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Liberté - Page 6

  • PETIT  RAPPEL

    Le dimanche des Rameaux est, dans le calendrier liturgique chrétien, le dimanche qui précède le dimanche de Pâques et qui marque l'entrée dans la Semaine sainte.

    Il commémore deux événements : d'une part, l'entrée solennelle de Jésus à Jérusalem, où il fut acclamé par une foule agitant des palmes et déposant des manteaux sur son passage, épisode relaté dans les quatre Évangiles canoniques;

    -d'autre part, la Passion du Christ, sa mort sur la croix et sa Mise au tombeau, d'où le nom actuel de "célébration des Rameaux et de la Passion".

    Depuis le concile Vatican II, son nom liturgique est le "dimanche des Rameaux" . Auparavant, ainsi que dans la forme tridentine du rite romain, il s’appelait "deuxième dimanche de la Passion ou dimanche des Rameaux".

    Les rameaux verdoyants, signes de vitalité, sont déposés sur les tombes au cimetière ou accrochés aux crucifix dans les maisons ou au dessus de la porte. Les rameaux, en général, des branches de buis et/ou de laurier, sont bénis durant la messe par le prêtre. On doit le garder au moins, tout au long de l'année avant que celui de l'année suivante ne le rende obsolète.

  • Une Marianne transgenre dans les mairies???

    La honte ne finira, donc, jamais???

    AVANT D’ALLER PLUS LOIN, UN PETIT HISTORIQUE ME SEMBLE INDISPENSABLE.

    Marianne est une figure symbolique de la République française. Sous l’apparence d’une femme coiffée d’un bonnet phrygien, elle représente la République française et ses valeurs traduites par sa devise : « Liberté, Égalité, Fraternité ».

    On lira avec intérêt et amusement les différentes hypothèses concernant l’origine de cette Marianne ou Marie Anne. Quelles qu’elles soient elles sont liées, intimement à l’histoire de la France et à la révolution. Or, en 1789, les Françaises étaient plus que majoritairement blanches, et même celles qu’on appelait “créoles” comme Joséphine de Beauharnais étaient bien blanches, elles étaient nommées ainsi parce que, de famille européenne, elles vivaient dans les îles.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marianne

    Notre Marianne fait obligatoirement référence à un épisode majeur de notre histoire, la révolution française, et si elle est coiffée d’un bonnet phrygien c’est que, en ces temps où l’on révérait l’histoire romaine, on a emprunté la cérémonie de libération des esclaves, symbolisée par le bonnet phrygien, ressemblant au “pileus” dont étaient coiffés les esclaves affranchis.

    C’est donc un symbole très fort de liberté… liberté liée à une histoire, celle de la France. Le bonnet phrygien représente la libération de la France de la royauté. Il est donc évident que seuls des Français d’origine, descendant symboliquement de ceux de 1789, peuvent le porter, peuvent représenter la France et plus exactement la République.

    Cela ne signifie pas que des Français de couleur ne soient pas français, c’est juste une histoire de cohérence. Par l’histoire et par la réalité puisque pour l’heure nous sommes encore majoritairement blancs et de culture gréco-romaine/judeo-chrétienne… Et Marianne synthétise tout cela.

    ENCORE UN COUP DE MACRON.

    Aidé cette fois de Schiappa, la médiocre, cette pauvre fille que Macron occupe comme il peut en surfant sur les idées fixes de la pauvrette (façon de parler, j’aimerais assez avoir son compte en banque), Macron l’assassin veut donc nous imposer une Marianne de la diversité, voire transgenre…

    Marlène Schiappa évoque la nouvelle Marianne inclusive qu’Emmanuel Macron choisira en mai. Issue d’une fusion de milliers de portraits, elle sera peut-être “un peu” transgenre

    Macron s’apprête donc à faire une fois de plus coup double, comme il l’avait déjà fait en nommant ambassadeur de la francophonie une Africaine dans un pays dont la première langue est… l’anglais. Mais pourvu que les Gaulois réfractaires et les franchouillards ne reconnaissent plus leur pays et fassent ainsi de la place pour l’immigration massive, tout va bien.

