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Liberté - Page 54

  • BON A SAVOIR: retraités, réveillez-vous!!!

    17 millions de retraités sont politiquement transparents, syndicalement hors jeu, médiatiquement inoffensifs, largement négligés par une campagne présidentielle.

    Par Thierry Benne.

    Un article de l’Iref-Europe

    Savez-vous que le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) œuvre depuis plus de quinze ans sans jamais avoir admis parmi ses 40 membres un seul représentant " ès qualités " des 17 millions de retraités ?

    Savez-vous que parmi les 233 membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE), il n’y a pas un seul représentant des retraités ? Savez-vous que le Comité de Suivi des Retraites (CSR) ne compte parmi ses membres absolument aucun retraité ?

    Le mur de l’indifférence nationale

    Début 2016, quelques milliers d’intermittents du spectacle s’opposent par des grèves bien ciblées à toute réforme de leur régime dérogatoire, qui ne sera remis en cause qu’à la marge bien qu’il accroisse chaque année d’un milliard d’euros le déficit de l’assurance-chômage.

    Ces derniers temps, ils ne sont pas 300 milliers en Guyane à se faire entendre, mais ils contraignent Paris à envoyer d’urgence une délégation interministérielle, laquelle fait acte de repentance avant d’ajouter de nouvelles et coûteuses promesses à celles déjà nombreuses non tenues par le passé.

    De même voici quelques jours, il a suffi d’une poignée d’assureurs influents, relayés par quelques associations de titulaires de contrats d’assurance-vie, pour faire plier en une seule journée ceux des candidats qui voulaient augmenter encore la fiscalité sur l’assurance-vie sur les contrats déjà souscrits.

    Or, le sait-on, ils sont 17 millions à n’avoir depuis des lustres rien obtenu, alors que leur sort est largement aussi digne d’intérêt que celui de professions qui font porter les plus ordinaires de leurs revendications par la grève, le chantage ou les groupes de pression.

    17 millions de retraités (pensionnés directs + par réversion) politiquement transparents, syndicalement hors jeu, médiatiquement inoffensifs, largement négligés par une campagne présidentielle dont on ne sait encore si elle a atteint son étiage, tellement la médiocrité et les coups bas s’y étalent avec une morne complaisance.

    17 millions de retraités tous victimes du parfait désintérêt de la quasi-totalité des candidats, qui certes parlent à l’occasion des retraites, mais quasiment jamais des retraités et qui, jusqu’à présent, sont bien trop occupés à s’étriper dans de vaines querelles pour se soucier de ce que peuvent bien vouloir ceux qui représentent quand même un bon tiers du corps électoral.

    La garantie du maintien d’un juste pouvoir d’achat

    Pourtant, lorsqu’on prend la peine de les écouter, les retraités ne demandent pas la lune. Ils veulent simplement que, comme on le leur avait solennellement promis à plusieurs reprises, leur pouvoir d’achat soit préservé et qu’ils ne constatent plus au fil des ans l’érosion continue et angoissante de leurs retraites :

    en face d’indices officiels jamais audités et qui, à force d’avoir été manipulés et de ne couvrir qu’une partie sans cesse plus restreinte de leurs dépenses, ne signifient plus grand chose ;

    en face aussi de prélèvements fiscaux qui ont depuis longtemps dépassé le seuil du raisonnable, sans que les pensions, ni les indices n’en tiennent le moindre compte ;

    en face enfin de restes à charge en matière de santé qui ne cessent de croître (directement ou indirectement au travers des cotisations des mutuelles qui s’aggravent avec l’âge), comme au fur et à mesure des déremboursements dont la liste ne cesse de s’allonger.

     

    Or voici quelques jours, le sondage Ipsos Sopra Steria vient de confirmer qu’on est hélas encore bien loin du compte puisque 88% des retraités français s’y plaignent sur ces dix dernières années de la baisse continue de leur pouvoir d’achat.

