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femmes

  • Combien de temps l’humanité survivrait-elle si l’on arrêtait de faire des enfants?

    Suffit-il de calculer l’espérance de vie maximale d’un humain pour deviner combien de temps mettrait l’humanité à disparaître si l’on arrêtait de se reproduire? Pas si simple répond l’anthropologue américain Michael A. Little dans cet article à destination des plus jeunes.

    Très peu de personnes vivent au-delà d’un siècle. Ainsi, si plus personne n’avait d’enfants, il ne resterait probablement plus d’humains sur Terre dans 100 ans. Mais avant cela, la population commencerait à diminuer, à mesure que les personnes âgées mourraient sans qu’aucune nouvelle naissance ne vienne les remplacer. Même si toutes les naissances cessaient soudainement, ce déclin serait au départ progressif.

    UN EFFONDREMENT DES SOCIETES

    Mais peu à peu, il n’y aurait plus assez de jeunes pour assurer les tâches essentielles, ce qui provoquerait un effondrement rapide des sociétés à travers le monde. Certains de ces bouleversements mettraient à mal notre capacité à produire de la nourriture, à fournir des soins de santé et à accomplir tout ce dont dépend notre quotidien. La nourriture se ferait rare, même s’il y avait moins de bouches à nourrir.

    En tant que professeur d’anthropologie ayant consacré ma carrière à l’étude des comportements humains, de la biologie et des cultures, je reconnais volontiers que ce scénario n’aurait rien de réjouissant. À terme, la civilisation s’effondrerait.

    Il est probable qu’il ne resterait plus grand monde d’ici 70 ou 80 ans, plutôt que 100, en raison de la pénurie de nourriture, d’eau potable, de médicaments et de tout ce qui est aujourd’hui facilement accessible et indispensable à la survie.

    L’ELEMENT DECLENCHEUR: UNE CATASTROPHE MONDIALE

    Il faut bien reconnaître qu’un arrêt brutal des naissances est hautement improbable, sauf en cas de catastrophe mondiale. Un scénario possible, exploré par l’écrivain Kurt Vonnegut dans son roman Galápagos, serait celui d’une maladie hautement contagieuse rendant infertiles toutes les personnes en âge de procréer.

    Autre scénario: une guerre nucléaire dont personne ne sortirait vivant – un thème traité dans de nombreux films et livres effrayants. Beaucoup de ces œuvres de science-fiction mettent en scène des voyages dans l’espace.

    D’autres tentent d’imaginer un futur terrestre, moins fantaisiste, où la reproduction devient difficile, entraînant un désespoir collectif et la perte de liberté pour celles et ceux encore capables d’avoir des enfants.

    Deux de mes livres préférés sur ce thème sont La Servante écarlate de l’autrice canadienne Margaret Atwood, et Les Fils de l’homme de l’écrivaine britannique P.D. James. Ce sont des récits dystopiques marqués par la souffrance humaine et le désordre. Tous deux ont d’ailleurs été adaptés en séries télévisées ou en films.

    Dans les années 1960 et 1970, beaucoup s’inquiétaient au contraire d’une surpopulation mondiale, synonyme d’autres types de catastrophes. Ces craintes ont elles aussi nourri de nombreuses œuvres dystopiques, au cinéma comme en littérature.

    Un exemple: la série américaine "The Last Man on Earth", une comédie post-apocalyptique qui imagine ce qui pourrait se passer après qu’un virus mortel ait décimé la majeure partie de l’humanité.

    The Last Man on Earth imagine ce qui pourrait se passer après qu’un virus mortel ait anéanti la majorité de la population mondiale.

    EN ROUTE VERS LES 10 MILLIARDS D’HABITANTS

    La population mondiale continue résolument de croître, même si le rythme de cette croissance a ralenti. Les experts qui étudient les dynamiques démographiques estiment que le nombre total d’habitants atteindra un pic de 10 milliards dans les années 2080, contre 8 milliards aujourd’hui et 4 milliards en 1974.

    La population des États-Unis s’élève actuellement à 342 millions, soit environ 200 millions de plus qu’au moment de ma naissance dans les années 1930. C’est une population importante, mais ces chiffres pourraient progressivement diminuer, aux États-Unis comme ailleurs, si le nombre de décès dépasse celui des naissances.

    En 2024, environ 3,6 millions de bébés sont nés aux États-Unis, contre 4,1 millions en 2004. Dans le même temps, environ 3,3 millions de personnes sont décédées en 2022, contre 2,4 millions vingt ans plus tôt.

    À mesure que ces tendances évoluent, l’un des enjeux essentiels sera de maintenir un équilibre viable entre jeunes et personnes âgées. En effet, ce sont souvent les jeunes qui font tourner la société: ils mettent en œuvre les idées nouvelles et produisent les biens dont nous dépendons.

    Par ailleurs, de nombreuses personnes âgées ont besoin d’aide pour les gestes du quotidien, comme préparer à manger ou s’habiller. Et un grand nombre d’emplois restent plus adaptés aux moins de 65 ans qu’à ceux ayant atteint l’âge habituel de la retraite (plus tardif aux États-Unis).

    TAUX DE NATALITE EN BAISSE

    Dans de nombreux pays, les femmes ont aujourd’hui moins d’enfants au cours de leur vie fertile qu’autrefois. Cette baisse est particulièrement marquée dans certains pays comme l’Inde ou la Corée du Sud.

