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occitanie - Page 66

  • Le zoo humain – 2 – Fillon

    Pour toutes les explications sur ce procédé de voyance, voir la note précédente 1.

    Lorsque j'ai vu Fillon en place de premier ministre, j'ai détesté ce choix et j'en ai voulu à Nicolas Sarkosy de l'avoir pris comme bras droit.

    En effet, tout de suite, Fillon m'est apparu comme un traitre, un faux-cul. La tête toujours baissée sous sa mèche qui cachait tous ses sentiments. Cela n'a pas raté tout au long de son ministère et lors de la bataille de la présidence de l'UMP.

    Déjà, deux jours après la défaite de 2012, il tapait sur le président défait, par sa méchanceté hargneuse et revancharde gratuite.

    C'est donc tout un amas de sensations psychologiques que j'ai reçu en pleine figure venant de sa tête.

    Comme tous les politiques, j'ai “vu“, en ce temps-là un aigle. Mais, une tête d'aigle baissée en avant, sur le cou, contrairement à Macron dont la tête d'aigle est de profil, comme aigle imperator, l'orgueil au haut plus niveau. Cela n'empêchait nullement les petits yeux méchants, scrutateurs et méfiants.

    Puis, j'ai “vu“ apparaître en une demi-seconde la tête d'un ours mais j'ai été étonnée que cela ne dure pas très longtemps.

    Un ours qui pourrait être bougon et grognon mais pas du tout “nounours“ pour les bébés, croyez-moi Un ours en colère, méchant et effrayant.

    Je “ressens“ également qu'il a un étage de dents-bouche-mâchoires rentrée, comme un jaloux qui se domine mal. Un vicelard qui attend avec délectation de tirer son coup tordu.

    Puis, peu à peu, dès qu'il a commencé à se présenter à la candidature, j'ai “vu“ aussi la tête d'un petit singe en sur-impression, vous savez, celui qui tend la sébile parce qu'il réclame toujours. Qui s'avance et fuit se cacher.

    Un singe, un peu voleur qui fait des entourloupes et se retire sur son Aventin pour se régaler méchamment de ses coups-fourrés en riant de toutes ses énormes canines et qui parvient cependant à nous tirer quelque impression de sympathie de connivence, comme deux qui se ressemblent. On a tort de toujours vouloir le remettre en selle, il est fatiguant à la longue car il nous ressemble trop, c'est trop Français. (Là, je parle pour trop de Français, au moins 85%, mais je n'en suis pas….)

    J'ai vu aussi des choses au niveau sexuel mais je n'en parlerai pas. N'insistez pas. Jamais je ne dirai. Mais, cela me conforte, perso.

    Puis, vinrent avec force à ma “vue“, les sentiments de forte jalousie, de calculs, de “ruminage sans fin“; c'est un homme plein de rage qui rumine et attends son heure. Il l'attend constamment; c'est quelqu'un qui, s'il parvient au pouvoir sera toujours en réserve, sans action, en retraite chaque fois que ça brule un peu… il est bloqué dans ses actions par son “ruminage“. Il n'en finit plus de se dire “qu'on lui a volé“ sa grandeur! Il serait Pape ou Grand Manitou (celui d'en-haut qui se croit éternel) que cela ne le satisferait pas.

    Et puis, s'il se sent acculé par les autres, au premier blocage, il se défile et laisse tomber.

    Il rumine tellement qu'il en a une grosse tête! Pleine d'amertumes et de rancœurs diverses mais quand même, il sait beaucoup de choses qui le mettent bien en position d'être candidat au poste de président de la République Française, ce n'est pas le crétin consanguin que nous avons à l'Elysée qui ressemble à un… chut! c'est pour un autre portrait.

    Ce n'est pas l'âne que j'ai décris précédemment, nul en tout malgré ses diplômes et ses relais bancaires. Le fric ne fait pas l'intelligence, Macron! croyez-moi et ne vous donne pas la capacité intellectuelle de gouverner un aussi grand pays que la France. Fillon, il en a les capacités intellectuelles mais son quinquennat serait mou, inutile, perdu, vain.

    Pas bon, tout ça.

