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  • Encore des idiotes au gouvernement! je me tue à vous le dire!

    Les Italiens en ont avalé leur tartine de travers. En déclarant, lundi soir sur le plateau du Petit Journal, "[qu’] il faut arrêter de manger du Nutella "parce qu’il contient de l’huile de palme" qui a remplacé les arbres, et donc c’est des dégâts considérables", Ségolène Royal devait se douter que ses propos ne manqueraient pas de traverser les Alpes…

    Parce qu’en Italie, où se trouve le siège de Ferrero, l’entreprise qui a créé la célèbre pâte à tartiner, on ne plaisante pas avec le Nutella, véritable fierté nationale.

    "Ferrero utilise de l’huile de palme respectant le développement durable pour ses produits confectionnés à Villers-Ecalles [Haute-Normandie]", a réagi Ferrero, cité par La Stampa. La référence au site de production français est aussi un moyen de rappeler que l’entreprise joue un rôle dans l’économie de l’Hexagone.

    Pour le ministre italien de l’Environnement, ce sera "pain et Nutella" au dîner

    Sur Twitter, Michele Anzaldi, député Parti démocrate et membre de la commission Agriculture, a quant à lui exigé des excuses de la ministre française de l’Ecologie pour le "grave et vilain dérapage de la France sur l’excellence italienne".

    Il y a quelques pays qui n'ont que pour économie l'huile de palme. Si on ne leur achète plus de leur huile, ils mourront de faim et vont débarquer en France; mais, ce n'est pas grave… la gauchiasse à tout nos impôts qu'il lui faut!

    Voici l'article que j'avais lu quand tout le monde criait haro sur l'huile de palme et Nutella, il y a quelques mois. Je possède seulement le certificat d'études primaires et suis loin d'avoir fait l'ENA comme cette crétine décervelée par le dogme gauchiasse... moi, avant d'écrire n'importe quoi sur mes sites ou blogs, je fais des recherches!

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    Culture de l’huile de palme et économies locales: les enjeux

    Différents systèmes de culture existent pour l’huile de palme, de la grande exploitation de milliers d’hectares aux petits planteurs. Avec la généralisation de l’huile de palme durable, l’objectif de l’Alliance Française pour une Huile de Palme Durable est de favoriser le développement et la stabilité économique des petits producteurs.

    Des millions de personnes concernées

    Parce qu’elle n’est pas mécanisée au stade de la cueillette des fruits, la culture du palmier à huile fait vivre directement ou indirectement des millions de personnes dans les pays où elle est implantée : 590 000 personnes en Malaisie, 3 à 7 millions de personnes en Indonésie.

    Une source de revenus réguliers et stables

    Pour les petits planteurs, le bond de revenus engendré par le passage de cultures traditionnelles et celle du palmier à huile est spectaculaire. A Sumatra (Indonésie) par exemple, le revenu moyen annuel à l’hectare sur le cycle complet d’une plantation s’élève à 2 100 € pour le palmier à huile, soit dix fois plus que pour une rizière (200 € par hectare). Un homme gagne ainsi 36 € par jour pour le palmier à huile et seulement 1,7 € par jour pour le riz irrigué.

    L’émergence d’une classe moyenne rurale

    Parce qu’elle est une source de revenus très importante, la culture du palmier à huile a permis aux populations locales de sortir de la pauvreté  en l’espace d’une génération, leur donnant accès à des infrastructures modernes : réseaux routiers, réseaux sanitaires, écoles ou encore hôpitaux. En outre, la part des petits planteurs indépendants est très forte et en constante augmentation : 40% en Malaisie et en Indonésie, près de 80% en Thaïlande… On comprend mieux comment cette culture  a permis, partout où elle est présente, l’émergence d’une classe moyenne rurale qui transforme elle-même, progressivement, l’économie des pays concernés.

    http://www.huiledepalmedurable.org/limpact-de-lhuile-de-palme

  • Adieu mon cassoulet Toulousain!

    Déjà que les cuisiniers toulousains sont totalement nazes pour faire le bon vrai cassoulet de Toulouse, voilà t-y pas que nous allons, bientôt, pour faire plaisir aux Chinois, le transformer pour faire un goulbi-boulga chine-toque!

