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santé - Page 3

  • Prendre la place aux personnes handicapées, c'est dégueulasse!

    .... et, si un jour c'était vous!

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    Agression pour une place réservée, incivilité ordinaire !

     

    Résumé : Dans le Nord, règlement de compte entre une auxiliaire de vie et une automobiliste qui s'est garée sur une place réservée aux personnes handicapées. La dispute tourne au pugilat. A quand des mesures drastiques pour dissuader les contrevenants ?

     

    Encore une petite "tragédie" de l'incivilité ordinaire... Une personne se fait agresser par une automobiliste parce qu'elle lui reproche de s'être garée sur une place de stationnement réservée. La routine, me direz-vous, puisque ce type de péripéties semble devoir émailler le quotidien de toutes les personnes concernées. Quelques jours auparavant, c'est un maire qui gare impunément son cabriolet avant de se faire prendre en photo par l'un de ses administrés qui s'empresse de la poster sur les réseaux sociaux (article en lien ci-dessous).

     

    Pourtant fille d'une "invalide"

     

    Mais la nouvelle "affaire" de Villeneuve-d'Ascq (Nord) a la particularité d'avoir tourné à la bagarre. L'histoire, rapportée par La Voix du Nord (article en lien ci-dessous), s'est déroulée le dimanche 9 août 2015 sur le parking d'un supermarché local. Une auxiliaire de vie, en présence de la jeune fille qu'elle accompagne, se plaint auprès de l'accueil de la grande surface que toutes les places réservées sont occupées par des véhicules sur lesquels aucune carte européenne de stationnement n'est apposée. L'agent de sécurité fait alors une annonce qui incite les indélicats à déplacer leur véhicule. Sauf un ! Une en réalité, qui prend tout son temps et à qui l'auxiliaire fait donc remarquer son manque de savoir-vivre. La contrevenante riposte en prétendant qu'elle possède la fameuse carte mais sans être en mesure de la produire. Comble de la mauvaise foi, elle réplique que sa mère est invalide. "Je lui ai répondu que si c'était effectivement le cas elle devrait être d'autant plus consciente de la gêne que peut causer ce genre d'infraction et surtout qu'elle n'a pas le droit d'utiliser cette carte sans la présence de sa mère", explique l'auxiliaire à La Voix du Nord.

     

    Règlement de compte

     

    L'auxiliaire reconnaît avoir lâché un juron ; la conversation tourne au règlement de compte. La contrevenante tente d'emboutir la voiture de l'auxiliaire qui parvient à l'éviter. Puis elle descend et lui assène des coups à la tête et au bras gauche. La victime parvient à composer le numéro de Police secours. Elle souffre de douleurs cervicales, qui la contraignent à un court arrêt de travail. Elle a déposé plainte auprès du commissariat qui pourra se fier au contenu des bandes de vidéo surveillance pour mener son enquête et interpeler la propriétaire du véhicule, d'autant que la jeune femme handicapée a eu le temps de mémoriser la plaque.

     

    L'or bleu du conducteur impatient

    Cette altercation n'est pas sans rappeler celle qui dont a été victime un élu d'une ville du Rhône en 2012, frappé au visage lorsqu'il tente de faire respecter l'usage des places de stationnement pour personnes handicapées. Diagnostic affligeant: triple fracture du plancher orbital, 15 jours d'interruption de travail et une opération. D'autres encore, trop souvent... Pour un rectangle de bitume bleu de quelques mètres carrés qui semble susciter la plus grande des convoitises. Sorte d'"or bleu" du conducteur impatient. Un court-métrage choc intitulé Juste deux minutes aborde sans ménagement l'impact de cet irrespect pour les usagers concernés (article en lien ci-dessous). Il invite à prendre conscience que le stationnement réservé aux personnes handicapées n'est pas un luxe, encore moins un privilège abusif. Il en va de leur confort mais aussi de leur sécurité.

  • Français, Françaises: ne vous laissez pas manipuler...

    L’ÉDITO D’YVES DE KERDREL - Valeurs Actuelles

    Le choc d’une photo. L’Europe n’en finit pas de pleurer devant le corps sans vie du petit Aylan retrouvé sur une plage turque. L’émotion soulevée par cette photo semble empêcher tous les dirigeants européens de réfléchir et de raisonner.

