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Blog - Page 64

  • Austérité : qui sera finalement le dindon de la farce ?

    Quand les caisses seront vides et que l’argent ne rentrera plus, quelles seront les prestations touchées en premier.

    Par Nicolas Nilsen

    Je reviens sur la grande farce politique et cette tragi-comédie économique qu’est la non-diminution des dépenses publiques et des déficits budgétaires. Pour repousser sans cesse l’échéance du redressement d’un État-providence en faillite et au bord du dépôt de bilan, Valls rejette ce qu’il appelle " l’austérité " (qu’on ne lui demande d’ailleurs même pas : on exige juste de la rigueur et de la discipline budgétaire). Mais comme il sait que les Français sont terrifiés par le mot " austérité ", il l’agite comme un chiffon rouge pour ne rien faire et reporter sans cesse le redressement à une date ultérieure. Ce qu’il ne dit pas, c’est que cette austérité maudite, il l’inflige aux Français qu’il matraque fiscalement, alors qu’il ne l’accepte jamais pour l’État qui refuse obstinément de se serrer la ceinture. Alors quand on refuse de réduire le poids de l’État, que reste-t-il pour continuer à aligner les ardoises ? C’est simple : il reste l’impôt, l’emprunt, et… la réduction des prestations. Et dans tous les cas, ça va faire mal.

    Matraquage fiscal

    Du côté des impôts et taxes, les Français ont déjà donné. Les contribuables viennent de recevoir leurs feuilles d’impôts et il ne faut sans doute plus trop les chercher davantage de ce côté-là. Sinon ils achèteront tous des bonnets rouges pour l’hiver. Après l’avoir combattue à l’époque, le pouvoir envisage une TVA dite sociale pour remplir ses caisses vides, mais là aussi, il est possible que, malgré le qualificatif de " sociale ", les consommateurs déjà ratiboisés n’apprécient pas vraiment une nouvelle taxe ! Comme ils n’ont plus confiance et ont peur de l’avenir, les Français mettent leur épargne de côté, mais ils savent bien que l’État lorgne avidement vers cette manne dormante et que la spoliation de l’épargne n’est pas loin (la bonne Europe a déjà tout prévu de ce côté-là avec la ponction directe sur les comptes bancaires).

    Dette publique

    Du côté des emprunts, l’État-qui-ne-renoncera-jamais-à-dépenser a déjà propulsé la dette à 2000 Mds d’euros pour la porter à près de 95% du PIB ! Il y a évidemment le feu au lac et si vous et moi étions endettés à ce point, nous arrêterions d’emprunter en déchirant immédiatement notre carte de crédit. Mais, voyez-vous, nos énarques socialistes pensent autrement et comme avec la dette ce sont les générations futures qui payent les ardoises, ils se moquent comme de l’an 40 d’accroître la dette encore et encore. Ça permet de continuer à dépenser allègrement : pour vous ce sont des dettes à payer, mais pour eux ce sont des bulletins de vote. Donc pourquoi y renoncer ?

    Rabotage des prestations

    Alors, que reste-t-il ? Eh bien, les prestations qui vont diminuer, et le dindon de la farce, finalement, ce sera vous et moi. Aussi simple que ça.

    Les prestations sociales, les allocations, les aides, les primes en tout genre (vieillesse, santé, famille, chômage, pauvreté, invalidité etc.) correspondent aux versements d’argent que l’État-providence considère comme correspondant à des " objectifs sociaux ". C’est l’avantage de l’État-Providence et c’est évidemment parfait… Enfin, tant que la croissance est là, que l’État est riche et qu’il y a de l’argent à distribuer. Mais quand il n’y a plus de croissance et que les caisses publiques sont vides, alors il y a problème. En 2010, ces prestations étaient de l’ordre de 430 milliards d’euros, soit 22% du PIB. Que se passe-t-il d’après vous quand il n’y a plus d’argent dans les caisses publiques et que l’État est en faillite ? Eh bien les robinets se ferment peu à peu et l’État qui a refusé de se réformer fait payer la facture de son incurie à ses citoyens spoliés : il diminue la valeur du point de retraite, diminue les remboursements de Sécurité sociale, diminue les prestations, dé-rembourse les médicaments, emprunte même pour payer les salaires de ses fonctionnaires !

