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Blog - Page 66

  • L'avenir du futur...

    Cette vidéo à été publiée le 11/09/2008...

     

    Question: est-ce que l'on parlait déjà -en 2008- des "lunettes google?"

     


    Vos descendants de l'an 3000 par ToulouseJoyce

     

    Voyez, écoutez, aussi toutes mes vidéo sur l'avenir de nos petits enfants... Vous serez surpris-es d'y entendre des choses de la vie quotidienne de nos descendants et qui, sont peu à peu, mises en place à l'heure actuelle...

    J'ai appris récemment que le NASA développe un concept de food printing. Il s'agit de fabriquer des pizzas en quelques minutes à l'aide d'une sorte d'imprimante 3D dont les réservoirs contiendrait de la tomate, du fromage... Les ingrédients seraient ensuite superposés afin d'obtenir une véritable pizza!

    Je pense avoir parlé d'un appareil posé devant chaque personne qui, en pianotant, réaliserait son propre repas selon ses goûts et dont le repas serait cuit en 8 mn environ! (vidéo 3 ou 4)!

    Je parle également de logements, maisons ou appartements connectés entièrement et qui devine qui se trouve dans la pièce et propose un décor selon ses goûts... On en parle: par exemple, la télévision sera affichée directement surs les murs, via des panneaux qui, une fois éteints, se fondront dans le décor. Ces panneaux changeront au gré des envies et permettront de surfer sur le net tout en regardant une série; la réalité augmentée permettrait de faire de notre salon un véritable studio de cinéma en projetant les images sur les murs.

    Il existe déjà une appli qui permet de sentir certaines odeurs...

    C'est pour demain: des robots totalement autonomes (et même un nourrisson aura le sien!)

    et d'autres infos qui se trouvent sur mon autre blog:

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/

    où sur ce site:

     

      www.legende-des-siecles.com

     

  • ... Mais, c'est bien sûr!!!!

    Grève SNCF : la peur des cheminots non-grévistes

    Au 9e jour de grève à la SNCF à l'appel de la CGT-Cheminots et de Sud-Rail contre la réforme ferroviaire, la CFDT dénonce des "exactions commises à l'encontre des cheminots non-grévistes" et "demande des mesures de protection pour tous les cheminots". Sorti de la grève depuis qu'il a signé la semaine dernière un accord avec le gouvernement, le syndicat juge inadmissibles les "injures, menaces, destructions de biens, séquestrations et les violences" qui visent les cheminots qui continuent de travailler.

     "Il y a eu des pneus crevés, des voitures peintes en jaune, des mails de menaces, explique au Figaro Eric Chollet, secrétaire national à la CFDT Cheminot. Il y a un véritable climat de peur et une ambiance difficile en ce moment. Le droit de grève existe, mais celui d'aller travailler aussi", tient à rappeler le syndicaliste. "D'ailleurs, la CDFT se réserve le droit de porter plainte".

    Y a-t-il eu des violences physique? A cette question, Joël Rausa, secrétaire général CFDT à Toulouse, est catégorique: "Non, pas du tout". "On a eu quelques barrages filtrants mais on n'a pas eu de menaces, ni d'agressions. La SNCF a pris des mesures pour que certains agents soient accompagnés sur des sites".

    En Normandie, le secrétaire de la CFDT-Cheminot de la région a découvert mercredi la porte du local de Caen peinte en jaune et arborant trois affiches dont une francisque (emblème pétainiste), le drapeau de la Milice française (organisation politique créée sous le régime de Vichy) et un portrait du Maréchal Pétain. Sur cette troisième affiche, il est écrit: "Cheminots, vous n'êtes ni vendus, ni trahis, ni abandonnés. Venez à moi avec confiance". "C'est intolérable, explique Jean-Claude Chrétien, écoeuré. C'est un outrage, une insulte à ceux qui ont péri pendant cette période-là, quelques jours après avoir fêté le 70e anniversaire du Débarquement".

    La peur de l'après-grève

    "Collabos", "traîtres", "vendus". Ces mots-là, Grégory Gaudel les a aussi entendus mais il ne veut pas mettre de l'huile sur le feu. Dans les régions Aquitaine et Poitou-Charentes, ce secrétaire général à la CFDT assure qu'il n'y a pas eu de débordement. À Bordeaux, "des grévistes ont distribué des pastilles autocollantes vertes à ceux qui allaient travailler. Ils ont repris le concept du badge "Priorité Exam" et l'ont barré d'une mention ‘en grève'", indique le cheminot. "On n'a pas trop aimé la symbolique mais bon..."