    Comme vous le savez, mes chers amis toulousains, le gouvernement d'incompétents fantoches qui se prélassent comme des bestiasses ignorantes et indécentes dans les ors de Notre Palais de l'Elysée, ont vendu notre aéroport Toulouse-Blagnac aux Chinois il y a peu.

    Selon l'ex-ministre de la droite aussi molle et tremblante que de la gelée à la menthe des toqués rosbif d'outre-Mer du Nord, A.-Marie Idrac, cette politique obscure qui n'a pas laissé un grand souvenir dans les mémoires des gens de droite, a été nommée, entre-autres mandats dont on finit par perdre le compte, dans lesquels vous vous en doutez, elle se sucre abondamment, a donc, été nommée à la présidence de notre aéroport toulousain; elle va bêlant et jacassant et se vante de cela dans des “rencontres“ au Palais-Garnier parisien, que les Chinois vont faire une entrée phénoménale sur notre magnifique ville Rose. Le Rose et le Jaune, ça fait quelle couleur… caca de canard?

    Cela va commencer le 1er et 2 juillet avec une réunion à Toulouse de 200 personnalités d'influence qui accompagneront Li Keqjang, premier ministre chinois. Nous entrons dans l'ère des chinoiseries et notre gastronomie locale va le payer cher!

    Dans le même numéro de Challenge où j'ai lu cette information, n° 2015 du 11 juin 2015, on y lit également que plus de 8500 étudiants chinois ont été éjectés des universités américaines pour tricheries diverses. On sait déjà que certains avaient acheté des diplômes à Montpellier:

    Merci à la gauchiasse française qui, s'en nullement se reposer, nous pond chaque jour des décisions qui coulent, jour après jour, et même minute après minute, tous les fondements sociétaux de notre belle France.

    Au fait, avez-vous remarqué que la chanson de Trenet, “Douce France“ n'est jamais plus citée ou passée dans les médias audio-visuels ou écrits? ha ben, non, mon pauvre, faut pas discriminer! On ne peut plus rien dire en France (cf. Valeurs Actuelles de la semaine passée).

    Repose en paix, ma Douce France!

     

    Requiem  pour le passé: voici un avenir de ténèbres qui s'allonge devant nous, de plus en plus!

  • Bi-centenaire Waterloo

    Victor HUGO   (1802-1885)

    L'expiation

    Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.

    Pour la première fois l'aigle baissait la tête.

    Sombres jours! l'empereur revenait lentement,

    Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.

    Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.

    Après la plaine blanche une autre plaine blanche.

    On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.

    Hier la grande armée, et maintenant troupeau.

    On ne distinguait plus les ailes ni le centre.

    Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre

    Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés

    On voyait des clairons à leur poste gelés,

    Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,

    Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.

    Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,

    Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,

    Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.

    Il neigeait, il neigeait toujours! La froide bise

    Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,

    On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.

    Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :

    C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,

    Une procession d'ombres sous le ciel noir.

    La solitude vaste, épouvantable à voir,

    Partout apparaissait, muette vengeresse.

    Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse

    Pour cette immense armée un immense linceul.

    Et chacun se sentant mourir, on était seul.

    - Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?

    Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.

    On jetait les canons pour brûler les affûts.

    Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,

    Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.

    On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,

    Voir que des régiments s'étaient endormis là.

    Ô chutes d'Annibal! lendemains d'Attila!

    Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières,

    On s'écrasait aux ponts pour passer les rivières,

    On s'endormait dix mille, on se réveillait cent.

    Ney, que suivait naguère une armée, à présent

    S'évadait, disputant sa montre à trois cosaques.

    Toutes les nuits, qui vive! alerte, assauts! attaques!

    Ces fantômes prenaient leur fusil, et sur eux

    Ils voyaient se ruer, effrayants, ténébreux,

    Avec des cris pareils aux voix des vautours chauves,

    D'horribles escadrons, tourbillons d'hommes fauves.

    Toute une armée ainsi dans la nuit se perdait.

    L'empereur était là, debout, qui regardait.

     

    Coupure de la rédactrice

    Du début à ce point, la récitation que nous avons préparé-es en 1964 au certificat d'études primaires. Je l'ai eu bien sûr... mon orgueil de fille ouvrière qui, dès le mois suivant, entrait ouvrière dans une usine à confection, pour 54 centimes de Franc de l'heure et 44 heures par semaine!

