Vive la charcuterie française!
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Vive la charcuterie française!
Marieke Vervoort fait partie de ces athlètes paralympiques, inconnus du grand public, qui réalisent l'exploit chaque jour. Sa maladie dégénérative, qui paralyse ses jambes et lui cause de terribles souffrances, n'empêche pas la Belge d'avoir une carrière de sportive de haut niveau, au palmarès marqué par trois titres mondiaux en course en fauteuil roulant.
"Quand je m'assieds dans mon fauteuil de compétition, tout disparaît, confiait la sportive, son regard gris déterminé planté dans les yeux du journaliste de France 2. J'expulse toutes les idées noires, je boxe la peur, la tristesse, la souffrance, la frustration. C'est comme ça que je remporte les médailles d'or".
La dernière en date: celle des jeux de Londres, en 2012, sur le 100 mètres chaise. Mais aussi l'argent, en 200 mètres. Et un triplé de championne du monde à Doha, l'année précédente (100m, 200m, 400m). Et puis quatre records du monde, en 400, 800, 1 500 et 5 000 mètres (catégorie T52).
A Rio de Janeiro, où les Jeux paralympiques se tiendront du 7 au 18 septembre, les roues de Marieke Vervoort fileront sur le 100 mètres et le 400 mètres". Il y a une chance de médaille, mais ce sera très dur, car la concurrence est très forte ", estime l'athlète, interviewée par RTL.
Le Brésil sera la dernière étape de "Wielemie" ("La roue et moi" en français), comme la surnomment les Belges. L'athlète a annoncé samedi, à 37 ans, qu'elle mettrait fin à sa carrière après ces Jeux". Rio est mon dernier souhait. Je m’entraîne très dur même si je dois lutter jour et nuit contre ma maladie (...). J’espère finir ma carrière sur un podium à Rio ", a-t-elle déclaré à L'Avenir.
"L'entrainement est ma seule raison de vivre"
"Après, nous verrons bien ce que la vie m’apportera et j’essayerai de profiter des meilleurs moments" ,élude-t-elle. Son corps la trahit, il lui devient de plus en plus difficile de s'entraîner". C'est très dur de constater, année après année, ce que je ne peux plus faire". Impossible de continuer le basket, le golf, l'escrime, le surf, le triathlon, la plongée ou le golf, tous ces handisports que Marieke Vervoort a testé". J'espère qu'elle va tenir le coup jusqu'à Rio, parce que je vois ses capacités physiques se dégrader ", s'inquiète l'une de ses amies.
Le sport de haut niveau, sa seule raison de vivre
L'hyperactive sait qu'en terminant sa carrière, elle abandonne sa " seule raison de vivre ". Le sport de haut niveau lui permet de survivre au mal, orphelin et incurable, qui la poursuit depuis ses 14 ans. L'athlète envisage l'euthanasie, légale en Belgique, à condition de réunir l'accord écrit de trois médecins. Les papiers sont prêts. Et l'enterrement, imaginé : pas d'église, pas de gâteaux". Je veux que tout le monde ait une coupe de champagne à la main, et une pensée pour moi".
"Tout le monde me voit rire avec ma médaille d'or, mais personne ne voit la face sombre, confie-t-elle. Je peux souffrir énormément, parfois ne dormir que dix minutes par nuit, et quand même aller chercher l'or". Plusieurs fois par jour, la blonde platine revient de ses évanouissements grâce à sa chienne qui lui lèche le visage jusqu'à son réveil. Quand le soleil se couche, la douleur ne s'endort pas et provoque les hurlements de souffrance de Marieke Vervoort". Et je dois continuer à m'entraîner, affirme la native de Diest, au cœur de la Belgique flamande. Pour les autres, s'entraîner c'est normal".
A d'autres malades et paralysés qu'elle rencontre, la battante assène: "ça ne sert à rien de se plaindre". Regardez ce que vous pouvez encore faire, et constatez comme vous êtes riches". Marieke Vervoort sait qu'elle peut encore participer aux Jeux de Rio. Et viser le podium, une dernière fois.
