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Femmes - Page 58

  • Une histoire fantastique à Toulouse

    LA DAME EN BLANC

    HISTOIRE FANTASTIQUE PAR JOSYANE JOYCE ©

     

     Une nuit orageuse d'été dans la nuit toulousaine

     La soirée entre amis est terminée, il est temps de rentrer chez soi. Jean-Pierre et Maryse raccompagnent Danièle et ses deux filles à leur voiture. Il n'est pas loin de minuit et la chaleur de la nuit est accablante. Au loin, on entend l'orage venir; des roulements de tambour puissants dérangent le calme de la nuit chaude et poisseuse.

    Dans l'épaisseur de la nuit d'été, un petit vent lourd et grave commence à ronfler dans les cimes des arbres qui entourent la propriété des amis hôtes de la soirée. Tout le monde a passé une bonne soirée, Danièle à été comblée de cadeaux pour son anniversaire, toute la petite troupe est heureuse de ce grand moment de partage et de convivialité… l'heure a tourné sans que personne ne s'aperçoive de la fuite du temps et, pourtant, maintenant, il est l'heure de regagner la petite résidence des Pierremartin.

    Maryse embrasse chaleureusement Danièle a son habitude et lui dit: “rentre bien, fille, avant que l'orage n'éclate! et surtout soit bien prudente!".

    Danièle rit et redit en rendant deux bises sonores sur les joues roses et un peu ridées de sa meilleure amie: “merci pour cette bonne soirée, comme d'habitude tu nous as gâtées“!

    “Mais non, mais non, nous sommes toujours très heureux de vous avoir à souper“! Elle frotte les bras de haut en bas, de son amie en signe de réconfort. C'est son geste habituel, celui que Danièle aime et n'oubliera jamais…. Le geste de l'amitié éternelle, la douceur chaude des relations entre deux amies qui se comprennent si bien.

     La suite est ici:

     

     

  • L'Education Nationale aujourd'hui …

    Au lycée, en cours d'’histoire, le professeur pose une question qui va se révéler lourde de conséquences:

    > > – Qui a cassé le vase de Soissons?

    > > – C’est pas… moi, m’sieur!

    > > – C’est pas moi non plus!

    > > – Ni moi!

    > > Et toute la classe nie avoir cassé le vase, ce qui finit d’'anéantir le pauvre prof.

    Le soir même, après les cours, il va raconter au directeur ce qui c'est passé dans sa classe.

    Le directeur dit:

    > > – C’est trop grave, il faut prévenir l’'Inspecteur d’Académie!

    L'’inspecteur vient le lendemain et après s'’être fait relater les faits, dit:

    > > – Ça va trop loin, il faut en aviser le Ministère!

    Et les voilà, tous les trois, le lendemain à Paris au Ministère de l’Éducation Nationale.

    Ils racontent ce qui s’est passé à la ministre de l'’éducation, qui les écoute avec attention.

    Après un moment de réflexion, la ministre va fouiller dans son sac à main et en sort deux billets de 50 euros qu’elle tend au professeur en lui disant:

    > > – Prenez cet argent, vous rachetez un autre vase, vous le mettez à la place de l’autre, vous ne dites rien à personne

    > et on étouffe l’affaire !!!

    > > Pas de scandale en période électorale, surtout pas !

     

  • GRAVE DANGER: une épidémie ravage la France des villes et des campagnes et s'amplifie

    d'année en année. Les hommes ne veulent plus se raser. On ne peut plus regarder un mec de 16 à 80 ans sans le voir avec des poils qui ravagent son visage.

    On leur dit que cela fait viril! Et, ils le croient!

    Ils le croient d'autant mieux que l'on ne cesse de leur rabâcher depuis quelques années que leurs spermatozoïdes, c'est de la flotte. A cause des saletés que l'industrie pétro-chimique nous refile en douce, sans avoir pris le temps de vérifier si les produits qu'ils réalisent sont sans danger pour l'ADN de l'homme (et de la femme, bien sûr). Cette industrie utilise plus de 100 000 molécules différentes sans même avoir pris soin de vérifier les dégâts sur les humains (sans parler de la faune et la flore).