    Mais ce qui l'inquiète le plus, c'est l'après-grève. "On a plutôt peur du retour au boulot en fait. Tant qu'ils sont occupés, ça peut aller. Mais après, on redoute la fracture et les coups de vis au quotidien", explique le cheminot, qui souligne un autre effet secondaire de la grève: le mécontentement des usagers qui s'en prennent aussi à ceux qui travaillent au contact des clients.

    Sud Rail condamne toute violence physique et verbale: MENTEURS!

    Contacté par Le Figaro, le syndicat Sud-Rail déclare "condamner toute violence verbale et physique, ainsi que les affiches retrouvées sur le local de Caen: "Il ne faut pas tout mélanger", indique un syndicaliste qui dit n'avoir eu aucune remontée de la part des instances en région. La CGT-Cheminots a, quant à elle, refusé de répondre sur ce sujet.

    http://www.lefigaro.fr/social/2014/06/19/09010-20140619ARTFIG00322-greve-sncf-la-peur-des-cheminots-non-grevistes.php

     

    Perso, j'avais une amie prof qui était non gréviste tout le temps -OUI, CELA EXISTE! même moi, je n'en reviens toujours pas...

    qui subissait la même chose!!!! d'autres comme elle, aussi me disait-elle... heu, devaient pas être légion!

    Les profs, la pire engeance après les syndicalistes de tous bords.... et pourquoi?

    Là où j'ai ressenti le plus terrible écœurement qui est encore très vivace en mon souvenir, c'est lorsque j'ai constaté, et cela arrive encore, qu'ils bloquaient les centres d'examens pour empêcher les jeunes d'aller passer leurs examens!

    Que ceux qui par vocation (j'espère mais, ne n'y crois guère) sont destinés à faire des petits français des gens intelligents -et adaptés au monde actuel, éduqués selon les principes de la République- interdisent à leurs élèves de passer leurs examens, c'est le pire du pire que peuvent imposer les ponctionnaires à ceux qu'ils sont censés servir, puisque payés avec nos impôts.

    Moi, à 14 ans, on m'a envoyée à l'usine pour ramener quelques sous dans un foyer où ma mère fut veuve à 36 ans, sans ressources, avec 5 enfants.

    Au nom de toutes les années où je n'ai pas pu être sur les bancs des lycées et des facs, avec un QI de 130, je vomis et vomirais, jusqu'à la fin de mes jours tous ces irresponsables, égoïstes...

    ...des humains qui fraudent et démolissent ce qu'il y a de plus beau en l'humanité...

    ...des humains qui ne sont que bouffis d'exigences et d’appropriations diverses et qui, avec l'aide des saints dictats irresponsables et voleurs, avec l'aide de toute la merdiatique gauchiasse et des politiques les plus corrompus vous font passer des vessies pour des lanternes!

    C'est bientôt le 14 Juillet... ça vous dit quelque chose, cette date?

     

     

  • Et si on tapait, un peu pour voir, sur la gauchiasse... et qu'on laissait la droite tranquille, pour changer...

    Le train de vie délictueux du comité d’entreprise de la SNCF

    Détournements de subventions, abus de confiance, favoritisme, fausses factures, opacité : bienvenue dans le monde merveilleux du comité d’entreprise des cheminots.

    Extrait du Dossier du contribuable n°10 " Enquête sur la CGT ". Commandez en ligne et recevez le magazine (68 pages) pour 4.5 euros seulement !

    La SNCF est noyautée par la CGT

    A la SNCF, la CGT se porte bien, merci pour elle. Doté d’une subvention de 93 millions d’euros par an (pour 155 000 salariés), le comité d’entreprise de l’établissement public ne connaît pas la crise. Cette manne est versée par la SNCF à ses 27 comités d’établissements (CE), qui restituent 33% de cette dotation au tout-puissant Comité central d’entreprise (CCE). Les comités d’établissement correspondent aux régions SNCF et à ses directions centrales. Sur ces 27 CE, 25 sont dirigés par la CGT ! L’expression " place forte " ou " bastion imprenable " pour exprimer l’emprise du syndicat sur la SNCF n’est en rien exagérée… Les comités sont gérés dans la plus grande opacité par la CGT, qui n’oublie pas de s’arroser copieusement au passage. Et, quand un individu un peu trop regardant entend tirer au clair certaines affaires, on lui réplique que " ce n’est pas le moment de parler de ça " ou on le sermonne sur le mode " camarade, ce sont des enjeux qui te dépassent. "

