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actualités

  • Cherchez pas docteur…

    Une femme russe de 24 ans se marie avec son attaché-case

    Rien n’est impossible à la décadence. Attirée sexuellement par les objets, une femme russe, Rain Gordon, a décidé de s’unir avec son attaché-case, qu’elle a prénommé Gideon.

    Cette enseignante en école maternelle complètement loufoque a rencontré sa mallette fétiche aux reflets métalliques dans une quincaillerie en 2015, comme elle le révèle au quotidien britannique The Mirror. Celle qui croit à l’animisme et aux objets qui seraient dotés d’une âme a décidé d’officialiser sa relation au mois de juin. Une célébration animée par un ami, et qui n’est donc pas officielle aux yeux de la loi russe.

    Rain Gordon a avoué être déjà tombée amoureuse du centre commercial de sa ville. "Ma fascination pour les objets a commencé à l’âge de 8 ans, a-t-elle expliqué. Pendant mon enfance et ma petite adolescence, je suis tombée amoureuse d’endroits.

    "Une véritable obsession pour les objets et lieux, qui a donc pris une nouvelle tournure. Et le mariage avec sa mallette a déjà été consommé. "Nous avons partagé notre premier câlin et notre premier baiser, et nous avons passé plus de temps ensemble le soir et la nuit", a-t-elle encore détaillé au quotidien.

    Cette jeune Russe espère voir l’objectophilie reconnue et, pourquoi pas, son mariage validé officiellement.

    Peut-être pourra-t-elle proposer cette idée à certains députés français “progressistes” qui ont présenté le projet de loi sur l’adoption par les couples de concubins, et aux autres partisans de la PMA et GPA sans père. Son projet de vie sera entendu avec grand intérêt. "Le père peut être une grand-mère", selon Agnès Buzyn, alors pourquoi une vieille mallette chinée ne pourrait-elle pas être un époux? Le monde marche décidément sur la tête.

  • Dégueulasse!

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    Sans argent pour l’enterrer, le corps de son mari reste six jours chez elle

    Mercredi 14 mars, les pompes funèbres, sollicitées par la municipalité, sont intervenues au domicile d’un Valenciennois, Marc Lecompte, et de sa compagne Thérèse Fouache. L’homme gisait dans son lit ; il était décédé depuis six jours. Sa compagne ne comprend pas, ni le délai, ni la manière dont l’homme qui partageait sa vie a été enterré. Décryptage.

    La Voix du Nord a été contactée par une voisine et amie de la compagne, mardi 13 mars, "parce que ce n’est pas normal, ça commence à sentir dans les parties communes" de la résidence. En effet, le voisin du rez-de-chaussée est décédé vendredi 9 mars, dans son lit. Thérèse Fouache, qui n’est administrativement pas liée à lui, se rend à la mairie pour indiquer qu’elle n’a pas les moyens de payer l’enterrement. Sauf que pour la mairie, l’indigence doit être prouvée et une enquête doit être faite.

    Légalement, celle-ci peut durer maximum six jours. "Au niveau humain, ce n’est pas normal", commente un croque-mort qui préfère rester anonyme

    Le corps du défunt a finalement été mis dans une housse, puis inhumé dans une fosse pleine-terre, au cimetière Saint-Jean à Valenciennes. L’endroit est fourni gracieusement par la mairie pour cinq ans. Après, le terrain est récupéré et les ossements sont mis à l’ossuaire municipal. Un tel enterrement, pour lequel les villes passent des conventions, suite à des appels d’offres, avec des entreprises de pompes funèbres, coûte selon nos informations un peu plus de 1 000€.