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Livre

  • Et maintenant, une taxe sur le livre d'occasion!

    Il y a quelque chose de guignolesque dans cette obstination très française à vouloir réglementer l’invisible, taxer l’intangible, encadrer ce qui, justement, nous échappe: la vie des objets. Car oui, un livre, une fois qu’il a quitté la table des nouveautés pour s’installer sur une étagère, devient un objet. Libre. En roue libre. En service libre. Visiblement, l’État a du mal à le supporter.

    Le ministère de la Culture veut donc rémunérer les auteurs et éditeurs… sur les ventes de livres d’occasion. Il va donc falloir envoyer les fonctionnaires de Bercy farfouiller dans les rayonnages des vieux bouquinistes de Province et pourquoi pas, demain, dans les travées des brocantes de villages.

    Le raisonnement est simple et imparable, façon planification sentencieuse: puisque les plate-formes en ligne se gavent sur le dos de nos chères lettres, instaurons une sorte de "droit de suite" à la française.

    Une petite dîme culturelle, bien placée. C’est le réflexe pavlovien du contrôle étatique, cette envie permanente de réguler le moindre coin d’internet comme s’il s’agissait encore des rayons de la Fnac en 1997. Le marché de l’occasion n’est pas un ennemi de la culture. C’est sa respiration. C’est l’entrée d’un adolescent fauché dans un monde d’idées et d'imaginaires. C’est la redécouverte d’un auteur oublié, le lien silencieux entre deux lecteurs que tout oppose sauf ce même livre, passé de main en main, au nez et à la barbe du fonctionnaire Truquemuche ou du bureaucrate Tartempion.

    Faut-il vraiment y glisser une facture, une cotisation, une redevance? La culture ne se défend pas à coup de taxes rétroactives. Elle se défend en la laissant vivre. Circuler. Un livre n’est pas une rente. C’est une aventure. Alors, à ceux qui rêvent de faire des plate-formes de seconde main les boucs émissaires d’un système éditorial à bout de souffle, on répondra simplement: laissez-nous lire en paix.

    Et mêlez-vous de ce qui vous regarde.

    Valeurs Actuelles

  • Etre homme, c’est précisément être responsable

    Le 31 juillet 1944, il y a quatre-vingts ans, le commandant Antoine de Saint-Exupéry disparaissait en Méditerranée à bord de son P-38 Lightning au cours d’une mission de reconnaissance aérienne. En ces temps troublés et avec une société en perte de repères et plus fragmentée que jamais, c’est peut-être l’occasion de méditer l’exemple de cet écrivain-aviateur, héros mort pour la France. C’est le moment de méditer le message humaniste et universel que révèle son œuvre.

    La particularité de l’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry, c’est qu’elle est tout entière tirée d’une expérience vécue. Loin cependant de rester simplement documentaire, cette œuvre s’enrichit d’une méditation constante qui en fait l’unité et le prix. Ses romans se distinguent en effet du roman traditionnel. Ils cherchent non pas la création de personnages à travers lesquels se découvrent les mobiles psychologiques de l’âme humaine, mais la création et l’édification d’un monde personnel destiné à poser un problème et à essayer d’y répondre en livrant un message.

    Ses romans – qui sont, en fait, un essai sur lui-même – constituent une façon d’interroger et de répondre. N’étant plus un créateur enfermé dans sa tour d’ivoire, Saint-Exupéry se trouve dans la situation de l’homme d’action à qui se posent tout naturellement les problèmes du courage et de l’héroïsme. Cette morale moderne, que les réalités du siècle au cours duquel il a vécu l’ont obligé à chercher, Saint-Exupéry l’a continuellement poursuivie tout au long de sa trop courte vie. Ayant voué cette dernière à un métier courageux et dangereux, il a su à merveille en décrire les drames et les joies. Et la lutte contre l’angoisse à laquelle l’homme est sans cesse confronté prend chez lui la forme de la vocation.

