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Autrefois, on nous faisait passer le Brevet de Prévention Routière.... je m'en souviens... mais, il n'y avait que 5 voitures à pédales... et comme nous étions des classes de 35 élèves, les autres n'avaient droit qu'à des petits vélos....
rrrrr.... je voulais conduire, Moi!
Le brevet, j'lai eu!
Une étude très sérieuse réalisée par Microsoft nous annonce que la concentration moyenne de l’être humain a grandement reculé depuis les années 2000.
Dans la vie d’une blogueuse, il y a parfois des études scientifiques qui égayent la journée. Dernière en date, une étude réalisée par Microsoft au Canada dont les résultats sont assez surprenants. Selon, elle l’Homme d’aujourd’hui aurait une capacité de concentration beaucoup plus basse qu’il y a 15 ans, 8 secondes contre 12 dans les années 2000. Une régression importante que fait passer l’homme derrière le poisson rouge dans le classement des êtes vivants. Ce petit être vivant qui transpire l’intelligence atteint les 9 secondes.
Toujours plus bêtes ?
Les responsables, ce sont bien entendu les écrans, les smartphones et tout autre objet un peu high-tech. Plus fort encore, le phénomène serait même réversible si on lâche un peu les écrans. On l’a dit, c’est une étude menée de manière sérieuse sur 2000 Canadiens sur leurs pratiques en matière de nouvelles technologies. Parmi ces 2000 personnes, 112 volontaires ont accepté de passer un électroencéphalogramme. Le résultat de l’étude montre qu’on est avide d’information et que, de ce fait, on a plus tendance à se désintéresser d’un sujet rapidement. Cela ne signifie donc pas que l’humain 2.0 est un idiot, simplement que son cerveau travaille d’une autre manière. Qui plus est, lorsqu’on tombe sur quelque chose de plus compliqué à appréhender, les pics de concentration sont toujours présents.
Les hommes aussi peuvent faire deux choses en même temps et ça voyez-vous, madame, mademoiselle, c'est nouveau! c'est presque une révolution!
Vous connaissez sans doute l’adage: “Un homme ne peut faire plusieurs choses en même temps“. Hé bien mesdames, rassurez-vous, les temps changent. L’usage intensif de tous nos écrans et autres bidules connectés développent la capacité d’effectuer plusieurs choses en même temps. 79% des personnes interrogées ont déclaré utiliser leur portable en regardant la télévision.
Une fois posé cela, quand est-ce que tu fais la vaisselle en même temps que tu cuisine, chéri?
Pour une fois, le marketing ne prend plus la femme pour un objet mais pour ce qu’elle est réellement.
Cette vidéo qui a battu le record de visions en quelques jours montre des femmes entrant dans un shopping-hall en ayant le choix entre une porte indiquant moyenne – average, mot anglais pouvant se traduire aussi par quelconque – et une autre porte indiquant belle – beautiful. Et ces femmes se classent spontanément dans l’une ou l’autre catégorie. La marque de produits de beauté et de soins du corps Dove a mis cette vidéo en ligne et elle révèle la propension des femmes à "paraître", en étant conscientes de leur état d’esprit au sujet de leur corps à tout moment et on ne va certainement pas le leur reprocher!
Parallèlement une campagne publicitaire pour des "dessous chics" allant contre les canons de la mode anorexique se base sur une sorte de slogan également révélateur : toutes les femmes sont belles. Pourquoi alors emprunter la porte " quelconque " plutôt que la porte "belle"?
Il s’agit de la remise en cause par la femme de la perception de son corps et par conséquent de la perception que peuvent en avoir l’entourage, les anonymes dans la rue ou le métro, les collègues de travail ou la caissière du supermarché. C’est cette stratégie qu’a adopté Lane Bryant pour lancer sa collection de lingerie " Cacique " et ça marche! Les femmes se sentent ainsi décomplexées, regardez par vous même :
Pourquoi s’astreindre à manger des épinards sans crème ni croutons de pain et des yaourts zéro pour cent de matière grasse puisque toutes les femmes sont belles ! Et Dove a mis en ligne le clip vu en quelques jours par près d’un demi-million de personnes qui vante la beauté de la femme indépendamment de toute autre considération. "Mesdames vous êtes plus belles que vous ne le croyez", aussi simple que cela pour vendre des produits de beauté ou de la lingerie.
https://www.youtube.com/watch?v=7DdM-4siaQw#t=13
Visionnez la vidéo en activant le sous-titrage en français si besoin.