    Le recul des naissances observé actuellement s’explique en grande partie par le choix de nombreuses personnes de ne pas avoir d’enfants, ou d’en avoir moins que leurs parents. Ce type de déclin démographique peut rester gérable grâce à l’immigration en provenance d’autres pays, mais des préoccupations culturelles et politiques freinent souvent cette solution.

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  • J'en suis!

    Ils nous appellent “les personnes âgées”

    Nous sommes nés dans les années 40-50-60.

    Nous avons grandi dans les années 50-60-70.

    Nous avons étudié dans les années 60-70-80.

    Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes aventurés dans les années 80-90.

    Nous nous sommes stabilisés dans les années 2000.

    Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.

    Et nous allons fermement jusqu’en 2020 et au-delà.

    Il s’avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes…

    DEUX siècles différents… DEUX millénaires différents…

    Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance aux appels vidéo partout dans le monde.

    Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et WhatsApp.

    Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.

    Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.

    Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des giga-octets et des méga-octets sur nos smartphones.

    Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs, des Oxfords, des pattes d’éléphant, des combinaisons et des jeans bleus.

    Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.

    Nous avons fait du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l’essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.

    Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eue !

    Ils pourraient nous décrire comme des « ex annuels » ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

    Nous avons en quelque sorte « tout vu » !

    Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.

    C’est notre génération qui s’est littéralement adaptée au « CHANGEMENT ».

    Un grand bravo à tous les membres d’une génération très spéciale, qui sera UNIQUE.

    Un message précieux et très vrai que j’ai reçu d’un ami…

    LE TEMPS NE S’ARRÊTE PAS.

    La vie est une tâche que nous nous sommes amenés à faire à la maison.

    Quand tu regardes… il est déjà six heures de l’après-midi ;

    Quand tu regardes… c’est déjà vendredi ;

    Quand on regarde… le mois est fini.

    Quand on regarde… l’année est finie ;

    Quand on regarde… 50, 60 et 70 ans ont passé !

    Quand tu regardes… on ne sait plus où sont nos amis.

    Quand tu regardes… on a perdu l’amour de notre vie… et maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière.

    Donc…

    N’arrêtez pas de faire quelque chose que vous aimez par manque de temps.

    N’arrêtez pas d’avoir quelqu’un à vos côtés. Vos enfants ne seront bientôt plus les vôtres et vous devrez faire quelque chose avec ce temps restant, où la seule chose qui nous manquera sera l’espace qui ne peut être apprécié qu’avec les amis habituels si vous avez la chance de les avoir.

    Le temps qui malheureusement, ne revient jamais…

    * Le jour est aujourd’hui ! *

    * NOUS NE SOMMES PLUS À L’ÂGE DE REMETTRE À PLUS TARD. *

    J’espère que vous aurez le temps de lire puis de partager ce message… ou bien laissez-le pour “Plus tard” et vous verrez que vous ne le partagerez jamais surtout si vous passez de l’autre côté !

    Patrick Granville

    Transmis d’un auteur inconnu, pour l’histoire traversée par les personnes âgées

  • Animations et petits films gratuits

     

     

    Animations gratuites de J. JOYCE

  • Fantômes dans votre maison? Que faire….

    Les histoires de fantômes, on les raconte partout et à toute les époques.

     Même aujourd'hui, chacun d'entre nous en connaît au moins une que ce soit l'histoire d'une jeune femme assassinée au Moyen-Âge qui retourne régulièrement sur les lieux du crime ou celle d'un vieux duc qui rôde dans son ancien palais sans pouvoir retrouver la paix.

     

     La suite dans le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

     

     

     

  • Il n'y a pas que lui!

    La phrase du jour.

    “J’enrage de voir la langue française maltraitée“.

    Le prince consort Henrik de Danemark, dans le Figaro. L’époux de la reine Margrethe II, d’origine française, le reconnaît: "L’état de la langue française me déprime, je suis atterré lorsque j’écoute la radio ou la télévision“.

     

    Il a bien raison le consort de ne plus rentrer en France, quelle médiacratie! crasse, ignare, ennuyeuse.... il n'y a qu'à écouter les chansons dans les supermarchés: tous les jeunes chanteurs d'aujourd'hui agonisent leur chanson....

    Au moins, dans les seventies, nous écoutions Jimi Hendrix, les Doors, Janis Joplin, Joe Coocker et mêmes ce diable chantant born to be on live... chanson increvable et indémodable!

    Si j'ai fais une faute d'angliche, ce n'est pas grave... eux, ils ont une langue de chiot... et je n'ai apprise que la langue de Molière, dans un temps, pas si lointains où les profs n'avaient pas besoin de prendre une assurance pour se protéger des baffes et des insultes de parents minables cf ci-après

     

    Dans la newsletter de Valeurs Actuelles d'hier

    Un professeur sur deux souscrit une assurance juridique contre les menaces et les accusations

    « Elle a dit que j’avais frappé son fils. »

    En 2015, 461 000 professeurs ont souscrit une “assurance anti-insulte” ou “antimenace”, noms donnés par les enseignants à des assurances qui permettent de se défendre face aux menaces d’élèves et de parents d’élèves.

    Georges Fotinos, spécialiste de la violence à l’école, a déploré ce matin dans le Parisien "une montée réelle des agressions" contre les professeurs.

    Comment expliquer ce phénomène?  Il y a«"une tendance de fond, qui est la judiciarisation de la société. Avant, on réglait les choses à l’amiable, plus maintenant", explique Jacques Dureux, responsable produits à la Maif.

     

     

     

     

  • J'ai la côte!

     

    13 sites en .RU visitent un autre de mes blogs tous les jours! 

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/

     

    et deux TV Web!

     

    C'est extra!!!