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  •  Humour: la cérémonie de la Connerie D'or 2016

    "Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, je suis fier et heureux de vous accueillir ce soir dans cette mythique salle du Théâtre du Châtelet et je déclare ouverte la grande cérémonie de la Connerie d'Or 2016!!!

    Tonnerre d'applaudissements.

    Nous avons cette année, les plus grands compétiteurs qui se sont affrontés avec grand talent. Il faut reconnaître qu'après quatre années et demie

     de gouvernement socialiste, la barre a été placée très haut. Mais cela n'a, à l'évidence, pas découragé nos compétiteurs. On peut même dire que cela les a, ces derniers temps, galvanisés et ils méritent tous vos applaudissements.

    Applaudissements nourris.

    A cinq mois de la branlée électorale du siècle que les socialos et consorts vont se prendre, le jury a bien senti qu'était venu pour la gauche le temps du bouquet final du feu d'artifice des tweets, propos, confidences, discours et décisions les plus débiles, les plus ridicules, les plus pitoyables et les plus saugrenus.

    Je vous rappelle, cher public, les règles de cette compétition de la Connerie d'Or. Il faut avoir prononcé de façon publique, c'est-à-dire de façon à ce que tout le monde puisse en profiter, une énormité inédite, de préférence parfaitement scandaleuse, mais en tous cas, d'une crétinerie absolue et indiscutable.

    Alors je sais que le plus difficile a été, pour le jury, de déterminer la qualité inédite des conneries sélectionnées. Car il est vrai que après cinquante quatre mois de règne de Hollande Ouille et de pas moins de soixante quatorze ministres nommés, vous pensez bien que des conneries, il y en a eu un sacré paquet de dites et de faites. Mais pour être nominé aujourd'hui à notre grand prix de la Connerie d'Or 2016, nos compétiteurs ont dû se renouveler et proposer du "jamais entendu" ou du "jamais fait". Et quelque soit le vainqueur ce soir, toutes nos personnalités de gauche doivent être remerciées et félicitées pour leur créativité.

     

    Applaudissements.

    Sont ainsi nominées ce soir... j'ouvre mon enveloppe... quel suspens !...

    Rires....

    et je demanderais à chacune des personnalités appelées de s'avancer sur la scène, afin que vous, public, puissiez saluer nos nominés comme il se doit.

    J'appelle notre première nominée, euh pardon, notre premier nominé, Pierre Bergé, appelé "L'Embrayage" (ceux qui ne savent pas pourquoi pourront venir en coulisses pour une explication), actionnaire du Coran gauchiste, j'ai nommé, le Journal Le Monde, subventionné par vos impôts à hauteur de 5,4 millions d'euros par an, qui a tweeté: "Voter Fillon, c'est voter pour la France pétainiste. Quand va-t-on à Vichy?"

    On l'applaudit bien fort.

    Clap clap clap clap...

    Egalement nominée, Ségogo, la folle du Poitou, qui a déclaré, avec l'humour pince-sans-rire qu'on lui connaît, "Il n'y a pas d'atteinte au droit de l'homme à Cuba!". Bravo Ségogo, celle-là, il fallait déjà oser la sortir. Et surtout, chère Ségogo, vous avez su surenchérir en déclarant que si Cuba était une dictature, il n'y aurait pas quatre millions de touristes à y être allés. Bravo encore, mais cependant, nous n'avons retenu que votre premier propos pour notre compétition d'aujourd'hui. Et le jury a considéré qu'il n'était pas directement comparable au bisou qu'avait fait en son temps la cocue de l'infidèle Mitterrand à Fidel. Le principe de l'inédit de la connerie est donc respecté.

    Est aussi nominé, sur le même sujet... Juncker, président de la Commission Européenne, qui a déclaré que Castro était un héros. Je vous propose d'ovationner celui qui avoue ainsi, en propulsant ainsi un authentique dictateur au rang de héros, quel projet de société il a pour l'Europe fédérale qu'il promeut jour après jour.

