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Gens - Page 123

  • Peillon appelle à la haine contre les juifs en comparant le sort des musulmans français sous Vichy

    Je n'ai pas encore fait le portrait du zoo politique, mais, déjà, vous en avez une avance!

    Il est des leurs: il fait le con comme les autres socialopes!

    Peillon a dressé un parallèle entre l’antisémitisme et l’islamophobie, Peillon accuse le Front national d’instrumentaliser la laïcité " contre certaines catégories de population " comme " il y a 40 ans les juifs à qui on mettait des étoiles jaunes "

    Jamais la dhimmitude, le mensonge, le clientélisme, mais également l’appel à la haine n’auront atteint ces limites.

    Peillon a-t-il seulement conscience de la monstruosité de cette comparaison ?

    Monstruosité car les juifs étaient officiellement désignés comme les ennemis de la nation, là où les musulmans français sont, bien au contraire choyés par les différents partis de gauche mais aussi de droite, à tel point que toute forme de remise en question de ce favoritisme est aujourd’hui sanctionné et puni par la justice au titre de discrimination, racisme ou incitation à la haine…’

    Monstruosité car faire ce rapprochement c’est simplement nier la souffrance, la spoliation et l’extermination de masse des juifs, de manière parfaitement officielle et revendiquée dans le cadre de la collaboration, sous Pétain.

    Monstruosité car le FN, complètement débarrassé de son passé sulfureux où sévissait le négationnisme, est aujourd’hui le seul parti à défendre les juifs, sans aucune ambiguïté.

    Monstruosité car tout le monde sait que l’antisémitisme le plus virulent et assassin vient principalement de membres de la communauté arabo-musulmane, comme ont pu l’affirmer et Jakubovicz président de la Licra et Prasquier Président du Crif.

    Monstruosité enfin car en faisant ce parallèle, Peillon cherche à diaboliser davantage le FN en le comparant au régime de Vichy et en faisant passer aujourd’hui les adeptes de l’islam pour les victimes quand on sait que c’est bien l’islam qui aujourd’hui pose problème en se montrant toujours plus vindicatif, agressif, hégémonique, en cherchant à imposer la charia partout par le régime de la terreur, et que seul le FN ose le clamer haut et fort.

    Peillon réussit ici une double ignominie: faire passer les bourreaux pour des victimes mais faire passer également les résistants pour des assassins.

    L’affiche rouge est encore aujourd’hui parfaitement adaptée au contexte.

    Les méthodes de Peillon ne constituent ni plus ni moins qu’un appel à la haine envers les juifs, digne des plus sombres méthodes de la propagande allemande du troisième Reich.

    Peillon n’ignore rien des prolongement en France du conflit israélo-palestinien et de la haine historique des musulmans envers cette communauté.

    En faisant le parallèle entre les juifs et les musulmans, Peillon ne fait que victimiser davantage les musulmans. Et c’est son but.

    Comme si toutes les nombreuses associations antiracistes qui nient le racisme antiblanc et ne défendent plus, dans la plupart des cas que cette seule communauté musulmane, n’attisaient pas suffisamment le racisme de cette communauté envers les Français de souche, envers la communauté juive, envers tout ce qui n’est pas musulman.

    Même le CRIF, pourtant islamo-tolérant, c’est le moins que l’on puisse dire, demande un " correctif immédiat "

    "Le Conseil représentatif des institutions juives de France( CRIF) a publié un communiqué pour dénoncer ces propos. "Le Crif dénonce la comparaison faite hier lors de son intervention sur France 2 par Vincent Peillon entre le sort des Juifs sous l’Occupation et la situation actuelle des musulmans de France.L’histoire de la déportation de plus de 75 000 Juifs, de la spoliation des biens juifs ou des lois discriminatoires comme le port de l’étoile jaune ne saurait être dévoyée et instrumentalisée au nom d’un soi-disant équilibre des souffrances. De telles déclarations ne servent que ceux qui cherchent à réécrire l’Histoire."

