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Science - Page 4

  • 10 Décembre

    10 décembre 1901. Attribution des premiers prix Nobel. L’inventeur de la dynamite, Alfred Nobel, avait stipulé dans son testament que des prix soient attribués annuellement, avec son héritage, à des personnes ayant contribué de façon significative au bien de l’humanité. Les prix sont distribués le jour anniversaire de la mort d’Alfred Nobel, le 10 décembre.

    10 décembre 1964. Martin Luther King reçoit le prix Nobel de la paix (à 35 ans) à Oslo, en Norvège, pour son combat non violent contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Le pasteur baptiste est le plus jeune lauréat du prestigieux prix. Un an auparavant, il avait prononcé son célèbre discours « I have a dream », devant 25 000 personnes.

    10 décembre 1903. Les Curie partagent avec Henri Becquerel le prix Nobel de physique, après avoir découvert le polonium et le radium. Marie Curie est la première femme à décrocher la distinction suédoise.

     

    AUJOURD'HUI 10 décembre:

    Cérémonie de remise des différents prix Nobel, à Stockholm et Oslo.

  • Ha, l'électromagnétisme!

    29 août 1831.

    Le physicien et chimiste britannique Michael Faraday invente la dynamo. Au cours d'une expérience, il découvre l’induction électromagnétique qui l'amènera à établir la théorie de l'électrolyse et à créer la dynamo, génératrice de courant continu.

    Savoir plus sur les dangers de l'électromagnétisme?

    www.on2nenocives.com

  • L’expérience insolite d’un cachet effervescent dans de l’eau en apesanteur

    Que se passe-t-il lorsque l’on jette un cachet effervescent dans de l’eau en apesanteur ? C’est l’expérience insolite à laquelle se sont livrés les astronautes de l’ISS.

    La Station Spatial Internationale est un véritable laboratoire volant. Et qui dit laboratoire, dit expériences. Grâce à leur caméra 6K (résolution de 6144 x 3160 pixels), nos astronautes ont pu observer la réaction d’un cachet effervescent dans une bulle en apesanteur. Rassurez-vous, ce n’est pas pour cette seule expérience que les astronautes ont été équipés d’un appareil aussi haut de gamme.

    Premièrement, l’usage est scientifique. En effet, cette caméra très haute résolution permettra aux astronautes d’observer des détails jusqu’alors imperceptibles et donc, de mieux analyser les résultats des expériences conduites sur place. À bord de l’ISS, les chercheurs conduisent en effet quotidiennement de nombreuses expériences, comme l’analyse des effets de l’apesanteur sur les mécanismes biologiques, ou sur les effets de l’exposition de matériaux ou d’organismes vivants au rayonnement spatial.

    L’usage est également " pratique ". Évidemment, avec de telles images, il est plus facile pour l’équipage de surveiller ce qui se passe et d’intervenir si besoin lors de manœuvres techniques. Mais lorsque l’on a un tel outil entre les mains, pourquoi ne pas s’en servir également pour nous émerveiller ?

    En témoigne cette vidéo mise en ligne le 27 juillet 2015, qui met en scène Terry Virts (qui a quitté depuis l’ISS) insérer un cachet effervescent dans une bulle d’eau qui flotte en apesanteur. Comme on peut le constater, la pastille réagit comme sur terre en dégageant une grande quantité de bulles de CO2. Rien de nouveau sous le soleil donc, mais de belles images en perspectives :

    Allez voir la vidéo

    http://sciencepost.fr/2015/07/lexperience-insolite-dun-cachet-effervescent-de-leau-apesanteur/

  • T'a de beaux yeux, tu sais.....

    Les personnes aux yeux bleus ont tendance à être plus alcooliques

    Avez-vous les yeux clairs ou foncés? S'ils sont clairs, cela pourrait bien refléter une dépendance à l'alcool, selon une étude américaine.

    La couleur des yeux peut être le miroir... des addictions. Des généticiens de l'université du Vermont, aux Etats-Unis, ont mis en évidence un lien entre les yeux clairs et un penchant pour l'alcool. Pour observer cette relation, les chercheurs ont examiné le profil génétique de 1263 personnes qui étaient enregistrées dans une base de données comprenant des personnes alcooliques ou toxicomanes. Leur étude conclue que les personnes aux yeux clairs, bleus, verts ou gris, ont plus de risque de développer une addiction à l'alcool.

    Comment expliquer cette association? C'est là que l'étude pèche un peu. Le professeur en microbiologie Dawei Li et son équipe bottent en touche quand il s'agit de proposer une explication. Certains feront encore les gros yeux en lisant ces conclusions un peu floues. La clé se trouve sûrement dans l'une des nombreuses combinaisons génétiques responsables de la couleur de l'iris.