    "La grandeur d’un métier, c’est avant tout d’unir les hommes". Ainsi, l’auteur découvre le véritable sens de la fraternité. C’est la mise en lumière d’un authentique humanisme par le métier. Son métier d’homme, il le fait avec joie et avec amour. Loin d’une ascèse égocentrique et orgueilleuse, son goût de l’héroïsme s’avère une communion fervente avec les autres hommes.

    Courrier du Sud (1930) évoque une liaison de l’époque héroïque entre Toulouse et Dakar. Vol de nuit (1931) raconte l’héroïsme obscur des pionniers qui ont su établir la première ligne régulière entre la France et l’Amérique du sud. Terre des hommes (1939) est la tragique histoire du raid Paris-Saïgon. Et Pilote de guerre (1942) la méditation d’un combattant au cours d’une mission au-dessus des lignes allemandes pendant la guerre où il continue à évoquer les gestes d’un simple travail. L’écrivain transforme des scènes   réelles en tableaux tantôt dramatiques, tantôt épiques. Il les accompagne ainsi d’un noble et ardent commentaire qui, puisant dans son âme et sa vision particulière du monde, leur confère souvent un caractère lyrique.

    Ses dons de poète éclatent dans son œuvre posthume, Le Petit Prince (1945) et Citadelle (1948). De son métier et de son outil, il retient en fin de compte non pas l’aspect technique ou exaltant, mais simplement l’occasion qu’ils donnent aux hommes, comme tous les métiers avec leurs outils, de reconnaître leurs limites, la puissance de leur volonté, leur responsabilité à l’égard de tous et la primauté d’un but qui vaut plus que la vie. Sachant donc au nom de quoi ils accomplissent très simplement leur tâche, les héros de Saint-Exupéry tendent, sans emphase, à illustrer un humanisme par le métier.

    Toute son œuvre démontre, par ailleurs, une honnêteté et une sincérité qui méritent d’être évoquées. Brève et rayonnante, elle se mesure surtout à la qualité du cœur et des sentiments qui l’animent. Cet homme, courageux et sensible, est aussi lucide. La méditation, constante chez lui, fait la valeur de toute son œuvre. Le Petit Prince et Citadelle nous révèlent une ferveur et une noblesse dans le lyrisme qui prouvent incontestablement la pureté de son âme. Dans Citadelle d’ailleurs, son dernier ouvrage, il tente d’énoncer les principes d’une philosophie pratique qu’il a su mettre en application dans ses romans d’action tirés de sa propre expérience. Il met en particulier en exergue les thèmes du lien et de l’échange nécessaires entre les hommes, de la grandeur et de la soumission à une éternité qui se confond avec le destin de l’espèce. Pour Saint-Exupéry, le salut se trouve donc dans ce qui nous permet de collaborer à une œuvre utile. Il a su en faire sa règle de vie à laquelle il est resté fidèle jusque dans la mort. " Ce pourquoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre " (Citadelle).

    C’est pourquoi la notion de responsabilité occupe dans son œuvre une place importante dans sa quête vers sa morale de la grandeur humaine. " Etre homme, c’est précisément être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre que l’on contribue à bâtir le monde " (Terre des hommes). Mais cette responsabilité s’inscrit dans ce lien et cet échange entre  les hommes, indispensables pour réussir cette œuvre collective. C’est le rejet de l’orgueil personnel, de la jalousie mesquine, de l’envie. C’est au contraire le plein épanouissement de l’esprit d’équipe. C’est savoir "être fier d’une victoire que les camarades ont remportée". Cette fierté comprend, par exemple, la joie du mécanicien qui, par son travail obscur, a permis au pilote de battre un record ou simplement d’avoir rempli sa mission.