     

     

  • Une histoire fantastique à Toulouse

    LA DAME EN BLANC

    HISTOIRE FANTASTIQUE PAR JOSYANE JOYCE ©

     

     Une nuit orageuse d'été dans la nuit toulousaine

     La soirée entre amis est terminée, il est temps de rentrer chez soi. Jean-Pierre et Maryse raccompagnent Danièle et ses deux filles à leur voiture. Il n'est pas loin de minuit et la chaleur de la nuit est accablante. Au loin, on entend l'orage venir; des roulements de tambour puissants dérangent le calme de la nuit chaude et poisseuse.

    Dans l'épaisseur de la nuit d'été, un petit vent lourd et grave commence à ronfler dans les cimes des arbres qui entourent la propriété des amis hôtes de la soirée. Tout le monde a passé une bonne soirée, Danièle à été comblée de cadeaux pour son anniversaire, toute la petite troupe est heureuse de ce grand moment de partage et de convivialité… l'heure a tourné sans que personne ne s'aperçoive de la fuite du temps et, pourtant, maintenant, il est l'heure de regagner la petite résidence des Pierremartin.

    Maryse embrasse chaleureusement Danièle a son habitude et lui dit: “rentre bien, fille, avant que l'orage n'éclate! et surtout soit bien prudente!".

    Danièle rit et redit en rendant deux bises sonores sur les joues roses et un peu ridées de sa meilleure amie: “merci pour cette bonne soirée, comme d'habitude tu nous as gâtées“!

    “Mais non, mais non, nous sommes toujours très heureux de vous avoir à souper“! Elle frotte les bras de haut en bas, de son amie en signe de réconfort. C'est son geste habituel, celui que Danièle aime et n'oubliera jamais…. Le geste de l'amitié éternelle, la douceur chaude des relations entre deux amies qui se comprennent si bien.

     La suite est ici:

     

     

  • Il est né le Divin Enfant!

    http://didiergouxbis.blogspot.fr/2015/12/hosties-sanglantes-sainte-marie.html

    Enfin, ça y est, depuis le temps qu'on l'attendait: le vivre-ensemble est là, concret, généreux, réjouissant, indubitable. Le 24 décembre au soir, comprenant à quel point les catholiques risquaient d'être menacés dans ce pays de France qui leur est naturellement hostile depuis des siècles, de braves et bons musulmans ont décidé de protéger les messes de minuit ; qui, sans eux, auraient peut-être pu se finir à la kalach au moment de l'élévation. Hosties sanglantes à Sainte-Marie: bon titre.

    Mais protéger contre qui? Des bouddhistes enfouraillés? Des brahmanes au kriss entre les dents (Gloire! Noël! Kriss nous est né!) Des animistes fanatiques? Des athées bourrés? Des adventistes sous acide? On ne le dira pas, les membres du gouvernement étaient ailleurs, les plumitifs réveillonnaient. Nos gentils musulmans nous gardaient (gloire leur soit rendue) d'on ne savait qui. L'information intéressante était que, enfin, dans ce climat d'insécurité provoqué par on ne sait qui, venu on ne sait d'où, les musulmans avaient décidé de prendre en main la sécurité du petit Jésus, du bœuf, de l'âne et de la clique. Il y avait de quoi sangloter d'émotion.

    C'est ce qu'a fait aussitôt un certain Cazeneuve, que l'on prétend ministre de la République laïque, et socialiste de surcroît. Ce folklorique épouvantail a signifié officiellement son respect aux courageux enturbannés qui ont pris sur leur temps de ripailles pour venir défendre nefs, chœurs, transepts, cryptes, travées, fidèles, officiants et triforiums des hordes d'adorateurs du Dieu Soleil qui les menaçaient.

    À quelque temps de là, une couple d'heures, le même fantomatique maroquiné s'indignait hautement de ce que plusieurs centaines de Corses aient pu se froisser qu'une poignée de bouseux locaux réagisse de manière virile au piège tendu à leurs pompiers locaux, sans doute par des fidèles de la Terre Mère, au cri fédérateur de: “Sales Corses dehors, vous n'êtes pas chez vous ici!".

    Monsieur le ministre de l'Intérieur, des Cultes, du sourcil froncé et de la Fraternité bien comprise ne semble pas s'être avisé qu'il s'inclinait avec componction devant ce qu'il condamnait d'autre part, à savoir des sortes de milices privées, ayant décidé de suppléer à l'incurie de ses propres services pour protéger eux-mêmes des gens menacés par… par on ne sait et ne saura pas qui.

    Il est vrai que M. Cazeneuve ne peut pas être partout, ni penser à deux choses simultanément ; même si elles se ressemblent.

     

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