    Les retraités veulent aussi que leur conjoint survivant ne soit plus en butte à des tracasseries sans fin lorsque sont opposées à ses demandes de réversion des conditions disparates, ubuesques et parfaitement injustes, alors que, le plus souvent, au regard des montants en cause le conjoint survivant n’aura presque que sa dignité à opposer à la misère.

    Ils trouvent scandaleux, alors qu’elles ne sont plus en état de travailler, que des veuves en soient réduites à une survie difficile, des sommes proprement ridicules de quelques centaines d’euros par mois leur étant versées dans le cadre de la réversion, malgré les cotisations payées, alors que de leur côté certains actifs dans la force de l’âge parviennent à cumuler, grâce à un assistanat particulièrement généreux, des allocations qui, mises bout à bout, passent facilement le millier d’euros par mois.

    Ils demandent notamment, qu’en dehors et par-delà les conditions du minimum vieillesse de l’allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA), on ne trouve plus dans nos campagnes de veuves d’agriculteurs qui, passées sous les radars de la protection sociale, s’éteignent doucement avec 300 euros par mois et même parfois moins.

    Il serait temps en effet que le bon sens corrige enfin notre étrange presbytie sociale nous incitant à nous précipiter au secours de toutes les misères accourues de la terre entière (un étranger retraité sans jamais avoir travaillé, ni cotisé en France peut – au titre de l’ASPA précitée et sous certaines conditions- percevoir individuellement environ 800€ par mois, et jusqu’à € 1 230 en couple), en oubliant toutes celles qui sont chez nous et dont nous nous détournons misérablement.

    Tout cela parce que nos retraités ne sont pas des agitateurs sociaux et qu’aucune de leurs associations, aucun mouvement ne dispose présentement ni des ressources nécessaires pour informer tous les ayants droit, ni du poids suffisant pour faire bouger les choses.

    Les sommes en cause sont probablement fort modestes, car les victimes de notre ingratitude ont appris depuis fort longtemps à se satisfaire de peu, mais leur pudeur, comme leur grande discrétion, ne peuvent en rien être un encouragement à continuer honteusement à ne rien faire.

    L’accès à une représentation officielle dans les institutions et les caisses de retraite

    En outre, à côté de ces réformes d’urgence, de solidarité et de dignité, il y a un double impératif de justice et de démocratie sociale que notre pays piétine depuis des décennies avec un bonne conscience consternante.

    Il s’agit tout simplement de la représentation officielle des retraités dans toutes les institutions ou les caisses de retraite les concernant. Ce n’est en effet certainement pas à la gloire de nos hommes et de nos penseurs politiques, de nos instituts d’études politiques, du Conseil d’Orientation des Retraites et des autres cercles d’influence qu’aucun d’eux ne se soit jamais soucié, sauf en matière d’impôts et de cotisations supplémentaires, d’accorder aux seniors la place qui leur revient dans la vie de la Nation.

    Notre monde politique tout entier peut être en effet particulièrement fier d’avoir, sans rien dire, sans rien faire, réussi à exclure fort discrètement 17 millions de retraités des débats et des choix qui les concernent. Ainsi, et sans prétendre du tout à la moindre exhaustivité :

    combien de gens savent que parmi les 233 membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE), pas un seul représentant des retraités ne siége ès qualités, alors qu’on a trouvé le moyen de réserver deux sièges à la protection des oiseaux ?

    combien de gens savent que le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) œuvre depuis plus de quinze ans sans jamais avoir ressenti la nécessité d’admettre parmi ses 40 membres un seul représentant " ès qualités " des 17 millions de retraités dont il " oriente " et indirectement commande pourtant le sort, sans jamais véritablement les consulter ?

    combien de gens savent que le Comité de Suivi des Retraites, (CSR) certes plus récemment mis en place, ne compte lui aussi parmi ses membres absolument aucun retraité, comme si les actifs étaient les mieux placés pour juger des retraites qu’ils ne touchent pas ?

    combien de gens se doutent qu’il n’y a pas le moindre ministère, pas le moindre secrétariat d’État pour s’occuper distinctement des retraités, alors qu’ils représentent un bon quart de la population du pays et que leurs pensions mobilisent près de 15% du PIB national ?