    La fin de l’État-providence, ça va faire mal

     

    Hollande dindon rené le honzecUn jour prochain, forcément, Valls, les yeux rougis par les larmes, viendra nous annoncer la fin de l’État-providence socialiste. Quand cette austérité imposée arrivera (les Grecs ont vécu cela), la seule question sera de savoir qui sera pénalisé en premier : les vieux ? les handicapés ? les familles ? les jeunes ? On verra bien… En tout cas quand les caisses sont vides et que l’argent ne rentre plus, ce sont les prestations qui sont les premières touchées.

    D’après vous, quelles sont les allocations qu’ils diminueront en premier ?

    ◾L’aide sociale à l’hébergement pour personnes âgées ?

    ◾L’aide ménagère aux personnes âgées ?

    ◾Les frais de garde à domicile pour personnes âgées ?

    ◾L’allocation aux adultes handicapés (AAH) ?

    ◾L’allocation de garde d’enfant à domicile ?

    ◾L’allocation de logement à caractère familial (ALF) ?

    ◾L’allocation de logement à caractère social (ALS) ?

    ◾L’Aide Personnalisé au logement (APL)

    ◾L’allocation de rentrée scolaire (ARS) ?

    ◾L’allocation parentale d’éducation (APE) ?

    ◾L’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) ?

    ◾L’allocation de solidarité spécifique (ASS) ?

    ◾L’allocation de soutien familial (ASF) ?

    ◾L’allocation d’éducation de l’enfant handicapé ?

    ◾L’allocation équivalent retraite (AER) ?

    ◾L’allocation journalière de présence parentale ?

    ◾L’allocation personnalisée à l’autonomie (APA) ?

    ◾L’allocation veuvage ?

    ◾Les allocations familiales de base ?

    ◾Le complément familial ?

    ◾La prestation d’accueil du jeune enfant (PAJE) ?

    ◾L’allocation d’adoption ?

    ◾Le complément de libre choix de mode de garde ?

    ◾Le complément optionnel de libre choix d’activité (Colca) ?

    ◾Les prestations partagées d’éducation de l’enfant (PréParE) ?

    ◾L’allocation journalière de présence parentale (AJPP) ?

    ◾Les bourses de l’enseignement supérieur ?

    ◾Les bourses de lycée et collège ?

    ◾L’aide financière pour la fourniture de l’électricité ?

    ◾L’aide financière pour la fourniture du gaz ?

    ◾Le revenu de solidarité active (RSA) ?

    ◾La prime de retour à l’emploi ?

    ◾L’aide à la mobilité pour la reprise d’emploi  (ARE)

    ◾Etc.

    Je n’ai évidemment pas fait la liste exhaustive des prestations (à laquelle il faut encore ajouter les trucs genre primes de Noël et toutes les aides de type Mairie de Paris que la chère Anne Hidalgo continue de distribuer aux frais des contribuables) mais c’est juste pour vous donner une idée de ce qui se passera quand l’État avouera sa faillite à des citoyens éberlués, sidérés et abasourdis de se voir spoliés comme les Grecs.

    Mais peut-être ai-je tort de m’inquiéter ? Je devrais sans doute faire confiance à Claude Bartolone, le Président de l’Assemblée Nationale, qui nous a assuré avant-hier : " On ne touche pas aux totems du progrès social ".

  • Celle qui déguise les filles en garçons et les garçons en filles

    Y'a pas plus intégriste que les nouveaux convertis... tout le monde sait cela...

    ... et la gauchiasse commence salement à nous les briser menu, menu en choisissant cette non-gonzesse...

    parce que, pour croire à la théorie en question, faut pas avoir des règles, une vulve, un utérus et de magnifiques seins...

    peut-être que sa mère, s'en faire exprès, lui a coincé la tête dans une porte quand elle avait 8 jours? ça prouverait son cerveau rétréci...hélas, il ne lui reste qu'QI de betterave... et, comme dit l'autre, au conseil des sinistres: qui s'assemble, se ressemble!

    et si certain-es se sentent fier-es qu'une gonzesse de leur campagne et arrivée en haut de l'échelle... sachez que quelle que soit la hauteur où l'on monte, on ne s’assied jamais que sur son cul! (Montaigne).

     

    Mais, si le titre de la note vous interpelle.... prenez le temps de voir la vidéo en son entier.

     

    http://www.theoriedugenre.fr

     

     

     

     

     

  • et encore de l'érotisme...

     

     

     

    Érotique bougie de massages comestible. Cliquez!

     

     

  • Tsss... la pantalonnade continue!

    C'est quoi, la propriété privée?

