occitanie - Page 59
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Les zoziaux.....
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Les zoziaux.....
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Les zoziaux.....
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Les zoziaux
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Dandy, quoi!
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Placé en taule!
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Dégueulasse!
Vous avez un autre mot?
Sans argent pour l’enterrer, le corps de son mari reste six jours chez elle
Mercredi 14 mars, les pompes funèbres, sollicitées par la municipalité, sont intervenues au domicile d’un Valenciennois, Marc Lecompte, et de sa compagne Thérèse Fouache. L’homme gisait dans son lit ; il était décédé depuis six jours. Sa compagne ne comprend pas, ni le délai, ni la manière dont l’homme qui partageait sa vie a été enterré. Décryptage.
La Voix du Nord a été contactée par une voisine et amie de la compagne, mardi 13 mars, "parce que ce n’est pas normal, ça commence à sentir dans les parties communes" de la résidence. En effet, le voisin du rez-de-chaussée est décédé vendredi 9 mars, dans son lit. Thérèse Fouache, qui n’est administrativement pas liée à lui, se rend à la mairie pour indiquer qu’elle n’a pas les moyens de payer l’enterrement. Sauf que pour la mairie, l’indigence doit être prouvée et une enquête doit être faite.
Légalement, celle-ci peut durer maximum six jours. "Au niveau humain, ce n’est pas normal", commente un croque-mort qui préfère rester anonyme
Le corps du défunt a finalement été mis dans une housse, puis inhumé dans une fosse pleine-terre, au cimetière Saint-Jean à Valenciennes. L’endroit est fourni gracieusement par la mairie pour cinq ans. Après, le terrain est récupéré et les ossements sont mis à l’ossuaire municipal. Un tel enterrement, pour lequel les villes passent des conventions, suite à des appels d’offres, avec des entreprises de pompes funèbres, coûte selon nos informations un peu plus de 1 000€.
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Nouvelle mode déjantée de Tokyo
Ishoku Hada : découvrez la nouvelle mode déjantée de Tokyo
La créativité conjuguée à l’excentricité japonaise ne cessera jamais de nous surprendre et de trouver le moyen de se renouveler. La dernière tendance fashion décalée lancée par une minorité undergound de jeunes japonaises ? La peau recouverte d’une couleur vive, les cheveux teints et des vêtements tout aussi flashy, plutôt minimalistes et moulants pour un résultat mêlant provocation et extravagance. Découverte haute en couleurs !
À Tokyo, dans les quartiers branchés tels Harajuku ou Shibuya, le monde de la mode de rue a vu passer des phénomènes vestimentaires marquants : les Lolita (avec ses multiples déclinaisons : Gothic, Sweet, Punk…), les Gyaru, les Mori Girls, les Fairy Key… Autant de styles qui ont leur histoire propre et sur chacun desquels on pourrait s’attarder. Une grande famille donc qui, en dépit d’un déclin tragique, s’apprête peut-être à accueillir un nouveau membre : le " Ishoku Hada " (異色肌).
Source : Twitter
Ce nouveau look se caractérise principalement par une couleur qui recouvre le corps des pieds à la tête. D’où son nom "Ishoku Hada" qui signifie "peau unique" et en effet la couleur dont les jeunes filles se sont recouvertes est tout sauf à effet naturel, il faut au contraire qu’elle accroche le regard! Et on peut dire que ça marche… Du coup, pour rester dans le ton, les vêtements qui l’accompagnent se doivent d’être flashy, courts ou ouverts : mini-jupe, bas résilles, top, pour laisser apparaitre un maximum de peau, à la limite (franchie ou pas?) de la provocation. On assortira évidemment sa coiffure avec une teinture ou une perruque à la couleur tout aussi surréaliste, et enfin la tenue sera peaufinée par des accessoires.