    Mais rassurons-nous pour les Caisses de retraite, ce n’est pas pire mais pratiquement pareil. Extrêmement rares sont les Caisses de retraite – qu’elles œuvrent au plan géographique ou au plan professionnel – qui admettent à leur Conseil d’administration un ou deux, exceptionnellement trois, administrateurs retraités ; et on doit célébrer comme un événement sans précédent l’accession toute récente dans une caisse libérale d’une administratrice représentant les intérêts des conjoints bénéficiaires d’une pension de réversion.

    Pourtant, de par son titre, l’Assurance-Vieillesse se répartit normalement entre une assurance donnant lieu à cotisation de la part des actifs et une pension de vieillesse allouée aux retraités. Les cotisations des uns et les pensions des autres sont indissolublement liées ; il n’y a absolument aucune légitimité à quasiment exclure les retraités des caisses de retraite, alors que le bon sens et la justice commanderaient une parité de bon aloi entre les cotisants et les allocataires.

    Certes sans doute n’en sommes-nous pas encore là, mais l’attribution aux retraités d’une représentation d’un tiers – et non pas seulement de quelques sièges de figuration chichement accordés – dans tous les conseils d’administration où leur sort se décide et se joue n’aurait rien d’une injustice.

    De plus, cette mesure d’application simple et immédiate ne coûterait pratiquement rien et enverrait à tous les retraités, en dehors même de leurs options politiques, un signe fort et positif que l’État commence à reconnaître leur véritable existence et ne les considère plus, presque à regret et en oubliant leurs cotisations passées, comme les prédateurs exagérément voraces de quelque 15% du PIB national.

    Mais comme jusqu’à présent, il ne s’est trouvé aucun candidat assez avisé pour ne plus considérer les retraités comme des pestiférés de la représentation sociale, aucun candidat assez habile pour saisir l’avantage électoral et moral qu’il aurait à faire progresser leurs droits, tous leurs droits, aucun candidat assez courageux pour prendre à bras le corps l’intégralité de ce problème et convaincre l’électorat à la fois de sa capacité et de sa volonté de le résoudre, c’est à tous les retraités qu’il appartient désormais de faire valoir leurs justes prétentions par tout moyen.

    Or, même s’il n’est pas négligeable, le droit de vote n’est qu’un de ces moyens, affaibli qu’il est par son intermittence, alors que la nécessité de la constitution d’un collectif extra-partisan permanent regroupant et dépassant les représentations en place apparaît inéluctable. Il faut en effet :

    que l’État consacre officiellement la garantie du pouvoir d’achat des retraités, dans des conditions telles que ces derniers recouvrent un minimum de sérénité sur leur avenir financier, alors que l’âge et la maladie accroissent inévitablement leur dépendance

    que la République inscrive enfin dans les textes la légitimité et la dignité des retraités en leur donnant le droit de s’exprimer officiellement et d’influer sur les choix fondamentaux qui les concernent

    qu’elle reconnaisse la spécificité des seniors en créant un ministère ou à tout le moins un Secrétariat d’État spécifiquement dédié aux retraites et aux retraités et qui ne soit plus noyé dans l’immense " machin " du ministère des Affaires sociales et de la Sécurité sociale, qui depuis des décennies les ignore largement

    et qu’elle établisse dans son effort de solidarité la priorité de ceux qui tirent leurs pensions d’un effort contributif antérieur – fût- il insuffisant – sur ceux qui, sans avoir jamais rien versé, ont actuellement tous les droits, ou presque.

    Conclusion : une nécessaire prise de conscience

    La nation ne peut, sur ces questions, continuer à marcher la tête à l’envers, au seul prétexte qu’elle a toujours fait comme cela. On a vu en effet où nous a mené cette mesquine politique de gribouille, qui cumule le mépris et la discrimination en retranchant indûment les seniors de notre démocratie sociale.

    Pourquoi donc ces élites qui ne cessent de brandir à tout bout de champ l’anathème arrogant de l’exclusion ne se sont–elles pas aperçues qu’elles-mêmes se trouvaient en plein déni vis-à-vis des droits les plus élémentaires de ceux à qui elles doivent leur existence, tout autant que leur éducation et même bien souvent une partie de leur propre réussite ?