    Détournements de fonds : des millions d’euros disparaissent

    Il y a eu Strasbourg, et la mystérieuse disparition d’une somme rondelette (1,3 millions d’euros pour un budget d’environ 3 millions d’euros) du comité d’établissement régional (CER), chaque année pendant au moins dix ans. C’est le secrétaire du CE qui a révélé ce système de détournement de fonds échafaudé à l’échelle locale. Fin septembre 2012, deux personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire pour détournement de fonds. Le parquet de Strasbourg a ouvert une information judiciaire.

    Et il y a eu Lyon : huit syndicats du comité d’entreprise régional de la SNCF (la CGT, UNSA, Sud-Rail, CFTC, CFDT, FO, FGAAC, CFE-CGC) pris en flagrant délit de détournement de la subvention de fonctionnement allouée à leur comité d’entreprise. Ils ont été poursuivis pour abus de confiance et faux et usage de faux. Près de 340 000 euros auraient été détournés, dont la plus grosse part au profit de la CGT, majoritaire au CE, via des fausses factures.

    Reprenons l’histoire : depuis 1994, les huit syndicats du comité d’établissement de la région de Lyon passent un accord secret. L’objectif ? Se partager un pactole équivalent aux deux tiers du budget de fonctionnement, calculé au prorata du nombre de représentants syndicaux au sein du CER. Sur les 4 millions d’euros récoltés chaque année par le comité d’établissement lyonnais, 3,2 millions d’euros sont consacrés aux activités sociales pour les salariés, et 500 000 euros au fonctionnement du CE. Ce montant est défini par la loi. Ce sont les deux tiers de ce budget de fonctionnement que les syndicats, sous l’autorité de la CGT, se partagent. Avec ses cinq élus, la CGT s’arroge 100 000 euros, l’UNSA touche 90 000 euros pour ses quatre élus, Sud-Rail et la CFDT perçoivent 50 000 euros pour leurs deux représentants… Toutes ces sommes sont "maquillées" en fausses factures : formations, achats d’ordinateurs, de fournitures de bureau. Les représentants syndicaux sont tous au courant de cet accord, comme ils le reconnaîtront plus tard. Un élu CFDT confirmera même que le secrétaire CGT du CER Lyon veillait au grain sur les modalités de répartition de la somme ! L’affaire prend de l’ampleur, elle est jugée, mais personne n’est condamné car les accusés sont des personnes morales. Mais le pire est ailleurs ! L’accord illicite incriminé n’est jamais cassé, et continue d’être appliqué…

    En effet, deux ans après le jugement, deux anciens membres du CE avoueront que "cet accord n’a jamais été remis en cause. Nous n’avons pas changé une virgule"… Personne n’y trouve rien à redire ! Et d’ajouter : "La répartition se fait dans les mêmes conditions. (…) Ce n’est pas un accord écrit, mais décrété par la CGT (…) Nos avocats nous ont conseillé de le poursuivre. L’interrompre brutalement aurait été considéré comme un aveu de culpabilité." La commission d’enquête parlementaire de 2011 sur le financement des syndicats révèle dans son rapport caché que Bernard Thibault, alors à la tête du syndicat, ne pouvait ignorer " l’affaire de Lyon ". Thibault est lui-même cheminot ( son salaire – 2 300 euros nets, versés par la SNCF ! – lui est dû au titre de son statut de "dégagé syndicalement d’une entreprise publique", et la CGT prend en charge sa voiture de fonction, une Citroën C6 !). Son épouse, elle, travaille au CCE de la SNCF. On pourrait croire au hasard, si Mme Thibault n’avait pas témoigné pour favoriser le licenciement d’un contrôleur de gestion qui dénonçait ces pratiques ! On pourrait aussi croire à une coïncidence si l’on ignorait que l’un des fils de Bernard Thibault avait – lui aussi ! – été embauché au CCE de la SNCF… L’audition de syndicalistes auprès de la commission parlementaire révèle aussi que le CCE organise avec ses fonds des apéritifs, loue des voitures. Coût estimé de ces pratiques : 800 000 euros. Le tout justifié par de fausses factures…

    Antoine Renaud

    http://www.contribuables.org/2014/06/16/train-vie-delictueux-du-comite-dentreprise-sncf/

     

    et, si vous voulez savoir si votre maire était dépensier en 2012, cliquez sur le lien ci-après

    http://www.contribuables.org/argus-des-communes/

     

    Ma commune a obtenu 6 sur 20: on a bien fait de changer de maire!!!!

