En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Macron en Algérie: un crime contre la vérité
En Marche pour caresser un certain électorat
Bernard Domeyne est docteur en histoire.
En visite en Algérie, Emmanuel Macron a qualifié la présence française dans le pays (1830-1962) de "crime contre l'humanité". Une ficelle électoraliste aussi grosse que honteuse.
"C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie, et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes"
Voici ce qu’a affirmé, en Algérie, Emmanuel Macron, candidat autoproclamé à la Présidence de la République Française, lors d’une interview au média local Echorouk News.
Lyautey et Goering, même combat!
Crime contre l’humanité. Si les mots ont un sens, cela veut dire que l’on met sur le même plan qu’Adolf Hitler, Joachim von Ribbentropp, Hermann Göring, Ernst Kaltenbrunner, Wilhelm Keitel, Alfred Rosenberg, les Français Jacques Cartier, Joseph-François Dupleix, Louis Antoine de Bougainville, Thomas Robert Bugeaud, et les maréchaux Joseph Simon Gallieni et Hubert Lyautey entre autres. Et bien entendu les penseurs de ce crime contre l’humanité, Colbert, Duplex, Jules Ferry et tant d’autres…
Il conviendra donc, si l’on suit ce bel esprit, de débaptiser toutes les rues, tous les lycées Jules Ferry, les places Lyautey, les avenues Gallieni…
Avec ces propos dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils sont navrants, on voit bien où le candidat autoproclamé veut en venir: au vote des musulmans des banlieues, bien sûr. Un électorat à caresser dans le sens du poil.
Ces propos révèlent qui est Emmanuel Macron, que beaucoup fantasment comme un homme providentiel, au-dessus des querelles partisanes… C’est clairement un héritier de François Hollande, un socialiste qui a inspiré le quinquennat, et il sera prêt, lui aussi, à crier, " reviens, Léonarda ! " et à faire dans la contrition pour s’attirer les bonnes grâces des indigènes de la république, qui, c’est sûr, veulent beaucoup de bien à la France…
Des crimes de guerre largement partagés
Puisqu’il s’agit de l’Algérie, il convient toutefois de rappeler quelques vérités historiques. Que jusqu’en 1818, l’un des repaires des pirates barbaresques qui infestaient la Méditerranée depuis trois siècles, était précisément le port d’Alger, célèbre pour son marché aux esclaves, et que deux pays occidentaux, avant la France, avaient fait la guerre au Dey d’Alger pour faire cesser – outre la piraterie – ce qui était, précisément, un crime contre l’humanité, l’esclavage subi par les chrétiens et les chrétiennes. Les États-Unis, on le sait peu, ont fait la guerre aux barbaresques de 1801 à 1805, puis à nouveau en 1815 ; les Anglais en 1818, toujours pour libérer les esclaves chrétiens.
J’ai grandi sous la présidence du Général de Gaulle. J’ai 59 ans. Je ne suis pas d’origine pied-noir. Alors que les armateurs nantais et bordelais s’enrichissaient dans le commerce triangulaire, mes aïeux crevaient de faim dans les Hautes-Alpes. Je ne me sens, contrairement à Emmanuel Macron, en tant que Français, coupable de rien, de rien du tout, et je n’ai d’excuses à faire à personne.
Jacques Cartier, Bougainville, Lyautey… Le père Bugeaud et sa casquette… Tous ces héros ont peuplé mon enfance. Car jamais personne ne pourra me faire avaler – car il s’agit bien de cela – que ces héros, dont certains, je pense à Gallieni et Lyautey, ont sauvé la France et son empire durant la Guerre de 1914-18, sont des criminels contre l’humanité. Jamais leur image de pourra être associée aux bouchers des camps d’Auschwitz et de Treblinka.
Une ambition pour la France?
Je ne suis pas en train de dire que la France n’a rien à se reprocher. Notre pays n’a pas su mener la décolonisation, celle de l’Indochine, celle de l’Algérie. Des crimes de guerre ont été commis. Mais ces crimes de guerre ont été largement partagés : le Viet-Minh et le FLN aussi ont du sang sur les mains, du sang français, comme l’armée française a sur les siennes du sang vietnamien et algérien.