    Tant qu’un politique dira: " Votez pour moi et demain je vous donnerai l’argent/l’entreprise/la maison/la vache du voisin, et s’il n’est pas d’accord je lui mettrais une rouste républicaine/divine/sociale/patriotique (plusieurs choix sont possibles) ", et bien le voisin continuera de voter pour ces voleurs.

    La seule solution est de faire prendre conscience aux individus qu’ils sont toujours le voisin de quelqu’un d’envieux. Ils s’en aperçoivent, mais souvent trop tard. Ou de partir là où on protège la propriété privée.

     

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    ça, c'était hier... et ce matin...

    au fait, on les dégage quand?

    qu'est-ce qu'on attend pour être heureux?!!

     

  • Moins sérieux que ci-après

    Journée mondiale du blog = 31 août

     

    Le mot Blog est issu du mélange entre Web et Log c'est à dire littéralement un carnet de bord sur le net.

    Est-il étonnant de voir apparaître une journée mondiale du blog ?

    Pour beaucoup, phénomène de société, pour d’autre simple effet de mode.

    Un petit blog pour la route ?

    Les Blogs font parler d'eux seulement depuis quelques années en France, pourtant ils sont présents sur le net depuis quasiment le début de celui-ci. Quand, en 1993, Tim Berners Lee créé le premier site internet de l’histoire il est le premier blogger de l'histoire, sans le savoir.

    Nouveaux moyens d’expression sur le net, ils ont l’avantage de pouvoir être créés facilement.

     Coups de gueules, coups de cœurs, journaux intimes, albums photos, vies privées, successions de liens… on trouve réellement de tout dans la planète blog que d'aucuns nomment parfois la blogosphère.

    "Blog bless the World"

    Les célébrités et les politiciens ouvrent tous leur propre blog. Nouvelle forme de communication, outil marketing ?

    Les blogs permettent à des inconnus de devenir stars, comme Salam Pax qui au début de la guerre en Irak décrivait son quotidien à la façon d’un envoyé spécial.

    Andy Warhol ne se trompait pas quand il annonçait "A l'avenir, chacun aura son quart d'heure de célébrité mondiale "

    Un site à visiter : blogday.wikispaces.com

  • Dormez tranquille: la gauchiasse veille sur la France

    Alors qu'en Afrique, les soignants paient un lourd tribut à la lutte contre l’épidémie, en France, des spécialistes de virologie s’inquiètent de la précipitation des autorités sanitaires.

    Face au risque Ebola, les autorités sanitaires françaises ont-elles voulu trop bien faire trop vite? Si neuf hôpitaux de référence ont bien été désignés, différents aspects pratiques de la prise en charge médicale des personnes infectées soulèvent des questions qui inquiètent les membres de la communauté médicale et scientifique, susceptible d’être directement concernée.

    Il ne s’agit pas de l’isolement du virus, qui serait fait par le Centre national de référence des fièvres hémorragiques virales dans des conditions d’absolue sécurité au sein du seul laboratoire français de protection maximale (dit "P4"), le laboratoire "Jean-Mérieux" situé à Lyon. Mais des nombreux examens biologiques qui devront être effectués sur le sang, les tissus et les fluides corporels des personnes infectées.

    Cette question fait l’objet d'un arrêté daté du 6 août, passé largement inaperçu en dehors de la communauté spécialisée mais qui inquiète de nombreux spécialistes français. Signé par Françoise Weber, directrice générale adjointe de la santé, et par Yves Calvez, directeur général adjoint du travail, il définit le cadre de "l’autorisation de manipulation dérogatoire de l’agent biologique de groupe 4 Ebola à des fins de réalisation d’examens biologiques pour les patients atteints d’infection avérée à cet agent".

    Il prévoit "à titre dérogatoire" que la réalisation d’examens biologiques pour les patients atteints d’infection avérée à l’agent biologique Ebola "est autorisée dans les établissements de santé qui disposent d’installations de niveau de confinement 3 et qui sont équipés d’un poste de sécurité microbiologique de niveau III (PSM III)".

    Mais il prévoit aussi qu’à défaut, ces mêmes examens peuvent être effectués dans les établissements de santé qui disposent de protections moindres:

    "Des installations de niveau de confinement 3 [...] équipées d’un poste de sécurité microbiologique de niveau II (PSM II)."