    Applaudissements du public.

    Je dois ajouter que le jury aurait pu nominer aussi Jean-Luc Méchancon, qui a organisé un rassemblement à la mémoire du dictateur, avec fleurs et bougies. Mais la démarche était trop similaire à celle de Juncker et ce dernier bénéficiait de l'antériorité de la déclaration. C'est pour cela qu'il a été retenu et pas Méchancon. Mais là aussi, on est sûr que les prisonniers politiques à Cuba et leurs familles ont apprécié l'initiative du leader Maximo du Front de Gauche, et on a une vision plus précise de sa conception de la liberté politique. On ne pourra pas dire qu'on n'a pas été prévenu, s'il arrivait au pouvoir.

    Le jury a sélectionné comme quatrième nominé, un journaliste de gauche, excusez le pléonasme. C'est vrai qu'il avait l'embarras du choix, car nos journalistes ne sont pas derrière la porte quand il s'agit de proférer une connerie. Il était donc nécessaire que la profession soit représentée dans cette Cérémonie de la Connerie d'Or 2016.

    Et ce soir, j'appelle Jean-Michel Apathie, qui quand il faut s'engager à faire une déclaration imbécile ne reste pas ...apathique. Sur France Info, il a avancé, suite à l'élection de Trump aux USA, que: " il faut s'interroger quelquefois sur le suffrage universel". Interrogation qui lui vaut d'être nominé ce soir. On applaudit bien chaleureusement notre grand démocrate de gauche, qui rivalise ainsi avec notre nominé précédent, Juncker, qui a préconisé d'arrêter les référendums sur les sujets européens dans les pays membres. Je vous avais bien dit que la compétition avait été rude!

    Rires et applaudissements.

    J'appelle le nominé suivant; Le Petit Caudillo, qui, avant de quitter le gouvernement, se hâte de mettre la Cour de Cassation sous l'autorité directe du gouvernement. Bravo, décidément Petit Caudillo aspire à devenir Grand Caudillo en se soulageant ainsi les intestins sur le principe de l'indépendance de la Justice vis à vis du pouvoir politique.

    Nos nominés en font toujours un peu plus en marche forcée vers un régime de dictature. J'en veux pour preuve le nominé suivant. J'appelle Cazevide.

    Cazevide, vous êtes aujourd'hui premier ministre, en récompense de vos loyaux et si efficaces services comme ministre de l'Intérieur, qui n'a jamais vu autant de victimes de terrorisme pendant son exercice et autant de police en manifestation de mécontentement dans la rue. Vous avez aussi été, dans l'Histoire de France, le premier ministre en charge de la sécurité des Français à être aussi attentif au bon accueil des immigrés clandestins qui bafouent ainsi les règles de droit de l'immigration. Et votre première décision de nouveau Premier Ministre est de nommer pour vous remplacer au ministère de l'Intérieur, Bruno Le Roux, celui-là même qui avait appelé au boycott et à la censure médiatique de Zemmour. Pour toutes ces performances, vous méritez amplement votre nomination de ce soir, à la Grande Cérémonie de la Connerie d'Or 2016.

    Public, j'attends vos applaudissements !

    Clap clap clap clap...

    Notre nominé suivant présente une double originalité. Il s'agit d'abord, non pas d'une personne individuelle mais d'un groupe, d'un corporatisme à savoir celui des féministes représenté ce soir par Caroline Fourest et les Femen.

    Bonsoir Caroline! La seconde originalité est que cette nomination vous est accordée non pas pour ce que vous avez dit mais précisément pour votre silence. Celui particulièrement pesant que vous avez laissé planer lors de l'affaire du burkini cet été, et plus récemment suite à ce reportage de France 2 qui démontrait que des femmes étaient interdites de bar, "comme au bled", dans certains quartiers de Sevran. Comme quoi, on peut faire preuve de connerie sans même émettre un son. On salue aussi comme il se doit ces Femen, ces courageuses combattantes de salon qui n'hésitent pas à perturber des rassemblements pacifiques du FN, et regardent pudiquement ailleurs quand la charia se met doucement en place dans des quartiers de banlieue.