    Vous en avez partout des vernis synthétiques, des bisphénols, des phosphates et autres polyphosphates, mélangés au plomb, au mercure, au silicone, des tas et des tas de mélanges qu'ils se gargarisent de nous faire avaler à chaque milliseconde de la journée, qui vont de la poêle anti-adhésive, aux casseroles aluminium, plats en silicone, boîtes de soupe ou de lait avec des films qui repoussent l'eau mais qui sont faits de films polymachins, des phtalates dans les tétines des biberons de vos gosses, des colorants et conservateurs partout: dentifrice, produits de beauté (paraben) aluminium (déodorant) ammoniaque (coloration des cheveux) et même dans vos tasses ou bols en mélamine, ou autre infâme mélange dans votre portable qu'il soit pour parler ou pour communiquer dans votre travail (ordi portables et autres tablettes). Des pesticides sur vos tomates et pomme de terre, sur les boules de coton dans les champs, sur tous les arbres fruitiers de par le monde.

    Cet inventaire à la Prévert ci-dessus est non exhaustif, vous vous en doutez.

    Mais, revenons à nos moutons pas tondus et très contents: voilà-t-il pas que l'on enfonce dans le crane des mecs que pour faire taire leur angoisse de ne plus parvenir à procréer sans éprouvettes, il faut faire croire aux nanas que oui, ils sont de bons procréateurs biens couillus, s'ils se montrent barbus ou moustachus.

    Plus la peine de se percer le nombril, la fesse ou de se mettre un anneau au nez comme un taureau au pré qui attends les vaches. Laissez pousser vos poils, messieurs et les nanas se pâmeront devant votre pilosité car, subconsciemment, elles ressentiront que vous êtes celui qui va engendrer les futurs petits ou gros contribuables. C'est inné dans l'humanité, cela date des cavernes quand les petites malignes préféraient le mec avec des poils sur le torse et de bons muscles pour aller tuer le mammouth qui la nourrira (elle et sa progéniture). Parce que, hein, se nourrir de noisettes et de mûres, (à portée de leurs petites menottes) ça tient pas chaud au corps quand la terre sort de l'ère glaciaire.

    Charlemagne à la barbe fleurie était, soi-disant, barbu parce que dans l'ancien temps, il fallait avoir une belle barbe pour montrer son pouvoir. Ouais, les rasoirs jetables à 3 lames, ça courraient les rues, déjà en ce temps-là! Même que les glaces pour se mirer étaient fabriquées à foison et pour pas cher par l'industrie pétrochimique de ce temps-là!

    Les grands-pères se laissaient pousser moustaches et barbes (cf les poilus de la grande guerre). Ouais, pas facile de se raser dans le bourbier des tranchées sur la ligne de front!

    Laissez pousser vos poils et vous n'aurez pas besoin de prendre le fusil pour défendre la patrie en danger si, par malheur, l'ennemi est entré dans nos terres et vient jusque dans vos bras, égorger vos fils et vos compagnes. Vous n'aurez qu'à leur montrer vos barbes viriles et ils foutront le camp sans demander leur reste!

    Enfin, ceux qui n'auront pas eu les moyens de prendre un avion ou un train pour aller voir ailleurs s'il n'existe pas de contrées sans danger pour vos muscles ramollos. Tout le monde n'est pas un guerrier sans peur et sans reproche, hein?

    Une femme, même avec un QI de betterave passe un minimum d'une demi-heure dans sa salle de bain pour le minimum de ses ablutions. C'est plus viril de passer deux heures à rectifier sa barbe aux petits oignons mais qui va vous éloigner de vos enfants qui ne peuvent plus vous embrasser parce que “ça pique!". Vos gosses, quand ils auront 15 ans de plus, “mince, vous direz-vous, je n'ai pas vu le temps passer. Comme je regrette ses petits bisous, sa bonne odeur d'Eau de Cologne et ses petits bras autour de mon cou"!

    Vous ne vous en rendez pas compte, mais un jour, les bras de vos enfants vous manqueront cruellement mais, vous ne pourrez plus revenir au temps béni de leur petite enfance! Plus jamais! Non, jamais plus! C'est pour cela que nombre de seniors ne se rasent plus; pas la peine, y'aura pas de petits-enfants pour les embrasser, ils ont d'autres chat (portable ou tablette) à fouetter que d'aller voir Papy.

    J'ai souvent vu dans les westerns ou maintenant désormais dans toutes les “barberies“ que des idiot-es se précipitent à ouvrir pour surfer sur la vague de la “barbocratie dominante“, croyant se remplir sans peine les poches (ils ont juste oublié l'Urssaf et autres diableries étatiques obligatoires).

    Dans un reportage télé, l'été passé, je voyais un mec qui se trémoussait le popotin pire qu'une nana endimanchée, pour montrer son “art“ de voleur de poils. Il rasait avec le fameux coupe-chou des grands-pères et fier comme Artaban, il finissait son boulot en enroulant une serviette chaude sur le visage du barbu sans barbe.