    Au-delà d’une pitoyable arrogance, elles ajoutent ainsi bien tristement l’ingratitude à la cécité et à l’injustice. Le droit à une pension et à une réversion décente, une juste représentation dans les institutions et caisses de retraite, une entité ministérielle justement dédiée au quart de la population du pays, le maintien loyal et sans chausse-trappes du pouvoir d’achat, voilà en quelques mots les revendications des retraités.

    On peut certes continuer à les ignorer et même – comme France Stratégie – vouloir rogner leurs droits au profit d’une jeunesse qui attend sans doute autre chose pour s’affirmer, mais un jour ou l’autre quand l’élastique aura fini de se tendre, il ne faudra pas se plaindre des effets dévastateurs de sa rupture.

     

  • Vive la France! Vive la police et les soldats français!

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  • A tous ceux qui disent que l'immigration est une chance pour la France et qu'on doit bien les traiter...

    Voici la photo de la gamine de 11 ans (sourde, la pauvre enfant) première victime de l'enfoiré de Stockholm!

    Crève, maudit chien! et que ta race soit maudite dans les siècles des siècles jusqu'à la fin des temps!

     

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  • Celui qui se prend pour Jeanne d'Arc!

    Au fou! lâchez les chiens! appelez l'exorciste!

    "J’ai l’impression de vivre avec Jeanne d’Arc" c’est ce que déclare Brigitte Trogneux sa femme dans les dîners en ville. Que se passe-t-il donc dans la tête d’Emmanuel Macron ? Alors qu’il multiplie les déclarations énigmatiques, l’ancien ministre de l’Economie serait "habité" comme Jeanne d’Arc.

    Les confidences d’un ami à des journalistes triés sur le volet : "Emmanuel est apeuré et habité"

    Sa femme Brigitte aussi est lucide sur le sujet : "Il y a des jours où j’ai l’impression de vivre avec Jeanne d’Arc", déclare-t-elle ainsi en privé alors que son cher et tendre parle du "temps de l’incarnation".

    De Jeanne d’Arc au Messie. Décidément, Macron ose tout!

    Si, pour certains, Emmanuel Macron partage certaines similitudes avec Jeanne d’Arc, pour d’autres, il se prend carrément pour le Messie! "Il est habité par une sorte de délire messianique", et ce n’est pas sa récente interview et sa déclaration choc : " La politique c’est mystique " qui va rassurer sur son état.

    "Ces sorties visent naturellement à faire passer Emmanuel Macron pour une personne différente, hors norme. Il est évident que des électeurs pourraient entendre favorablement cette description mystique" selon le psychologue Vincent Triboulet.

    Souvenez-vous en 2012, Hollande avait bien eu nombre d’électeurs lorsqu’il s’était fait passé pour "une personne normale, qui deviendrait un Président normal". Et les français ont vu ce que cela a donné. Il fallait donc que Macron soit tout sauf un homme normal. On comprend mieux, dès lors, pourquoi certains journalistes vont jusqu’à nous vendre ce concept du "Macron Mystique". On n’a pas fini de rigoler.

    En savoir plus sur http://www.lagauchemorale.com/actualites/article/hallucinations-auditives-emmanuel-macron-entend-des-voix#TVjUGdGS4CAZ4QLz.99

     Regardez les yeux de ce type: froids, glacials, indifférents, sans empathie, sans sourire, un robot qui scande un discours préparés par d'autres aussi débiles que lui!

     

  • Je ne sais plus si on doit rire ou pleurer -1

    Envoyé par une amie, son explication

    > c'est bizarre, cela sonne creux... comme s'il répétait un " cours", mais qu'il n'avait pas vraiment " compris"

    > ceci dit, je ne comprends pas pourquoi il parle d'une forme d'irrédentisme dans la république ?

    > s'est il mélangé les pinceaux entre le territoire ( la france,  plus ou moins l'alsace et la lorraine ) et le mode de fonctionnement de l'état ( la république )?