Il était opportun de relater cette petite histoire: pour une fois, et c’est très rare, le marketing ne prend plus la femme pour un objet mais pour ce qu’elle est réellement…
Affiche publicitaire
Mande pardon à ceux qui n'ont pas de maladies auto-imunes ni personne de leur entourage (quelle chance vous avez!) mais, celles et ceux concernées seront content-es de ces infos supplémentaires....
Je peux vous dire que la recherche que nous avons en Belgique n’a à rougir de personne". L’auteur de ces propos, c’est Christian Homsy, patron de Celyad (ex-Cardio3 BioSciences), spécialiste de la thérapie cellulaire pour le cœur et le cancer. L’une de nos fiertés nationales, parmi ce qui se fait de mieux dans le domaine de la santé en Belgique. L’homme arpente la planète, dévore le marché américain, lorgne ses investisseurs. La comparaison avec les Etats-Unis est féroce, et pourtant, malgré tout, la Belgique est et reste "de très haute qualité".
Cet article et les exemples qu'il contient en sont les meilleures preuves. Derrière le paravent des Cardio3, IBA, Mithra,…, un terroir continue à se développer. De jeunes espoirs belges émergent. Et ils écrivent une nouvelle et passionnante histoire de la santé. OncoDNA, à Gosselies, est capable de fournir le diagnostic et le traitement personnalisé d’un cancer sur simple présentation d’une biopsie du patient. Novadip génère des greffes osseuses au départ d’une ponction dans la graisse abdominale. Le Professeur Pierre Vanderhaeghen crée un cortex cérébral "en boîte" et lance un nouveau courant de recherche dans les zones obscures du cerveau.
Tous les exemples présentés ici, et bien d’autres encore, montrent combien nos chercheurs excellent dans leur combat contre les maladies de notre siècle.
Jean-Marie Saint-Remy précise: trois injections suffisent. Trois coups avant un lever de rideau. Changement de décor. Le cercle vicieux est transformé en cercle vertueux, le processus inflammatoire est enrayé, une phase de récupération s’enclenche. Le visage de Saint-Remy s’illumine, il est formel: "Le patient est sûr de pouvoir récupérer ses fonctions altérées! Du moins en partie."
Cette thérapie cellulaire, dite autologue, consiste en une prise de sang pour prélever des cellules sanguines du patient. En culture, l’équipe médicale effectue son opération de désinformation. Quatre stimulations permettent d’obtenir une sélection homogène de cellules à activité thérapeutique. Une fois que les lymphocytes T, porteurs du message imposé par le code CXXC, sont transformés en tueurs de messagers, ils sont réinjectés et le miracle s’accomplit.
Il faut compter deux mois environ, entre la prise de sang et la réinjection. Dont 24 h de test et 4 à 6 semaines de mise en culture. Le schéma a été validé, standardisé, s’appuyant sur un modèle animal de thérapie cellulaire. Quelques souris ont été induites en maladie, un minimum, mais avec des protocoles qui miment, au maximum, le modèle humain.
Le premier patient, qui aujourd’hui se prête à l’essai clinique, a été recruté en janvier et recevra l’injection en juin, à Bruxelles, aux cliniques Saint-Luc. D’autres patients seront recrutés entre-temps dans les trois hôpitaux belges avec lesquels ImCyse collabore : Saint-Luc (UCL), Sart-Tilman (ULg), Gasthuisberg (KUL). Pour suivre le même protocole et confirmer les données.
L’horizon? Fin 2016, si tout va bien, les résultats complets de cette première étude seront connus. La population visée en première instance? Les patients victimes de la forme récurrente de la maladie, chez qui la sclérose n’a pas encore trop lourdement affecté l’organisme.
Une fois le principe acquis, le développement complet prendra encore plusieurs années. La question qui se posera à ImCyse sera celle de l’échelle, du déploiement d’une technique désormais éprouvée. Le professeur évoque des campagnes de vaccination directe auprès de populations à risques, dont il reste à définir le profil (hérédité, environnement…).
