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occitanie - Page 61

  • Paréidolie: ce n'est pas ce que vous croyez!

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  • Paréidolie: ce n'est pas ce que vous croyez!

    Bon, j'expliquerai dans une prochaine note ce mot...

     

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  • Ne manquez, SURTOUT PAS, de lire ceci

    Johnny Hallyday et Jean d’Ormesson… l’histoire de deux cousins.

    Ils nous ont quittés tous les deux avec 24 heures d'écart, deux personnages très appréciés de tous les Français (et de tous les Belges !). Aux antipodes l'un de l'autre, pourrait-on croire... et pourtant. 

    D’un côté l’homme de lettres, Jean D’Ormesson, avec son humour inégalable, ses citations brillantes, son charme, l’homme cultivé qui savait plaire aux gens du peuple, Julien Doré ne s’est-il pas d’ailleurs fait tatouer son nom sur l’épaule?

     De l’autre le rockeur, l’homme du peuple, dont le franc-parler mais bien sûr aussi la musique ou les talents d’acteur plaisaient aussi aux intellectuels… inutile d’évoquer ici tous ceux qui portent son nom ou son visage en tatouages, une multitude!

     Des points communs, aussi, jusqu’aux racines familiales, eh oui… car les deux hommes étaient cousins ! Faut-il y voir un signe quelconque du destin ? Peut-être.

    Le monde de la généalogie ne pouvait pas mieux faire que de leur rendre un dernier hommage en évoquant leurs racines communes, que nous sommes heureux de vous présenter aujourd’hui.

    L’histoire commence il y a un demi-millénaire, loin au XVe siècle, à Namur. C’est là, en plein centre de ce que l’on n’appelait pas encore la Belgique que vivaient Jean de La Malaize, noble seigneur de Dongelberg, de la Malaize et de Lavoir (des communes situées au nord de Namur sur une quarantaine de km), et sa femme, Marie Smaele de Broesberghe.

    Le couple eût au moins trois enfants, dont deux, Marie, décédée vers 1508 et Catherine, décédée après 1486, eurent une descendance.

    Jean d’O

    Catherine épousa Rasse de Corwaren, comte de Niel, dont elle eu un fils homonyme, seigneur du même lieu. Pendant les huit générations qui suivirent, c’est par les épouses que l’on trouve un lien avec Jean d’Ormesson. Celles-ci firent de belles alliances, avec un baron gouverneur et capitaine du duché de Bouillon au nom du prince de Liège, avec les seigneurs de Niel, de Melroy, de Brumagne ou d’Arville, jusqu’au vicomte de Namur d’Elzée, Constant de son prénom, qui naquit en 1790. Celui-ci possédait le château Bayard, à Dhuy, à 15 km au nord de Namur, ou vécut l’arrière-grand-mère de Jean d’Ormesson, Marie. Celle-ci épousa le marquis d’Ormesson, nom hérité du fief de l’actuelle Ormesson-sur-Marne.

    Son fils Olivier, marquis lui aussi, fut ambassadeur de France en Belgique et à Saint-Pétersbourg, son petit-fils André, marquis, occupa la même fonction au Brésil, avant de devenir, à la retraite, président-directeur général des Agences maritimes réunies.

    Jean Bruno Wladimir François-de-Paule Lefèvre d’Ormesson, plus simplement Jean d’O, fit l’école normale supérieure, avant de devenir Immortel et d’obtenir des prix littéraires.

    Johnny

    Du côté de Johnny, l’histoire commence avec Marie de la Malaize, qui épousa le seigneur de Wanzennes. Mais dès la troisième génération depuis Jean, le niveau social s’affaiblit légèrement. Marie de Modave, la petite-fille, épouse Pirkin Chestrevin, un bailli (celui de Wasseige), c’est-à-dire celui qui représente le roi dans le bailliage. S’ensuit un fils Guillaume, qui suit presque les traces de son père en devenant le receveur des bailliages de Samson, Beaufort et Wasseige. A la génération suivante, sa fille Antoinette épouse un mambour, que l’on pourrait traduire par trésorier, de l’église de Saint-Quentin. Une petite-fille se marie avec le censier de La Bruyère.

    Les générations suivantes se stabilisent au même niveau jusqu’à Antoine Smet (1736-1810) qui est tout de même qualifié d’échevin (magistrat nommé par le seigneur pour rendre la justice sur ses terres). La famille est désormais à Namur ou en banlieue proche (Boninne, Beez).

    Au début du XIXe siècle, l’ascendance noble est oubliée : Jean Smet (1771-1848) est ouvrier agricole à Beez, son fils Jean (1812-1888) sera tavernier et vendra des articles de pêche, son petit-fils Antoine (1864-1908) maréchal-ferrant puis “machiniste” à Bruxelles. Le fils d’Antoine, Léon, a fait parler de lui, des articles peu élogieux le qualifiant de “vagabond” ou “d’alcoolique”, sans compter l’abandon de son fils Jean-Philippe à l’âge de six mois, qui deviendra à l’adolescence l’idole des jeunes, puis celle de tous les Belges et Français.

     

  • L’électromagnétisme pourrait-il améliorer le cerveau humain?

    Par le biais d’un simple casque occasionnant de petites impulsions électromagnétiques, il serait possible de stimuler le potentiel du cerveau. Selon les fabricants, les effets seraient multiples: fonctions cognitives améliorées, tout comme les cinq sens ainsi que les aptitudes physiques et le sens moral.

    L’humain est imparfait et il est souvent fait mention de recherches portant sur l’amélioration de l’Homme, à savoir, le transhumanisme. Il s’agit d’utiliser des moyens technologiques pour sélectionner ou modifier les caractéristiques et les capacités humaines. Dans ce sens, évoquons les implants sous-cutanés, les nootropes, ou encore les exosquelettes.

    Cependant, plutôt que de devenir un cyborg (ou un drogué) et subir des mutations physiques et/ou physiologiques, le salut ne pourrait-il pas passer par l’électromagnétisme? Il s’agit ici d’une technique nommée stimulation magnétique transcrânienne (TMS) entrant déjà dans le diagnostic et dans le traitement de certaines affections psychiatriques et neurologiques.

    Depuis peu, il est question de rendre cette technologie accessible au grand public. En effet, des sociétés comme Halo Neroscience croient au potentiel de la TMS pour améliorer nos facultés intellectuelles, physiques et morales. La science le sait, le cerveau a un potentiel finalement peu exploité et la TMS pourrait éventuellement « débloquer » ce même potentiel.

    La TMS consiste à envoyer dans des endroits très précis du cerveau, durant quelques minutes, un courant électrique (ou un champ magnétique). Par ce biais, il serait possible de modifier l’activité des neurones et, par conséquent, toutes les fonctions qui en découlent. Le processus semble pouvoir s’installer sur le long terme et ne nécessite aucune modification corporelle puisque la TMS requiert seulement l’utilisation d’un casque ou d’électrodes.

    Comme ceux de Halo Neroscience, bien que d’autres sociétés existent, les casques proposés pour quelques centaines d’euros pourraient aider les sportifs dans leurs entraînements, les musiciens dans leurs répétitions, la mémoire des étudiants, et même permettre aux férus de jeux vidéos d’améliorer leurs scores.