    L’institution juive demande "une clarification et un correctif immédiat de la part de Vincent Peillon".

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2017/01/04/25002-20170104ARTFIG00059-peillon-compare-le-sort-des-musulmans-francais-a-celui-des-juifs-sous-vichy.php

     

    Commentaires sous ce texte, là où j'ai lu cet article:

    Pour les Français du sud, (l'Occitanie, quoi! et aussi tous les Toulousains –NDLR) une "peille" c’est un chiffon, une saleté quelconque. Pire qu'une serpillère dégueu....

    Et un "peillon", donc, rien qu’un petit chiffon, un tas informe sur lequel on n’ose même pas s’essuyer les pieds.

    Et pour tous les Français, Peillon rime avec "pauvre con". Vous me direz:que ça fait une rime pauvre, mais justement: qu’attendre de mieux d’un Peillon ?

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    C’est curieux car lorsqu’on se penche avec un minimum d’esprit critique sur la période nazi en Allemagne on s’aperçoit que dans la fin des années 20 au début des années 30 :

    – les nazis occupaient la rue et étaient à l’origine de nombreuse violences urbaines

    – les nazis se distinguaient du reste de la population par une tenue ostensiblement différente

    – tous leur programme (espace vitale, politique anti juive etc …) était écrit dans un ouvrage largement diffusé dans leurs rangs,

    – les nazis avaient un commun un salut facilement identifiable et visible de loin qui leur permettait de s’identifier immédiatement en tant que tel,

    – les nazis agressaient les juifs.

    Maintenant je vous laisse réfléchir sur qui, depuis 40 ans, sont à l’origine des violences urbaines, portent volontairement des tenues prosélytes dans l’espace publique, font référence systématiquement à un livre ou a un vieux bédouin, se salut en se frappant le cœur de la main droite, tuent des petits juifs dans les écoles ou dans les magasins cashers ?

    Donc oui, il y a bien une comparaison possible avec les années 30 mais ce n’est pas du tout celle à laquelle pense Peillon.

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    Niemöller (Martin)

    Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas communiste.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas juif.

    Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas catholique.

    Quand ils sont venus chercher les francs-maçons, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas franc-maçon.

    Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.

     

    Lui, il vous les indique les collabos!

    Un jour, ils seront obligés de rendre des comptes au vrai peuple de France!

     

    https://youtu.be/x8NJo3_jSLs

     

     

  • Qui vous avais averti en juin?

    Grippe: inquiétudes après la mort d'une adolescente en Ardèche

    Trente-six heures après avoir consulté à l'hôpital, une jeune fille de 13 ans est décédée à son domicile en Ardèche. Les médecins appellent à la prévention alors que l'épidémie bat son plein.

    C'est un petit village, dans les montagnes de l'Ardèche, qui est sous le choc. A Gluiras, une adolescente de 13 ans est décédée à son domicile, dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Trente-six heures plus tôt, la jeune fille s'était rendue aux urgences de l'hôpital de Valence (Drôme), situé à une heure de chez elle, pour consulter pour une grippe. " L'hospitalisation n'a pas été jugée nécessaire car elle ne présentait pas de signes graves ", relève l'Agence régionale de santé (ARS). Le lendemain, les pompiers et le Samu, venus à son chevet, ont tenté de la réanimer, en vain.

    L'absence d'analyses effectuées fait que l'ARS ne pouvait pas hier confirmer ou infirmer que le décès était lié au virus.