    Cette responsabilité s’applique également à la prise de conscience des souffrances de nos semblables. Et même de l’humanité tout entière dont chacun de nous est partie intégrante et où il a sa place et un rôle à tenir. Pour Saint-Exupéry, il ne suffit pas d’être ému devant la misère des autres. Il faut communier avec ceux qui souffrent, voire connaître la honte lorsqu’on vit paisiblement et que d’autres pleurent ou agonisent. Son message est donc universel, car chacun participe au progrès de l’humanité. Il y a contribution de chacun à l’œuvre collective. Il n’entend pas parler seulement de ceux qui remportent des victoires notoires. Il englobe aussi l’obscur et humble artisan qui met toute son ardeur à son travail et qui contribue à cet édifice collectif, même si la pierre apportée n’a que la dimension d’un caillou.

    Saint-Exupéry nous présente là une conception du bonheur qui rejette l’individualisme. Il s’agit d’un bonheur plus vaste, où l’homme doit lutter contre l’isolement au sein d’une société qui semble parfois, par sa mécanisation, l’écraser. L’homme n’a plus seulement des devoirs envers lui-même, il en a avant tout envers les autres. C’est peut-être ce sens d’une vaste et profonde fraternité qui constitue la seule arme contre le déracinement, la solitude. Ce que souhaite Saint-Exupéry c’est une solidarité, une union profonde qui permet à chacun de se sentir inclus dans un vaste ensemble où il n’est plus seul. Finalement, c’est une parenté humaine à l’échelle du monde. C’est l’éblouissante condamnation du mot de Sartre, " L’enfer, c’est les autres ".

    A  une époque où toutes les valeurs traditionnelles sont remises en question, où les jeunes en particulier se sentent pris par l’angoisse devant un monde menaçant, où ils cherchent à satisfaire un enthousiasme parfois démesuré, ce lien qui unit selon Saint-Exupéry tous les hommes dignes de ce nom, cette conception de la responsabilité de chacun de nous devant tous (" chacun est responsable de tous ") apportent un réconfort, une certitude, un espoir fervent pour l’avenir. Antoine de Saint-Exupéry, homme d’action qui a écrit ce qu’il a vécu, témoigne d’une époque où l’homme sent lui échapper les dernières consolations religieuses et morales. Sa solitude et son destin lui apparaissent dans leur cruelle réalité. Probablement mieux que d’autres, il a su mesurer le grand vide spirituel qui caractérise le monde moderne. Il trouve cependant des raisons de vivre dans un humanisme qui a su traduire la modestie et la ferveur de son âme généreuse et échappe à l’horrible obsession de son temps qui consiste à vouloir changer l’homme.

    Ce poète est, en fait, un mystique en quête de l’essentiel et qui, comme le renard du Petit Prince, nous livre son secret : "on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible aux yeux ". Son message est donc un message d’humanisme, de solidarité entre les hommes, de retour à une spiritualité, de retour, en fait, à l’essentiel qu’il convient de méditer. "C’est l’esprit qui mène le monde et non l’intelligence".

    Quatre-vingts ans après sa disparition, son message reste d’actualité et devrait être médité, en particulier, par nos dirigeants politiques qui ont précisément perdu le sens de la responsabilité célébrée par Antoine de Saint-Exupéry pour réussir ensemble l’œuvre collective. On ne leur demande pas de donner leur vie pour la France comme il l’a fait – en seraient ils capables alors qu’ils ne songent qu’à leurs ambitions personnelles – mais d’œuvrer pour l’intérêt du pays et de son peuple au lieu de fracturer dangereusement la société et diviser les Français. La trêve politique "imposée" par le déroulement des Jeux olympiques sera de courte durée. Très rapidement la réalité reprendra le dessus et le sens du devoir et des responsabilités se rappellera à nos dirigeants. Devant le constat accablant de l’état de déliquescence de notre société auront-ils su prendre le recul nécessaire pour acquérir la capacité d’exercer cette responsabilité qui les oblige pour entreprendre et réussir l’œuvre collective? Le message transmis par Antoine de Saint-Exupéry reste une source d’espérance pour les temps actuels.

    Sera-t-il entendu?