     

    Les yeux, un reflet de l'état de santé

    Le lien entre la couleur des yeux et la santé préoccupe les chercheurs. Avant ceux du Vermont, des universitaires de Pittsburgh, toujours aux Etats-Unis, ont suggéré les femmes caucasiennes aux yeux clairs (bleus ou verts) tolèrent mieux la douleur et sont moins sujettes au stress que les femmes aux yeux foncés. Une autre idée tout aussi troublante nous était venue de chercheurs Italiens arguant que les yeux bleus prédisposeraient au risque de diabète de type 1 et à des problèmes d'audition.

    Avez-vous les yeux bleus ou marron? Cette question à première vue anodine donnerait plusieurs indices sur votre niveau d'anxiété ou sur votre risque de diabète, selon des chercheurs de l'université de Pittsburgh. Ce que la couleur des yeux révèle de votre santé

    On dit souvent que les yeux sont le miroir de l'âme. Il semblerait qu'on puisse aussi y lire le niveau de stress de quelqu'un ou sa sensibilité à la douleur. Alors que la relation entre les yeux et la santé fascine et intrigue les chercheurs depuis de nombreuses années, l'université de Pittsburgh publie une étude étonnante sur le sujet. Selon eux, les femmes caucasiennes aux yeux clairs (bleus ou verts) tolèrent mieux la douleur et souffrent moins du stress que les femmes aux yeux foncés.

    L'étude de 58 femmes enceintes a laissé entrevoir des différences surprenantes suivant la couleur des yeux. Ainsi les participantes aux yeux clairs ont éprouvé moins de douleur à l'accouchement que les autres. Elles auraient aussi été moins anxieuses, moins déprimées et moins sujettes aux pensées négatives que les femmes aux yeux foncés, observe l'étude.

    Sans donner l'origine exacte de cette différence, le Dr Inna Belfer, de l'université de Pittsburgh suggère que la raison serait à chercher dans les gènes. Des marqueurs génétiques associés à la couleur des yeux, bleue ou marron par exemple, seraient déterminants pour la santé. L'étude indique par exemple que des gènes liés à la mélanine et responsables de la couleur foncée prédisposeraient par exemple à une plus grande sensibilité à la douleur. La mélanine étant associée au fonctionnement du cerveau, elle expliquerait pourquoi le temps de réaction est amélioré chez les personnes aux yeux foncés que chez les yeux bleus. Les premiers seraient plus doués au Frisbee ou au tennis que les seconds.

    Yeux bleus = plus de diabète ?

    Une précédente étude italienne a suggéré que les yeux bleus augmentaient le risque de diabète de type 1 mais aussi à des problèmes d'audition.

     

  • Un véritable casse-tête!

    Un nouveau problème de mathématiques donne des sueurs froides aux plus érudits.

    Voici l’exercice, ou plutôt le casse-tête, qu’un professeur de mathématiques vietnamien a donné à ses élèves de CE2 il y a quelques jours.

    Même certains enseignants en mathématiques pourraient se retrouver bloqués. L’exercice de mathématiques proposé par cet enseignant vietnamien a donné du fil à retordre à bon nombre de matheux. Et pour cause, le prof de cette école primaire de Bao Loc, au Vietnam, a admis que “l’exercice est difficile même pour des adultes bons en maths. Il sera donc difficile pour des élèves de CE2 et encore plus pour ceux des petits villages de montagne“. Même si le Vietnam est classé 17e en mathématiques au classement Pisa international, qui compare le niveau des élèves dans 65 pays, lorsqu’ils ont 15 ans, dans les principales matières. La France est 25ème pour les maths.

    Sachez qu’il existe 362 880 combinaisons possibles pour disposer les chiffres de 1 à 9 dans les cases vides! Qui saura relever le défi?

    Pas moi! je relève pas le défi! j'en ai bien d'autres!!!

     

    lexercice-de-ce2-qui-irrite-la-planete.jpg

  • D'autres infos sur le MIRACLE DES MIRACLES

    Mande pardon à ceux qui n'ont pas de maladies auto-imunes ni personne de leur entourage (quelle chance vous avez!) mais, celles et ceux concernées seront content-es de ces infos supplémentaires....

     

    Je peux vous dire que la recherche que nous avons en Belgique n’a à rougir de personne". L’auteur de ces propos, c’est Christian Homsy, patron de Celyad (ex-Cardio3 BioSciences), spécialiste de la thérapie cellulaire pour le cœur et le cancer. L’une de nos fiertés nationales, parmi ce qui se fait de mieux dans le domaine de la santé en Belgique. L’homme arpente la planète, dévore le marché américain, lorgne ses investisseurs. La comparaison avec les Etats-Unis est féroce, et pourtant, malgré tout, la Belgique est et reste "de très haute qualité".

    Cet article et les exemples qu'il contient en sont les meilleures preuves. Derrière le paravent des Cardio3, IBA, Mithra,…, un terroir continue à se développer. De jeunes espoirs belges émergent. Et ils écrivent une nouvelle et passionnante histoire de la santé. OncoDNA, à Gosselies, est capable de fournir le diagnostic et le traitement personnalisé d’un cancer sur simple présentation d’une biopsie du patient. Novadip génère des greffes osseuses au départ d’une ponction dans la graisse abdominale. Le Professeur Pierre Vanderhaeghen crée un cortex cérébral "en boîte" et lance un nouveau courant de recherche dans les zones obscures du cerveau.