Le cri de colère d'une personne qui s'intéresse aux phénomènes parapsychiques depuis 1973!
Par Mme Josyane JOYCE, voyante professionnelle à Toulouse depuis 1983
http://www.josyanejoyce.com/blog/index.html
(Veuillez prendre note que, pour faciliter la lecture, le genre masculin inclut également le genre féminin dans ce document)
“…les cas de personnes en état de mort clinique capables de percevoir ce qui se passe autour d'elles et même à distance, alors que dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque il n'y a plus d'activité électrique du cerveau décelable au niveau de l'électroencéphalogramme. Il faut se poser une question: la conscience peut-elle survivre à la mort de notre cerveau? Et si oui, d'où viennent ces informations que ramènent ceux qui ont vécu des EMI“." dit partout le Docteur Charbonnier.
Il m'est venu l'idée de chercher des informations sur ce médecin et ho, surprise et tristesse: je vois sur Facebook qu'il fait des conférences en expliquant que la NDE ou EMI est obligatoirement la preuve que la vie existe après la mort.
Non, vous tous qui croyez cela! Non! Il n'y a pas de vie après la mort…. ni paradis quelconque. Il existe ce que les bouddhistes appellent “les anales akashiques“ c'est-à-dire une sorte de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistre les événements du monde.
Helena Blavatski, fondatrice de la Société théosophique nous le dit: Les oracles affirment que l'impression des pensées, des caractères, des hommes, et autres visions divines apparaissent dans l'éther. Les choses qui n'ont point de forme en prennent une et y sont figurées. C'est sur les indestructibles tablettes de la lumière astrale qu'est imprimée la représentation de chaque pensée que nous formons; de chaque acte que nous accomplissons“.
Les annales akashiques présentent des analogies avec l'inconscient collectif proposé par Jung. L'inconscient collectif qui vibre et nous rassemble tous (tout être humain vivant actuellement est ayant vécu depuis le début du temps des Hommes) c'est le dépôt constitué par toute l'expérience ancestrale depuis des millions d'années, l'écho des événements de la préhistoire, et chaque siècle y ajoute une quantité infinitésimale de variation et de différenciation. Il existe un inconscient collectif et un inconscient individuel pour chacun des individus qui ont vécus ici bas. Il y a constamment interaction entre les deux. Les inconscients individuels sont rangés dans des sacs, des sortes de tiroirs.
Lorsque je conseille à une personne déprimée (qui n'arrive plus à se retrouver et dormir paisiblement), de se coucher en répétant tranquillement en pensée son prénom et son nom de naissance (nom de jeune fille pour les femmes mariées) afin de se relier à sa vibration qui est unique et personnelle et qui existe dans l'espace pour la créer organiquement et “vibrationnellement“ parlant. Je lui explique que la création du monde s'est faite selon deux possibilités qui ne peut heurter la conscience de quiconque:
Si vous croyez en dieu, du point de vue judéo-chrétien, “il n'y avait rien… puis Dieu à dit: que la lumière soit! et elle fut“….
Si vous ne croyez en rien d'autre qu'en la science: il y avait le vide sidéral, sorte de soupe cosmique. Tout à coup, une explosion et les mondes se sont créés.
Que vous choisissiez l'une ou l'autre explication qui vous convient le mieux selon votre nature spirituelle (en dehors de la religion mais en votre nature humaine) convenez que le fait de dire: que la lumière soit! ou qu'une explosion s'est produite, au commencement était le bruit (de la voix de dieu) ou de l'explosion.
A votre naissance, vos parents vous ont donné nom et prénom. Ils sont votre vibration personnelle qui résonne dans l'espace. Tout être a la faculté de vibrer, cette vibration pouvant être reçue et enregistrée dans les annales akashiques. La vibration qui vous relie à l'inconscient collectif ou à ces “annales akashiques“ où sont vivantes toutes les pensées, toutes les émotions, tous les souvenirs de tous les humains qui nous ont précédés. Cette vibration contient aussi individuellement votre vie, vos bonheurs, vos souffrances d'une manière détaillée et précise.