    Applaudissements.

    Notre dernier nominé à la distinction de la Connerie d'Or 2016 est, ce soir, Hollande Ouille pour sa prestation du 1er décembre. Après de longues minutes à exposer à quel point il était fier de ce qu'il avait fait pendant quatre ans et demi, notre grand humoriste s'est même payé le luxe de reconnaître une seule erreur: avoir proposé la déchéance de la nationalité française pour les terroristes de double nationalité.

    En résumé, dans son irrésistible sketch, il se vante d'avoir réussi tout ce qu'il a authentiquement foiré et regrette d'avoir pensé à la seule chose de bien qu'il aurait pu faire dans son quinquennat et qu'il n'a pas faite.

    A l'entendre, son bilan est vraiment formidable, et c'est la raison pour laquelle... il ne se représentera pas ! Avec cette chute aussi inattendue qu'hilarante, Hollande Ouille est vraiment le roi de l'absurde et du non-sens qui aurait pu donner des leçons à Raymond Devos!

    Et maintenant, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, l'heure de vérité. Parmi ces nominés, un seul va remporter le trophée de la Connerie d'Or 2016: un magnifique bonnet d'âne en or.

    Le nom du gagnant est dans cette enveloppe qui a été scellée sous l'autorité de notre huissier de justice, Maître Enfoiros.

    Le moment est venu d'ouvrir cette enveloppe....

    Roulements de tambour

    Et j'ai plaisir à annoncer : le lauréat de la Connerie d'Or 2016 est... Hollande Ouille !!

     

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    Toutes nos félicitations à notre grand gagnant, même si ce choix du jury n'est pas vraiment une surprise tant Hollande Ouille a toujours surpassé de la tête et des épaules ses concurrents. Et n'oublions pas que d'une certaine façon, la plupart des nominés sont des poulains de Hollande Ouille, qui n'a pas son pareil pour s'entourer d'authentiques tocards. Tous ont vocation à devenir les futurs lauréats de la Connerie d'Or des années à venir.

    Rendez-vous dans un an, cher public, pour le prochain Grand Prix prix de la Connerie d'Or 2017! Ici le Théâtre du Châtelet, à vous les Studios. "

    http://saucisson-pinard.blogspot.fr

     

  • Peillon appelle à la haine contre les juifs en comparant le sort des musulmans français sous Vichy

    Je n'ai pas encore fait le portrait du zoo politique, mais, déjà, vous en avez une avance!

    Il est des leurs: il fait le con comme les autres socialopes!

    Peillon a dressé un parallèle entre l’antisémitisme et l’islamophobie, Peillon accuse le Front national d’instrumentaliser la laïcité " contre certaines catégories de population " comme " il y a 40 ans les juifs à qui on mettait des étoiles jaunes "

    Jamais la dhimmitude, le mensonge, le clientélisme, mais également l’appel à la haine n’auront atteint ces limites.

    Peillon a-t-il seulement conscience de la monstruosité de cette comparaison ?

    Monstruosité car les juifs étaient officiellement désignés comme les ennemis de la nation, là où les musulmans français sont, bien au contraire choyés par les différents partis de gauche mais aussi de droite, à tel point que toute forme de remise en question de ce favoritisme est aujourd’hui sanctionné et puni par la justice au titre de discrimination, racisme ou incitation à la haine…’

    Monstruosité car faire ce rapprochement c’est simplement nier la souffrance, la spoliation et l’extermination de masse des juifs, de manière parfaitement officielle et revendiquée dans le cadre de la collaboration, sous Pétain.

    Monstruosité car le FN, complètement débarrassé de son passé sulfureux où sévissait le négationnisme, est aujourd’hui le seul parti à défendre les juifs, sans aucune ambiguïté.