    Qu’en sera-t-il lorsqu’ils liront les informations dévoilées cette après-midi par le Wall Street Journal selon lesquelles la famille de cet enfant ne fuyait pas la Syrie, mais vivait depuis trois ans en Turquie? Qu’en sera-t-il lorsqu’ils apprendront que la tante d’Aylan, vivant au Canada, avait financé ce voyage en Europe pour que son frère se fasse refaire les dents?

    Et c’est uniquement pour cela qu’Aylan est mort, lors d’une traversée entre Bodrum et Kos. Cela ne diminue pas l’ampleur de ce drame.

    Mais cela devrait nous amener à réfléchir sur les vrais migrants qui fuient la guerre et ceux qui viennent pour des raisons beaucoup moins avouables.

  • Félicitations (posthume)

    1er septembre 1904.

    Helen Keller (1880-1968), écrivaine, aveugle, sourde et muette, soutient sa thèse de doctorat (avec les félicitations du jury) au Radcliffe College de Cambridge.

  • Sep: Sativex® arrivera-t-il avant Noël ?

    Faute d’un accord sur son prix, Sativex®, ce dérivé du cannabis autorisé comme traitement de la spasticité dans la sclérose en plaques, n’est toujours pas disponible en pharmacie. Une exception française que les patients vivent mal.

    C’est un long roman mais toujours pas une belle histoire. Depuis l’annonce de l’autorisation de mise sur le marché de Sativex® en janvier 2014, ce nouveau traitement de la spasticité dans la sclérose en plaques (Sep) n’est toujours pas commercialisé en France. Si ce dérivé du cannabis est disponible dans dix-sept pays européens, en France, les laboratoires Almirall et le Comité économique des produits de santé (Ceps) ne se sont toujours pas mis d’accord sur son prix de vente.

    58 000 personnes signent pour l’accès à Sativex® sur Change.org

    Le 30 juin dernier, Christophe Vandeputte, le directeur général d’Almirall France, a demandé un arbitrage politique et convoqué la presse afin de faire avancer cette situation. Les médias s’en sont fait l’écho et, mi-juillet, un patient, Laurent Puisais, achevait d’attirer l’attention sur cette question en entamant une grève de la faim. Dans la foulée, une pétition a été lancée sur Change.org. Elle récolte plus de 58 000 signatures au 31 août.

    Les négociations vont reprendre en septembre

    Le Ceps a proposé aux laboratoires Almirall de se remettre autour de la table courant septembre. "La porte est ouverte, c’est en voie de négociation, se réjouit prudemment Christophe Vandeputte. Nous avons déjà descendu le prix de 20 % [par rapport au prix moyen des autres pays, NDLR]. Je ne dis pas qu’il n’y a pas encore une marge de négociation mais il faut trouver un accord et ne pas tomber de nouveau dans l’exception français", estime-t-il.

    Des freins français mal compris

    La France s’est montrée jusqu’à aujourd’hui particulièrement frileuse vis-à-vis de Sativex®. Pourtant, concernant l’aspect économique, Christophe Vandeputte estime qu’" il n’y a pas d’inquiétudes à avoir. Ce produit s’adresse à une niche de 5 000 patients et l’expérience montre qu’il n’y a pas de mésusage. De plus, il s’agit d’une prescription initiale hospitalière – par le neurologue ou le médecin de médecine physique et de réadaptation – qui n’est renouvelée qu’après une deuxième visite permettant de vérifier si le patient est bien répondeur puisque ce n’est pas le cas de tout le monde. Il n’y a pas de quoi faire sauter les verrous de la Sécurité sociale!"

    Reste donc à convaincre le CEPS. " Le temps de mener cette ultime discussion et de publier le prix au Journal officiel, les patients peuvent encore espérer se procurer Sativex® avant la fin de l’année", calcule Christophe Vandeputte. Et l’avoir au pied du sapin? Adélaïde Robert-Géraudel

    J'ai signé la pétition mais je ne comprends pas qu'il faille payer…. bien évidemment, je ne l'ai pas fait!

    https://www.change.org/p/marisoltouraine-acc%C3%A8s-au-sativex-pour-aider-laurent-puisais-souffrant-de-scl%C3%A9rose

     

     

  • L'enfant et le tétanos

    J'ai trois blogs... mais, cette info est pour moi primordiale...; donc, je l'installe sur mes trois blogs

    Les cas sont rares puisque la vaccination est obligatoire. Depuis plusieurs semaines, un garçonnet est hospitalisé à Tours. Une enquête a été ouverte.