     

     

  • Droit dans le mur, la gauchiasse: ou le nouveau roman photo contemporain

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  • Tartarin de Tulle en peu d'intellect...

    Après deux ans au pouvoir, après lesquels il n’y aura sans doute pas de réélection, il est désormais possible de dresser un premier bilan de la présidence de François Hollande. Deux ans permettent de planifier les budgets, de rencontrer les plus importants chefs d’État étrangers et de réaliser plusieurs réformes économiques ou sociales qui peuvent être débattues, même lorsque leurs résultats ne sont visibles que plusieurs années plus tard.

    Avec une cote de popularité de seulement 18%, le score le plus bas de la Vème république, très peu de décisions prises ont été appréciées. De mémoire, deux décisions l’ont été à l’unanimité: son intervention militaire au Mali et sa reconnaissance de la responsabilité de l’État français dans la rafle de Vel d’Hiv. En revanche, les erreurs politiques, stratégiques ou diplomatiques ont été tellement nombreuses qu’il nous est impossible de toutes les énumérer. Contentons-nous d’énumérer les plus grandes.

    Un début de mandat raté

    Seulement deux heures après son élection, il rend hommage à Jules Ferry, certes le fondateur de l’école publique gratuite et laïque, mais également farouche partisan de l’expansion coloniale de la France, « fondée sur une vraie théorie raciste »[1] Cette erreur de communication a été aussitôt sévèrement critiquée par sa propre Garde des sceaux, Christiane Taubira. Ensuite il part en Allemagne rencontrer Angela Merkel. Il pleut des cordes et l’avion présidentiel est foudroyé – même les moins superstitieux évoquent un mauvais présage.

    Des nominations douteuses

    Bien qu’il s’était engagé à ne pas nommer au gouvernement ou aux postes clés de l’administration nationale les personnalités condamnées pour les crimes ou délits, il n’a pas tenu cet engagement. Si la nomination du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, condamné en 1997 à six mois de prison avec sursis et 30 000 F d’amende pour le délit de favoritisme[2] n’a pas posé problème suite à sa réhabilitation, d’autres ont été plus problématiques. Celles d’Henri Emmanuelli, nommé à la Caisse des Dépôts et des Consignations, et de Harlem Désir comme secrétaire d’État, restent incompréhensibles.

    Des réceptions en catimini sulfureuses

    Lors de la visite du président birman Thein Sein, le sort des centaines de musulmans Rohingyas tués et les 140.000 déplacés n’a même pas été abordé[4].

    Un pitoyable cadeau

    Pendant que la presse à scandale s’amuse de sa braguette ouverte lors de la visite officielle en Algérie ou de ses cravates régulièrement de travers car il a pris du ventre, certaines erreurs de goût ont malheureusement une plus grande portée. Les cadeaux que le Président français offre aux chefs d’État étrangers sont censés représenter notre pays et son image de marque. Ainsi Bernadette Chirac avait-elle offert à la princesse Diana de Galles un sac Dior en cuir noir matelassé qui est entré dans l’histoire et devenu le célèbre « Dior Lady ». Lorsque François Hollande a rencontré Barack Obama pour la première fois, sa compagne Valérie Trierweiler a offert à Michèle Obama un sac en cuir de la marque Le Tanneur. En offrant un sac cinq fois moins cher, on a sans doute voulu montrer aux Français que le gouvernement souhaite réduire ses dépenses en temps de crise. Soit. Seulement, la marque Le Tanneur n’est plus une marque française, puisque l’entreprise appartient désormais à 85,73% à la société Qatar Luxury.