    Il s’agit cette fois d’inventer, ciseler une Marianne dans laquelle, évidemment, les Français ne se retrouveraient pas, surtout pas. Et dans laquelle, a contrario, au contraire, les Africaines fessues, les Maghrébines mamelues et toutes celles qui ne rêvent que de manger avec leurs doigts ne se reconnaîtraient pas puisque, pour accueillir l’autre, il faudrait -selon le traître en chef-, renoncer à ce que nous sommes, de peur de l’imposer.

    Et pour cause, puisque le but est de nous détacher de notre identité, de notre histoire, de notre fierté, de notre pays, pour ne plus être identifiable que comme “citoyen du monde”. Pour cela, Schiappa doit, avec nombre de gauchos se prétendant artistes, forcément, tout aussi tarés, inutiles et même nuisibles que le sieur Lagarnerie qui voudrait abolir le mot “France”…

    Abolir un mot? Bigre, cela ressemble furieusement à nombre de totalitarismes, non? Bon celui-là est corsé, et je suis persuadée qu’il s’entend comme larron en foire avec l’autre taré de l’Élysée.

    Or, Macron aurait dans l’idée d’ajouter de l’exotisme en imaginant une Marianne “en partie” !!!??? transgenre… Oui, exotique (Définition du dictionnaire : Qui (dans la perception occidentale) est perçu comme étrange et lointain et stimule l’imagination.) Je n’ai rien contre les personnes qui changent de sexe, à condition qu’elles le fassent à l’âge adulte, bien sûres d’elles et non sous une pression communautariste ou par un effet de mode, mais là encore il s’agit d’un anachronisme. En 1789 on ne reconnaissait et n’autorisait même pas l’homosexualité, alors le côté transgenre… Sans compter que lorsqu’on a un symbole, il doit représenter la majorité des éléments qui lui sont associés, sous peine d’être incompréhensible et donc sans valeur.

    Et c’est ce qui arrivera à la Marianne de Macron-Schiappa si leur projet arrive au bout… Projet qui ne symbolisera que la disparition de la France et sa destruction voulue, acharnée, par celui que des crétins de Français ont élu pour la seconde fois.

    Après les millions déversés pour les migrants, après la disparition des meilleurs lycées et des meilleurs élèves, après la Marianne ressemblant à une Femen ravie de dire son orgasme à l’idée qu’un facho puisse lui lécher le cul (sous Hollande), après la vaccination folle de nos enfants, après avoir essayé de nous interdire les voitures, les cheminées, la maison individuelle, bref tout ce qui fait nos traditions, nos valeurs, notre bonheur, après avoir essayé de tuer l’agriculture, le nucléaire, la propriété privée, la liberté d’aller et venir, la liberté vaccinale, après avoir tout fait pour nous entraîner dans une guerre terrible contre notre allié russe, après avoir permis que des médiocres et des mauvais fassent cours à nos enfants (recrutés avec 5 de moyenne aux concours), après avoir permis que des associations pro-migrants aient un niveau de vie qui fait pâlir nos travailleurs que l’on veut faire bosser jusqu’à ce que mort s’ensuive, après avoir défiguré nos paysages même maritimes avec des éoliennes, qui tuent en nombre oiseaux et poissons, après avoir endetté comme jamais la France et donc les Français pour qu’ils n’aient plus la possibilité de la moindre indépendance, de la moindre liberté, incapables de s’en sortir eu égard avec l’endettement maximum sauf à sortir de l’UE…

    Et tout cela ne représente que le millième de tout ce que la bande de mondialistes au pouvoir en France nous fait subir ou plutôt nous arrache, jour après jour.

    Christine Tasin

  • Ils sont fous, ces Canadiens???!!!

    Canada: un lycéen arrêté pour avoir dénoncé la théorie du genre!!!

    "J’ai dit qu’il n’y avait que deux sexes et que vous étiez né soit un homme soit une femme, et cela m’a causé des ennuis".

