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Hommes - Page 95

  • Pour ceux et celles qui ont un QI de betterave (pardon, ... le bac): concentré de grande intelligence


    Le projet de loi pour la croissance, l'activité... par gouvernementFR

     

     Bon, si vous n'avez pas compris du tout, je vous plains et je ne peux plus rien pour vous!

     

     

  • Pendant ce temps la, la farce gauchiasse continue….

    Du don du sang à l’hémorragie législative

    Le 3 avril dernier, l’Assemblée nationale a adopté l’amendement contre l’exclusion des homosexuels du don du sang. Que faut-il en penser?

    Par Nafy-Nathalie D.

    Depuis le 20 juin 1983, date de la circulaire relative à la prévention de la transmission du sida lors des transfusions sanguines, qui interdit aux populations à risques, à savoir les homosexuels ou les bisexuels avec partenaires multiples, de donner leur sang, la situation n’a pas beaucoup évolué en France.

    Grosso modo, pour avoir le droit de donner votre sang, il vous faut au préalable remplir certains critères qui seront évalués à l’aide d’un questionnaire à remplir. Il est à noter que les réponses que vous faites ne sont ni vérifiées ni vérifiables. Elles permettent cependant d’éliminer du processus de don certaines groupes à risque, qui sont stigmatisés, plus que les donneurs avec des pratiques à risque qui eux sont le réel danger. Ainsi par exemple sont exclues les personnes, même végétariennes, qui ont vécu en Grande-Bretagne entre 1989 et 1996 (vache folle).

    François Hollande, alors candidat du Parti Socialiste, s’était engagé à autoriser les homosexuels à donner leur sang une fois devenu président. François l’a promis, les socialistes l’ont fait avec leur belle efficacité légendaire.

    Et, dans la soirée du 3 avril dernier, l’assemblée nationale a voté dans un bel élan d’unanimité (19 députés présents seulement) un amendement contre l’exclusion des homosexuels du don du sang.

    Cela fait les gros titres des journaux depuis le 4 avril au matin. Le Monde par exemple titre: “Les députés adoptent l’amendement contre l’exclusion des homosexuels du don du sang". Promesse de campagne réalisée, avancée pour le droit des homosexuels, me direz-vous? Non ! La proximité du 1er avril aidant, juste une énorme farce.

    Comment qualifier autrement l’adoption d’un amendement inapplicable du fait d’un problème de compétence puisque prendre cette décision résultait d’un arrêté et non d’une loi, ce que tous savaient?

    L’histoire de cette farce commence le 27 mars dernier au moment du dépôt de deux amendements sur l’ouverture du don du sang. Le Comité consultatif national d’éthique saisi par Madame Touraine a rendu son avis le 31 mars 2015 qui indique qu’il y a urgence à ne rien précipiter ou décider pour le moment. En effet, en raison d’“un manque de connaissances, lever la contre-indication pourrait entraîner une augmentation du risque de transmission du VIH pour le receveur". Il recommande de prendre des avis auprès d’experts sur le sujet.

    Les débats ont eu lieu le soir du 3 avril et par curiosité, je suis allée voir leur retranscription. Madame Touraine précise au début des débats que ces amendements proposés " n’apportent rien au droit, tel qu’il peut se décliner : aucune sécurité juridique (…) car tout relève du domaine réglementaire. "En gros notre ministre explique aux députés que l’important est de faire évoluer les questionnaires pour élargir la base des donneurs sans faire prendre de risques aux receveurs. Elle annonce qu’elle souhaite un débat national sur le sujet. Elle demande même le retrait des amendements, qui ne sont que de la poudre aux yeux, afin de ne pas devoir se trouver devant l’obligation d’y donner un avis défavorable pour des raisons juridiques. Selon elle, "l’enjeu essentiel, vous le savez, c’est que le questionnaire évolue : s’il n’évolue pas ou s’il est simplement indiqué une déclaration de principe, certains seront satisfaits mais, au fond, les choses n’auront pas changé".