    Des petites blagues de mauvais goût

    Si certaines petites blagues font sourire, telles que « dans le gouvernement il y a plus de femmes que d’hommes depuis le départ de Cahuzac » ou « Sarkozy tu ne le verras plus » lancée à un enfant lors du Salon de l’agriculture, d’autres sont beaucoup moins drôles et frôlent le scandale diplomatique. Tel est le cas de la petite phrase sur l’élection du Pape où « la France ne présentera pas de candidat » qui montre que le chef de l’État n’a aucune considération pour les cultes. Il est beaucoup moins drôle de confondre la Tunisie et l’Égypte devant le président tunisien le 4 juillet 2013, ou encore de présenter ses condoléances au peuple chinois suite à la prise d’otages d’In Amenas (Algérie), alors qu’on est en visite officielle au Japon. Le pire, nous semble-t-il, c’était d’envoyer un ministre de l’’Intérieur à une visite officielle en Algérie, ancienne colonie française qui nous approvisionne en gaz, et de se réjouir de le voir revenir sain et sauf, puis de s’excuser pour l’interprétation qui est faite de ses propos – et non pour les propos eux-mêmes.

    La décision honteuse dans l’affaire Snowden

    L’affaire Snowden aurait été une belle occasion pour François Hollande d’améliorer sa cote de popularité. Techniquement, Snowden avait été empêché de déposer une demande d’asile en France. Mais se retrouver à la tête de la patrie des droits de l’homme et refuser d’accorder l’asile à Snowden, puis l’accorder à la Femen Inna Shevchenko, poursuivie dans son Ukraine natale pour les actes de vandalisme – elle avait scié la croix de Holodomor, érigée à la mémoire des victimes de la famine sous l’ère stalinienne – c’était incompréhensible.

    L’amateurisme gouvernemental

    L’amateurisme du gouvernement était le plus éclatant lorsque ses grands projets à caractère électoraliste se sont vus censurer par le Conseil Constitutionnel. Tel était le cas de la loi sur l’amnistie sociale, ou encore celui de l’imposition à 75% des revenus annuels qui dépasseraient 1 M€. M. Hollande aurait pu s’entourer de technocrates ou écouter les conseils venant des experts de la société civile ; il a préféré s’entourer de ses proches au sens idéologique du terme. L’incompétence a marqué quasiment chaque action, chaque projet de loi, chaque déclaration de ses ministres. Lorsque Arnaud Montebourg a été nommé à Bercy, Michel Sapin s’est félicité d’avoir un tel collaborateur car le Ministère serait désormais dirigé par « le Cerbère à deux têtes ». Seulement, le chien de Caron de la mythologie grecque, qui transportait aux enfers les âmes des morts à travers la rivière souterraine Styx, lui, avait trois têtes. Un dieux grec plus optimiste aurait pu être choisi pour le symbole, mais celui-ci correspondait mieux à la triste situation de nos finances publiques.

    Une courbe du chômage qui persiste à ne pas s’inverser

    Et pourtant, bien que le chômage explose et que la croissance soit nulle, plus personne ne s’attend à ce que le gouvernement crée les emplois – il doit simplement créer un climat économique propice à leur création naturelle par le secteur privé, en allégeant la fiscalité des entreprises et des particuliers. Malheureusement, le gouvernement a choisi l’inverse : faire supporter la facture de la crise aux ménages et aux entreprises, tout en préservant les 5,5 millions de fonctionnaires qui constituent sa base électorale. La fin des heures supplémentaires défiscalisées, la réduction des montants que l’on peut transmettre sans impôt aux membres de sa famille, la suppression du quotient familial, l’augmentation des droits de mutation, tout y passe. Après les plus riches, maintenant c’est le tour des jeunes diplômés de quitter la France pour de bon, comme en témoignent les chiffres alarmants de l’INSEE.

    Des réformes essentiellement focalisées sur les questions sociétales

    Pour les socialistes, la famille est une institution de la bourgeoisie et sert à reproduire les inégalités entre les classes sociales ; ainsi vaut-il mieux la démanteler. C’est dans ce sens qu’il faut interpréter les lois sociétales du gouvernement Hollande, qu’il s’agisse du mariage pour tous, de la théorie du genre ou encore de la légalisation des nouvelles techniques de reproduction humaine qui remettent en question la filiation biologique. Le gouvernement a refusé d’écouter les arguments de la Manif pour tous, un mouvement qui a massivement mobilisé les Français, et n’hésite pas à réprimer les manifestations des Veilleurs et emprisonner leurs militants. L’État est-il à sa place, lorsqu’il légifère sur les unions matrimoniales et s’immisce ainsi dans les affaires privées des citoyens ? Le mariage doit-il vraiment être prononcé par un maire, à la place du prêtre ? Quant aux questions patrimoniales, ne sont elles pas mieux gérées par les notaires ou les avocats fiscalistes ?