     Un flou (la grippe n'est pas une maladie à déclaration obligatoire) qui inquiète, jusqu'au député de l'Ardèche, Pascal Terrasse (PS) : " Si la mort dramatique de cette jeune fille est liée à la grippe, il est urgent de le savoir et de comprendre pour faire de la prévention. "

     Car celui qui fut longtemps chargé au Parti socialiste des questions de santé le souligne : "La grippe est un virus qui se transmet, notamment en se faisant la bise. Dans ces périodes d'embrassades de bonne année, il faut prendre des précautions. Ce n'est pas une maladie à prendre à la légère. "

    L'Institut de veille sanitaire (InVS) confirme -- sans émettre de diagnostic pour l'adolescente -- qu'un " décès à 13 ans à cause de la grippe peut arriver, mais cela est tout à fait exceptionnel ". Le dernier bulletin officiel sur le virus le montre : les 65 ans et plus sont les personnes ultra majoritairement victimes de cas graves. L'avant-dernière semaine de décembre, moins de 1 % de ces cas concernaient les 5-14 ans.

    Les consultations explosent

    En vingt-neuf ans de terrain, le docteur Serge Smadja, secrétaire général de SOS Médecins, n'a eu qu'une seule fois affaire à une " grippe maligne ". " C'est une forme de la maladie qui touche les sujets jeunes sans que l'on comprenne pourquoi. Une détresse respiratoire se crée et le système immunitaire est rapidement atteint, torpillant la personne sans que nous ayons vraiment d'explication", indique-t-il.

    A SOS Médecins, le nombre de consultations pour des grippes ne cesse d'augmenter pour toutes les tranches d'âge, et il explose pour les plus de 75 ans (+ 132 %). " Nous sommes dans une période tendue, avec une activité débordante alors que l'épidémie n'a pas atteint son pic", reprend le médecin.

    Si la grippe H3N2 qui sévit en ce moment touche particulièrement les personnes âgées, elle a pour particularité d'être très virulente. "Elle a une forme invalidante, cloue au lit de nombreuses personnes", note Serge Smadja, qui insiste: il faut se couvrir la bouche lorsque l'on tousse et se laver régulièrement les mains avec du savon.

    Le Parisien

    IMPORTANT A FAIRE

    Il faut tousser et éternuer dans sa manche.

    Il ne faut plus se faire la bise et se serrer la main

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/06/15/attention-grippe-de-cet-hiver-dangereuse-en-france-5815352.html

  • Fantômes dans votre maison? Que faire….

    Les histoires de fantômes, on les raconte partout et à toute les époques.

     Même aujourd'hui, chacun d'entre nous en connaît au moins une que ce soit l'histoire d'une jeune femme assassinée au Moyen-Âge qui retourne régulièrement sur les lieux du crime ou celle d'un vieux duc qui rôde dans son ancien palais sans pouvoir retrouver la paix.

     

     La suite dans le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

     

     

     

  • Démentiel et triste à en pleurer!...

    Communiqué truffé de fautes : sait-on parler français à l'Elysée ?

    FIGAROVOX/HUMEUR - Christian Combaz trouvait déjà que les talents d'improvisation verbale de François Hollande étaient assez douteux. Cette fois, il s'insurge contre la pauvreté et l'incorrection des écrits élyséens même (et surtout) après transcription par son équipe.

    Christian Combaz est écrivain et essayiste, auteur des Gens de Campagnol (Flammarion). Son prochain livre, Les Ames douces, paraît ces jours-ci aux éditions Télémaque. Lire également ses chroniques sur son blog.

    François Hollande ne nous a pas habitués jusqu'ici à une expression particulièrement déliée ni toujours très correcte, mais le communiqué de presse écrit, envoyé à tous les journaux, relatif aux réfugiés de Syrie entrera certainement dans l'histoire. En tout cas je me flatte d'y contribuer. Morceaux choisis et commentés (en italique).

    “Palais de l'Elysée

    Mesdames, messieurs(sic, sans majuscule), j'ai reçu - et c'était la troisième fois - le Premier ministre d'Irlande Enda Kenny, avec lequel j'ai noué des relations d'amitié, avec des participations au Conseil européen qui nous ont rapprochés sur les grandes questions. Nos deux pays sont liés par l'histoire, et à chaque fois qu'il y a eu des épreuves, l'Irlande et la France ce sont toujours retrouvés. Irlande et France au féminin, donc retrouvées.

