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Gens - Page 121

  • Macron: roi du pipeau

    Hollande et Macron ont fait passer la dette de la France de 1700 à 2300 milliards….

    A 23h 40 hier la Dette nationale s’élevait à – 2300 milliards 862 millions 050 000,00 € – et nous plombait individuellement de 35.081,68€ chacun. Nous nous endettions en dormant. Le compteur du temps de Sarkozy était parti en flèche jusqu’à frôler le 1700 milliards… Normal Ier a donc fait monter le schmilblic de plus de 600 milliards et il reste encore 3 mois et demi pendant lesquels, dans une frénétique ultime générosité il finira d’affoler le compteur.

    N’oubliez jamais que Macron a été conseiller de Hollande pendant deux ans et ministre de l’économie près de 2 ans aussi….

    Macron a rendu les règles d’obtention des marchés publics inapplicables et invérifiables

    Un passage de l’interview d’Emmanuel Crenne, élu frontiste, par Pierre Cassen, m’a interpellée:

    Les conseils régionaux sont des mastodontes dont les frais de fonctionnement sont extrêmement élevés, qui sont peu efficaces et peu visibles. Ils sont opaques et souvent utilisés à des fins clientélistes par les partis au pouvoir dans les régions. De plus la fusion entre le Languedoc Roussillon et Midi-Pyrénées, présentée initialement comme une façon de réduire les coûts de fonctionnement se révèle plus coûteuse que prévu.

    L’Europe utilise les régions pour affaiblir les Etats nation. La vision du Front National est qu’il faut une proximité entre les élus et leurs concitoyens. Nous croyons au triptyque Commune-Département-Etat et non pas à Communauté de Commune-Région-Union Européenne. La révolution avait détruit les régionalismes en créant les départements. La France a été gérée pendant 200 ans de cette façon et avec succès : nous voulons donc un retour vers un modèle qui a fait ses preuves, qui permettra une plus grande simplicité administrative et une plus grande transparence de gestion.

    C’est notre position et nous la défendons depuis des lustres.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/04/enfin-marine-propose-de-supprimer-les-regions/

    Oui, supprimer les régions, supprimer des étages du mille-feuille, qui ligote dans des textes incompréhensibles et imbuvables les petits maires, les petites communautés de communes qui n’ont pas à leur disposition des cabinets de juristes et de financiers capables de s’y retrouver et, surtout, capables de favoriser, sans en avoir l’air, les copains et les coquins.

    Textes incompréhensibles, imbuvables et orientés comme ceux pondus par Macron à Bercy, notamment que l’obtention de marchés publics.

    En mars 2016, Macron était à la tête de Bercy, et il a promulgué un décret transformant  les règles des marchés publics, devenues une incroyable usine à gaz. Et tout cela, une fois de plus, pour obéir à Bruxelles, à d’obscurs calculs – et manigances- électoralistes, et, surtout, aux règles imposées par la mondialisation, la mort des petites entreprises et le développement hyperbolique des multinationales, seules propres, avec de telles contraintes, à obtenir les marchés publics.

    En effet, ces règles nouvelles sont absolument impossibles à appliquer par les petites communes, quoi que veuille bien en dire la presse de propagande aux ordres :

    http://www.lagazettedescommunes.com/dossiers/nouvelle-reglementation-des-marches-publics/

    Un avocat, Maître Etienne Colson, a écrit un texte détaillant la complexité de la chose:

    Résumé des 5 exemples pris par Etienne Colson (si j’ai bien compris le vocabulaire très juridique et donc technique pour le profane…imaginez les maires des petites communes, obligés de se débrouiller touts seuls avec leurs adjoints, pas plus férus qu’eux en droit….)

    1 Quid du bail emphytéotique administratif qui pourra dorénavant être requalifié en Marché de Travaux Publics, bien que ne respectant pas la loi MOP (maîtrise d’ouvrages publics) originale…

    2 Quid de l’article 10 du décret du 25  mars 2016 qui propose aux édiles d’exiger  des candidats à l’obtention d’un marché public un label. Qui décerne les labels? A qui? Trafic d’influence? Quels labels seront exigés? Qui pourra juger de la pertinence d’un label par rapport à un autre?

    3 L’article 71 oblige à négocier les marchés mais…seulement dans la limite des 6 cas possibles prévus par l’article 25, cas qui ont pour obligation d’être innovants ou "sensiblement améliorés"…  Conditions drastiques dont le non respect entraînerait.. la nullité du marché public.

    4 La sous-traitance sera interdite… mais seulement pour les tâches que l’acheteur juge essentielles ! Sur quels critères? Quid de la contradiction avec la loi du  31 décembre 1975 qui établit la liberté absolue de sous-traiter?