    Général (2s) Antoine MARTINEZ

  • Portrait obligatoire:

    un maire remplace celui de Chéri-Bibi par une photo minuscule

    "C’est un portrait aux dimensions de l’estime que j’éprouve pour ce président", lance Xavier Rosalie, le maire de Piffonds (Bourgogne-Franche-Comté), accrochant au mur un grand cadre contenant une toute petite photo du très narcissique Chéri-Bibi.

    Cet élu a tenu à marquer son opposition à la très récente proposition de loi visant à rendre obligatoire l’affichage du portrait officiel du président de la République dans chaque mairie.

    "Ce président nous impose encore une fois des choses de dictateur, je vais respecter la loi, je vais afficher le portrait que j’ai choisi, qui correspond le mieux au président de la République actuel par cette miniature", tout en déclarant que "ce petit homme" aura marqué l’histoire par sa "méchanceté envers le peuple et envers la patrie".

    Scandaleux aussi, ce “détail” inacceptable qu’est la présence des Nourritures terrestres, ignoble ouvrage du pédophile André Gide, que Chéri-Bibi a délibérément mis en place d’honneur sur cette photo et auquel personne n’a jamais demandé de justification…

    À noter que David Lisnard, président de l’AMF, lequel se targue de culture, donc connaît forcément le pédophile Gide… fait toujours semblant de ne pas avoir remarqué la présence de l’épouvantable livre de cet écrivain obscène, que cet homme se voulant de culture… connaît forcément, pas davantage que n’avait réagi François Baroin, son prédécesseur…

    Le silence de l’AMF et des édiles français est révélateur d’une collusion très malsaine avec Chéri-Bibi.

    Ce silence forcené et continu des édiles, des élus et des parlementaires de tous bords, prouve combien ils ne sont en fait, comme les médias, que les domestiques du pouvoir. L’on n’ose penser qu’ils soient tous pro-pédo…

    C’est un peu facile de parler de pédocriminalité, de pédopornographie, l’air outré… et de se taire face à ce qui est a minima une provocation gravissime.

    Désormais, pour aborder ce sujet délicat et douloureux, il va leur falloir être crédible et le prouver, exigeant de chacun de nos représentants, de se positionner clairement quant à ce portrait officiel, exigeant d’eux d’avoir lu ce livre, que leur silence cautionne, pour certains depuis 2017…

    Portrait pour portrait, chaque maire se disant d’opposition et contre la pédophilie devra prendre exemple sur le maire de Piffons, ajoutant à côté une grande photo de la couverture des Nourritures terrestres avec quelques lignes de commentaires, expliquant ce qu’est ce livre et qui était André Gide.

    C’est ainsi que nous reconnaîtrons les sincères des falsificateurs.

    Daphné Rigobert

    Très drôle je dois reconnaître. Et ça ramène effectivement Chéri-Bibi à sa juste dimension.

  • Stoppons les escrocs et

    ...  autres manipulateurs

    J'ai aperçu un bout d'émission sur Cnews -il y a deux jours- dans lequel une animatrice a fait venir trois ou quatre personnes pour je ne sais quel genre de débat: je me suis trouvée devant l'émission au moment où un abruti parlait de son livre à peu près intitulé: la vie après la mort existe… à ses côtés une inénarrable médium qui “voit ou parle avec les morts“.

    L'auteur indiquait qu'il avait reçu plus de 100 témoignages de veuves éplorées juste après le décès de leur mari ou compagnon: elles affirment qu'en se couchant le lendemain, elles avaient “senti“ leur mari s'allonger auprès d'elles.

    Si j'avais été là, j'aurais juste demandé à l'imbécile heureux qui pense fermement que c'est une preuve de l'au-delà (et comme je ne lirais jamais son livre, j'espère qu'il y a d'autres affirmation pour étayer sa thèse débile). J'aurais demandé au “ravi“ de service qu'il m'indique le nom -allez, je vais être pas trop regardante- et le numéro de téléphone de quelques 10 de ces veuves éplorées pour que je les contacte afin de leur demander de vive voix si l'impression du mari qui revient dans son lit dure trois, six, douze mois et durant combien d'années le “manège“ du mort à continué…..