    Monstruosité car tout le monde sait que l’antisémitisme le plus virulent et assassin vient principalement de membres de la communauté arabo-musulmane, comme ont pu l’affirmer et Jakubovicz président de la Licra et Prasquier Président du Crif.

    Monstruosité enfin car en faisant ce parallèle, Peillon cherche à diaboliser davantage le FN en le comparant au régime de Vichy et en faisant passer aujourd’hui les adeptes de l’islam pour les victimes quand on sait que c’est bien l’islam qui aujourd’hui pose problème en se montrant toujours plus vindicatif, agressif, hégémonique, en cherchant à imposer la charia partout par le régime de la terreur, et que seul le FN ose le clamer haut et fort.

    Peillon réussit ici une double ignominie: faire passer les bourreaux pour des victimes mais faire passer également les résistants pour des assassins.

    L’affiche rouge est encore aujourd’hui parfaitement adaptée au contexte.

    Les méthodes de Peillon ne constituent ni plus ni moins qu’un appel à la haine envers les juifs, digne des plus sombres méthodes de la propagande allemande du troisième Reich.

    Peillon n’ignore rien des prolongement en France du conflit israélo-palestinien et de la haine historique des musulmans envers cette communauté.

    En faisant le parallèle entre les juifs et les musulmans, Peillon ne fait que victimiser davantage les musulmans. Et c’est son but.

    Comme si toutes les nombreuses associations antiracistes qui nient le racisme antiblanc et ne défendent plus, dans la plupart des cas que cette seule communauté musulmane, n’attisaient pas suffisamment le racisme de cette communauté envers les Français de souche, envers la communauté juive, envers tout ce qui n’est pas musulman.

    Même le CRIF, pourtant islamo-tolérant, c’est le moins que l’on puisse dire, demande un " correctif immédiat "

    "Le Conseil représentatif des institutions juives de France( CRIF) a publié un communiqué pour dénoncer ces propos. "Le Crif dénonce la comparaison faite hier lors de son intervention sur France 2 par Vincent Peillon entre le sort des Juifs sous l’Occupation et la situation actuelle des musulmans de France.L’histoire de la déportation de plus de 75 000 Juifs, de la spoliation des biens juifs ou des lois discriminatoires comme le port de l’étoile jaune ne saurait être dévoyée et instrumentalisée au nom d’un soi-disant équilibre des souffrances. De telles déclarations ne servent que ceux qui cherchent à réécrire l’Histoire."

    L’institution juive demande "une clarification et un correctif immédiat de la part de Vincent Peillon".

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2017/01/04/25002-20170104ARTFIG00059-peillon-compare-le-sort-des-musulmans-francais-a-celui-des-juifs-sous-vichy.php

     

    Commentaires sous ce texte, là où j'ai lu cet article:

    Pour les Français du sud, (l'Occitanie, quoi! et aussi tous les Toulousains –NDLR) une "peille" c’est un chiffon, une saleté quelconque. Pire qu'une serpillère dégueu....

    Et un "peillon", donc, rien qu’un petit chiffon, un tas informe sur lequel on n’ose même pas s’essuyer les pieds.

    Et pour tous les Français, Peillon rime avec "pauvre con". Vous me direz:que ça fait une rime pauvre, mais justement: qu’attendre de mieux d’un Peillon ?

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    C’est curieux car lorsqu’on se penche avec un minimum d’esprit critique sur la période nazi en Allemagne on s’aperçoit que dans la fin des années 20 au début des années 30 :

    – les nazis occupaient la rue et étaient à l’origine de nombreuse violences urbaines

    – les nazis se distinguaient du reste de la population par une tenue ostensiblement différente

    – tous leur programme (espace vitale, politique anti juive etc …) était écrit dans un ouvrage largement diffusé dans leurs rangs,

    – les nazis avaient un commun un salut facilement identifiable et visible de loin qui leur permettait de s’identifier immédiatement en tant que tel,

    – les nazis agressaient les juifs.

