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"Des squatteurs m'ont pris ma maison"
"Je ne ressens même plus de la colère, j'ai de la peine et du chagrin!", assure Danielle Galy, cette retraitée de 69 ans qui ne peut plus rentrer dans sa maison, au 64 route de Blagnac, à Toulouse, car des squatteurs s'y sont introduits illégalement depuis le 6 avril dernier. Hier après-midi, cette propriétaire et retraitée active qui vit dans l'Ariège a mobilisé une vingtaine de riverains ainsi que ses proches pour dénoncer "l'occupation illégale" de cette maison de famille et une situation ubuesque où les nouveaux occupants la menacent aujourd'hui d'appeler la police si ses intrusions intempestives se multiplient.
"Vous vous rendez compte, il faut que je manifeste devant ma maison pour demander à récupérer mon bien!", s'offusque-t-elle. Visiblement bien organisés, les squatteurs auraient pris possession des lieux le 6 avril en changeant les serrures de cette demeure et en cadenassant le portail d'entrée, rendant plus complexe le constat d'infraction. Dès lors, les recours judiciaires peuvent être très longs et surtout coûteux.
Cette bâtisse était occupée durant de longues années par l'épouse du père de Danielle Galy qui en avait la jouissance jusqu'à son décès survenu en 2014. Depuis deux ans, la sœur de Danielle passait régulièrement relever le courrier. Jusqu'à ce qu'un riverain l'informe de l'intrusion de squatteurs.
L'occupation a bien été constatée par un huissier mais c'est désormais par la justice administrative, comme le prévoit la loi, que cette affaire doit se régler. Une audience devant le tribunal d'instance est prévue le 27 mai pour la procédure d'expulsion. "C'est mieux de dormir ici que d'être dans la rue.
Surtout que les logements sociaux et les hébergements d'urgences sont plein", estime l'un des squatteurs, un jeune allemand de 27 ans, rencontré derrière le portail de la maison.
et pas les U.S.A.!
Il y a quelque chose qui nous pend au nez....
Vous pourrez pas dire que je ne vous ai pas avertis...
A l'occasion de la sortie du film (mars 2016) “Au nom de ma fille“ qui relate l'histoire de l'affaire K., je me suis souvenue qu'un de mes amis journalistes, Philippe M. m'a, un jour, demandé ce que je pensais de cette terrible affaire. La femme avait divorcé et était partie épouser en Allemagne un médecin en entraînant sa fille de quinze ans. Le père effondré, appris que sa fille avait été assassinée. L'autopsie lui fait soupçonner que sa fille a été violée et, commença alors sa grande errance entre les deux pays, seul, en lutte contre la machine judiciaire. Errance qui a duré de très nombreuses années. Il a du se “faire justice“ lui-même, en quelque sorte. (il a embauché des hommes de main pour “extrader“ de force le violeur allemand qu'il fit enchaîner devant un commissariat pour que la justice française, enfin! s'en mêle).
En adoptant des produits d’hygiène et cosmétiques sans produits chimiques, on diminue de 27 à 45% les niveaux de perturbateurs endocriniens dans le corps.
Une nouvelle étude menée par des chercheurs californiens démontre qu’en arrêtant même brièvement d’utiliser certains types de produits de maquillage, shampooings et lotions on voit baisser significativement les niveaux de produits chimiques perturbateurs endocriniens dans le corps.
Les résultats, publiés dans la revue Environmental Health Perspectives sont issus d'une étude sur 100 adolescents participant à l’étude HERMOSA.
HERMOSA est une collaboration entre l'Université de Berkeley, Clinica de Salud del Valle de Salinas, visant à impliquer les jeunes dans les questions de santé publique et d'environnement.
Les chercheurs ont fourni aux participants à l'étude des produits d’hygiène exempts de produits chimiques tels que les phtalates, les parabènes, le triclosan et l'oxybenzone. Ces produits chimiques sont largement utilisés dans les produits cosmétiques, les parfums, les produits capillaires, les savons et crèmes solaires, et il a été démontré dans des études chez l’animale qu’ils interfèrent avec le fonctionnement hormonal.
«Parce que les femmes sont les principaux consommateurs de nombreux produits de soins, elles peuvent être exposées de façon disproportionnée à ces produits chimiques», dit le principal auteur de l'étude, Kim Harley (université de Berkeley). Les adolescentes peuvent être particulièrement exposées car elles traversent une période de développement rapide des fonctions reproductrices, et elles utilisent plus de cosmétiques et produits de soins que les femmes adultes."
L'analyse des échantillons d'urine avant et après un essai de trois jours au cours duquel les participants ont utilisé les produits qui leur avaient été donnés ont montré des baisses significatives des niveaux des produits chimiques dans le corps. Les métabolites de diéthylphtalate, souvent utilisés dans les parfums ont diminué de 27 pour cent. Le méthyle et le propyle de paraben, utilisés comme conservateurs dans les cosmétiques, ont chuté respectivement de 44 et 45 pour cent. Les deux triclosans, trouvés dans les savons antibactériens et certaines marques de dentifrice, et la benzophénone-3 (BP-3), présente dans certains écrans solaires sous le nom d'oxybenzone, ont chuté de 36 pour cent.
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Pour 29 ans de cotisations, je touche un peu plus… mais, il y a de quoi rire jaune quand on voit la retraite des fonctionnaires.Sans parler des cumulards politiques!
Il y a, apparemment, des Français plus méritants que d'autres….
Vivement que je gagne au loto et que je quitte ce pays de merde!