    [...]

    Aujourd'hui il y a une épreuve, celle du drame des réfugiés. Une image fait le tour du monde. Elle suscite une émotion, elle est partagée. Un enfant qui est retrouvé noyé sur une plage en Turquie parce que sa famille voulait rejoindre la Grèce et donc l'Europe. C'est une tragédie, mais c'est aussi une interpellation à l'égard de la conscience européenne. (Ou le Président vient de lire Christine Angot, ou il essaie d'imiter le relâchement général pour se rapprocher du peuple, ce qui est un mauvais calcul parce que même le plus obscur conseiller municipal d'un village de cent habitants aurait écrit "nous sommes témoins d'une situation qui nous serre le cœur" et non "il y a une épreuve". Quant à une "interpellation à l'égard de", c'est une autre langue que le français.)

    [...]

    Certaines [familles] ont été accueillies dans les pays voisins qui souffrent eux même.(Sic)

    [...]

    J'ai également appelé le Président turc ERDOGAN puisque c'est là que c'est passé le drame. (Sic) Ce drame, c'est aussi celui qui peut se produire, encore au moment où je parle, où des familles cherchent à traverser. (Traverser quoi? Où? "Qui peut se produire" n'appelle donc aucun complément?)

    [...]

    Et j'ai eu avec la chancelière MERKEL depuis déjà plusieurs jours, la volonté de prendre une initiative. (Observons que le président n'a pas pris une initiative, il en a eu la volonté, et depuis plusieurs jours, donc c'est du sérieux). Cette initiative consiste à saisir le Président de la Commission Européenne, le Président du Conseil européen, tous nos partenaires, pour que nous puissions mettre en œuvre une politique d'immigration et d'accueil qui soit digne de ce que nous représentons lorsqu'il s'agit de personnes qui n'ont pas vocation à venir ici et qui soit humaine pour que les réfugiés puissent être, dans la mesure du possible, lorsqu'il n'ont pas d'autre issue, accueillis en Europe. (Voilà une phrase qui restera dans les annales de la vie publique française et servira sans doute à illustrer la confusion d'esprit qui règne en ce moment à l'Elysée, et qui répond à la terreur de devoir dire quelque chose de ferme et de précis devant une situation qui vous dépasse totalement.)

    [...]

    Je ne voudrais pas que l'on en reste simplement au registre de l'émotion que nous avons d'un enfant de trois ans, son frère à peine plus âgé et puis d'autres familles, celles que nous ne voyons pas. (Au registre de l'émotion que nous avons? Encore bravo. La France de nos pères nous regarde mais, Dieu merci! elle ne nous entend pas.)

     

    [...]

    L'Irlande a montré qu'en quelques années elle était capable, alors qu'elle était ce qu'on appelait "sous programme" de connaitre maintenant une croissance et une stabilité. (Pas de tiret, pas d'explication sur ce qu'est le "sous-programme", pas d'accent à "connaître")

    [...]

    Nous avons aussi nos deux pays, sur le plan culturel, une volonté commune d'échanger des étudiants (Belle marquise, d'amour vos yeux mourir me font).

    [...]

    Enfin nous avons abordé trois sujets, je ne serais pas plus long. (Serai, au futur et non au conditionnel)

     [...]

    J'aurais (idem) l'occasion de m'en entretenir d'ailleurs avec David Cameron.

    [...]

    Il est donc tout à fait nécessaire d'avoir un mécanisme qui puisse prendre la situation de chaque pays européen et de voir ce qu'il est possible de réserver comme accueil dans ce pays-là, en fonction de ses caractéristiques. (Le président veut sans doute dire "analyser" la situation et non la "prendre", mais que vaut un discours où il est nécessaire d'imaginer, sans cesse, ce que l'orateur veut dire?)

    [...]