    Maintenant je vous laisse réfléchir sur qui, depuis 40 ans, sont à l’origine des violences urbaines, portent volontairement des tenues prosélytes dans l’espace publique, font référence systématiquement à un livre ou a un vieux bédouin, se salut en se frappant le cœur de la main droite, tuent des petits juifs dans les écoles ou dans les magasins cashers ?

    Donc oui, il y a bien une comparaison possible avec les années 30 mais ce n’est pas du tout celle à laquelle pense Peillon.

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    Niemöller (Martin)

    Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas communiste.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas juif.

    Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas catholique.

    Quand ils sont venus chercher les francs-maçons, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas franc-maçon.

    Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.

     

    Lui, il vous les indique les collabos!

    Un jour, ils seront obligés de rendre des comptes au vrai peuple de France!

     

    https://youtu.be/x8NJo3_jSLs

     

     

  • Qui vous avais averti en juin?

    Grippe: inquiétudes après la mort d'une adolescente en Ardèche

    Trente-six heures après avoir consulté à l'hôpital, une jeune fille de 13 ans est décédée à son domicile en Ardèche. Les médecins appellent à la prévention alors que l'épidémie bat son plein.

    C'est un petit village, dans les montagnes de l'Ardèche, qui est sous le choc. A Gluiras, une adolescente de 13 ans est décédée à son domicile, dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Trente-six heures plus tôt, la jeune fille s'était rendue aux urgences de l'hôpital de Valence (Drôme), situé à une heure de chez elle, pour consulter pour une grippe. " L'hospitalisation n'a pas été jugée nécessaire car elle ne présentait pas de signes graves ", relève l'Agence régionale de santé (ARS). Le lendemain, les pompiers et le Samu, venus à son chevet, ont tenté de la réanimer, en vain.

    L'absence d'analyses effectuées fait que l'ARS ne pouvait pas hier confirmer ou infirmer que le décès était lié au virus.

     Un flou (la grippe n'est pas une maladie à déclaration obligatoire) qui inquiète, jusqu'au député de l'Ardèche, Pascal Terrasse (PS) : " Si la mort dramatique de cette jeune fille est liée à la grippe, il est urgent de le savoir et de comprendre pour faire de la prévention. "

     Car celui qui fut longtemps chargé au Parti socialiste des questions de santé le souligne : "La grippe est un virus qui se transmet, notamment en se faisant la bise. Dans ces périodes d'embrassades de bonne année, il faut prendre des précautions. Ce n'est pas une maladie à prendre à la légère. "

    L'Institut de veille sanitaire (InVS) confirme -- sans émettre de diagnostic pour l'adolescente -- qu'un " décès à 13 ans à cause de la grippe peut arriver, mais cela est tout à fait exceptionnel ". Le dernier bulletin officiel sur le virus le montre : les 65 ans et plus sont les personnes ultra majoritairement victimes de cas graves. L'avant-dernière semaine de décembre, moins de 1 % de ces cas concernaient les 5-14 ans.

    Les consultations explosent

    En vingt-neuf ans de terrain, le docteur Serge Smadja, secrétaire général de SOS Médecins, n'a eu qu'une seule fois affaire à une " grippe maligne ". " C'est une forme de la maladie qui touche les sujets jeunes sans que l'on comprenne pourquoi. Une détresse respiratoire se crée et le système immunitaire est rapidement atteint, torpillant la personne sans que nous ayons vraiment d'explication", indique-t-il.

    A SOS Médecins, le nombre de consultations pour des grippes ne cesse d'augmenter pour toutes les tranches d'âge, et il explose pour les plus de 75 ans (+ 132 %). " Nous sommes dans une période tendue, avec une activité débordante alors que l'épidémie n'a pas atteint son pic", reprend le médecin.

    Si la grippe H3N2 qui sévit en ce moment touche particulièrement les personnes âgées, elle a pour particularité d'être très virulente. "Elle a une forme invalidante, cloue au lit de nombreuses personnes", note Serge Smadja, qui insiste: il faut se couvrir la bouche lorsque l'on tousse et se laver régulièrement les mains avec du savon.