    Je vais installer dans quelques jours un film-textes où j'indique TOUTES les formes d'hallucinations qui existent, répertoriées par la science, tout de même, sur mon compte Youtube. Je mettrais le lien ici, ne vous en faites pas.

    Sur ce compte, il y a de nombreux film-textes où j'indique les télépsychies (psychokinèse) qui me sont advenues depuis ces 45 années où je m'intéresse aux pouvoirs du cerveau. J'ai eu la peine immense, jamais guérie de voir mourir ma petite sœur (à mes côtés) mon papa (à l'âge de douze ans), le père de ma fille, ma marraine adorée et des tas d'autres proches (des cousins) et figurez-vous que si quelqu'un devait recevoir la visite d'un décédé, j'aurai été un petit peu au courant puisque j'ai fais profession de voyante (et guérisseuse) des 35 dernières années, profession déclarée, auprès de toutes les administrations voraces et rapaces que vous connaissez.

    Je n'ai jamais “vu“ ou “aperçu“ un quelconque de mes chers décédés autrement que par rétrocognition (lire des exemples sur mon compte Youtube). Quand à l'idiote consanguine qui se prétend médium en contact avec les morts, il faudrait un peu qu'elle étudie les capacités du cerveau, la totalité des pouvoirs de voyance, télépathie, etc… elle saurait ainsi ne pas mélanger la discussion avec les morts de la rétrocognition.

    Les quelques personnes qui se flattaient stupidement d'être des médium (définition exacte: contact avec les décédés par l'intermédiaire de) à qui j'ai demandé de “voir“ un des nombreux décédés de ma famille m'ont toutes dit à peu près la même chose: je vois une personne très âgée, une femme…. silence (pour que j'acquiesce ou que je révèle: c'est ma tante, ma cousine, ma sœur, une des femmes que j'aimai tant!)… silence de ma part, donc, personne décontenancée qui s'enferre: elle a un beau chignon argenté… un grand tablier noir… elle a des petites lunettes….. elle est souriante… silence très embarrassé entre chaque phrase et silence de rigolade intérieure de ma part… j'ai dit finalement: ha, c'est ma tante que j'adorais… oui, oui, c'est elle! répondait invariablement le ou la médium…. sauf que ma tante était bel et bien vivante (en ce temps-là), qu'elle n'avait pas de chignon… que mes grand-mères décédées n'avaient pas du tout ce profil et que je ne reconnaissait personne de ma famille qui aurait pu coller à ce portrait, qui, vous le constatez, et un portrait disons passe-partout d'une grand-mère qu'on a -presque- tous eue, gentille, avenante, serviable.

    Donc, personnellement, je n'ai aucune raison de croire à ces fatras de métempsycose débile d'ignares qui se la jouent en se révélant en public. Il se peut que dans les deux jours du décès de quelqu'un on ait une vision ou l'on fait l'objet d'un truc bizarre… c'est plus que  souvent le désarroi du grand chagrin qui fait que le cerveau “piétine ou déraille“ une courte seconde. Nous évoluons avec des hormones qui nous font agir: ne me dites pas qu'un orage hormonal ne se produit pas lors d'un choc violent, d'une angoisse, d'une inquiétude mortelle, d'un désarroi immense…. demandez à Marie-Antoinette qui, la veille de monter à l'échafaud, a vu, en une seule nuit, sa chevelure blanchir….

    Évitez d'aller visionner les conférences ou les discours de ces gens: chaque fois que vous tentez d'écouter, vous augmentez le nombre de vues. Par contre, il n'ai pas interdit de faire circuler cet article partout autour de vous! :-)

    Ma chaîne:

    https://www.youtube.com

     

  • France, réveille-toi!

    La kleptocratie française

     

    https://youtu.be/-4xGiKyLnTg