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societé - Page 175

  • La faute à la patate folle

    Il devient ivre quand il mange des frites

    Nick Hess, un Britannique de 34 ans, devient subitement soûl lorsqu'il mange une portion de frites : son estomac produit de l'alcool.

    La Grande-Bretagne se passionne depuis ce week-end pour le cas de Nick Hess, qui devient ivre quand il mange des frites. Sa femme le soupçonnait d'être alcoolique et de lui cacher sa consommation de certaines boissons. En 2011, il a même été arrêté par un policier pour conduite d'un véhicule sous l'empire d'un état alcoolique.

    L'homme, confronté à tous les symptômes d'une consommation élevée d'alcool, explique à la BBC : "Je me sentais bizarre après avoir mangé, j'étais maladroit, vulgaire. Chaque jour pendant un an, je me réveillais pour vomir." Nick Hess décide donc de consulter. Et apprend alors qu'il est atteint d'un mal bien différent et très rare : le "syndrome d'auto-brasserie". Lorsqu'il mange de l'amidon contenu notamment dans des pâtes, du pain ou du soda, la levure fermente et transforme les sucres en éthanol. En gros, son estomac produit de l'alcool.

    Comme l'explique la BBC, cette "maladie" fait encore débat dans la communauté médicale, certains experts excluant qu'un simple déséquilibre en levure puisse avoir de si gros effets. Reste qu'avec l'aide d'antifongiques et en diminuant les glucides, Nick Hess a depuis réussi à réduire la plupart des symptômes. Il n'est plus ivre que "deux ou trois fois par mois".

     

  • JOURNEE DE LA FEMME

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    La liberté menant le peuple (David)

     

    FEMME de FRANCE: tu est libre!

    Ni entraves, ni voiles, ni burqua

     

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    Fait par moi

     

     

  • Allez-y: foncez!

    La mairie de Bretenière, en Côte-d'Or, a voulu parier sur l'ironie pour sensibiliser les automobilistes de sa commune.

     

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    QUESTION: quand vous voyez une vache, vous foncez?

    oui? MENTEURS!

    Donc, une vache a plus de prix qu'un enfant!!!

    CQFD

     

     

     

  • Je suis en avance....

     Pi qui soit y mal y pense!

    Journée mondiale du Pi: 14 mars

     Pour bien comprendre cette journée, il faut se souvenir de son origine anglo-saxonne: la "Pi-day". Les dates en anglais se lisent "à l'envers" (n'est-il pas ?) et le 14 mars devient 03/14, soit à peu près 3.14...

    Pi-day

    Il n'en n'a pas fallu plus pour que des mathématiciens facétieux aient l'idée de célébrer le nombre Pi précisément en ce jour !

    La journée des matheux

    La journée consacrée au nombre pi donne l'occasion aux matheux de tous horizons et autres amoureux des sciences de déclarer leur amour au nombre pi.

    Comme chacun le sait (ou ne le sait pas !), le nombre pi représente le rapport entre la circonférence d'un cercle et son diamètre.

    Vous suivez toujours ?

    On enseigne généralement 3,14 comme valeur approchée de pi, et c'est souvent suffisant pour les calculs. Les bons élèves s'évertuent à retenir 3.141592. Mais comme Pi est un nombre irrationnel, les décimales ne s'arrêtent pas là et ne finiront jamais par se répéter.

    Connaitre le plus de chiffres après la virgule fait l'objet de concours, et des ordinateurs arrivent maintenant à en calculer plus de 12 000 milliards (en 2013). On pense même qu'on peut trouver n'importe quelle suite de nombres dans ces décimales.

    Un site à visiter : fr.wikipedia.org

    Le premier ou la première qui me dit combien de fois par jour, ou même par an, se sert du 31415 et des milliards de poussières à gagné-e mon estime!

     

  • Sclérose en plaques PP: ça y est les filles! on est -presque- sauvées

    MedDay va présenter des données relatives à un essai clinique pivot de phase III sur la sclérose en plaques progressive lors de la rencontre annuelle de l'AAN 

    AAN 2015

    March 04, 2015 02:00 AM Eastern Standard Time 

    PARIS--(BUSINESS WIRE)--MedDay, une société biotechnologique axée sur le traitement des troubles du système nerveux, annonce aujourd'hui que les données de sa première étude pivot de phase III portant sur le MD1003 (une biotine de qualité pharmaceutique hautement concentrée) pour le traitement de la sclérose en plaques progressive primaire et secondaire, seront présentées pendant la session plénière des essais cliniques lors de la rencontre annuelle de l'American Academy of Neurology (AAN) qui se tiendra à Washington DC, vendredi 24 avril à 12:00 Heure de l'Est des Etats-Unis.

