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Femmes - Page 45

  • 10 vaches vont aux prés?

    Des vaches ont des clarines ? Plaintes contre les agriculteurs…

    Chroniques judiciaires d’une France qui devient folle

    De dangereuses délinquantes empêchent l’honnête citoyen de se mouvoir à sa guise en Vallée verte (Haute-Savoie).

    “L’agriculteur de Vailly (Haute-Savoie) est l’objet d’une plainte pour "obstruction de la voie publique" car ses dix vaches empruntent la voie communale pour aller aux prés, nous informe France Bleu.

    Extrait de sa page Facebook :

    Cette histoire risible fait suite à une autre plainte concernant le bruit des cloches de vaches du Chablais cette fois-ci, toujours en Haute-Savoie:

    "Excédés par le bruit de tintement, douze propriétaires de résidences secondaires, presque tous britanniques, avaient lancé début septembre une pétition contre les clarines des bovins de la commune"  rapporte encore France Bleu Pays de Savoie.

    Et si les Français se plaignaient contre le tapage nocturne pendant le ramadan, le rap à tout-va, les rodéos sauvages, les moto-cross et les quads des cités? Chiche?

    L’étendue de la connerie humaine est vraiment infinie on peut l’affirmer sans crainte de se tromper, cette histoire n’est malheureusement pas un cas isolé.

    Trop souvent des citadins vont habiter a la campagne (du moins ce qu’il en reste) et veulent la façonner tout comme l’était la ville d’où ils viennent, béton goudron centre commercial et parking, lotissements bien ordonnés.

    Le boucan des sirènes de pompiers, voitures de police embouteillages et défilés de ponctionnaires ne les dérange pas, ils sont conditionnés pour ça; par contre le coq du paysan qui chante, les cloches des vaches, la transhumance des moutons, les chasseurs ou même les cloches de l’église ça ils ne supportent pas!

    Certains se plaignent du  "vacarme " provoqué par le chant des cigales!

    J’ai connu un personnage qui a eu la chance et surtout les moyens de se payer une belle maison entourée d’arbres sur un beau terrain plat. Un arbre ça perd ses feuilles et il faut les ramasser c’est comme ça depuis la nuit des temps… c’est la nature… et puis les enfants entrent dans la maison avec de la terre sous les godasses… et oui les arbres poussent dans la terre!

    Ce gros problème pour ces gens nés et élevés en ville fut vite résolu; les arbres furent abattus (la plus grande partie) et le terrain goudronné: plus de terre dans la maison et plus de feuilles a ramasser.

    Ils avaient reproduit l’environnement d’où ils venaient! Alors pourquoi venir habiter a la campagne?

     

     GO HOME LES ROSBIFS!

  • JE BALANCE MES PORCS!

    Cela a commencé dès l'âge de 14 ans (en 1964), quand j'étais ouvrière en confection: beaucoup de filles se trouvaient aux meilleures places de l'usine parce qu'elles couchaient avec les petits chefs.

    J'ai perdu un chouette travail très bien payé: j'avais 20 ans… j'ai réussi haut la main (et il parait que j'étais la seule depuis 25 ans) à finir un problème concocté par l'expert comptable pour un groupe de 5 hommes d'affaires qui cherchaient une secrétaire de direction, mais, ils ne m'ont pas embauchée parce que j'étais trop jeune et trop belle et qu'ils seraient tentés… le pognon avant la galipette!

    Le suivant, c'est un patron d'imprimerie, aujourd'hui décédé qui m'a proposé de me payer un bel appartement et tout le confort si je le recevais deux fois par semaine; j'avais 21 ans.