    N'importe qu'elle nana qui a un QI de betterave sait que l'eau chaude ouvre les pores. Donc, la serviette chaude c'est AVANT qu'il faut la mettre sur les visages des “Virils aux spermatozoïdes de flotte“.

    Après le rasage, on doit poser une serviette froide APRÈS qui va resserrer les pores. N'importe qu'elle nana au QI de betterave qui se fait un masque ou un gommage vous le dira.

    Les mecs, ils sont prêts à croire n'importe qui ou n'importe quoi pourvu que ce soit la mode. Pas très viril tout ça! Incapable de résister comme la moindre nénette à boutons qui veut se faire femme! Prêts à faire n'importe quoi pour qu'on ne les confonde pas avec les petits garçons qu'ils sont.

    Mesdames, si vous traitez votre partenaire de petit garçon, vous allez le regretter!

    Messieurs, cessez d'être aussi bêtes! et puis, dites à vos compagnes que ce sont d'adorables petites filles. Vous allez les combler! Aucune femme ne veut avoir des rides et veut paraître plus jeunes que d'autres au même âge.

    Ha! il y en a des choses que, malgré vos visites sur internet vous ne saurez jamais en suivant les autres barbus comme des moutons!

     

     

  • Culottés!

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  • La vie en Gauchiasserie...

    La comptabilité de la gauchiasse

    L’Essonne au bord de la cessation de paiement

    Une gestion calamiteuse. Dans un courrier daté de fin décembre et révélé par le Monde, François Durovray, président du conseil départemental de l’Essonne, a annoncé qu’il serait dans l’impossibilité de régler les factures du département tout en demandant un étalement des versements sur les six prochaines années. Une partie des aides sociales allouées aux personnes âgées et handicapées et de l’aide sociale à l’enfance ne pourra donc pas être versée. François Durovray accuse également son prédécesseur socialiste d’avoir laissé une dette " cachée " de près de 110 millions d’euros.

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    Moi, président…..

    Le chiffre du jour: 286480 euros  

    C’est le coût des vœux de François Hollande et Manuel Valls, révèle le Canard Enchaîné. Dans le détail, les vœux de François Hollande à la Maison de la radio, le 11 janvier, ont coûté 250 000 euros et la carte de vœux choisie par Manuel Valls (qui l’a commandé à l’agence Publicis) et envoyée à 4 000 exemplaires a coûté 36 480 euros.

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    Un élu allemand envoie un bus rempli de migrants à Angela Merkel

    Par valeursactuelles.com  

    Insolite. Un élu bavarois a envoyé un bus rempli de migrants syriens à la chancelière allemande afin de protester contre la politique d’immigration menée par le gouvernement.

    "Emettre le signal qu'on ne peut pas et qu'on ne doit pas continuer ainsi en matière de politique d'accueil des réfugiés". L’objectif poursuivi par Peter Dreier, le président du canton de Ladshut, en Bavière, est partagé par une partie de la classe politique allemande. Mais il est certainement le seul à avoir mis en place une opération aussi insolite.

    En effet, l’élu a décidé de mettre la chancelière allemande Angela Merkel devant le fait accompli en lui envoyant un car rempli d’une cinquantaine de migrants Syriens. Le véhicule devrait arriver en fin d’après-midi devant la chancellerie". Nous essayons d'intégrer ces gens, mais cela ne marchera pas si une autre vague d'un million de migrants arrive. C'est pourquoi il est temps de taper du poing sur la table " a lancé Peter Dreier.

    La Bavière menace de fermer ses frontières

    Plusieurs associations ont rapidement pris les devants afin de dénoncer cette initiative". On instrumentalise des gens pour donner des images aux médias ", s’est par exemple indigné, Günter Burkhardt, président de l’association Pro Asyl.

    De nombreux responsables politiques bavarois protestent depuis plusieurs mois contre la politique d’immigration menée par le gouvernement. La région accueille, en effet, la majorité des migrants. Le dirigeant du Land, Horst Seehofer, a menacé de fermer la frontière avec l’Autriche si un nombre maximum de migrants maximum n’était pas fixé. Angela Merkel refuse d’établir un plafond et souhaite, de son côté, agir à l’échelle européenne et internationale. En 2015 près de 1,1 million de demandeurs d’asile ont été enregistrés, un record pour l’Allemagne.

     

  • Ils viennent jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes!

     Où sont les hommes européens?

     

    À Cologne, en particulier la nuit de la Saint-Sylvestre, on ne boit pas que de l’eau. Parmi les milliers de personnes qui s’étaient rassemblées devant la gare centrale de la ville, à deux pas de l’antique cathédrale, pour " faire la fête ", en cette soirée du Nouvel An, un certain nombre, autochtones ou allogènes, étaient probablement dans l’état second que crée, paraît-il, l’absorption de diverses substances, par exemple à base de raisin, de houblon, d’orge, de cannabis ou de coca.