    On considère souvent que le vote à gauche est plus sexy, branché et cosmopolite, en évoquant les aides aux plus démunis et une politique d’immigration beaucoup plus humaniste.

    Pour le moment, les membres du gouvernement Hollande ne cessent de répéter que la mauvaise gestion du gouvernement précédent a été responsable de l’état dans lequel se trouve notre pays. Mais il nous reste encore trois ans avec M. Hollande et il lui sera de plus en plus difficile d’utiliser cette excuse, surtout à la prochaine échéance électorale, car cinq ans suffisent largement à mettre en place les réformes qui porteront leurs fruits d’ici 2017. Pour le moment, malheureusement, nous n’avons rien vu – aucun audace, aucun courage, aucune vision pour la #PauvreFrance.

    George Bush était célèbre pour ses « bushismes » devenues une anthologie. Qu’allons nous retenir de François Hollande ? Son inaction en attendant les municipales en France ou les élections allemandes ? Ses petites blagues maladroites ? Ses affaires de mœurs qui montrent qu’il n’est même pas capable d’être honnête avec ses proches ? Ou le déclassement international de la France, tel le naufrage d’une arche sans capitaine ? Sic transit gloria mundi…

    Mais bon, ça aurait pu être pire. Il aurait pu être socialiste.

    Il y a deux ans, je me demandais sur Twitter si François Hollande, le candidat de deuxième choix, allait devenir un piètre président. Second choice candidate. Second rate President ? – j’écrivais en mai 2012. Je ne soutiens pas sa famille politique, mais je n’ai pas envie que ma « prophétie » définisse son quinquennat ; je souhaite à M. Hollande de changer le cap et de réussir les trois ans qui lui restent, pour le bien de la France.

    1. Thomas Wieder, « Jules Ferry le « colonisateur » suscite la controverse », Le Monde, 15 mai 2012.
    2. Nicolas de la Casinière, « Jean-Marc Ayrault condamné à six mois avec sursis », Libération, 20 décembre 1997.

    Céline Lussato, « Visite du président birman à Paris: silence sur le sort des Rohingyas », Le Nouvel Observateur, 17 juillet 2013.

     

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  • Fatigué de payer des impôts et cotises? lisez cela et la colère vous requinquera!

    Nicole.

    Alors qu’elle vérifie minutieusement les calculs de son budget pour le mois écoulé, elle comprend enfin pourquoi ce mois-ci est bien plus simple à boucler que les précédents : tout indique que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie lui a versé 911 euros. Par erreur. Nicole écarte rapidement la thèse conspirationniste (9/11, le 11 septembre, Al Qaïda, la CIA, les chemtrails et autre projet HAARP ne sont pas responsables de ce surplus sur son compte), et comprend qu’on lui a versé une indemnité journalière. Sauf qu’elle est en parfaite santé et qu’elle se rend chaque jour au travail, comme d’habitude.

    Là où d’autres auraient gardé l’amour républicain tarifé indûment perçu, Nicole en informe la CPAM par téléphone. Originalité : c’est " Les 4 saisons de Vivaldi " qui a été choisi comme musique d’attente et ça tombe bien puisque le morceau complet du compositeur italien dure à peu près 45 minutes, temps qu’il faut à Nicole pour tomber sur un interlocuteur auquel elle expliquera qu’elle touche des indemnités journalières alors qu’elle est en parfaite santé (" Vous allez rire, j’appelle d’ailleurs de mon travail ") :

    Vous pourriez avoir des problèmes. Si vous touchez des indemnités journalières, vous n’avez pas le droit de travailler.

     - Mais je ne suis pas malade !

    - Vous savez très bien que cette somme correspond à des indemnités journalières pour votre arrêt maladie !

     - Je n’ai jamais déposé d’arrêt maladie !

    Et là, paf, le lutin (peu commode) raccroche. Nicole tente à nouveau l’appel, mais ses six ou sept tentatives suivantes sont infructueuses (et puis Vivaldi l’agace). Elle se décide à écrire à la Caisse. Son employeur, inquiet que la Caisse lui demande des comptes par la suite, appelle un ami qui y travaille pour intercéder en sa faveur (Quand c’est la République qui distribue de l’amour, ce sont les bons amis qui font les bons comptes, n’est-ce pas).