C’était il y a longtemps. Les sujets, les enjeux, désormais, sont ailleurs. Il serait peut-être temps d’en parler.
Il paraît que M. Macron serait un philosophe. Qu’il serait un littéraire. En tout cas, ce n’est sûrement pas un historien.
Pour qu’Emmanuel Macron devienne Président de la République, il faudrait qu’à côté de l’ambition et du sens des affaires qu’on apprend à l’École Nationale d’Administration, il ait aussi de l’ambition pour la France ; une vision.
Cela s’appelle le sens de l’histoire.
http://www.causeur.fr/macron-algerie-crime-humanite-colonisation-42701.html
Cependant, la fatigue, l’état de stress ou d’anxiété jouent indéniablement un rôle important dans le déclenchement du déjà-vu. De nombreux auteurs (Siomopoulos, 1972; Yager, 1989 parmi les études les plus récentes [2]) rapportent que la fréquence des phénomènes augmente chez les sujets en état de grande fatigue ou après une période de stress. En ce qui concerne les sujets souffrant d’une pathologie cérébrale, aucun lien particulier entre le déjà-vu et la schizophrénie n’a pu être établi.
La suite dans mon blog:
pour les anciens combattants de la France qui ont servi avec honneur le drapeau Français
pour leurs morts,
pour leur famille
pour leurs amis
pour leurs alliés
de les voir comparés aux génocidaires khmers rouges et aux assassins du communisme qui a fait plus de 130 millions de morts en 90 ans
JE DEMANDE QU'UNE PÉTITION SOIT MISE EN ROUTE POUR RETIRER LA NATIONALITÉ FRANÇAISE A MACRON qui ne mérite pas qu'on lui donne son prénom !
Ce serait assurément un cas clinique rarissime. Une fillette Bangladaise de dix ans présente des verrues à l’allure d’écorces d’arbre sur le visage. Elle pourrait être la première personne de sexe féminin touchée par une maladie dermatologique appelée épidermodysplasie verruciforme.
Sahana Khatun présente des verrues géantes bourgeonnantes sur le menton, les joues et le nez. Elle a déjà été surnommée par la presse "la femme-arbre", du fait de l’aspect de ces excroissances. Avant elle, cette affection n’avait été décrite que chez des hommes. Les médecins du collège médical de Dacca poursuivent leurs examens afin d’obtenir une certitude diagnostique.
Le père de la fillette, un fermier du nord rural du Bangladesh, n’était pas très inquiet lorsque les premières verrues étaient apparues il y a quatre mois sur le visage de sa petite fille. Mais celles-ci se sont se rapidement développées, incitant le père à amener sa petite fille consulter dans l’hôpital de la capitale.
Cette jeune patiente présente une forme de la maladie nettement moins étendue que celle récemment rapportée chez un autre patient Bangladais, de 27 ans. Le cas Abul Bajandar avait ému le pays l’an dernier, jusqu’à la Première ministre Sheikh Hasina qui avait promis que les traitements ne lui seraient pas facturés. L’équipe soignante avait rapporté fin 2016 qu’il avait subi seize interventions chirurgicales. Il avait pu pour la première fois depuis des années prendre sa femme et son enfant dans ses bras. Ce patient présentait des verrues géantes bourgeonnantes au niveau des mains et des pieds et avait également eu droit d’être qualifié d’ "homme-arbre" par la presse.
On a du mal à imaginer ce qu’a dû être le calvaire d’un homme de 25 ans originaire du district de Khulna, dans le sud du Bangladesh, surnommé "homme-arbre" parce qu’il présentait des verrues géantes bourgeonnantes au niveau des mains et des pieds. Des excroissances qui ont fini par ressembler à des écorces d’arbres.