    Enfin, nous avons la responsabilité de régler la question syrienne, et je peux le dire d'autant plus facilement que la France a été toujours à l'initiative. Nous avons la responsabilité de faire en sorte qu'une solution politique puisse être trouvée (Outre la présomption qui consiste à vouloir régler la question syrienne, toujours le style passif de la Présidence, qui consiste à réunir les conditions de l'action sans s'y mêler vraiment. Le lecteur observera qu'il y a dans cette phrase un empilement de trois passivités façon grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf: on jouit d'abord d'un état de responsabilité, en somme on est content d'être aux affaires, mais pour faire quoi? Pour "faire en sorte" qu'une solution "puisse" être trouvée.)

    [...]

    Nous n'avons pas simplement à tenir des discours, nous avons à prendre des décisions, etc.

    (Surtout, pour être franc, des discours comme ceux-là. Le Président nous dit en somme que rien ne vaut les actes, ce qui est sage quand on s'exprime comme cela, mais en politique la parole est un acte aussi, et là, il s'agit en permanence d'un acte manqué.)

    En conclusion on peut s'interroger sur la qualité (ou l'intention) de ceux qui ont à relire ce genre de prose avant de l'envoyer. Ou ils sont carrément nuls, ce qui est une éventualité, ou ils font exprès de laisser passer des bourdes pareilles sans la moindre remise en forme pour accabler leur patron. En ce sens on pourrait parler de véritable coup d'état linguistique, ce qui serait une première.

    Christian Combaz

    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/09/04/31001-20150904ARTFIG00272-communique-truffe-de-fautes-sait-on-parler-francais-a-l-elysee.php

    NDLRédactrice: j'ai mis l'url pour que vous lisiez que ce c'est pas un hoax!

  • Les plus belles perles entendues au tribunal (Nice)

    Du "Madame votre majesté la juge" au "garde à vous de 48 heures": les paroles décalées prononcées par les prévenus, avocats et juges lors des audiences interpellent. A vous de juger...

    "Je ne veux pas retourner en prison. La dernière fois que j'y suis allé, c'était il y a dix ans et je n'ai plus l'habitude moi!"

    Passé (dé)composé

    à la présidente: "Mais c'est mon passé qui me rattrape. J'ai commis des erreurs de jeunesse!

    - C'est un passé très récent alors, puisque la dernière fois, c'était ce week-end."

    À l'heure de l'apéro...

    Le prévenu à la présidente:

    - Je suis apérologue.

    - C'est-à-dire?

    - Tous les jours, à partir de 18 heures, je fais l'apéro."

    Coup de mou

    "Notez que j'ai éliminé l'alcool dur."

    Avant d'être interpellé, cet homme de 49 ans avait consommé huit bières et une bouteille de vin dans la soirée.

    Le parquet grince

    Au coin.

    Le procureur à propos de voleurs qui ont écoulé le fruit de leurs larcins sur le site Leboncoin: "Nous allons également leur trouver un bon coin. Ce sera la prison de La Farlède."

    Mauvais aiguillage.

    "Les agents de la SNCF n'ont pas toujours des nerfs en acier, même s'ils passent leur vie sur les rails. Et quand bien même les agents de la SNCF ont des nerfs en acier, au bout d'un moment, ils rouillent." Le ministère public sur la voie (judiciaire) de violences subies par un contrôleur de train.

    Bouche cousue.

    "Il y a des sottises bien habillées comme il y a des sots très bien vêtus." Le parquetier philosophe.

    Fermez-la.

    Un mari violent, déjà condamné à trois reprises pour des coups portés à sa femme: "Je l'aime. On vit en osmose. Je garde la porte ouverte à notre relation.

    - La porte ouverte, c'est celle des geôles de la prison", résume le représentant du parquet.

    Classé X

    Le parquetier fait remarquer à un exhibitionniste qu'il se masturbait allongé par terre dans un jardin. L'homme rétorque: "Je ne fais pas cela par plaisir!"