    Josh Alexander est un jeune Canadien âgé de 16 ans. Il n’est pas près d’oublier sa scolarité à l’école secondaire (l’équivalent d’un lycée français) Saint-Joseph, un établissement catholique à Renfrew, en Ontario.

    Son tort? Avoir remis en cause la théorie du genre en classe. Il a défendu sa position en argumentant qu’en accord avec l’enseignement catholique et la Bible, il n’y a que deux genres, masculin et féminin — et que, par conséquent, les hommes biologiques ne devraient pas être autorisés à entrer dans les toilettes des femmes.

    Grand mal lui en a pris, ses opinions l’ont fait suspendre: fin novembre, l’école a décidé d’interdire son accès à Josh. Le 6 février, celui-ci a voulu retourner en classe et a été accueilli par le directeur adjoint de l’établissement assisté de deux policiers locaux, qui ont interpellé le jeune homme pour pénétration illégale dans l’enceinte d’un lycée dont il ne faisait plus partie.

    Il a été escorté, sans menottes, jusqu’au véhicule de police. Un avocat représentant le lycéen a déclaré que l’école ne le laissera plus assister aux cours tant qu’il n’acceptera pas "de cesser d’utiliser l’ancien prénom d’un étudiant transgenre, et de ne plus participer à deux cours de l’après-midi car ces cours sont suivis par deux étudiants transgenres qui désapprouvent les croyances religieuses de Josh".

    En réponse à cette polémique, Josh Alexander a déclaré au National Post que les étudiants transgenres qui rejettent ses opinions devraient peut-être réfléchir au fait qu’ils fréquentent une école catholique, ou du moins une école qui se dit catholique.

  • Comment faire dissoudre les associations qui combattent la France

    Les associations qui défendent soi-disant la laïcité ne cessent de combattre la France et les symboles chrétiens et veulent faire supprimer du paysage tout symbole religieux chrétien.

    Par contre, chacun peut constater qu’elles ne s’opposent jamais à l’expansion de l’Islam en France, que ce soit par la création de mosquées, ou par la demande d’avantages de plus en plus nombreux (nourriture halal dans les écoles, piscines réservées, port du voile en entreprise et dans les universités, etc.).

    Il convient donc de savoir comment il serait possible d’agir contre ces associations politiques et comment demander en justice leur dissolution.

    Il y aurait en fait deux axes principaux:

        La question de leur objet social, beaucoup trop vague, alors qu’elles s’octroient un pouvoir qu’aucune loi ne leur confère ;

        La question de leur représentativité, et de la nocivité de leur action politique.

        Attaquer les association laïques par " l’atteinte aux bonnes mœurs, et l’incitation à la haine ".

    En préalable, rappelons que selon l’article 3 de la loi du 1er juillet 1901:

    "Toute association fondée sur une cause ou en vue d’un objet illicite, contraire aux lois, aux bonnes mœurs, ou qui aurait pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national et à la forme républicaine du gouvernement, est nulle et de nul effet".

    Une association peut être dissoute par décret en Conseil des ministres, dans les cas suivants:

        Provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ou propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encouragent cette discrimination, cette haine ou cette violence ;

        Agissements, sur le territoire français ou à partir de ce territoire, en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l’étranger ;

        Provocation à des manifestations armées dans la rue ;

        Association présentant, par leur forme et leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées ;

        Association ayant pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national ou d’attenter par la force à la forme républicaine du gouvernement

    La notion d’atteinte aux bonnes mœurs serait une voie d’attaque de ces associations:

    – Elles provoquent à la discrimination, la haine et la violence envers les catholiques ;

    – Leur façon de se manifester peut les faire assimiler à des milices privées, puisqu’elles n’hésitent pas parfois à recourir à la violence, notamment en saccageant de plus en plus d’églises.

    Leur action porte gravement atteinte à de nombreux chrétiens et Français tout simplement.

    Or, le prolongement de la liberté de conscience est le droit pour chacun d’être protégé contre les atteintes à ses convictions religieuses ou philosophiques, et les musulmans ne se privent jamais d’invoquer " ce droit " à leur profit unique.