    Le Parisien

    IMPORTANT A FAIRE

    Il faut tousser et éternuer dans sa manche.

    Il ne faut plus se faire la bise et se serrer la main

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/06/15/attention-grippe-de-cet-hiver-dangereuse-en-france-5815352.html

  • Fantômes dans votre maison? Que faire….

    Les histoires de fantômes, on les raconte partout et à toute les époques.

     Même aujourd'hui, chacun d'entre nous en connaît au moins une que ce soit l'histoire d'une jeune femme assassinée au Moyen-Âge qui retourne régulièrement sur les lieux du crime ou celle d'un vieux duc qui rôde dans son ancien palais sans pouvoir retrouver la paix.

     

     La suite dans le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

     

     

     

  • Démentiel et triste à en pleurer!...

    Communiqué truffé de fautes : sait-on parler français à l'Elysée ?

    FIGAROVOX/HUMEUR - Christian Combaz trouvait déjà que les talents d'improvisation verbale de François Hollande étaient assez douteux. Cette fois, il s'insurge contre la pauvreté et l'incorrection des écrits élyséens même (et surtout) après transcription par son équipe.

    Christian Combaz est écrivain et essayiste, auteur des Gens de Campagnol (Flammarion). Son prochain livre, Les Ames douces, paraît ces jours-ci aux éditions Télémaque. Lire également ses chroniques sur son blog.

    François Hollande ne nous a pas habitués jusqu'ici à une expression particulièrement déliée ni toujours très correcte, mais le communiqué de presse écrit, envoyé à tous les journaux, relatif aux réfugiés de Syrie entrera certainement dans l'histoire. En tout cas je me flatte d'y contribuer. Morceaux choisis et commentés (en italique).

    “Palais de l'Elysée

    Mesdames, messieurs(sic, sans majuscule), j'ai reçu - et c'était la troisième fois - le Premier ministre d'Irlande Enda Kenny, avec lequel j'ai noué des relations d'amitié, avec des participations au Conseil européen qui nous ont rapprochés sur les grandes questions. Nos deux pays sont liés par l'histoire, et à chaque fois qu'il y a eu des épreuves, l'Irlande et la France ce sont toujours retrouvés. Irlande et France au féminin, donc retrouvées.

    [...]

    Aujourd'hui il y a une épreuve, celle du drame des réfugiés. Une image fait le tour du monde. Elle suscite une émotion, elle est partagée. Un enfant qui est retrouvé noyé sur une plage en Turquie parce que sa famille voulait rejoindre la Grèce et donc l'Europe. C'est une tragédie, mais c'est aussi une interpellation à l'égard de la conscience européenne. (Ou le Président vient de lire Christine Angot, ou il essaie d'imiter le relâchement général pour se rapprocher du peuple, ce qui est un mauvais calcul parce que même le plus obscur conseiller municipal d'un village de cent habitants aurait écrit "nous sommes témoins d'une situation qui nous serre le cœur" et non "il y a une épreuve". Quant à une "interpellation à l'égard de", c'est une autre langue que le français.)

    [...]

    Certaines [familles] ont été accueillies dans les pays voisins qui souffrent eux même.(Sic)

    [...]

    J'ai également appelé le Président turc ERDOGAN puisque c'est là que c'est passé le drame. (Sic) Ce drame, c'est aussi celui qui peut se produire, encore au moment où je parle, où des familles cherchent à traverser. (Traverser quoi? Où? "Qui peut se produire" n'appelle donc aucun complément?)

    [...]