    Ma fille un an. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Le second patron m'a proposé du travail  de secrétaire de direction si je lui permettais de me rendre visite deux fois par semaine; j'avais 23 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Un autre, un collègue m'a fait perdre un emploi de photograveur dans un quotidien sports (à l'époque, hebdo sur le rugby) parce que je lui ai refusé de lui faire une “pi…“ dans le labo photogravure et comme j'ai refusé, il a raconté au chef d'atelier que je lui avais bien fait ce que j'avais refusé et que j'étais une salop' qui “foutrait“ le bordel dans l'imprimerie. J'avais 24 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

    A cette époque aussi, j'ai était contactée par un chef de photogravure du grand quotidien régional qui me proposait un emploi mais, il “fallait passer à la casserole“. J'ai installé cette histoire sur le blog de mon site:

    http://www.josyanejoyce.com/voyances2/index.html

    Pdf: le droit de cuissage. Et pourtant: toujours maman célibataire sans allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    A 25 ans, je rentrais fourbue d'une grande journée de travail (vive les heures sup') et un homme m'a mis les mains aux fesses: comme l'abruti roulait en mobylette, il m'a soulevée et je suis pratiquement tombée; j'ai dû me rattraper tant bien que mal pendant qu'il s'enfuyait sans se retourner et que je l'insultais de tout ce que je pouvais hurler….

    Etc… etc…

     

    Comme j'ai la chance de ne pas avoir de rides, quand ma fille a eu l'âge d'aller en boîte et que c’est moi qui conduisait, je ne vous dis pas ce que j'ai entendu des jeunes de son âge alors que j'avais 20 ans de plus qu'eux!

     

    Des porcs, y'en a partout, depuis toujours, à toutes les strates de la société!

     

  • La première Miss Monde en fauteuil roulant a été élue

    Ce samedi 7 octobre, Varsovie accueillait le premier concours de Miss Monde en fauteuil roulant de l’histoire.

    24 jeunes femmes issues de 19 pays différents étaient donc présentes dans la capitale polonaise pour être potentiellement la toute première Miss Monde en fauteuil roulant. Mais au-delà de la consécration, c’est bien évidemment la tenue de ce concours en lui-même qui représente un bel accomplissement pour ces femmes-là comme le confie la candidate chilienne Maria Diaz, 28 ans, joueuse professionnelle de tennis en fauteuil roulant:

     " Nous sommes toutes gagnantes: nous nous sommes fait de nouveaux amis, nous avons vécu ensemble de nouvelles expériences, connues toute cette ambiance ensemble. C’est la première occasion du genre pour montrer au monde que nous sommes capables de faire vraiment ce que nous voulons“.

    Handicapée à la suite d’un accident il y a 10 ans, elle a été récompensée des titres Miss Activité et Miss Lifestyle Designers lors de ce concours. La gagnante suprême s’appelle Alexandra Chichikova, 23 ans, une Bélarusse étudiante en psychologie et pédagogie sociale. Elle fut couronnée devant ses deux dauphines, la Sud-Africaine Lebohang Monyatsi et la Polonaise Adrianna Zawadzinska. De son côté, la joueuse de football et mannequin française Nadjet Meskine a été élue Miss sourire.

    Les 24 candidates ont défilé devant un millier de spectateurs en trois tenues différentes: costume national, tenue de cocktail et tenue de soirée. La fondation polonaise, Jedyna Taka, à l’origine de ce concours, souhaitait avant tout " changer l’image des femmes en fauteuil roulant, pour qu’elles ne soient pas définies à travers cet attribut, mais aussi d’insister sur le fait que, dans certaines parties du monde, le fauteuil roulant reste un luxe.

    Ainsi, lors de ce concours, la beauté n’était pas forcément le critère premier comme l’explique Katarzyna Wojtaszek-Ginalska, co-fondatrice du projet et co-présidente du jury: "Ce n’est pas le physique qui compte le plus. Certes, avoir un beau visage est important mais on se penche énormément sur la personnalité des filles, leur activité quotidienne, leur engagement, leur vie sociale, leurs projets".

     

  • Petite réflexion personnelle....

    Dans le vaccin de la grippe il y a toujours 3 souches plus une ou deux secondaires...

    Cette année, il y a Brisbane et Hong-Kong... Brisbane c'est un virus grippal un peu dangereux.

    Mais, le Hong-kong, alors là!!!! je tremble pour vous (perso, cela fait 20 ans que je me fais vacciner...)

    Figurez-vous qu'en 1968, (j'avais 18 ans entre parenthèses), il y a eu, en France, plus de 50.000 morts... c'était le Hong Kong...