    Ce droit est consacré par les grands textes (article 10 de la Déclaration des droits de l’homme: "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes religieuses " ; l’article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958 a surtout élevé le respect des croyances au rang de principe constitutionnel en énonçant: " La France assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances'.). Ce droit à la protection du sentiment religieux est aussi affirmé par les textes internationaux, notamment l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Sur le fondement de ces textes, le juge a consacré le droit au respect des croyances.

    Le Conseil constitutionnel considère que, si l’État " n’a pas à reconnaître officiellement ce droit, il doit au moins le constater, et en tolérer l’usage dans la mesure où ses propres lois n’en sont pas lésées " (Cons. const., 19 nov. 2004, n° 2004-505 DC: Rec. Cons. const. année, p. 173, note Sudre F. ; RFDA 2005, p. 34, note Chelini-Pont B. et Tawil E. ; Annuaire Droit et Religions, 2005, PU Aix-Marseille, p. 473.)

    Si, selon les penseurs de gauche, le principe de laïcité postule le pluralisme des valeurs, cela vaut donc également des valeurs chrétiennes.

    En droit international

    Au plan du droit international, "pour quelque sujet que l’on ravage un pays, on doit épargner les édifices qui font honneur à l’humanité" (De Vattel E., Le Droit des Gens ou principes de la loi naturelle appliqués à la conduite et aux affaires des Nations et des Souverains, vol. II, livre III, chapitre IX, 1983, Genève, Institut Henry Dunant, p. 139).

    C’est ainsi que, posant un principe d’immunité des biens culturels, diverses conventions internationales prévoient que, même en cas de siège ou de bombardement, " toutes les mesures nécessaires doivent être prises pour épargner (…) les édifices consacrés aux cultes, aux arts, aux sciences et à la bienfaisance, les monuments historiques " Convention (IV) de La Haye concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre du 18 octobre 1907. Adde: convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé du 14 mai 1954 ; statut de la Cour pénale internationale, adopté à Rome le 17 juillet 1998, articles 8 (2) (b) et 8 (2) (e), qui qualifie de crime de guerre "le fait de lancer des attaques délibérées contre des bâtiments consacrés à la religion, à l’enseignement, à l’art, à la science ou à l’action caritative ou contre des monuments historiques".

    Or, pourquoi ces mesures de protection qui prévalent en cas de conflit armé ne prévaudraient pas, également en temps de paix, dès lors que l’objectif de destruction est identique?

    Les droits religieux existent. L’on ne peut pas le nier.

    Ce ne sont toutefois pas tous les édifices cultuels qui bénéficient d’une protection renforcée mais seulement ceux qui appartiennent au "patrimoine culturel ou spirituel des peuples" (Protocole additionnel I aux conventions de Genève de 1949, Genève, 8 juin 1977, art. 53), ce qui montre bien que les lieux de culte sont alors moins protégés en eux-mêmes, dans leur dimension sacrée, qu’en tant que biens culturels appartenant au patrimoine commun de l’humanité.

    Cette protection renforcée se justifie par la dimension symbolique de ces biens qui représentent la culture et la civilisation des peuples. Car à travers la destruction des lieux de culte et autres monuments historiques, c’est parfois l’identité même d’une civilisation que l’on cherche à anéantir, afin d’effacer toute trace de sa présence ou de son existence (Casier F., " Les régimes de protection en droit international humanitaire ", in La protection des biens culturels, ses aspects militaires et opérationnels et l’application aux situations hors conflits armés, Centre d’étude de droit militaire et de droit de la guerre, 22 mai 2014, www.ismllw-be.org/session/2014-05-22-CASIER%20F-Texte%20final.pdf ;Bugnion F., " La genèse de la protection juridique des biens culturels en cas de conflit armé dans le cadre du droit international humanitaire " – (www.icrc.org/fre/assets/files/other/irrc.pdf.).

    Par ailleurs, les statues de la Vierge présentent un caractère sacré, mais également un intérêt artistique et historique et la sécurisation et la protection du patrimoine est encouragée par l’UNESCO.