    MedDay a réalisé deux essais multicentriques en double aveugle, contrôlés par placébo, sur la sclérose en plaques progressive à l'aide de son produit candidat, MD1003, en France et au Royaume-Uni. La première étude pivot de phase III réalisée sur 150 patients a été achevée au premier semestre de 2015. La seconde étude est sur la bonne voie et devrait être achevée d'ici la fin de 2015.

    Pour les détails complets concernant cette rencontre, ainsi que la liste des présentations de données, réalisées lors de la rencontre annuelle 2015 de l'AAN, veuillez consulter le site de l'AAN sur:  www.aan.com/conferences/2015-annual-meeting.

    A propos de MedDay

    MedDay est une société biotechnologique privée qui développe de nouveaux médicaments pour traiter les troubles du système nerveux. La société a été fondée en 2011 par Frédéric Sedel, MD, PhD (directeur général), un neurologue et neuroscientifique de premier plan; Guillaume Brion, MD (directeur des opérations) qui possède 25 années d'expérience dans le domaine du développement des médicaments et de la recherche clinique au sein de l'industrie pharmaceutique. En avril 2013, InnoBio, un fonds de biotechnologie géré par BPIFrance, et Sofinnova Partners ont investi ensemble dans MedDay. Le produit candidat le plus avancé du pipeline de la société est MD1003 pour le traitement de la sclérose en plaques progressive primaire et secondaire. Pour de plus amples informations, veuillez consulter : www.medday-pharma.com.

    A propos de MD1003

    MD1003 est une biotine de qualité pharmaceutique hautement concentrée. Le dosage est de 300 mg/jour, ce qui correspond à 10.000 fois la dose journalière de biotine recommandée. En tant que tel, MD1003 est un ingrédient pharmaceutique actif et possède une protection via un brevet dans l'UE et aux Etats-Unis pour son dosage et son utilisation dans le traitement de la sclérose en plaques. La biotine est un co-facteur clé pour les enzymes impliquées dans la production d'énergie et la synthèse de la myéline. La biotine possède deux cibles potentielles liées à la sclérose en plaques progressive: (1) elle active les acétyl-CoA carboxylases (ACC1 et ACC2), des enzymes cinétiquement limitantes dans la synthèse des acides gras à longue chaîne requis pour la synthèse de la myéline, et (2) elle active le cycle de Krebs dans les axones démyélinisés afin d'augmenter la production d'énergie.

    La preuve de concept du MD1003 a été obtenue lors d'une étude pilote ouverte sur 23 subjets atteints de sclérose en plaque progressive primaire et secondaire. Les résultats ont été positifs, avec jusqu'à 90% des sujets présentant une amélioration clinique sur la durée. L'efficacité du traitement a également été évaluée à l'aide d'études d'électrophysiologie et de spectroscopie à résonance magnétique.

    Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

     

  • Le zazard zincroyable! (faut parler nouveau français pour pas être ringard-e!)

    L'une, Maria, est métisse, avec les cheveux frisés et les yeux noirs. L'autre, Lucy, est blanche, avec de longs cheveux roux et des yeux bleu-gris. Et pourtant, elles sont jumelles

    Elles n'ont pas la même couleur de peau, ni les mêmes cheveux, ni les mêmes yeux. On dirait de l'une qu'elle est Irlandaise, de l'autre qu'elle vient tout droit d'Amérique du Sud. En les voyant, il est très difficile de croire qu'elles sont sœurs. Pourtant c'est le cas.

    Mieux: Maria et Lucy Aylmer sont jumelles ! Leur mère, Donna Aylmer, est d'origine jamaïcaine; elle a la peau mate et les cheveux crépus. Vince, leur père, est un Anglais à la peau blanche.

    Pour prouver leur gémellité, elles ont parfois dû sortir leurs certificats de naissance.

    Après son accouchement dans une maternité de Gloucester (sud-ouest de l'Angleterre) en 1997, Donna a failli avoir un malaise en voyant ses deux petites filles, car ni les échographies ni les tests sanguins n'avaient permis de déceler à quel point elles seraient dissemblables. "Je n'aurais jamais pensé qu'elles seraient aussi différentes. Quand la sage-femme me les a tendues, j'étais sans voix, paralysée", raconte-t-elle au Daily Mail, un journal britannique.

    L'expression des gènes

    Les deux jeunes filles, aujourd'hui âgées de 18 ans, ont trois autres frères et sœurs, tous plus âgés. "Leur couleur de peau est pile entre celle de ma sœur, qui tient sa blancheur de notre grand-mère, et la mienne, plus mate, raconte Maria. À part nos proches, personne n'arrive à croire que nous sommes sœurs et encore moins jumelles, même lorsque nous nous habillons exactement de la même façon. On a dû sortir notre certificat de naissance pour le prouver à certains! L'avantage, c'est que personne ne nous a jamais confondues!"