    Il faut savoir qu'avant que les crétins anti-virus ne foutent la trouille à toute la population, la grippe faisait, il y a environ 5 ou 6 ans dans les 3000 à 4000 décès, surtout des personnes âgées et DES BÉBÉS...

    Il y a trois ans, elle a fait 10.000 morts l'année suivante, 11 000 (l'année où les épidémios s'étaient trompés sur le virus qui allait frapper), et l'an passé, vous l'avez entendu, 14 000 morts dont 75% des décédés étaient âgés mais n'AVAIENT PAS FAIT LE VACCIN!

    Les autres décès... pas que des bébés, croyez moi, des tas de jeunes!...

    ceux qui croient qu'ils sont increvables comme croient tous les jeunes (je suis passée par là, moi aussi).

    Bon, chacun voit midi à sa porte... je voulais juste vous avertir...

    Ensuite, si vous suivez des tas de cortège funéraires... c'est votre problème.

  • Adieu ma cabine!

    Le 31 décembre, Orange aura démonté les derniers Publiphones où se pressaient les Français il y a vingt ans, avant l'ère du mobile.

    Le cadran a tourné. Le 31 décembre, après un siècle de bons et loyaux services, les dernières cabines téléphoniques publiques vont disparaître, balayées par le succès du mobile. Si la France en a compté jusqu'à 300 000 dans les années 1990, en cette rentrée 2017 elles ne sont plus que 5 450, selon Orange, qui a donc programmé leur disparition pour la fin de l'année.

    A Paris, où le premier téléphone public est apparu en 1884, on ne voit déjà plus une seule cabine. La dernière, située rue Ordener (XVIIIe arrondissement), a été démontée en juin dans l'indifférence générale. Mais dans certaines communes rurales, la tonalité est tout autre (lire ci-dessous). " Le trafic des cabines n'est plus aujourd'hui que de 0,6 % de ce qu'il était en 2000 ", explique Laurentino Lavezzi, directeur des affaires publiques d'Orange. De 516 M€ de chiffre d'affaires en 2000, ce service génère dorénavant des pertes supérieures à 10 M€ par an.

    Un service cher et boudé par le public

    “La durée moyenne d'appel par cabine est tombée à 10 secondes par jour. Sur les 10 000 cabines encore en service au premier trimestre 2017, la moitié n'ont pas décroché une seule fois", insiste Laurentino Lavezzi. Le mouvement de désinstallation a commencé en douceur à la fin des années 1990, en même temps que le mobile creusait son sillon. Le coup de grâce est venu en 2015, lorsque le Parlement a voté la loi Macron. L'une des mesures concernait la suppression du service universel d'Orange, à savoir l'obligation pour l'opérateur de maintenir les 46 000 cabines devant garantir sur tout le territoire le maintien d'un accès au téléphone. Les parlementaires ont admis qu'il était devenu aberrant de dépenser chaque année plus de 14 millions d'euros pour maintenir en état des Publiphones boudés par un public équipé massivement de mobiles.

    "Nous comprenons certaines réactions, qui posent plus largement la question de l'aménagement du territoire et de la disparition progressive des services publics, mais nous préférons investir dans le développement des réseaux mobiles que dans l'entretien de cabines inutilisées", se défend le directeur des affaires publiques d'Orange.

    Les nostalgiques se consoleront en apercevant de-ci, de-là, des cabines recyclées en bibliothèques par des mairies pragmatiques. Ils pourront aussi se raccrocher aux musées des Télécoms pour en voir. C'est là qu'est désormais leur place. Comme à Soisy-sous-Montmorency (Val-d'Oise) qui abrite la collection historique d'Orange, ou à la Cité des télécoms de Pleumeur-Bodou (Côtes-d'Armor).

    Mais que deviennent-elles?