    Contorsion. L'avocat d'un exhibitionniste: "Je demande au tribunal de faire preuve de souplesse".

    CQFD.

    Le procureur: "Il a un casier judiciaire fleuri. Il dit ne plus avoir commis de faits délictueux depuis trois ans. Il faut dire que depuis trois ans, il était en... prison."

    Un dernier mot?

    Un verre ça va... La femme à son ex-mari jugé pour des violences conjugales: "C'est vrai, tu ne bois pas tous les jours. Tu bois toute la journée!"

    Promis, juré... oublié.

     "J'ai compris cette fois-ci. Promis, vous ne m'y reprendrez plus. Je jure que j'arrête." Une conductrice arrêtée ivre au volant de son véhicule à Toulon, déjà condamnée quatre fois pour des faits similaires.

    Un mis en cause indécis.

    Oui mais non. "Je reconnais mais pas vraiment."

    Animal.

    Quelque chose à dire avant de redescendre dans les geôles? "Oui. Mon chat est seul depuis cinq jours."

     

    Coup de balai. De la présidente du tribunal à la prévenue:

    - Exercez-vous une activité professionnelle?

    - Je dois passer un CAP ménage."

    Ça ne vole pas haut. à la voleuse de vêtements qui invoque l'état de nécessité:

    - J'étais désespérée. C'était un moyen de survivre.

    - Si vous avez des besoins vitaux majeurs, c'est mieux la nourriture que les jeans et les manteaux."

    Parce que Toulon.

    Le président à un homme interdit de séjour à Toulon: "Vous aimez beaucoup Toulon, mais Toulon ne vous aime pas."

    Pour le meilleur et le pire.

    Le magistrat à un prévenu cleptomane dont le casier judiciaire est noirci de treize condamnations:

    "Et vous allez faire quoi maintenant?

    - J'envisage de me marier avec mon petit ami.

    - Mais je vous parle de votre tendance à voler et à récidiver moi!"

    La déclaration.

    La présidente à un homme jugé pour trafic de stupéfiants: "Vous cumulez les aides sociales et les ventes de stups. Vous avez pensé à déclarer vos revenus de la drogue à la CAF?"

    La publicité.

    Deux hommes sont jugés pour un vol à la roulotte. La victime demande réparation pour le bris de vitre. "Ah oui! Et puis il y Carglass répare, Carglass remplace", glisse le président.

    Vous êtes prévenus

    Le prénom.

    Face aux juges, le prévenu indique son mariage imminent avec une mademoiselle Elisabeth. La présidente l'interroge sur le nom de famille de sa dulcinée. "Je ne le connais pas." La procureure intervient.

    "Pas plus que le prénom de votre petite amie puisque - si je peux me permettre - elle ne s'appelle pas Elisabeth mais Isabelle."

    Non mais allô!

    Un voleur de téléphone portable indique le mobile de son méfait. "Je voulais juste contacter Pôle emploi."

    Police de la mode.

    Lecture du procès-verbal de police mentionnant le fait que l'individu, auteur du délit, portait une veste claire avec un effet cuir.

    Intervention: "Je suis mort de rire. C'est quoi cette histoire d'effet cuir?"

    Cœur sur la main. Le prévenu: "Je suis prêt à rembourser la victime même si ce n'est pas moi!"

    Il a tenté.

    Ivre, il grille un feu, percute un véhicule, s'enfuit et se présente au commissariat, situé à quelques centaines de mètres. "Je suis allé déclarer le vol de ma voiture."

    Moi Lolita.

    La prévenue lance au magistrat: "Je suis une adulte mais je ne suis qu'une enfant.

    Parole à la défense: " Elle a 20 ans et elle est enceinte.

    La vérité s'il ment.

     "Le client teste toujours son mensonge avec la première personne qu'il rencontre: son avocat." L'avocat de la défense lors de sa plaidoirie.

    Stupéfiant!