    Plusieurs semaines déjà que ce jeune garçon de huit ans est hospitalisé à l'hôpital de Clocheville, à Tours. Hospitalisé pour s'être blessé après une chute, semble-t-il, l'état de l'enfant ne se serait pas amélioré comme prévu. Sur son carnet de santé figurait la mention d'une vaccination contre le tétanos (en France, la couverture vaccinale obligatoire concerne le DT polio (Diphtérie tétanos poliomyélite). La primo-vaccination des nourrissons comporte deux injections. Puis un rappel. Suivent d'autres rappels chez l'enfant et l'adulte. Ne pas vacciner ses enfants s'apparente à de la maltraitance, passible de 3.750 € d'amende et 6 mois de prison.).

    D'après nos informations, son organisme n'en porterait cependant pas la trace (un vaccin antitétanique fait correctement laisse des traces pendant vingt ans, nous a indiqué un médecin).

    Dès lors, plusieurs hypothèses peuvent être soulevées : une fausse information figure-t-elle sur le carnet de santé? Le pédiatre de l'enfant, aurait-il pu s'être soustrait à la vaccination de l'enfant par choix en accord avec les parents? La vaccination n'aurait-elle pas été faite correctement ? Ou l'organisme de l'enfant n'a-t-il pas été en mesure de fabriquer des anticorps alors qu'il aurait bien été vacciné?

    Autant de questions auxquelles l'enquête ouverte sur deux volets, administratif et judiciaire, devra tenter de répondre, conséquence directe du signalement fait par le service des maladies infectieuses au parquet de Tours. L'Institut médico-légal aurait d'ailleurs été diligenté pour examiner l'enfant. Et sa fratrie aurait été vaccinée en urgence, apprenait-on encore en cette fin de semaine. Le jeune garçon, lui, est toujours hospitalisé en soins intensifs.

    Enquête approfondie

    Un cas grave et rare (la maladie fait l'objet d'une déclaration obligatoire) que les services de l'Agence régionale de santé (ARS) et l'Institut national de veille sanitaire (INVS) suivent de près, nous précisait mercredi le service communication de l'instance régionale sans vouloir aller au-delà, mettant le secret médical en avant. Un argument, légitime, également utilisé par le service communication du CHRU tourangeau : "C'est un enfant malade que l'on soigne, comme on le fait tout le temp ".

    Une enquête approfondie est donc en cours pour tenter d'expliquer ce cas exceptionnel qui s'inscrit dans un contexte toujours partagé sur la question de la vaccination, pourtant fondamentale dans l'éradication de nombreuses maladies. En 2010, 40 % des Français se déclaraient "méfiants" à l'égard des vaccins. Cinq ans plus tôt, ils n'étaient que 10 %.

    Rappelons que le tétanos est une maladie infectieuse grave, non contagieuse, qui attaque le système nerveux. La contraction des muscles respiratoires peut entraver la respiration et provoquer la mort pas asphyxie et arythmie cardiaque.

    Il faut savoir que les spores de bacille tétanique sont n'importe où dans la terre, donc la bactérie ne peut être éradiquée. Elle sécrète dans l'organisme une toxine qui attaque le système nerveux. La seule prévention possible est de vacciner les sujets les plus sensibles, parmi lesquels les chevaux et les humains.

    En traitement, si l'on intervient tôt, des doses massives de pénicilline enrayent la multiplication des bactéries, mais la toxine déjà sécrétée fait son œuvre.

    http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2015/07/18/Le-tetanos-frappe-un-enfant-2406520

     

    Voici la photo d'une personne atteinte de tétanos, en fin de vie. Cette photo est vraie, ce n'est pas une blague de scénario hollywoodien!

    Quand la maladie est enclenchée, on ne peut pas la guérir: le corps spasme violemment.... la seule prévention, c'est la vaccination.

    NE PAS FAIRE SES RAPPELS, C'EST CONSTAMMENT DANSER AVEC LE DIABLE!

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  • Sacrée idiote!

    Une mère fait passer sa voiture avant la vie de son enfant

    Cette histoire à peine croyable aurait pu se terminer très mal si les pompiers n'étaient pas intervenus de force.

    Tout le monde sait qu'il ne faut absolument pas laisser son enfant (ou ses animaux) en voiture sur le parking, lorsque vous vous éloignez du véhicule. Même sur un laps de temps très court: lorsqu'il fait chaud et que l'auto est exposée au soleil, la température intérieure peut devenir insupportable et l'auto peut rester verrouillée, impossible à ouvrir depuis l'habitacle.