    Un temps de suspension de séance de 5 minutes est accordé au bout duquel Madame la ministre reprend la parole. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais je le devine assez bien. En effet, rien n’est plus pareil. Elle ne s’oppose plus à rien dans un revirement assez surprenant allant jusqu’à indiquer que " la position du Gouvernement qui est bien évidemment favorable à ce que soient levées toutes les discriminations relatives à l’orientation sexuelle. C’est dans cet esprit qu’ont été engagées des concertations avec les différentes agences. Il s’agit de poser un critère de comportement sexuel qui ne concerne pas uniquement les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes mais qui s’applique par définition à l’ensemble des donneurs potentiels. Ma demande de retrait était de nature juridique. Dès lors que ces amendements ne sont pas retirés et qu’ils définissent une position de principe sans entrer dans le détail réglementaire du questionnaire, lequel relève du débat avec les agences sanitaires, je rends un avis favorable".

    Il semblerait que pour masquer l’incompétence des députés de l’UDI qui l’ont présenté, ne pas froisser les susceptibilités de groupes de pression, il ait été choisi en toute connaissance de cause de maintenir au vote un amendement stérile, de l’adopter et de se vanter de l’avoir fait avec une belle unanimité. Le citoyen est encore pris pour un idiot.

    Cette frénésie de légiférer sur tout, de travailler dans l’urgence, sous l’œil des caméras, est une vraie maladie du gouvernement et de l’assemblée actuels. On ne prend plus le temps de proposer une loi qui tienne la route, qui ait fait l’objet de consultation préalable auprès d’experts et d’une bonne réflexion. L’essentiel est de faire vite et tant pis si l’on propose n’importe quoi au vote. Les textes sont inapplicables, de plus en plus longs et de plus en plus nombreux. Les lois deviennent non seulement complexes mais obscures. Et sans complexe des lois défont ce que d’autres viennent de faire. La loi Duflot remaniée en Pinel en est une belle illustration. L’essentiel est de travailler pour sa postérité, de laisser son nom sur un texte. Aucun domaine n’est épargné. Ce que nous mangeons, buvons, fumons ou pas… même notre mort et le devenir de nos organes. Tout est contrôlé par la loi et notre démocratie vire au totalitarisme à peine voilé.

    Il n’y a qu’à voir l’évolution de l’épaisseur du journal officiel. De 15 000 pages par an dans les années 1980, il est passé à plus de 23 000 pages annuelles ces dernières années. Le Recueil des lois de l’Assemblée nationale passait de 433 pages en 1973 à 2 400 pages en 2003 et 3 721 pages en 2004. Je n’ose même pas regarder ce qu’il est devenu aujourd’hui.

    Selon la formule du constitutionnaliste Guy Carcassonne, " tout sujet d’un " vingt heures " est virtuellement une loi ". Il ajoute qu’" il faut mais il suffit, qu’il soit suffisamment excitant, qu’il s’agisse d’exciter la compassion, la passion, ou l’indignation, pour qu’instantanément se mette à l’œuvre un processus, tantôt dans les rangs gouvernementaux, tantôt dans les rangs parlementaires, qui va immanquablement aboutir au dépôt d’un projet ou d’une proposition".

    contrepoint.org

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  • FAITES PASSER CETTE ESCROQUERIE PAR TOUS LES RESEAUX SOCIAUX

    ... merci: suis pas cador dans les communautés du net....

    Je ne résiste pas à taper cette note que j'ai lu dans le magazine télé (que j'ai eu entre les mains par hasard, parce que hein, les écrits de la gauchiasse, ça m'insupporte)! Il s'agit d'une note intitulée

    “Envoie: BETISE“

    écrite par Claude Soula dans la rubrique Bruit des Médias.

    Comme elle correspondait pour une fois, par hasard, et très exactement à ce que je pense depuis que ces chaînes TNT de petite envergure existent, je ne peux pas faire autrement que de vous la poser ici.

