de trouver le mot écrivaine assez laid et de connotation discutable, appelant, par assonance, une vaine écrivaine. Sans compter les hautes fonctions qui résistent à la féminisation et optent pour le neutre écrit au masculin. On dit Mme la Directrice de l’école maternelle, mais Mme le Directeur des enseignements supérieurs (si c’est le cas). Mme la Maire et non Mme la mairesse…

    Et puisqu’il s’agit d’école, il faut faire attention aux glissements de sens dans les reformulations épicènes. Les droits humains, par exemple, ne sont pas la même chose que les Droits de l’homme dont la formulation épicène serait plutôt droits naturels. " Droits humains ", est un anglicisme dont on peut se demander s’il ne serait pas une manière de faire oublier les droits de l’homme.

    Revenons à l’école. Au lieu d’introduire des écritures disruptives, on serait plus efficace d’expliquer que notre langue a une histoire, que le masculin ne l’emporte sur le féminin que dans la grammaire et que ce ne doit pas être le cas dans les domaines sociaux, que le genre neutre n’existe pas en français, qu’une pierre est de genre féminin, mais un caillou masculin. En outre, homo, ce n’est pas vir. Et, pour les plus grands, qu’une péripatéticienne, si elle peut être l’amie d’un péripatéticien, n’en est pas pour autant philosophe.

    Car au final, il vaut mieux en sourire et faire le gros dos en attendant que ça passe.

    Jacques Billard

    https://www.causeur.fr/ecriture-inclusive-orthographe-ecole-hatier-147170

    Le problème vient à mon sens de cette "chosification" des mots qui prend le mot détaché de son contexte et à la lettre, car, quand on est vraiment Français de souche avec la langue française comme langue maternelle, on reconnait le sens du mot en regard du contexte et cela ne pose pas problème.

    Cette " chosification " se retrouve dans les nombreux procès et crises de colère de certains illuminés qui sont incapables de saisir le sens profond d’une phrase prise dans son ensemble. A moins que ces sires aient pris un malin plaisir pour ne pas dire un plaisir malin (ce serait les reconnaître comme intelligents) à extraire, en l’isolant de son contexte, le mot incriminé.

    Ces imbécillités ne seront pas suivies d’effet…. Pour ma part, je n’ai et ne changerai jamais mon vocabulaire ni ma grammaire.

     

     

  • La première Miss Monde en fauteuil roulant a été élue

    Ce samedi 7 octobre, Varsovie accueillait le premier concours de Miss Monde en fauteuil roulant de l’histoire.

    24 jeunes femmes issues de 19 pays différents étaient donc présentes dans la capitale polonaise pour être potentiellement la toute première Miss Monde en fauteuil roulant. Mais au-delà de la consécration, c’est bien évidemment la tenue de ce concours en lui-même qui représente un bel accomplissement pour ces femmes-là comme le confie la candidate chilienne Maria Diaz, 28 ans, joueuse professionnelle de tennis en fauteuil roulant:

     " Nous sommes toutes gagnantes: nous nous sommes fait de nouveaux amis, nous avons vécu ensemble de nouvelles expériences, connues toute cette ambiance ensemble. C’est la première occasion du genre pour montrer au monde que nous sommes capables de faire vraiment ce que nous voulons“.

    Handicapée à la suite d’un accident il y a 10 ans, elle a été récompensée des titres Miss Activité et Miss Lifestyle Designers lors de ce concours. La gagnante suprême s’appelle Alexandra Chichikova, 23 ans, une Bélarusse étudiante en psychologie et pédagogie sociale. Elle fut couronnée devant ses deux dauphines, la Sud-Africaine Lebohang Monyatsi et la Polonaise Adrianna Zawadzinska. De son côté, la joueuse de football et mannequin française Nadjet Meskine a été élue Miss sourire.

    Les 24 candidates ont défilé devant un millier de spectateurs en trois tenues différentes: costume national, tenue de cocktail et tenue de soirée. La fondation polonaise, Jedyna Taka, à l’origine de ce concours, souhaitait avant tout " changer l’image des femmes en fauteuil roulant, pour qu’elles ne soient pas définies à travers cet attribut, mais aussi d’insister sur le fait que, dans certaines parties du monde, le fauteuil roulant reste un luxe.

    Ainsi, lors de ce concours, la beauté n’était pas forcément le critère premier comme l’explique Katarzyna Wojtaszek-Ginalska, co-fondatrice du projet et co-présidente du jury: "Ce n’est pas le physique qui compte le plus. Certes, avoir un beau visage est important mais on se penche énormément sur la personnalité des filles, leur activité quotidienne, leur engagement, leur vie sociale, leurs projets".

     

  • Le chauffeur a refusé de conduire les camions qui contenaient charcuterie ou alcool…

    Un sexiste!

    Sans doute que pour Obono, refuser de conduire un camion qui contient du porc ou de l’alcool, c’est sexiste.

    Mon témoignage pour cette hypocrite de Danielle Obono: je plante le décor: une plate forme logistique alimentaire travaillant pour une enseigne parisienne bien connue, un chauffeur intérimaire arrive en début d’après midi pour remplacement. Il aura deux livraisons à faire avec deux véhicules différents, un premier tour pour livrer du frais, le deuxième pour livrer du sec (conserves, alimentation ne nécessitant pas d’être maintenue sous température dirigée).

     Nous le voyons arriver, il a le look "islamiste" avec la grande barbe…l’exploitant gérant l’activité et les chauffeur loués au service de cette plate forme, lui même maghrébin le désigne immédiatement comme étant "islamiste".

    On le salue, il va avec l’exploitant se faire expliquer ce qu’il aura à faire dans l’après midi.

    Je le vois une vingtaine de minutes plus tard repartir vers le parking voiture. Je rencontre un autre collègue chauffeur dans la journée et m’étonne qu’il ait été affecté à une livraison qu’il ne devait pas faire. Il me dit lorsque je le questionne: il y a un intérimaire qui à fait défaut, et un autre n’a pas voulu faire le travail et est rentré chez lui. Je comprends que c’est le barbu que j’avais vu retourner au parking voiture.

    Je vais voir l’exploitant pour lui demander pourquoi l’intérimaire n’a pas voulu faire les livraisons. L’exploitant me répond: le gars a demandé si dans le chargement de produits frais il y avait de la charcuterie? la réponse a été oui! Puis il a voulu savoir si dans le deuxième tour de "sec", il y avait des bouteilles d’alcool? La réponse a été de nouveau affirmative.

     Le gars n’a pas voulu toucher au camion pour effectuer les livraisons pour cause de charcuterie et alcool dans le chargement. Pourtant la marchandise était sur palettes, et la manipulation n’impliquait pas la consommation ni même d’être en contact directe avec les produits. Le camion n’avait pas été conduit par une femme, elles sont relativement peu nombreuses dans le transport en zone courte.

    Sans doute que pour Danielle Obono, ne pas vouloir conduire un camion parce qu’il y a de la charcuterie et de l’alcool dans le chargement, c’est sexiste!

    Être hypocrite à ce point  relève de l’imbécillité caractérisée!