    > L'irrédentisme (italien irredentismo, de irredento, non libéré, non délivré ; Italia irredenta, Italie non libérée) trouve son origine dans une doctrine politique, énoncée en 1870 en Italie, revendiquant l'unification politique de l'ensemble des territoires de langue italienne ou ayant fait partie des anciens États italiens.

    > Par extension, le terme est utilisé pour qualifier une doctrine nationaliste qui défend l'adjonction à un État de certains territoires devant à ses yeux « légitimement » y être rattachés, par exemple parce qu'ils en ont autrefois fait partie ou parce que leur population est considérée par ces nationalistes comme historiquement, ethniquement ou linguistiquement apparentée.

    > dans une autre vidéo, nous aurons appris que nous avons des amis arbres, poissons, des frères et des sœurs (voir plus bas)

    > de temps à autre, il donne des idées très basiques : il y a des jours pluvieux, il y aura des jours ensoleillés, le printemps etc.. (métaphores faciles)

    > puis paf, un mot que les sans dents ne connaissent pas: irrédentisme, ipséité etc....

     

     

     

     

  • Le Flamby perd la tête! pas besoin de guillotine, il se démerde bien tout seul!

    Hollande: "Je suis dans un travail de démolition"

    Bientôt libéré de sa fonction, François Hollande a retrouvé son humour... jusqu'à se lancer

    Le 11 mars, Francois Hollande grave ses initiales sur une pierre à Saint-Denis (93). Autour de lui, le maire de la ville, Laurent Russier (à gauche), Valérié Pécresse (2e à gauche), Patrick Braouezec (à droite) et Audrey Azoulay (2e à droite)  

    La scène se passe à la basilique Saint-Denis. Samedi dernier, le président Hollande est d'humeur joyeuse. Les caméras de Quotidien de Yann Barthès captent une scène au moment où le président est appelé à graver ses initiales sur une pierre, dans le cadre des travaux de remontage de la flèche. On lui tend les outils. Valérie Pécresse, la présidente de la région Île-de-France, est présente, ainsi qu'Audrey Azoulay, la ministre de la Culture.

    François Hollande tourne le dos aux photographes. Valérie Pécresse se risque à un conseil: " Monsieur le Président, retournez-vous dans l'autre sens". La réponse du chef de l'État a scotché Valérie Pécresse, qui n'en revient toujours pas. La voici: " Madame la Présidente, je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination... Donc, euh... Laissez-moi faire! " Valérie Pécresse persifle: " Je vous fais confiance".

    Aveu

    Dans la série des blagues de François Hollande, celle-ci sonne comme la plus étrange. Elle arrive en fin de mandat quand, effectivement, François Hollande a à peu près tout détruit de sa propre personne. Il aurait dû être candidat, il y a renoncé. Il était le champion naturel de la famille socialiste, il n'a même pas pu se présenter à la primaire de la gauche. Il devait mettre fin au chômage de masse, c'est à peine s'il a pu freiner sa croissance. Et le candidat de la gauche, Benoît Hamon, traverse le champ de ruines laissé par son prédécesseur en quatrième position des sondages de la présidentielle.

    François Hollande: " Je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination..". Blague, oui, et aveu en même temps. Autodérision lucide qui n'est pas sans rappeler le livre Un président ne devrait pas dire ça... qui fut l'œuvre ultime de son autodestruction et a pesé lourd dans son empêchement. Décidément, cet homme est un mystère qui, même au fond de son humour, sème les indices de sa complexité. Je ris, donc je me détruis. Avec obstination

    PS: je croyais que ceux qui gravaient leurs initiales étaient les ouvriers et maîtres compagnons!

    et pas les simples manœuvres avec leur caisse à outils!

     

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  • Cauchemard

    Le vent d'autan est à Paris

    Chez moi, à Toulouse, le vent qui souffle plus ou moins fort s'appelle le vent d'Autan.

    Mais, nous, les vrais toulousains (faut y être né!) on l'appelle “le vent des fous“.

