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  • Réflexions sur: 1968, la grippe de Hong-Kong…

    Je viens de lire que les températures de certains jours de mars 2017 ont battu des records depuis 1968… l'année de mes 18 ans.

    Oui, mais, je me souviens de tous ces morts de la grippe de Hong-Kong….

    Alors, je me dis que la prochaine grippe hivernale, de fin d'année et début 2018 pourrait bien s'avérer aussi dramatique que celle de 1968?

     

  • Gratuit: le don de guérisseur

     

    https://www.youtube.com/watch?v=zrs49ruZXGI&t=64s

     

     

     

  • Ce n'est pas une blague!

    Envoyé par une amie, son époux est spécialiste ORL, elle-même, médecin.

    Habitent proche de Perpignan - en jaune, mes précisions.

    Hier soir, Philippe était à une réunion de formation en ORL

    Assistaient donc les ORL du département, en gros 60 ans ou plus

    SAUF 3 jeunes internes de l'hôpital.

    A la fin, un des ORL a dit qu'il avait, dans le temps (il y a longtemps) :-), traduit une conférence en CATALAN sur une CASSETTE..

    Un des jeunes a dit "c'est quoi une cassette"...  MDR

    puis les vieux leur ont expliqué comment c'était quand on était d'astreinte de spécialité  dans les années 80/90 (une astreinte n'est pas une garde, elle peut se prendre chez soi dans les petits hôpitaux du moins, à condition que l'on n'habite pas loin de l'hôpital)

    Il fallait rester chez soi, prés du téléphone, pas bouger (ultra pénible, car WE à l'eau / en semaine, ce n'était pas … grave).

    Puis la joie que cela a été d'avoir un bipper: l'hôpital nous "sonnait" sur un petit bipper que l'on portait sur soi... il fallait ensuite trouver un téléphone et demander la cause de l'appel ..... cela permettait au moins de mettre le nez dehors, d'aller faire une petite course rapide etc...  il y avait des cabines téléphoniques dans les rues à l'époque.

    En fonction de l'appel, soit on réglait le problème par téléphone, soit il fallait aller à l'hôpital; puis le premier téléphone, un peu lourd, dans une petite valise... (nous n'avons pas eu, ça coutait trop cher). Téléphone satellitaire: 35 000 Frs dans les 5 6000 euros de l'époque. Un de mes amis, représentant en avait un, c'était en 1983.

    Puis le "deuxième téléphone", encore assez gros (bibop)

    Puis les portables

    Les gamins hallucinaient GRAVE... (NAN, c'est pas vrai, vous nous faites marcher....)

    Alors les vieux, leur ont dit au "début" de la mise en orbite des satellites, il n'y avait pas d'ordinateurs ni rien.

    DONC,  des secrétaires "mathématiciennes", calculaient les trajectoires, selon des formules mathématiques (la, je ne sais pas si elles avaient au moins une calculette.... je ne sais pas de quelle époque il s'agissait). Les premières PETITES calculettes, encore assez chères, format carte de crédit, j'en ai vu en 1980.

    En 1970, je suis entrée comme secrétaire dans une entreprise (service compta) dont la machine à calculer était à manivelle: pour additionner, on tournait la manette vers le haut, pour soustraire, vers le bas, pour mutiplier, fallait tirer sur la manivelle, entendre un cliquetis, puis mouliner autant de fois que nécessaire pour multiplier.... c'est l'entière vérité... mais, bon, c'était tout de même une antiquité. Cela me faisait rire à l'époque.

    Les jeunes n'ont pas vouloir croire une telle ineptie

    Et les “vieux“ ont bien rigolé....

    :-))))

     

  • Qui n’a pas son beau costume Arnys?

    François Fillon, c’est fait. Bon, hier soir il nous a dit qu'il l'avait rendu….

    Pierre Moscovici, aussi… À qui le tour?

    Curieuse coutume qui consiste à offrir des costumes hors de prix à un homme politique. Pierre Moscovici le jure la main sur le cœur: il s’agissait de cadeaux d’un vrai ami.

     À 6.000 € l’unité, ce n’est plus de l’amitié. C’est de l’amour. De l’adoration.

    Y'a Macron qui se prend pour Jésus Christ. Vu le nombre de crétins qui s'agenouillent devant lui, je me demande pourquoi on lui a pas, encore, offert son Arnys?

    Au fait, le Christ, il n'était pas en robe? Faudrait chercher parmi tous ceux qui se promènent en robe en France, s'il n'y a pas un Christ qui se serait perdu....

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  • Le Flamby perd la tête! pas besoin de guillotine, il se démerde bien tout seul!

    Hollande: "Je suis dans un travail de démolition"

    Bientôt libéré de sa fonction, François Hollande a retrouvé son humour... jusqu'à se lancer

    Le 11 mars, Francois Hollande grave ses initiales sur une pierre à Saint-Denis (93). Autour de lui, le maire de la ville, Laurent Russier (à gauche), Valérié Pécresse (2e à gauche), Patrick Braouezec (à droite) et Audrey Azoulay (2e à droite)  

    La scène se passe à la basilique Saint-Denis. Samedi dernier, le président Hollande est d'humeur joyeuse. Les caméras de Quotidien de Yann Barthès captent une scène au moment où le président est appelé à graver ses initiales sur une pierre, dans le cadre des travaux de remontage de la flèche. On lui tend les outils. Valérie Pécresse, la présidente de la région Île-de-France, est présente, ainsi qu'Audrey Azoulay, la ministre de la Culture.

    François Hollande tourne le dos aux photographes. Valérie Pécresse se risque à un conseil: " Monsieur le Président, retournez-vous dans l'autre sens". La réponse du chef de l'État a scotché Valérie Pécresse, qui n'en revient toujours pas. La voici: " Madame la Présidente, je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination... Donc, euh... Laissez-moi faire! " Valérie Pécresse persifle: " Je vous fais confiance".

    Aveu

    Dans la série des blagues de François Hollande, celle-ci sonne comme la plus étrange. Elle arrive en fin de mandat quand, effectivement, François Hollande a à peu près tout détruit de sa propre personne. Il aurait dû être candidat, il y a renoncé. Il était le champion naturel de la famille socialiste, il n'a même pas pu se présenter à la primaire de la gauche. Il devait mettre fin au chômage de masse, c'est à peine s'il a pu freiner sa croissance. Et le candidat de la gauche, Benoît Hamon, traverse le champ de ruines laissé par son prédécesseur en quatrième position des sondages de la présidentielle.

    François Hollande: " Je suis dans un travail de démolition que je mène depuis cinq ans avec obstination..". Blague, oui, et aveu en même temps. Autodérision lucide qui n'est pas sans rappeler le livre Un président ne devrait pas dire ça... qui fut l'œuvre ultime de son autodestruction et a pesé lourd dans son empêchement. Décidément, cet homme est un mystère qui, même au fond de son humour, sème les indices de sa complexité. Je ris, donc je me détruis. Avec obstination

    PS: je croyais que ceux qui gravaient leurs initiales étaient les ouvriers et maîtres compagnons!

    et pas les simples manœuvres avec leur caisse à outils!

     

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