    L'avocat de la défense: "En 2016, à Toulon, on place un garçon de 18 ans pour 6 grammes de stups. On n'a plus qu'à enfermer toute la jeunesse!"

    Les bornes des limites.

    L'avocat à propos de son client: "Celui-ci est un con. Il faut le dire et il ne m'en voudra pas. La connerie, ça existe et je ne pense pas que cela soit condamnable."

    Biblique.

    L'avocat d'un homme cité pour apologie du terrorisme: "Qui juge-t-on? Quelqu'un de dangereux ou un imbécile? Celui-ci est un ado attardé de 28 ans! Il s'appelle Joseph et son fils s'appelle Jésus."

    Shit dans le slip: "Ce n'est pas à moi"

    En août dernier, un Toulonnais âgé de 20 ans est arrêté avec, à portée de main, dans un buisson, 31g de résine de cannabis, ainsi que 24g de cannabis dissimulés à proximité de ses parties intimes. A propos de la drogue retrouvée dans son slip, il maintiendra: "Ce n'est pas moi."

    Présenté en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, il a été condamné à six mois de prison ferme.

    Cachottier jusqu'au bout, le jeune homme n'avait toutefois pas tout livré....

    Alors qu'il se trouvait dans les geôles du palais de justice, il a été retrouvé en possession de quelques grammes de cannabis qu'il avait pris le soin de dissimuler, cette fois-ci, dans son anatomie. Une sorte de Gérard Majax des stups.

     

     

     

  • Bonne année à la France, aux Français et à l'art de vivre à la Française!

    Bonne santé

    Bonne vitalité

    Bonne humeur

    et touti quanti!

    Vive la vie, vive la bonne bouffe, vive le saucisson, vive le cassoulet, vive notre pinard!

    Vive Noël (même si je ne crois pas en Dieu ni au Diable)!

    Vive la FRANCE! Vive les Français et

    MERDE a ceux qui nous veulent du mal pour notre façon de penser, de parler, de vivre, de profiter de la vie, de prier ou de ne pas prier

    Que la bête meure!

  • Un bébé se développe avec les jambes en dehors de l’utérus

    Une patiente a subi une grossesse rare : les jambes de son bébé sortaient de son utérus. Un cas rare, publié dans le New England Journal of Medicine

    Sur le scanner, on l’aperçoit : une paire de jambes qui dépasse de l’utérus. Le cas est très rare, et tout autant impressionnant. Le New England Journal of Medine se fait l’écho de cette grossesse peu ordinaire, prise en charge au CHU d’Angers et commentée par le médecin dans les colonnes du Washington Post.

    Rupture utérine

    Contrairement à ce qu’on pourrait penser, " un coup de pied mal placé n’est pas responsable ", explique le Dr Pierre-Emmanuel Bouet au journal américain. Passée la surprise de l’IRM, l’équipe a en effet compris que la paroi utérine de la mère n’avait pas réussi à recouvrir complètement le fœtus. Cela est dû à l’historique de cette patiente qui avait subi cinq césariennes et dont l’utérus avait conservé une certaine forme de rigidité.

    (The New England Journal of Medicine)

    Au gré de la grossesse, cette rigidité a provoqué une déchirure de la paroi utérine, désignée sur l’IRM par des flèches. Le cas est très rare, c’est le 27e de l’histoire de la gynécologie obstétrique.

    Effet "bouchon"

    Autre fait inhabituel : la patiente est restée asymptomatique, alors que les femmes qui subissent des ruptures utérines ressentent des douleurs intenses en raison de saignements internes.

    Mais " la hernie ombilicale a comprimé les bords de la déchirure utérine, et a eu un effet hémostatique " précise encore le médecin. En plus de cela, les jambes du fœtus ont " bouché " la déchirure, ce qui explique qu’il n’y ait pas eu de pertes sanguines.

    Le bébé, né par césarienne et prématuré, se porte aujourd’hui très bien.

     

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