    A Paris, une voiture officielle vide fait un beau virage et s'arrête devant le perron, proche du beau tapis rouge, ressortie pour la grande occasion.

    Flamby, tout frétillant et tout ahuri est là, comme il convient de par le protocole… mais, bon, ce n'est pas pour lui une bien grande peine, il va pouvoir féliciter son cher poulain qui a su si bien enfumer ces cons de sansdents!

    La portière s'ouvre et l'on ne voit rien d'autre que des pas qui se forment sur le tapis rouge…. en plissant les paupières, les petits malins parviennent à distinguer l'ectoplasme vainqueur de la votation récente dont les remugles médiacratiques nauséabonds titillent encore les narines de tous les patriotes français… et d'autres français encore.

    Flamby se rengorge, devient rouge sang et, n'y tenant plus, il descend une ou deux marches pour accueillir le représentant de cette finance qui le débecte tant mais qui lui rempli, chaque instant, sa gamelle à grandes louchées de trébuchantes et sonnantes. Il ne vous dira jamais qu'il en a plein la baignoire et qu'il s'y roule avec délectation plusieurs fois par jour…. protégé par des caméras et gardes du corps… faut se méfier, les sansdents, c'est tellement con que çà vous étête un roi comme qui rigole.

    Flamby sent l'odeur du vent d'autant qui se rapproche et vient lui serrer la main. Macron est tout content et embrasse Flamby sur la bouche, à la russe. Ils se marrent bien d'avoir bais…. ces cons de la France d'en bas!

    Faites passer, mais c'est moi qui l'ai fait!

  • Comment l'état récupère du pognon sur les entreprises…

    J'ai reçu cela (en tant que travailleur indépendant?); je vous en fais profiter.

    La liste d'opposition au démarchage téléphonique

     

    Madame, Monsieur,
    De trop nombreuses entreprises continuent à solliciter par téléphone des consommateurs sans prendre en compte la liste d'opposition au démarchage téléphonique Bloctel (www.bloctel.gouv.fr). Elles contreviennent à la loi.
    Êtes-vous dans ce cas ?
    Pour votre information, à mi-février 2017, plus de 150 contrôles ont été diligentés. Des poursuites pour non-respect du dispositif BLOCTEL ont été engagées à l'encontre de 50 entreprises. La moitié de ces entreprises s'est vue infliger une amende atteignant, pour les manquements les plus importants, le plafond de 75 000 euros.
    Les agents de la DGCCRF poursuivent et intensifient actuellement leurs enquêtes avec détermination et une fermeté d'autant plus grande que les entreprises engageant des campagnes téléphoniques ne peuvent plus ignorer leurs obligations en la matière.

    Voici par ailleurs, quelques chiffres qui expriment la forte attente des consommateurs d'être préservés de sollicitations téléphoniques non souhaitées. En seulement neuf mois, plus de :

    • 3,2 millions de consommateurs se sont inscrits sur Bloctel.
    • 7 millions de numéros de téléphone ont été mis en opposition (un consommateur peut inscrire plusieurs téléphones).

    Alors, si votre entreprise est concernée inscrivez-vous sur www.bloctel.gouv.fr
    Si vous avez besoin d'information ou de conseil préalable, contactez-nous au 01 76 36 26 36 (ce service est exclusivement réservé aux professionnels et à leurs conseils).
    Le Service Bloctel

     

     


    Dans quel cas devez-vous adhérer au dispositif * ?

     

     


    Si vous êtes un annonceur (l'entreprise qui va contracter avec le consommateur) et que vous appelez par téléphone (directement ou via un intermédiaire), en vue de vendre des biens ou services (sauf exceptions prévues par les textes) :

    1. des prospects,
    2. ou même vos clients si les contrats que vous avez avec eux ne sont plus en cours d'exécution, c'est-à-dire dès l'instant où vous avez exécuté la prestation ou livré le produit au consommateur et qu'il a payé (exemple : dès qu'un consommateur sort de la boulangerie avec la baguette qu'il a payée, son contrat n'est plus considéré comme en cours d'exécution),

    Si vous êtes un loueur de fichier, c'est-à-dire que vous mettez des fichiers, contenant des numéros de téléphones de consommateurs, à disposition d'autres entreprises, même si cela est fait à titre gratuit, au sein d'un même groupe ou d'un réseau de franchise...