Le film de votre vie existe là, dans cet inconscient collectif.
Votre vibration est comme un sac invisible qui plane au dessus de vous et qui se rempli au fur et à mesure de vos pensées et des détails de votre vie. Par VOS émissions de pensées. Car notre cerveau émet des ondes invisibles qui peuvent influencer les autres, soi-même, l'inconscient collectif qui, lui, anime l'humanité. Ces ondes invisibles sont à l'image d'empreintes digitales, chaque cerveau possède les siennes. Lorsque vous décédez, ce sac vibratoire se détache de votre corps éteint et navigue dans l'inconscient collectif. Il en fait parti pour toute l'éternité à la fois individuel et baigné dans l'océan de la vie. Tout est dans l'Un et l'Un est dans Tout.
Seuls ceux qui ont la faculté de se détacher des émotions primaires et des vouloirs matérialistes comme le font certains voyants, peuvent accéder à ces “tiroirs“ et raconter la vie de ceux qui nous ont précédés. S'y trouvent également la vie de ceux qui naitront et vivront dans le futur. Il y a une théorie scientifique pour expliquer cela. Mais, je ne puis l'expliquer, je ne suis pas -du tout- astrophysicienne, je ne suis qu'une modeste voyante ayant la capacité de voyager dans le passé et l'avenir.
Ceux qui, sans le savoir, possèdent une forte télépsychie, mélangent celle-ci avec des messages soi-disant venus de l'au-delà. Etant donné que tous les humains de la terre ont d'incroyables “pouvoirs télépsychiques“ sans le savoir, la plupart du temps, ou sans savoir comment les utiliser et/ou les contrôler, de nombreuses personnes croient recevoir des messages de l'au-delà, de leurs chers disparus et s'aventurent et aventurent d'autres gens sur des chemins et des croyances fallacieuses.
Non, les morts ne parlent pas aux vivants. Et heureusement, sinon, imaginez notre vie quotidienne si les plus de 108 milliards d'humains (Source: Estimations du Population Bureau du recensement des États-Unis - Wikipédia) qui sont déjà passés sur notre planète se mêlaient des affaires des gens ici-bas! (savez-vous que l'on estime que vers l'an 1 de l'ère chrétienne, le nombre total d'êtres humains vivant sur la planète était probablement de 300 millions?).
Et de quels droits seriez-vous meilleurs qu'un autre humain sur cette terre pour avoir un “téléphone“ direct avec d'autres humains décédés qui serait, eux, meilleurs que d'autres décédés? C'est votre chagrin qui vous fait croire cela. Laissez les morts en paix. Et vivez pleinement votre passage ici-bas.
Si vous vous pensez “investis“ d'une mission divine, mettez-là au service des abandonnés, des malades, des personnes handicapées. Et cessez de raconter n'importe quoi pour faire des conférences, des livres, des leçons aux autres: pour qui vous prenez vous?
Bon, allez-y! C'est une des plus intelligente plateforme apparue sur le net depuis très, très longtemps...
Et croyez-moi: je suis internaute depuis 1996 (du temps où il n'y avait même pas Google et Yahoo pour nous aider à surfer comme on disait à l'époque...) et j'en ai vu bien d'autres!
En plus, ils sont à Montpellier, les créateurs, la petite ville d'Occitanie qui se croit plus grosse que Toulouse, MA ville, Ma capitale Occitane.
Si j'ai compris leur truc (le pitch comme y disent) elle vient en aide aux personnes âgées, aux enfants seuls qui voyagent (pour aller voir l'autre parent divorcé?), aux personnes handicapés qui sont plus ennuyées qu'on ne le croit dans les transports....
et de l'autre côté, si un "debout" ou "mobile" en pleine santé veut faire un petit acte de solidarité, il indique qu'il sera dans l'avion, le train... et qu'il aidera la personne à monter sa valise, monter une marche, etc....