    - A Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), les huit cabines téléphoniques ont été transformées en bibliothèques de rue. LP/Adeline Daboval

    Où vont les milliers de cabines téléphoniques démontées par France-Télécom, devenu Orange? Une petite partie connaît une seconde vie, parfois inattendue. Les plus grands sauveurs de cabines sont les mairies. De plus en plus, elles demandent à Orange de leur céder gracieusement une de ces reliques du siècle passé pour en faire des "boîtes à livres", une mini-bibliothèque installée sur la voie publique, toujours ouverte, où l'on peut en général enlever mais aussi déposer à volonté toutes sortes de livres dans un but de partage. Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, a ainsi installé le plus grand nombre de cabines: 8. En Ile-de-France, on en trouve aujourd'hui 40, tandis que l'ensemble du territoire en compte pas moins de 1 257 !

    Cette disparition annoncée des Publiphones a aussi eu pour effet de leur redonner de la valeur sur un marché parallèle, celui des collectionneurs. Sur eBay, on peut trouver aux enchères une cabine récente en aluminium mise à prix à 299 euros !

    Une touche artistique

     

     

     

    Seconde vie plus originale encore: le détournement artistique. Les plus célèbres sont ceux du plasticien lyonnais Benedetto Bufalino, qui a présenté en juillet une cabine France Télécom à roulettes, circulant sur la voie publique, et dans laquelle on voit l'artiste téléphoner. Son nom? "Le Téléphone mobile"... Sa vidéo a été vue 1,5 million de fois déjà sur sa page Facebook. Benedetto avait déjà créé un aquarium à poissons à partir d'une cabine.

    Et les autres Publiphones? Un accord national a été passé avec Veolia. Le groupe expert en valorisation des déchets est chargé d'enlever les cabines déconnectées et de récupérer le verre et l'aluminium pour les recycler.

  • Dans la série: quand elle cligne des yeux, sa poitrine remonte

    Les Photos de Brigitte Macron seraient retouchées avant d’être publiées d’après un directeur d’agence

    Jean-Michel Psaïla (directeur de l’agence Abaca) : "Bestimage, qui travaille avec la Première Dame, nous a promis qu’on aurait ses photos. Il s’avère qu’on les a attendues, attendues, attendues, ensuite ils nous ont dit “Attendez, il nous faut le temps de retoucher les images".

     

     

    "Soigner l’image de sa chère Brigitte jusqu’au plus petit détail ? Lors de la visite du couple présidentiel américain cet été, Brigitte Macron et Mélania Trump se font immortaliser sur la Seine. Parmi les photographes ce jour-là, celui de Bestimage. Il couvre l’événement pour toutes les agences françaises. Au même moment, Jean-Michel Psaïla, directeur de l’agence Abaca, attend avec impatience les photos des First Ladies, mais elles tardent à arriver".

    Jean-Michel Psaïla : "Bestimage nous a promis qu’on aurait ces photos. Il s’avère qu’on les a attendues, attendues, attendues, ensuite ils nous ont dit “Attendez, il nous faut le temps de retoucher les images”".

    "Jointe par téléphone, Michèle Marchand nous a refusé notre demande d’interview mais jure que les photos n’ont pas été retouchées mais simplement validées par les Premières Dames"

     

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    ... et le ravalement c'est chez Bouygues?

    Bossue, tordue

    M'enfffffin.... ne tirez pas sur l'ambulance!!!

     

     

  • A l'automne, les marronniers…

    Dans les médias, un “marronnier“ est un sujet récurrent d'actualité: rentrée des classes, saison du ski, ponts du mois de Mai…. quand l'imagination est –souvent- en berne, les journaleux peuvent trouver dans un marronnier un article tout fait (il leur suffit de changer quelques dates ou terme de l'article balancé de l'an passé!).

    Donc, revoilà le marronnier du calendrier de la rentrée scolaire offert à mémé avec la photo du petit dernier…. ou des avant-nés!

    J'ai fais un long article sur ce sujet et, par le jeu de l'actualité de tous mes articles, il se retrouve sur cette page de mon blog.

    http://www.josyanejoyce.com/archives3/index.html

    Allez-y, c'est très utile. Vous saurez ainsi comment ne pas “retarder“ votre héritier(e) dans ses études… (vu la conjoncture, dans la stagnation, voire la régression de son QI).

     

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