    Tous les exemples présentés ici, et bien d’autres encore, montrent combien nos chercheurs excellent dans leur combat contre les maladies de notre siècle.

    Jean-Marie Saint-Remy précise: trois injections suffisent. Trois coups avant un lever de rideau. Changement de décor. Le cercle vicieux est transformé en cercle vertueux, le processus inflammatoire est enrayé, une phase de récupération s’enclenche. Le visage de Saint-Remy s’illumine, il est formel: "Le patient est sûr de pouvoir récupérer ses fonctions altérées! Du moins en partie."

    Cette thérapie cellulaire, dite autologue, consiste en une prise de sang pour prélever des cellules sanguines du patient. En culture, l’équipe médicale effectue son opération de désinformation. Quatre stimulations permettent d’obtenir une sélection homogène de cellules à activité thérapeutique. Une fois que les lymphocytes T, porteurs du message imposé par le code CXXC, sont transformés en tueurs de messagers, ils sont réinjectés et le miracle s’accomplit.

    Il faut compter deux mois environ, entre la prise de sang et la réinjection. Dont 24 h de test et 4 à 6 semaines de mise en culture. Le schéma a été validé, standardisé, s’appuyant sur un modèle animal de thérapie cellulaire. Quelques souris ont été induites en maladie, un minimum, mais avec des protocoles qui miment, au maximum, le modèle humain.

    Le premier patient, qui aujourd’hui se prête à l’essai clinique, a été recruté en janvier et recevra l’injection en juin, à Bruxelles, aux cliniques Saint-Luc. D’autres patients seront recrutés entre-temps dans les trois hôpitaux belges avec lesquels ImCyse collabore : Saint-Luc (UCL), Sart-Tilman (ULg), Gasthuisberg (KUL). Pour suivre le même protocole et confirmer les données.

    L’horizon? Fin 2016, si tout va bien, les résultats complets de cette première étude seront connus. La population visée en première instance? Les patients victimes de la forme récurrente de la maladie, chez qui la sclérose n’a pas encore trop lourdement affecté l’organisme.

    Une fois le principe acquis, le développement complet prendra encore plusieurs années. La question qui se posera à ImCyse sera celle de l’échelle, du déploiement d’une technique désormais éprouvée. Le professeur évoque des campagnes de vaccination directe auprès de populations à risques, dont il reste à définir le profil (hérédité, environnement…).

    Développement

    Jean-Marie Saint-Remy conclut: "ImCyse est une plateforme technologique, pas un nouvel emballage pour une babelutte!" C’est-à-dire un vivier de solutions. Et la technique qu’il est en train de valider pour la sclérose en plaques vaut pour d’autres maladies auto-immunitaires. Au premier rang desquelles… le diabète insulino-dépendant.

    Effectivement, on imagine la pression. L’enjeu de l’essai clinique en cours est considérable. "Il s’agit d’une technologie de rupture, révolutionnaire, et nous avons l’ambition de la développer dans de nombreux domaines", nous glisse Pierre Vandepapelière, CEO d’ImCyse.

    Une porte s’ouvre. Les investisseurs commencent à s’y presser: Meusinvest, Biogenosis… Un premier plan d’investissements a été lancé en 2012. Après la Flandre – ImCyse est devenue spin-off de la KUL en 2011, six mois après sa création –, la Région wallonne est venue la soutenir et l’Europe lui a accordé un gros subside pour son projet dans le diabète. "Le but est d’arriver à guérir ces maladies sévères, on a le potentiel. ImCyse peut devenir un leader mondial de l’immunothérapie."

     

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

     

  • Youpie, on sentira tous bon!

    Le monde est sur le point de changer. Demain, lorsque votre voisin de TGV arrivera en courant et en sueur, il n'embaumera peut-être plus le wagon entier avec son odeur de transpiration lorsqu'il lèvera les bras pour ranger sa veste au-dessus de son siège. Ce n'est pas la Convention de Genève qui s'attaque à ces agressions olfactives, mais plutôt une équipe de chercheurs de la Queen's University de Belfast (Irlande du Nord). Les trois compères ont découvert une formule de "liquide ionique parfumé", qui s'active au contact de l'humidité, et donc de la sueur.

    Outre l'action salvatrice du parfum, les chercheurs ont ajouté à leur formule des sels qui peuvent aspirer la transpiration et la rendre inodore, ou presque. "Cette nouvelle méthode constitue une percée fantastique. Elle a non seulement un gros potentiel commercial en entrant dans la fabrication des parfums et des cosmétiques, mais elle pourrait également être utile dans d'autres domaines scientifiques par rapport à la libération graduelle de certaines substances", a souligné le chef du projet, le Dr Nimal Gunaratne.