    Et j'ai eu avec la chancelière MERKEL depuis déjà plusieurs jours, la volonté de prendre une initiative. (Observons que le président n'a pas pris une initiative, il en a eu la volonté, et depuis plusieurs jours, donc c'est du sérieux). Cette initiative consiste à saisir le Président de la Commission Européenne, le Président du Conseil européen, tous nos partenaires, pour que nous puissions mettre en œuvre une politique d'immigration et d'accueil qui soit digne de ce que nous représentons lorsqu'il s'agit de personnes qui n'ont pas vocation à venir ici et qui soit humaine pour que les réfugiés puissent être, dans la mesure du possible, lorsqu'il n'ont pas d'autre issue, accueillis en Europe. (Voilà une phrase qui restera dans les annales de la vie publique française et servira sans doute à illustrer la confusion d'esprit qui règne en ce moment à l'Elysée, et qui répond à la terreur de devoir dire quelque chose de ferme et de précis devant une situation qui vous dépasse totalement.)

    [...]

    Je ne voudrais pas que l'on en reste simplement au registre de l'émotion que nous avons d'un enfant de trois ans, son frère à peine plus âgé et puis d'autres familles, celles que nous ne voyons pas. (Au registre de l'émotion que nous avons? Encore bravo. La France de nos pères nous regarde mais, Dieu merci! elle ne nous entend pas.)

     

    [...]

    L'Irlande a montré qu'en quelques années elle était capable, alors qu'elle était ce qu'on appelait "sous programme" de connaitre maintenant une croissance et une stabilité. (Pas de tiret, pas d'explication sur ce qu'est le "sous-programme", pas d'accent à "connaître")

    [...]

    Nous avons aussi nos deux pays, sur le plan culturel, une volonté commune d'échanger des étudiants (Belle marquise, d'amour vos yeux mourir me font).

    [...]

    Enfin nous avons abordé trois sujets, je ne serais pas plus long. (Serai, au futur et non au conditionnel)

     [...]

    J'aurais (idem) l'occasion de m'en entretenir d'ailleurs avec David Cameron.

    [...]

    Il est donc tout à fait nécessaire d'avoir un mécanisme qui puisse prendre la situation de chaque pays européen et de voir ce qu'il est possible de réserver comme accueil dans ce pays-là, en fonction de ses caractéristiques. (Le président veut sans doute dire "analyser" la situation et non la "prendre", mais que vaut un discours où il est nécessaire d'imaginer, sans cesse, ce que l'orateur veut dire?)

    [...]

    Enfin, nous avons la responsabilité de régler la question syrienne, et je peux le dire d'autant plus facilement que la France a été toujours à l'initiative. Nous avons la responsabilité de faire en sorte qu'une solution politique puisse être trouvée (Outre la présomption qui consiste à vouloir régler la question syrienne, toujours le style passif de la Présidence, qui consiste à réunir les conditions de l'action sans s'y mêler vraiment. Le lecteur observera qu'il y a dans cette phrase un empilement de trois passivités façon grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf: on jouit d'abord d'un état de responsabilité, en somme on est content d'être aux affaires, mais pour faire quoi? Pour "faire en sorte" qu'une solution "puisse" être trouvée.)

    [...]

    Nous n'avons pas simplement à tenir des discours, nous avons à prendre des décisions, etc.

    (Surtout, pour être franc, des discours comme ceux-là. Le Président nous dit en somme que rien ne vaut les actes, ce qui est sage quand on s'exprime comme cela, mais en politique la parole est un acte aussi, et là, il s'agit en permanence d'un acte manqué.)

    En conclusion on peut s'interroger sur la qualité (ou l'intention) de ceux qui ont à relire ce genre de prose avant de l'envoyer. Ou ils sont carrément nuls, ce qui est une éventualité, ou ils font exprès de laisser passer des bourdes pareilles sans la moindre remise en forme pour accabler leur patron. En ce sens on pourrait parler de véritable coup d'état linguistique, ce qui serait une première.

    Christian Combaz

    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/09/04/31001-20150904ARTFIG00272-communique-truffe-de-fautes-sait-on-parler-francais-a-l-elysee.php

    NDLRédactrice: j'ai mis l'url pour que vous lisiez que ce c'est pas un hoax!