Merci aux concepteurs, merci aux aidants temporaires qui vont faire une bonne action!
Waoouh, je vais, ENFIN, pouvoir partir en vacances!
Poutous de Toulouse à Montpellier tout entier!
La rédactrice
Il y a plus d'une centaine d'années, il y avait, dans mon pays toulousain, une expression qui courrait et qu'il fallait prendre au pied de la lettre: il faut suivre la mode ou quitter le pays.
Cela signifiait que, si tu es un breton et que les hasards de la vie t'emmènent vivre à Toulouse, il vaut mieux porter un béret plutôt qu'un chapeau rond… sinon, le conseil c'est de quitter le pays… sous entendu, toulousain. Mon papa portait le béret: il est né dans les Hautes Pyrénées. Mon papa, sans le béret sur la tête, je ne l'ai pas souvent vu. Même à table, il portait son béret.
Je me souviens qu'enfants, quand nous croisiions un pépé à casquette (les vieux en ce temps-là mourrait avant d'atteindre leur 75 ans), ce papy à casquette nous faisait “crever“ de rire tant son couvre-chef était inusité dans nos parages.
Quand j'ai eu 17 ans, (en 1967) il y eût un sacré raz-de-marée qui s'appelait: la mini-jupe. Elle était peut-être arrivée bien plus tôt dans la capitale, mais, moi, je bossais à l'usine et je ne sortais jamais que le dimanche après-midi, à la balloche car, on ne laissait pas sortir les filles de 17 ans le soir. Interdiction de sortir jusqu'à ses 21 ans. C'était comme cela, la bienséance, même chez les filles d'ouvriers.
Mais, à 17 ans, on se voulait “dans le coup“ comme nous disions en 67. Donc, nous avions des ruses de sioux pour raccourcir nos jupes car, selon la vieille expression, déjà détournée de son sens: si tu ne suis pas la mode teen-ager, tu peux quitter Toulouse… sinon on va t'aligner comme un plouc de cambrouse. Horreur dans la jeunesse seventies!
Aujourd'hui, l'expression court toujours: je vous laisse deviner dans quelle acception, elle court dans nos conversations quotidiennes.
Je, rédactrice de ce blog, certifie sur mon honneur avoir vu sur la chaîne collabo en question, un reportage de la plage où la “pauvre femme voilée“ était tranquillement allongée sur le sable.
Dans ce reportage témoignait une femme française qui disait en substance: “on a appelé la police parce qu'elle se baignait toute habillée avec ses enfants“!
Donc, si les policiers l'on trouvée allongée sur le sable, c'est qu'elle faisait sécher ses vêtements.... je suis persuadée que ces derniers l'ont constaté et c'est pour cela qu'ils l'ont verbalisée!
Je persiste et signe sur mon honneur avoir vu et entendu ce reportage sur cette merdichaîne!
Tous les baveux de la France collabo ont repris juste l'information et n'ont jamais re-difusé ce reportage!
Le pire: c'est la bassesse de médiocrité de ces journaleux qui racontait ce mensonge réitéré en baissant la voix et en articulant…. “simplement voilée“… sur le territoire de la république… en détachant bien comme il faut les mots alors qu'à l'habitude ils anonnent une bouillie “tétésque et zétesques“ leur novlangue bouillaque où tous les mots sont prononcés avec un t ou un z devant.
Non seulement ils sont incultes et ignorant de leur propre langue parce que putréfiés de l'intellect mais, EN PLUS, ils sont indécents par leur collaborationnisme et leur soumission aux zélites journalistiques de la gauchiasse.
Je, rédactrice du blog, persiste et signe sur mon honneur de Française!
D'autres que moi ont dût voir ce reportage... Faites passer l'info sur tous les médias sociaux.
Allez vous plaindre sur cette page Facebook
https://www.facebook.com/josyane.escudero