    Quelques jours plus tard, Nicole reçoit une lettre. C’est un attaché de direction à la CPAM qui lui écrit, reconnaissant que ses services ont commis une bévue et il l’informe que le problème était en passe d’être sur le point de pouvoir être bientôt réglé incessamment sous peu. Il va jusqu’à louer son honnêteté :

    Nous n’aurions jamais pu, sans votre honnêteté, nous apercevoir de ces sommes indûment versées.

    Nicole n’en croit pas ses oreilles en parfaite santé.

    Et quelques jours plus tard, ce sont ses yeux en parfaite santé qui s’écarquillent lorsqu’elle découvre un nouveau courrier, exigeant le recouvrement de 1422 euros, les prestations lui ayant toujours été versées pour ses jours d’arrêt maladie du 3 au 7, courrier assorti d’un autre, la convoquant au service des arrêts de travail pour examen médical.

    Dans sa réponse écrite (elle n’a pas 75 minutes de Vivaldi à perdre), elle tente de conserver son calme et demande à la Caisse de cesser ses versements et qu’elle refuse de se rendre à l’examen, puisqu’elle est en bonne santé et qu’elle n’a aucune envie de s’absenter de son travail.

    La réponse à sa réponse est calquée sur la même logique que ce qui a amené Nicole au milieu de ces petits engrenages aux mouvements inexorables : en ne se rendant pas à l’examen médical, elle joue avec le feu puisque ses prestations pourraient ne plus lui être versées ! Et puis, elle a intérêt à avoir une excuse en béton pour ne pas se rendre à l’examen médical, non mais des fois. Un mot de ses parents ou de l’État-maman fera l’affaire.

    En France, dès qu’un enfant s’égare ou qu’une bévue est commise, la première question posée est " Mais où est donc l’État-maman ? " Nicole, elle, ne sait pas trop bien comment dialoguer avec lui et lui faire comprendre son erreur. Et c’est finalement l’attachant attaché de direction qui lui apportera des éléments d’explication lorsque, en désespoir de cause, elle se rend directement dans les locaux de la Caisse :

     

    Notre système de traitement est un peu archaïque. Il y a des lutins hommes derrière les écrans, mais, dans la masse des dossiers traités chaque jour, bon, des fois, il arrive que se glissent des erreurs dans nos livraisons d’amour. Ce ne sont pas les lutins hommes qui font les erreurs, notez bien, mais le plus souvent, ce sont les machines qui ne parviennent pas à déchiffrer ou interpréter les arrêts maladie. Voili voilà, rien de grave. Signez là, là et là, je tamponne ici et là et tout devrait rentrer dans l’ordre… Vous voulez un petit cachou ?

    Décidément, l’amour républicain semble n’en faire qu’à sa tête. Les visions chamaniques sténographiées sur papyrus des auspices et les aruspices de la Providence, introduites avec effort dans les calculateurs collectivistes, sont parfois capricieusement retranscrites, et font des victimes comme Nicole, innocentes, qui reçoivent un amour dont elles se seraient bien passé, harcelées par les avances de lutins qui veulent à tout prix refiler au plus grand nombre un peu de leur amour vicié.

    Espérons pour les habitants de la République du Solidarland que les lutins cesseront un jour de prendre leur argent pour le manger et leur cracher le reste à la figure…

    L’État-providence est à la solidarité ce que le viol est à l’amour. – @jabial

    http://h16free.com/2014/05/23/31309-made-in-france-e16-elle-court-elle-court-la-maladie-damour

     

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  • 1er Juin: Journée mondiale des parents

     

    C'est l'ONU qui est à l'origine de cette journée mondiale.

    Dans sa résolution A/RES/66/292 du 17 septembre 2012, l'assemblée générale a proclamé le 1er juin, Journée mondiale des parents, pour mettre à l'honneur les parents du monde entier.

    Un père, une mère, des parents...

    La responsabilité première des parents a, de tous temps, été de prendre soin des enfants, les protéger et leur assurer un développement harmonieux.

    La famille doit garantir aux enfants un climat de bonheur, d'amour et de compréhension, leur permettre de grandir et les rendre aptes à affronter l'avenir.