    Que s’est-il exactement passé? Après que des plaisantins ou des provocateurs ont tiré de gros pétards d’artifice dans la foule, une partie des badauds venus en famille, pris de panique, ont évacué les lieux sous la protection des forces de l’ordre. C’est alors que quelques bandes, composées, d’après le chef de la police municipale, de jeunes gens " de dix-huit à trente-cinq ans, apparemment d’origine arabe ou nord-africaine ", s’en sont systématiquement prises aux femmes isolées restées sur place, leur arrachant téléphones portables, sacs à main, et profitant de la bousculade et de la nuit pour les caresser, pour les " tripoter " et, au moins dans un cas, pour aller plus loin.

    Quatre-vingt-dix plaintes ont été en tout cas déposées à la suite de ces actes de banditisme. Les voyous qui se sont rendus coupables de ces vols, de ces agressions et de ce viol venaient-ils des " quartiers ", puisqu’on apprend à cette occasion que l’Allemagne, comme la France ou la Grande-Bretagne, connaît elle aussi quelques problèmes avec ses cités? S’agissait-il d’arrivants récents, issus du flot torrentiel des 900.000 " migrants " qui ont déferlé l’année dernière sur le pays avec la bénédiction de Mme Merkel? L’enquête devrait permettre de l’établir.

    Gardons le sens des proportions. Les incidents de ce 31 décembre n’ont, évidemment, pas l’ampleur et la gravité du carnage parisien du 13 novembre. Leur dimension n’en dépasse pas moins celle d’un simple fait divers et ce n’est pas créer ou entretenir un climat " nauséabond ", pour reprendre le terme utilisé hier matin par la présentatrice du journal de France Inter, que de s’interroger sur leur signification, leurs conséquences et peut-être avant tout sur les réactions qu’ils ont suscitées.

    Délinquants d’habitude ou délinquants d’occasion, immigrés de longue ou de fraîche date, qu’ils aient prémédité ou non leurs débordements, leurs auteurs ne savent pas où et quand ils vivent. Pour eux, une femme seule, non voilée, éventuellement court vêtue, qui se trouve dans la rue passé minuit est une femme de mauvaise vie, un jouet sexuel, une proie offerte aux convoitises et aux outrages des mâles. Ils ne se sont pas autrement conduits avec les Allemandes qui étaient à leur merci que les révolutionnaires égyptiens du printemps arabe, sur la place Tahrir, avec les journalistes occidentales et autres émancipées qui passaient à portée de leurs mains baladeuses.

    Angela Merkel, dont la politique d’ouverture des frontières – applaudie dans un premier temps, aujourd’hui de plus en plus discutée ou désapprouvée – risque de subir le contre-coup des incidents de Cologne, a condamné dans les termes les plus durs " des actes insupportables ". Il est désormais de sa responsabilité de subordonner l’accueil et le maintien sur le sol allemand des migrants, demandeurs d’asile et autres réfugiés à leur acceptation et à leur respect des mœurs et des lois en vigueur en Europe.

    C’est d’ailleurs le sens du message que la chancelière a adressé au maire de Cologne, Mme Henriette Reker, accessoirement élue de la CDU. Or, celle-ci l’a semble-t-il entendu d’une autre oreille.

    Passe encore que Mme Reker se soit moins souciée, dans un premier temps, de la poursuite et de la punition des agresseurs que de la réputation de sa ville et du succès du prochain carnaval local (un million de visiteurs attendus). Mais l’édile rhénane n’a pas craint de se tourner vers les potentielles victimes du machisme islamique pour leur recommander de bien vouloir adopter, dans les meilleurs délais, un comportement plus sage et moins provocant que celui qui a déclenché les incidents de la semaine dernière. C’est tout juste si elle ne leur a pas indiqué la contexture et l’épaisseur de la burqa qu’elles devraient revêtir. Dame, il faut vivre avec son temps !

    Autant dire à la horde sauvage du 31 décembre: "Chez nous, vous êtes chez vous. Ne vous essuyez pas les pieds avant d’entrer dans la maison. Installez-vous sur le canapé pour regarder la chaîne de votre choix. Videz le réfrigérateur. Et si le maître de maison n’est pas d’accord, fichez-le donc dehors et prenez sa place dans le lit de votre hôtesse…

    Où l’on voit que Soumission n’est pas un roman d’anticipation.