    Pour l’UNESCO le patrimoine immatériel religieux, du moins celui des grandes religions, apparaît comme la composante d’un ordre juridique transnational destiné à transcender les frontières étatiques nationales pour gouverner les relations internationales privées des personnes, indépendamment ou presque des souverainetés nationales.

    Le patrimoine religieux est ainsi porteur d’un ordre juridique transnational caractérisé par:

        une communauté de personnes suffisamment stable, identifiée et organisée pour asseoir le développement de normes adaptées ;

        une complétude et une autarcie assurées par l’existence d’un législateur, prenant la forme d’un pouvoir de commandement et d’une charte fondatrice et d’un juge ou, plus largement, d’une instance d’apaisement des conflits, selon les expressions employées par Rémy Libchaber dans son bel ouvrage L’ordre juridique et le discours du droit ;

        enfin, une relative autonomie par rapport aux ordres nationaux, ce qui renvoie aux règles de "relevance" étudiées notamment par Santi Romano.

    Le patrimoine immatériel religieux , dans sa dimension temporelle et transgénérationnelle, constitue un fonds commun ayant vocation à se transmettre de génération en génération et à se perpétuer en se renouvelant.

    Par ailleurs, si l’article 28 de la loi de 1905 interdit, pour l’avenir, d’élever ou d’apposer un signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l’exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires, ainsi que des musées ou expositions, les édifices antérieurs sont protégés.

    Afin de se prémunir contre le risque de dissipation, la loi de 1905 pose non seulement des règles d’inaliénabilité et d’imprescriptibilité des édifices cultuels du moins lorsqu’ils sont classés au titre de la législation relative à la  protection des monuments historiques mais accorde encore un droit de préemption au profit des associations cultuelles, des communes, des départements, des musées et sociétés d’art et d’archéologie et de l’État ( L. 9 déc. 1905, art. 17).

    Cette dimension symbolique du lieu de culte justifie une protection renforcée des édifices cultuels envisagés en leur qualité de lieu de rassemblement.

        Quelle est la représentativité des associations dites " Laïques "?

    Dés lors que ces associations introduisent des actions visant à toucher la vie de tous, elles se doivent d’avoir une certaine représentativité.

    En effet, à quel titre subissent-elles un préjudice? D’où leur vient la prérogative de définir ce qu’est la laïcité pour la façonner judiciairement à leur seule volonté  alors que ce droit devrait plutôt revenir au parlement?

    Force est de constater, que sans en être expressément autorisées par la loi, elle se comportent comme les associations anti-racistes, qui peuvent agir sans avoir subi de préjudice propre.

    Un objet social général de " respect de la laïcité " est beaucoup trop vague, et de plus, le respect de la laïcité ne relève pas de leur compétence. Si la laïcité est garantie par la Constitution, aucun texte ne dit que ce sont " ces associations " qui sont chargées de la faire respecter, agissant ainsi comme une police des mœurs.

    Ces associations font de la "laïcité" un enjeu politique global qui motive leur engagement, mais le sectarisme, l’intolérance et la surenchère verbale qui les caractérisent masquent difficilement la faiblesse de leurs effectifs et de leurs moyens.

    Ces associations ne sont souvent que les émanations de loges maçonniques selon lesquelles  le cléricalisme obstiné et reconquérant de la hiérarchie vaticane doit être combattu: il ne faut manquer aucune occasion de le dénoncer et de s’y opposer. L’esprit de croisade survit encore, toujours aussi malfaisant. La laïcité constitue l’antidote le plus efficace contre les entreprises de recléricalisation, en France et en Europe " [[" Humanisme " n°223, septembre 1995.]].

    Ce ne sont la que quelques pistes juridiques, qu’il faudrait approfondir et peaufiner.

    Mais il faut surtout passer à l’action et bloquer l’action de ces associations devant les tribunaux ; tant que les accusations dont elles peuvent faire l’objet n’ont pas été traitées, il faut leur dénier ce pouvoir d’agir.

    https://www.ichtus.fr/la-laicite-dans-le-droit-francais

    Albert Nollet