    Un piège potentiellement mortel donc, qui a failli être celui de cet enfant chinois à cause du comportement de sa mère. Après avoir laissé son enfant dans la voiture et perdu les clés, elle a préféré attendre à côté de la voiture qu'un dépanneur spécialisé vienne, plutôt que de briser la vitre pour sauver son enfant de 3 ans.

    Mais les pompiers ont heureusement décidé de pousser la mère pour fracturer la vitre, et ainsi sauver l'enfant en pleurs. Motif invoqué par la mère? Elle ne voulait tout simplement pas payer les frais de réparation sur sa BMW, préférant attendre de longues heures le spécialiste technique.

     

  • T'a de beaux yeux, tu sais.....

    Les personnes aux yeux bleus ont tendance à être plus alcooliques

    Avez-vous les yeux clairs ou foncés? S'ils sont clairs, cela pourrait bien refléter une dépendance à l'alcool, selon une étude américaine.

    La couleur des yeux peut être le miroir... des addictions. Des généticiens de l'université du Vermont, aux Etats-Unis, ont mis en évidence un lien entre les yeux clairs et un penchant pour l'alcool. Pour observer cette relation, les chercheurs ont examiné le profil génétique de 1263 personnes qui étaient enregistrées dans une base de données comprenant des personnes alcooliques ou toxicomanes. Leur étude conclue que les personnes aux yeux clairs, bleus, verts ou gris, ont plus de risque de développer une addiction à l'alcool.

    Comment expliquer cette association? C'est là que l'étude pèche un peu. Le professeur en microbiologie Dawei Li et son équipe bottent en touche quand il s'agit de proposer une explication. Certains feront encore les gros yeux en lisant ces conclusions un peu floues. La clé se trouve sûrement dans l'une des nombreuses combinaisons génétiques responsables de la couleur de l'iris.

     

    Les yeux, un reflet de l'état de santé

    Le lien entre la couleur des yeux et la santé préoccupe les chercheurs. Avant ceux du Vermont, des universitaires de Pittsburgh, toujours aux Etats-Unis, ont suggéré les femmes caucasiennes aux yeux clairs (bleus ou verts) tolèrent mieux la douleur et sont moins sujettes au stress que les femmes aux yeux foncés. Une autre idée tout aussi troublante nous était venue de chercheurs Italiens arguant que les yeux bleus prédisposeraient au risque de diabète de type 1 et à des problèmes d'audition.

    Avez-vous les yeux bleus ou marron? Cette question à première vue anodine donnerait plusieurs indices sur votre niveau d'anxiété ou sur votre risque de diabète, selon des chercheurs de l'université de Pittsburgh. Ce que la couleur des yeux révèle de votre santé

    On dit souvent que les yeux sont le miroir de l'âme. Il semblerait qu'on puisse aussi y lire le niveau de stress de quelqu'un ou sa sensibilité à la douleur. Alors que la relation entre les yeux et la santé fascine et intrigue les chercheurs depuis de nombreuses années, l'université de Pittsburgh publie une étude étonnante sur le sujet. Selon eux, les femmes caucasiennes aux yeux clairs (bleus ou verts) tolèrent mieux la douleur et souffrent moins du stress que les femmes aux yeux foncés.

    L'étude de 58 femmes enceintes a laissé entrevoir des différences surprenantes suivant la couleur des yeux. Ainsi les participantes aux yeux clairs ont éprouvé moins de douleur à l'accouchement que les autres. Elles auraient aussi été moins anxieuses, moins déprimées et moins sujettes aux pensées négatives que les femmes aux yeux foncés, observe l'étude.

    Sans donner l'origine exacte de cette différence, le Dr Inna Belfer, de l'université de Pittsburgh suggère que la raison serait à chercher dans les gènes. Des marqueurs génétiques associés à la couleur des yeux, bleue ou marron par exemple, seraient déterminants pour la santé. L'étude indique par exemple que des gènes liés à la mélanine et responsables de la couleur foncée prédisposeraient par exemple à une plus grande sensibilité à la douleur. La mélanine étant associée au fonctionnement du cerveau, elle expliquerait pourquoi le temps de réaction est amélioré chez les personnes aux yeux foncés que chez les yeux bleus. Les premiers seraient plus doués au Frisbee ou au tennis que les seconds.

    Yeux bleus = plus de diabète ?

    Une précédente étude italienne a suggéré que les yeux bleus augmentaient le risque de diabète de type 1 mais aussi à des problèmes d'audition.