     

     


    Quand devez-vous le faire * ?

     

     


    Vous devez expurger vos fichiers de toute personne inscrite sur la liste d'opposition Bloctel avant tout appel téléphonique qu'il émane d'un collaborateur de votre entreprise ou de l'un de ses sous-traitants. Cela concerne tout aussi bien un appel isolé de l'un de vos commerciaux, même s'il est passé à votre insu, qu'une campagne de démarchage réalisée par votre centre d'appel interne ou externe.
    Cette opération doit être renouvelée mensuellement si des appels ou des rappels sont prévus au-delà de 30 jours. Toute modification du fichier (ajout et/ou modification de numéros) nécessite aussi de saisir le service Bloctel avant tout appel.

     

     


    Comment pouvez-vous le faire * ?

     

     


    Inscrivez votre entreprise sur le site www.bloctel.gouv.fr, rubrique entreprise. Vous pourrez alors faire votre choix entre les différentes formules d'abonnement. Attention, étudiez-bien les différentes formules en fonction de vos besoins. Il est possible de passer à une formule supérieure, de renouveler en cours d'année sa ou ses formules, ou encore d'en souscrire plusieurs en même temps. Dès votre inscription, vous aurez accès au Service Client.
    Une fois votre abonnement validé, vous pourrez vous assurer de la conformité des fichiers de prospection commerciale que vous utilisez avec la liste d'opposition au démarchage téléphonique.

     

     

    Quels sont les risques pour votre entreprise * ?

     

     

    Si vous contactez des consommateurs inscrits sur la liste d'opposition, et sous réserves des exceptions prévues par les textes, votre entreprise est passible d'une amende administrative, suite à un contrôle de la DGCCRF, dont le montant ne peut excéder 15 000 € pour une personne physique et 75 000 € pour une personne morale.

    Cette amende ne préjuge pas d'autres sanctions éventuelles, pour non-respect du droit d'opposition, conformément à la Loi Informatique et Liberté. Ces sanctions et leurs montants ont par ailleurs été renforcées dans le cadre de la loi pour une République Numérique et le seront plus encore dans le cadre du Règlement Européen sur les données personnelles qui s'appliquera en mai 2018.

     

     

    Où trouver plus d'information * ?

     

     

    Le fonctionnement du dispositif Bloctel et les tarifs sont précisés sur le site www.bloctel.gouv.fr. Vous trouverez également des informations sur le site de la DGCCRF (www.economie.gouv.fr/dgccrf) et sur celui de la CNIL - Commission Nationale Informatique et Liberté (www.cnil.fr).

    Téléchargez aussi directement ici :

     

     


    * Les éléments ci-dessus-vous sont donnés à titre purement indicatif. Ils ne préjugent ni de la position de l’administration, ni de celle des autorités de tutelle, ni de celle des tribunaux. Nous vous recommandons de consulter et, s’il y a lieu, vos conseils.

    Conformément à la loi "informatique et libertés" du 06 janvier 1978  modifiée, vous disposez d'un droit d'accès, de modification et de suppression des données vous concernant et d'opposition à leur traitement. Si vous souhaitez l'exercer, écrivez-nous à SAS Opposetel, Correspondant Informatique et Libertés, Bâtiment A1, 92-98 bd Victor Hugo, 92110 CLICHY en précisant l'objet de la demande, ainsi que l'adresse à laquelle une réponse peut être envoyée. Vous recevez ce mail car vous êtes inscrits sur des bases de données louées par Opposetel auprès de différents partenaires. Si vous recevez ce message sur un mail confié à Opposetel, il s'agit d'un pur hasard.
    Si vous ne souhaitez plus recevoir d'informations de la part de bloctel, cliquez ici.
    Si ce message vous a causé un quelconque dérangement, nous vous prions de nous en excuser.

     

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