    3 semaines de vacances seulement, tous les ponts récupérés, pas de chèques vacances, ciné, pose pipi, et frais de transport; tu arrive 5 mn en retard, on retiens 1/2 heure sur la paye, car, bien sûr, nous n'étions payée qu'à l'heure et n'avions pas de 13e mois ni autres avantages que VOUS avez aujourd'hui;

    Burn out, comme vous glaviotez? non, tu travailles, t'est payé, (vive la pointeuse) tu marche ou tu crève! Et vous vous plaignez?

    mais, au moins, quand on en avait marre d'une entreprise, on se barrait vite et on trouvait TOUT AUSSITÔT DU TRAVAIL....

    en fait, il valait mieux parce que les indemnités chômage vous permettait juste de danser devant le buffet vide, le ventre vide.

    y' avait -il des chômeurs en France: oui, moins de 400 000... qui sont les 1,6 millions d'aujourd'hui?

    Les avantages sociaux et les statuts indéboulonnables vous ont mis au chômage et il n'est pas près de cesser..... depuis toujours, le trop et le peu gâtent le jeu!

     

    Suite du poème

    Il était comme un arbre en proie à la cognée.

    Sur ce géant, grandeur jusqu'alors épargnée,

    Le malheur, bûcheron sinistre, était monté ;

    Et lui, chêne vivant, par la hache insulté,

    Tressaillant sous le spectre aux lugubres revanches,

    Il regardait tomber autour de lui ses branches.

    Chefs, soldats, tous mouraient. Chacun avait son tour.

    Tandis qu'environnant sa tente avec amour,

    Voyant son ombre aller et venir sur la toile,

    Ceux qui restaient, croyant toujours à son étoile,

    Accusaient le destin de lèse-majesté,

    Lui se sentit soudain dans l'âme épouvanté.

    Stupéfait du désastre et ne sachant que croire,

    L'empereur se tourna vers Dieu ; l'homme de gloire

    Trembla ; Napoléon comprit qu'il expiait

    Quelque chose peut-être, et, livide, inquiet,

    Devant ses légions sur la neige semées:

    "Est-ce le châtiment, dit-il. Dieu des armées "

    Alors il s'entendit appeler par son nom

    Et quelqu'un qui parlait dans l'ombre lui dit : Non.

    Waterloo! Waterloo! Waterloo! morne plaine!

    Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,

    Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,

    La pâle mort mêlait les sombres bataillons.

    D'un côté c'est l'Europe et de l'autre la France.

    Choc sanglant! des héros Dieu trompait l'espérance ;

    Tu désertais, victoire, et le sort était las.

    O Waterloo! je pleure et je m'arrête, hélas!

    Car ces derniers soldats de la dernière guerre

    Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,

    Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,

    Et leur âme chantait dans les clairons d'airain!

    Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.

    Il avait l'offensive et presque la victoire ;

    Il tenait Wellington acculé sur un bois.

    Sa lunette à la main, il observait parfois

    Le centre du combat, point obscur où tressaille

    La mêlée, effroyable et vivante broussaille,

    Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.

    Soudain, joyeux, il dit: Grouchy! - C'était Blücher.

    L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme,

    La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.

    La batterie anglaise écrasa nos carrés.

    La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés,

    Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,

    Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ;

    Gouffre où les régiments comme des pans de murs

    Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs

    Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,

    Où l'on entrevoyait des blessures difformes!

    Carnage affreux! moment fatal! L'homme inquiet

    Sentit que la bataille entre ses mains pliait.

    Derrière un mamelon la garde était massée.

    La garde, espoir suprême et suprême pensée!

    "Allons! faites donner la garde!" cria-t-il.

    Et, lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,

    Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,

    Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,

    Portant le noir colback ou le casque poli,

    Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,

    Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,

    Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête.

    Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur!

    Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,

    Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,

    La garde impériale entra dans la fournaise.

    Hélas! Napoléon, sur sa garde penché,

    Regardait, et, sitôt qu'ils avaient débouché

    Sous les sombres canons crachant des jets de soufre,

    Voyait, l'un après l'autre, en cet horrible gouffre,

    Fondre ces régiments de granit et d'acier

    Comme fond une cire au souffle d'un brasier.

    Ils allaient, l'arme au bras, front haut, graves, stoïques.

    Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques!

    Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps

    Et regardait mourir la garde. - C'est alors

    Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée,

    La Déroute, géante à la face effarée

    Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons,

    Changeant subitement les drapeaux en haillons,

    A de certains moments, spectre fait de fumées,

    Se lève grandissante au milieu des armées,

    La Déroute apparut au soldat qui s'émeut,

    Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut!

    Sauve qui peut! - affront! horreur! - toutes les bouches

    Criaient ; à travers champs, fous, éperdus, farouches,

    Comme si quelque souffle avait passé sur eux.

    Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux,

    Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles,

    Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles,

    Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil!

    Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient! - En un clin d'œil,

    Comme s'envole au vent une paille enflammée,

    S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée,

    Et cette plaine, hélas, où l'on rêve aujourd'hui,

    Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui!

    Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre,

    Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire,

    Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants,

    Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants!

    Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve ;

    Hommes, chevaux, tambours, drapeaux ; - et dans l'épreuve

    Sentant confusément revenir son remords,

    Levant les mains au ciel, il dit: "Mes soldats morts,

    Moi vaincu! mon empire est brisé comme verre.

    Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère?"

    Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon,

    Il entendit la voix qui lui répondait: Non!

  • Les nouvelles culottes femmes

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  • On se demande pourquoi certains veulent à tout prix émigrer en France......

    Bonne justice en France

    Un fêtard qui tente d’agresser sexuellement une femme endormie sur une banquette de discothèque. Surprise, Arnaud Gonnet, un père de famille, réagit, s’interpose fermement mais sans violence au départ, se prend tout de même un bourre-pif du tripoteur pas honteux pour un sou, contre-attaque donc et … fracasse l’impétrant. L’agresseur confronté aux risques de ses comportements décidera bien évidemment de porter plainte pour coups et blessures contre Arnaud.

    Sans surprise (et avec un petit coucou pour Laurence Rossignol qui continue actuellement ses exactions au gouvernement), la Justice condamne l’honnête (mais trop impulsif) père de famille à deux mois de prison avec sursis, pendant que l’agresseur, lui, s’en prend quatre.

    Ce pourrait être un jugement à la Solomon si le message ainsi envoyé ne corroborait pas exactement les remarques que je faisais il y a deux ans lorsque la pauvre sénatrice Rossignol découvrait la dure réalité de la vie en République Française: au-delà du discret appel téléphonique aux pompiers (la police ne répond plus, elle est débordée par la protection des VIP républicains), mieux vaut largement ne rien faire lorsqu’on est témoin d’une carabistouille criminelle.

     

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    Bien sûr, cela n’est vrai que pour le Français moyen. Le citoyen Modèle Supérieur, lui, saura parfaitement garder son sang-froid et doser sa réponse pour la garder parfaitement proportionnelle à l’agression. Seul souci: on n’en trouve plus en rayon, les stocks ont été consciencieusement détruits par une société plus du tout d’accord avec eux

    il devient finalement impossible de déterminer exactement à quelle sauce la Justice va gober du citoyen.

    Il devient impossible de savoir s’il existe vraiment une défense légitime, ou si, plus simplement, il faut juste subir et fermer sa gueule.

    Et à cette confusion déjà grande d’une Justice illisible par le citoyen pour lequel elle est normalement rendue, s’ajoute celle d’une presse tout aussi illisible qui opère manifestement plus souvent comme un filtre déformant que comme une source équitable d’information. C’est finalement elle qui décidera de monter en épingle (ou pas) certains événements plutôt que d’autres; c’est elle qui favorisera certains discours politiciens gluants de démagogie par des lâchers réguliers de gros micros mous sous leurs nez turgescents; c’est cette même presse, perdue dans un siècle révolu et ivre des importantes subventions qu’elle reçoit, qui croit toujours qu’elle éclaire son lectorat de sa sagesse et de la finesse de ses analyses, et c’est donc elle qui peut se permettre de définir ce qu’il convient de penser ou ce qu’il est bon de fustiger en dodelinant du chef.

    Je résume : les politiciens font tout et son contraire; la Justice distribue ses verdicts comme un malade de Parkinson des tics-tacs goût foie de morue; et là-dessus, la presse boucle le tout de ses analyses ineptes et de ses sermons moralinés.

    Pas de doute : ce pays est foutu.

    H16; contrepoint.org