    D'ailleurs, toutes ces pubs merdiques bouzillent notre profession qui, malgré des tas de brebis galeuses, n'est pas aussi nulle qu'il s'écrit ou se dit; je n'en veux pour preuve que je suis consultée par des tas de journalistes et autres animateurs qui, sous prétexte de savoir quand on retrouvera la mémé disparue ou qui a tué machin, en profite pour savoir ce qui va leur arriver... comme tous les gens à qui je dis ma profession.

    Demandez aux médecins, vétos, infirmières: toujours on leur demande une consultation gratuite dès qu'ils évoquent leur profession!

     

    N'oubliez pas de me remercier d'avoir pris le temps de la taper!!!!

    “Parfois, on pousse une porte et on sent qu'on n'est pas le bienvenu. C'est la même chose à la télé. On tombe une fin d'après-midi sur le “Starmix“, émission musicale de D17 et, on se demande bien ce qu'on fait là. C'est d'abord l'animatrice qui nous fait penser ça: son travail consiste essentiellement à pousser ses auditeurs à envoyer des messages, surtaxés, qui auront l'insigne honneur de passer à l'écran.

    A l'époque des tweets gratuits, ce n'est pas très gentil pour les ados qui regardent.

    Mais passons.

    C'est pendant le tunnel publicitaire qu'on se dit que, vraiment, on n'a rien à faire là.

    En fait, certaines de ces pubs mettent carrément mal à l'aise.

    Il y a d'abord celle qui nous dit: “envoie QUAND au 73636 et tu sauras quand tu rencontrera le grand amour“. Bon. C'est complètement idio, mais après tout, depuis toujours des humains vont voir des diseuses de bonne aventure en posant la même question….

    Alors, pourquoi des SMS surtaxés? Dans le même genre on a droit ensuite à: envoyer le mot “amour“ pour savoir si on est toujours aimé… ou le mot “ex“ pour savoir si l'ex pense encore à nous. Avec “quitter“ on saura s'il faut plaquer son mec. En envoyant “bébé“ on saura si on aura un bébé… et là, on imagine la pauvre gamine de 14 ans qui se rêve déjà mère de famille pour échapper à son ennui et ses problèmes.

    Tout ça m'a rendu plus que perplexe. Je ne suis pas le premier. J'ai découvert que monsieur Patrice BALKANY avait déposé un projet de loi pour bloquer 'l'envoi de ces SMS absurdes (et fort chers;) comme quoi, monsieur BALKANY n'a pas que des mauvais côtés.

    Car, tout de même, est-il bien normal que le groupe Vivendi, propriétaire de D17 et, déjà, riche à milliards, s'enrichisse un peu plus, en vendant ainsi des pubs qui parient sur la bêtise humaine?

    Bo, bien sûr, la aussi, il y a débat: on peut se dire que les ados qui dépense ainsi leur argent de poche ne sont pas dupes. Ils s'amusent.

    Ou pas

    Peut-être y croient-ils aussi. Cela reste une publicité pour un produit mensonger qui exploite la faiblesse. Oui, d'accord, il y en a d'autres. Des tas d'autres.

    Mais, cela semble encore pire quand on vise des ados ou des moins affutés intellectuellement. Il est difficile de protéger les plus fragiles d'entre nous de tous les mensonges de la société.

    Il faut apprendre à chacun à surmonter ces pièges;

    Mais, si le CSA interdisait, quand même, ces pubs mensongères, ou si une des bonnes âmes du groupe Vivendi ou de ses filiales Canal+ et D17 faisait le tout petit effort financier d'éviter ça aux gosses et bien, ce serait déjà un tout petit progrès.

    Même Monsieur Patrick Balkany s'en est aperçu….

    alors, qu'attendent donc Vincent Bolloré, Bertrand Meheut et Rodolphe Belmet, les patrons de D17?