    Les trois autres enfants de la famille ont une couleur de peau entre le teint mat de Maria et la blancheur de Lucy.

    Le docteur Porte, spécialiste de la gémellité, nous explique cette dissemblance rarissime et incroyable: "C'est exactement la même chose que lorsque les parents n'ont pas la même couleur d'yeux. L'enfant peut avoir les yeux du papa, de la maman ou un mélange des deux; ce sont les gènes qui détermineront la couleur.

    Là, c'est la même chose. Les gènes d'une des jumelles ont fait qu'elle est blanche aux yeux bleus comme le père, alors que les gènes de l'autre ont donné la coloration mate de la peau et la chevelure frisée de la maman. Ce qui est extraordinaire, c'est que cette différence se produise sur des jumeaux et sur autant de points différents: peau, cheveux, yeux. Il s'agit d'un cas rarissime, de l'ordre de 1 pour 1000 naissances de jumeaux".

     

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  • La dictature de la gauchiasse s'amplifie

    Dis adieu à ta liberté, mon pote!

     

    Médecine libérale: nouvel arrêt, nouveau danger

    Paru le 27 Février, un arrêté donne un nouveau tour de vis aux professionnels de santé qui s’installent en « structure de santé » : patients et médecins perdent leur liberté de choix.

    Par Phoebe Ann Mo$e$.

    La principale information à tirer de ce texte est l’énième perte de liberté des médecins et des autres professionnels de santé qui voudraient signer ce contrat. À aucun moment ce texte officiel ne contient le vilain mot de « médecins » alors qu’ils sont les principaux concernés. Vous y lirez à la place « structure de santé », terme vague ignorant un titre obtenu après neuf ans d’études minimum.

    Cet arrêté encadre l’association de plusieurs professionnels de santé en maison médicale et soumet de manière très officielle, cette « structure de santé » aux caisses d’assurance maladie et aux ARS, par le biais d’un « contrat signé entre structure, caisses et ARS ». Ces deux organismes seront chargés de surveiller les « structures de santé » et de leur permettre une « rémunération valorisant de nouveaux services aux patients ». En somme une nouvelle récompense en échange d’une obéissance à des consignes, une forme de ROSP (rémunération sur les objectifs de santé publique).

    Voici à quoi devront s’engager les médecins, et ceux qui voudront aller travailler avec eux en « structure de santé » :

    ◾Ouvrir de 8h à 20h en semaine et le samedi matin.

     Cela ne devrait pas perturber les habitudes des médecins, on peut même dire qu’ils finiront ainsi leur journée plus tôt que d’habitude. En haut lieu on a dû penser que finir après 17h est déjà une punition.

    ◾« S’organiser » (sic) pour recevoir des patients ayant besoin de soins non programmés.

    ◾Se concerter entre médecins sur les cas complexes.

    Si l’État n’obligeait pas les médecins à se concerter, ils n’en auraient jamais eu l’idée. Auparavant, à leur initiative, ils se réunissaient pour évoquer les cas complexes et appelaient cela « réunion de pairs », mais ça, c’était avant.

    ◾Se concerter avec la Sécurité Sociale.

     Plus exactement transmettre au service médical de la Sécurité Sociale les données récoltées pendant la concertation médicale. Que le secret médical existe entre un médecin et son patient dans la confidentialité d’une consultation n’a pas semblé être une priorité dans la rédaction de cet arrêté.

    ◾Élaborer un dossier médical électronique pour mieux le partager entre services concernés. On en aura bien compris l’intérêt.

    ◾Avoir un système informatique compatible avec des professionnels qui souhaitent avoir connaissance du dossier du patient.

     Le système sera imposé mais pris en charge financièrement (au moins en partie) par la CPAM. C’est pas cher c’est la sécu qui paye. Ce partage des données n’est pas une nouveauté, mais il sera encadré par l’État qui donne les détails de ce projet sur le site http://esante.gouv.fr/asip-sante. Qui va stocker les données, où seront-elles stockées, à qui seront-elles accessibles ?

    Et en échange ?

    Tout cela donnera lieu à une rémunération « qui dépend de l’atteinte des résultats pour l’ensemble des engagements », donc qui récompensera ceux qui font tout ce qu’on leur demande. Elle sera versée après « vérification » de la CPAM et de l’ARS qui vérifiera « la cohérence du projet », pourra considérer qu’il n’est pas adéquat et

     « (…) être amenée à proposer à la structure des modifications du projet de santé au regard du contenu des engagements remplis dans le cadre du contrat, notamment ceux relatifs aux missions de santé publique répondant à des spécificités territoriales. »

    L’ARS semble vouloir prendre des décisions médicales.