Développement
Jean-Marie Saint-Remy conclut: "ImCyse est une plateforme technologique, pas un nouvel emballage pour une babelutte!" C’est-à-dire un vivier de solutions. Et la technique qu’il est en train de valider pour la sclérose en plaques vaut pour d’autres maladies auto-immunitaires. Au premier rang desquelles… le diabète insulino-dépendant.
Effectivement, on imagine la pression. L’enjeu de l’essai clinique en cours est considérable. "Il s’agit d’une technologie de rupture, révolutionnaire, et nous avons l’ambition de la développer dans de nombreux domaines", nous glisse Pierre Vandepapelière, CEO d’ImCyse.
Une porte s’ouvre. Les investisseurs commencent à s’y presser: Meusinvest, Biogenosis… Un premier plan d’investissements a été lancé en 2012. Après la Flandre – ImCyse est devenue spin-off de la KUL en 2011, six mois après sa création –, la Région wallonne est venue la soutenir et l’Europe lui a accordé un gros subside pour son projet dans le diabète. "Le but est d’arriver à guérir ces maladies sévères, on a le potentiel. ImCyse peut devenir un leader mondial de l’immunothérapie."
Être écolo, c’est rigolo, c’est facile, et ça peut rapporter gros.
Par Michel Gay
C’est rigolo d’être écolo. Il suffit de se draper dans la toge verte de la vertu en déclarant vouloir sauver la planète et nos enfants.
Un "écolo" peut vanter sereinement la sobriété tout en se déplaçant dans le monde en " 4×4″, et en avion pour faire des conférences et porter la bonne parole, ou même en hélicoptère pour faire des photos. Il peut ensuite s’insurger avec aplomb contre ces égoïstes qui augmentent leur empreinte carbone en utilisant leur voiture ou l’avion pour aller en vacances.
Une association écologiste peut faire financer officiellement ses activités par la collectivité (mairie, département, région, État…) par une fondation et surtout par des entreprises (EDF, GDF, Gazprom…) qui "achètent" ainsi une image positive, ou bien qui favorisent leurs intérêts (le gaz par exemple).
Des députés ou des sénateurs écologistes peuvent créer des commissions d’enquête et avoir le plaisir de convoquer des grands patrons pour répondre à leurs questions. Ils peuvent œuvrer pour voter des lois et des impôts et taxes afin de piocher légalement dans la poche des contribuables pour subventionner des énergies dites " vertes " (éolien ou photovoltaïque notamment)… puisque c’est pour leur bien. Ils peuvent ainsi déguiser un impôt (de plusieurs milliards d’euros) en taxe appelée CSPE[1] dans la facture d’électricité des consommateurs.
Des opportunistes (écologistes ou non) ont habilement utilisé la loi pour s’enrichir sur le dos des contribuables. Ainsi, une des plus grosses fortunes de France s’est construite en revendant la société "verte" SIIF[2], fondée en 1990 pour le déploiement de l’éolien et du solaire à "EDF-Énergie nouvelle" pour 600 millions d’euros.
Certaines associations " écologistes " ont un budget conséquent qui permet d’employer jusqu’à 70 salariés à Paris avec un budget annuel de 15 millions d’euros.
Finalement, être écolo, c’est rigolo, c’est facile, et ça peut rapporter gros.
1) La contribution au service public de l’électricité (CSPE) est un impôt sur la facture des consommateurs d’électricité. Son montant en augmentation rapide a représenté 1,94 Md € en 2010, 2,88 Mds € en 2011, 3,6 Mds € en 2012, 5,1 Mds € en 2013 et 6,5 Mds € en 2014. ↩
2) Société Internationale d’Investissements Financiers. ↩
Contrepoint.org
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Greenpeace International
Greenpeace France
Page - 5 novembre, 2009
Greenpeace compte près de trois millions d'adhérents et emploie 2 400 salariés à travers le monde.
Le budget total de Greenpeace était de 293 millions d'euros en 2013
Greenpeace International
Le siège de Greenpeace International est situé à Amsterdam, aux Pays-Bas. 188 personnes y travaillent.
Leur rôle est de coordonner le travail des différents bureaux nationaux et régionaux.
Cela signifie assurer :
- la concertation dans l'élaboration des campagnes
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Greenpeace France
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