Sans remords et sans regrets aucun, vous pouvez m'en croire!
RSI: 1,07 euro, la "super" retraite d'une ancienne commerçante
Avec la somme que lui accorde chaque mois le RSI pour sa retraite, cette commerçante n'ira pas loin : 1,07 euros. Elle témoignait le 21 février 2016 dans Le Dauphiné.
Avec la somme que lui accorde chaque mois le RSI pour sa retraite, cette commerçante n'ira pas loin : 1,07 euros. Elle témoignait le 21 février 2016 dans Le Dauphiné.
Au cours de sa carrière, cette patronne a été à la tête d'une auto-école pendant trois ans. Le régime social des indépendants a fait ses petits calculs. Au final, une retraite absurde car ridicule.
C'est souvent dans la presse quotidienne régionale et dans la presse locale qu'on trouve les meilleurs exemples d'aberration en provenance du régime social des indépendants (RSI).
Ce week-end, c'est Le Dauphiné qui relatait l'histoire de Christine Angelier, résidente de Charantonnay, en Isère. Cette jeune retraitée a été salariée pendant quinze ans au cours de sa vie, mais également à la tête d'une auto-école pendant trois ans. Une période d'indépendance très courte qui lui donne droit aujourd'hui à... 1,07 euro par mois de la part du RSI. "Pour être exact, ses droits s'élèvent à 97 centimes, mais une majoration 'enfants' de dix centimes permet de dépasser l'euro", précise le journal.
Des documents envoyés trois fois
L'ancienne commerçante cotisante ne conteste pas la somme, aussi ridicule qu'elle soit. Elle dénonce en revanche l'absurdité de se la voir verser. "Peut-être que dans un tel cas, il vaudrait mieux dire: vous n'avez pas assez travaillé, pas assez cotisé, plutôt que de s'engager dans des tas de démarches, pense-t-elle. Car pour en arriver là, il a fallu échanger énormément de courriers, des extraits de registre du commerce, etc. On a même dû renvoyer tous les documents trois fois. Ils avaient été égarés".
Bien que des mesures aient été prises pour réformer le RSI, la grogne contre la caisse des indépendants ne retombe pas. Car, à côté des petites histoires rocambolesques, qui prêtent à sourire, existe aussi une réalité moins sympathique, comme des appels à cotisations parfois inattendus et violents, capables de mettre les professionnels sur la paille subitement.
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Le RSI, le régime social des travailleurs indépendants et des artisans a mauvaise réputation. Cette fois-ci, ce n'est pas un dossier perdu ou une poursuite injustifiée qui entache cet organisme, c'est l'annonce du versement de près de 2 milliards d'euros à un menuisier à la retraite.
La veille de Noël, cet ancien artisan établi dans la Loire a reçu une lettre pour le moins étonnante. Le RSI lui annonce que son compte "présente un solde créditeur de 2 170 204 912,00 euros" -soit un plus de 2 milliards. "Pour en obtenir le remboursement, je vous invite à me transmettre la demande ci-jointe accompagnée d'un relevé d'identité bancaire", poursuit la missive.
"Eux, ils battent des records"
Il comprend qu'il s'agit d'une erreur, mais décide tout de même de jouer le jeu. "J'ai envoyé scrupuleusement un RIB à Bourg-en-Bresse, à l'adresse indiquée", explique-t-il vendredi au Progrès. "Ils n'ont pas poussé le ridicule jusqu'à me répondre", poursuit-il.
L'ancien menuisier tente alors de joindre l'organisme par téléphone. "C'est un centre d'appel, c'est compliqué. J'ai jamais plus eu de nouvelles", déplore-t-il. Avant de conclure: "C'est incroyable qu'il y ait nulle part dans leurs services quelque chose qui ait fait tilt. Eux, ils battent des records."
"Des contrôles seront renforcés"
Dans un communiqué publié vendredi, le RSI a finalement réagi, expliquant qu'il s'agit d'une "regrettable erreur" et présentant "ses excuses à l'assuré". "En janvier, le conseiller en charge du dossier a procédé à la rectification de la situation. Le remboursement de la somme réellement due a été effectué selon la procédure et dans les délais habituels. Les contrôles des courriers adressés aux assurés, déjà existants, seront renforcés afin d'éviter qu'une telle situation ne se reproduise pas", poursuit l'organisme.
Aliénor est une adorable fillette d'à peine plus de cinq ans. Elle est vive et charmante et tous ceux qui l'entourent l'adorent. Positivement. Aliénor rit sans cesse d'un rire éternel qui n'en finit pas, sur ses jolies lèvres bien rouges, telles cerise en été. Ses sourires creusent une jolie fossette au creux de ses joues rebondies, à la peau douce et couleur de pêche. Lorsque l'on voit son visage doux et clair, on voudrait le croquer, tel ce fruit d'été.
C'est le portrait vivant de l'angelot musardant et moqueur qui volette dans un retable précieux de la petite chapelle du village. Ses rires chantants, sa démarche capricante et légère font penser à une biche qui s'enfuit soudain, dans les bois lointains, au plus léger bruit ou frémissement du vent d'autan. Ses yeux pétillants et curieux de gamine apparemment délurée, illuminent en permanence son joli petit visage et vous font croire que le paradis existe. C'est une jolie blondinette aux cheveux longs toujours un peu fous, qu'il faut sans cesse dresser et ordonner en les tordants en longue tresse épaisse, entrelacée de rubans vivement colorés et qui descend bien bas sur les reins.
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