    Quelle rémunération ?

     

    Comme si c’était trop simple de chiffrer cette récompense en euros, elle sera comptabilisée en… points ! Comme dans la fonction publique ! On n’a pas fait l’ENA pour rien !

    Ces points seront attribués en fonction de la compliance du médecin. Ne riez pas, c’est en toutes lettres dans le texte[1]. Le mode de calcul est tellement complexe qu’il sera quasiment impossible de vérifier l’exactitude du montant versé.

    Tout cela est bien barbare mais ne nous y trompons pas, ce qui compte c’est toujours l’humain, les rapports humains, le patient, et cela Marisol Touraine le sait fort bien quand elle en parle comme d’une « patientèle de référence » qui « consomme » un nombre de soins[2].

    Et la déontologie ?

    Enfin, il y a encore un point à prendre en compte : cette rémunération sera versée non pas au médecin à titre individuel, mais à la structure. Ce qui suppose de mettre en commun les honoraires.

    Or le partage d’honoraires est interdit ! Et plus encore, il est interdit de pratiquer le compérage, c’est-à-dire qu’il est interdit de tirer un bénéfice en envoyant un patient préférentiellement chez un professionnel exerçant dans la même structure. Ce qui est exactement le contraire de ce que veut mettre en place le ministère dont le but est justement de favoriser le regroupement de différentes professions de santé pour orienter le patient « au plus près ». Donc chez un professionnel de la même structure, avec les mêmes intérêts financiers. Ce qui est plutôt contestable d’un point de vue déontologique.

    Qu’à cela ne tienne ! L’État va interférer dans la déontologie médicale et lever cette interdiction !

    Les professionnels de santé devront créer leur structure sous l’appellation SISA : Société Interprofessionnelle de Soins Ambulatoires (sorte de SCM) Ce statut permet officiellement d’autoriser le versement de la rémunération de la CPAM à une structure composée de différents professionnels qui peuvent alors se partager la rémunération, ce qui était jusqu’alors interdit. Ce statut casse donc les règles du code de la santé publique.

    Les médecins pourraient donc être suspectés d’avoir un intérêt financier lorsqu’ils adressent leur patient à un professionnel de la même structure de soins : le médecin généraliste vous prescrit des soins infirmiers ou de kiné au même étage, et vous passez récupérer vos médicaments à la pharmacie du rez-de-chaussée. Évidemment, pour le patient, cela peut être confortable ; pour l’ensemble des professionnels de santé, cela entache leur réputation d’indépendance et d’objectivité ; mais surtout, comment le patient peut-il être assuré que les décisions sont prises en fonction de son seul intérêt ? Pourquoi ne pourrait-il pas choisir lui-même le kiné ou l’infirmière ou le spécialiste chez qui il souhaite aller ? Comment sera-t-il certain que le médecin choisit le meilleur pour son patient et non pas le meilleur pour lui ?

    L’État intervient ici non seulement au niveau législatif, mais aussi dans la déontologie médicale. Il n’encadre plus, il emprisonne. Cet arrêté, sous les dehors habituels de « meilleur accès aux soins », signe la fin de la liberté du médecin, mais aussi celle du patient, qui ne doit pas oublier que les mutuelles sont prêtes à se saisir de ce marché.

    1. L’ensemble du dispositif est fondé sur un total de 7 400 points, pour une patientèle de référence de 4 000 patients :

    – 5 050 points pour le niveau socle, dont 2 550 pour la partie fixe et 2 500 pour la partie variable (en fonction de la patientèle) ;

    – 2 350 points pour le niveau optionnel, dont 1 450 pour la partie fixe et 900 pour la partie variable (en fonction de la patientèle).

     Le nombre de points indiqué pour chaque indicateur dans le tableau de l’annexe 1 correspond à un taux de réalisation de 100% ↩

    2. La patientèle de référence est définie pour une structure de référence pour laquelle la somme du nombre de patients ayant déclaré un des médecins exerçant au sein de la structure comme médecin traitant (patientèle déclarante au 31 décembre de l’année de référence) et du nombre d’enfants âgés de 0 à 16 ans ayant consommé au moins deux soins de médecins généralistes exerçant dans la structure au cours de l’année de référence est égale à 4 000. ↩

    https://www.contrepoints.org/2015/03/03/199829-medecine-liberale-nouvel-arret-nouveau-danger