    Soit un niveau de sécurité nettement inférieur. Ces établissements devront d’autre part prendre "les mesures de sécurité et de sûreté adaptées nécessaires en termes d’équipements, de décontamination et de conditions de travail".

    "Isolements viraux à très haut risque"

    Ce sont ces nouvelles dispositions dérogatoires qui alarment les spécialistes de virologie et de biologie. Inquiets mais devant garder l’anonymat, plusieurs d’entre eux viennent de nous fait part de leurs inquiétudes. "Il ne fait aucun doute que les personnes présentant une infection au virus Ebola sont en droit de recevoir les meilleurs soins possibles de la part de notre système de santé, précisent-ils. Cela nécessite donc la réalisation d'analyses biologiques, biochimiques et hématologiques permettant d'apporter une réponse thérapeutique la plus optimale possible."

    Il faut ici rappeler qu’en l'absence de traitement spécifique efficace et disponible, la prise en charge est purement symptomatique (traitement des symptômes et non de la cause première). A ce titre, la connaissance en continu de l’évolution des paramètres biologiques et biochimiques est un critère important pour les médecins ayant la charge de ces malades.

    "De ce point de vue, on ne peut que se féliciter que cet arrêté permette la réalisation de ces analyses puisqu’en son absence, les hôpitaux auraient été dans l'incapacité de les réaliser, soulignent les spécialistes. Il aurait en revanche été nécessaire d'indiquer la nature des examens biologiques réalisables –et donc la nature des automates correspondants. Souhaitable aussi de les limiter aux seuls examens biologiques, biochimiques et hématologiques nécessaires à la prise en charge du patient. Et ce afin que certains microbiologistes ne se lancent pas dans des isolements viraux à très haut risque."

    Les spécialistes qui ont l’expérience des virus hautement pathogènes et très infectieux comme le virus Ebola (virus très difficiles à manipuler) ne peuvent pas taire la gêne qu’ils ressentent depuis la lecture de cet arrêté. Selon eux, manipuler des tubes de sang titrant jusqu'à 10^7 particules virales par ml sous un Poste de sécurité microbiologique 2 présente des risques non négligeables. Il en va de même, selon eux, sous un PSM 3, la limite concernant alors l'absence d'habitude des personnels qui seront amenés à manipuler sous ce type d'enceinte.

    Les seuls laboratoires où ces manipulations peuvent être effectuées sans danger sont ceux de type P4: le manipulateur y est confiné dans son scaphandre en pression positive et le laboratoire étant en dépression, le virus ne peut en sortir. Or, même dans ces conditions de protection extrême, des protections complémentaires sont imposées: les sécurités concernant les déchets sont doublées voire, dans certains cas, triplées. L’ensemble des procédures doit en outre être validée de manière extrêmement poussée selon le guide des bonnes pratiques édité par l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (Ansm).

    "Le contraste est donc particulièrement frappant. Aujourd'hui, on permet à du personnel non expérimenté de travailler sur les mêmes échantillons dans des conditions complètement dégradées de biosécurité, avec des méthodes moins élaborées et poussées", soulignent les virologues. Certains parmi eux font état d’une inquiétude grandissante chez leurs collègues hospitaliers, peu habitués à ce type d’agents pathogènes. Leurs questions portent notamment sur les méthodes de décontamination ou sur les durées nécessaires pour pouvoir réutiliser un bloc opératoire ou un service de réanimation ayant reçu un malade infecté par le virus Ebola. Et c’est un euphémisme de dire que la communauté hospitalo-universitaire appréhende le moment ou un cas confirmé sera hospitalisé en France.

    Jean-Yves Nau

    http://www.slate.fr/story/91201/ebola-arrete-qui-fait-peur-aux-virologues-francais#xtor=RSS-2

  • Suivez, pas à pas, la vraie histoire et recette du cassoulet

    Marre de manger de la bouillasse nommée cassoulet à Toulouse???!

     

    http://cuisine-toulousaine.hautetfort.com/archive/2014/08/12/mes-origines-5426767.html

  • Si vous êtes constipé-es: voici la pillule à chi...r

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    MON CONSEIL:

    Chi...z bleu, mou ou dur....

    mais... chi..z dans le trou!

     

    ça vous évitera les nausées nauséabondes de relents fâchistes...etc... etc...

    (dixit la gauchiasse médiacratique française - quels pauvres types: ils répètent toujours les mêmes mots, faute d'avoir un truc intelligent à dire!

    N'est-ce pas, mesdames et messieurs les chômeurs de France?)