Abul Bajandar avait été admis à l’hôpital universitaire de Dacca pour y être opéré dans le service des brûlés et chirurgie plastique après que plusieurs spécialistes aient longuement discuté de son cas. Ce patient avait subi une série d’examens complémentaires pour s’assurer que les volumineuses lésions pouvaient être retirées sans endommager des structures nerveuses et vasculaires, sans donc entraîner de séquelles majeures. Les chirurgiens du plus grand hôpital public du Bangladesh lui ont retiré environ cinq kilogrammes d’excroissances cutanées.
Ce patient était atteint depuis sept ans d’épidermodysplasie verruciforme (EV), qui s’était aggravée au cours des quatre dernières années. Cette affection est caractérisée par une susceptibilité génétique à l’infection par un groupe spécifique de papillomavirus humains (HPV). Cette famille de virus, qui présente une très grande diversité génétique, infecte préférentiellement les kératinocytes (cellules de l’épiderme, la couche la plus superficielle de la peau) ainsi que les cellules épithéliales tapissant certaines muqueuses. Une infection persistante cutanée peut conduire au développement de tumeurs bénignes (verrues, condylomes), mais aussi de lésions précancéreuses, voire de cancers (au niveau du col de l’utérus et de la sphère ORL).
Cette affection dermatologique génétique est caractérisée par la présence de mutations au niveau de deux gènes responsables d’un défaut de réponse du système immunitaire. Celui-ci ne parvient à éradiquer le HPV infectant les kératinocytes.
Les lésions cutanées débutent le plus souvent dans l’enfance, vers l’âge de 4 ou 8 ans. On observe alors des verrues planes disséminées et de petites taches dépigmentées ou, au contraire, pigmentées au niveau du tronc, du cou, du visage, des avant-bras et des pieds (zones exposées au soleil). Dans un tiers des cas, l’affection touche des membres d’une même famille. Des cas familiaux ont été décrits en Chine, en Turquie, en Inde et en Iran. Une consanguinité est retrouvée dans 10% des cas.
Le diagnostic de cette affection repose sur les symptômes cliniques et l’analyse histologique, autrement dit sur la présence de cellules anormales à l’examen microscopique de la biopsie cutanée. L’infection par le HPV peut également être détectée par la recherche du matériel génétique du virus dans les lésions. Le pronostic est dominé par le risque de développement de tumeurs cutanées cancéreuses liées à la présence de certains types de papillomavirus humains, en particulier les HPV5 et HPV8 qui affectent 90% des patients.
Des formes extensives d’épidermodysplasie verruciforme, particulièrement invalidantes du fait des dimensions impressionnantes et de la localisation diffuse des excroissances cutanées, ont été rapportées ces dernières années dans les médias, notamment chez un roumain et un indonésien. Chez ce dernier, les chirurgiens avaient réalisé l’ablation de quelque six kilogrammes d’excroissances cutanées.
L’épidermodysplasie verruciforme est aujourd’hui un modèle d’oncogénèse virale, c’est-à-dire de maladie provoquée par un virus et pouvant par la suite se transformer en tumeur maligne. Outre le caractère spectaculaire de certaines formes d’excroissances particulièrement prolifiques, cette affection représente donc avant tout pour les cancérologues, dermatologues, virologues et généticiens une opportunité pour mieux comprendre comment certains virus peuvent engendrer un cancer chez l’homme.
Le bolchévisme sentimental.
On me fait savoir que la catastrophe a été évitée in extremis. Un stagiaire de la Mairie avait proposé une idylle atypique: Moshé et Samira. On lui a fait comprendre que ce n’était pas une bonne idée vu le prix qu’ont coûté ces panneaux d’affichage digital. Les musulmans étant plutôt chatouilleux sur le sujet de l’honneur, autant ne pas s’y aventurer…
Vous remarquerez, au passage, que les trois premières photo (Yassine-Maria, Mamadou-Loupita, Anastasia-Elodie) ont été prises sur le même panneau. Tiens, c’est celui de l’Hôtel de Ville. Quelle coïncidence inouïe !