    5 Quant aux modifications de marchés publics… une poule n’y retrouverait pas ses petits. 6 cas de modification, fort complexes, sont prévus.. : " s’agissant toujours de l’article 139 précité, les "modifications substantielles" sont de celles, apprend-on, qui "si elles avaient été incluses dans la procédure de passation initiale auraient attiré davantage d’opérateurs économiques ou permis l’admission d’autres opérateurs économiques ou permis le choix d’une offre autre que celle retenue"…Comprenne qui pourra.’

    Aux dernières nouvelles, il y aurait encore et toujours des élus socialistes qui abandonneraient Ben Oït Hamon (ce que l’on peut comprendre) pour suivre Macron ( ce qui est incompréhensible). Imaginez Macron, capable de pondre une usine à gaz comme celle-ci à Bercy aux manettes de tout l’Etat

    ____________________________________________________________________

    Excellent article de l’UPR sur l’escroquerie Emmanuel Macron aussi bien au niveau des diplômes que des chiffres qu’il annonce de manière assez hasardeuse comme le nombre des adhérents de son mouvement (100.000 selon lui et ses marcheurs !!!) voire les intellectuels décédés avec qui il discute…

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    En photo ci-dessus : Alors qu’il se rend à Montreuil (Seine Saint-Denis) le 6 juin 2016 pour célébrer le lancement d’un timbre pour le 80e anniversaire du Front Populaire, Macron est accueilli par les huées de la foule, qui lui lance des œufs, dont l’un s’écrase sur sa tempe gauche. Le service de protection est un instant débordé…

        === RAPPELS ===

    Selon le dictionnaire Larousse :

    – un " menteur " est une personne qui n’est pas ce qu’elle paraît être, qui n’est pas conforme à la vérité, qui induit en erreur.

    – un " affabulateur " est une personne qui transforme la réalité, qui construit des récits purement imaginaires, qui les présente comme étant la réalité.

    – un  mythomane" est une personne qui présente la tendance systématique, plus ou moins volontaire, à la fabulation et au mensonge.

    – un "escroc" est une personne qui commet l’action d’escroquer, de tromper la confiance de quelqu’un, en obtenant un bien ou un service au moyen de l’usage d’un faux nom, d’une fausse qualité, de l’abus d’une qualité ou de manœuvres frauduleuses.

    La démission d’Emmanuel Macron du gouvernement ce 30 août 2016 constitue une nouvelle étape dans la décrépitude et la nécrose finale de la scène politique française.

    L’affaire Macron a commencé par le signal lancé par Jacques Attali à la presse en février 2015, en leur assurant qu’Emmanuel Macron aurait "l’étoffe d’un président de la République".

    Peu importe que les prophéties de Jacques Attali se soient révélées fausses à 100% depuis des années sur tous les sujets, aussitôt, et comme par enchantement, tous les grands médias du pays (télévision, radio et presse écrite) se mirent à assurer la promotion phénoménale du prétendu prodige repéré par notre faux oracle.

    Alors que Macron vient de présenter sa démission du poste de ministre de l’Économie qu’il occupait depuis deux ans – et où son bilan est proprement nul, sinon catastrophique -, les mêmes grands médias font encore et toujours mousser ce monsieur en s’interrogeant doctement sur sa capacité à être élu président de la République en 2017, à 39 ans donc.

    C’est oublier un peu vite que Macron ne s’est jamais présenté une seule fois devant les électeurs, qu’il recevait des insultes et des œufs sur la tête dès qu’il sortait de son ministère, et qu’un bref récapitulatif de quelques événements et déclarations montrent que, derrière les coups d’encensoir que lui envoie la presse, cet homme camoufle en réalité une personnalité peu reluisante : menteur, affabulateur, arrogant, méprisant, mythomane et escroc.

    Examinons cela. Macron a affabulé quant à sa scolarité

    Début 2012, Macron laisse entendre à plusieurs journalistes qu’il était ancien élève de la prestigieuse École Normale Supérieure (ENS Ulm). En tout cas, il ne s’oppose pas et ne demande pas de démentis lorsque des articles biographiques le mentionne (par exemple Le Nouvel Observateur, 19 janvier 2012). Vérification faite, c’était faux. Il s’est présenté deux fois au concours et a raté les deux fois.

    Macron a menti sur ses travaux de philosophie

    Plusieurs versions circulent sur Internet quant à l’existence ou non d’une " thèse " philosophique que Macron aurait réalisée, de même que sur les relations qu’il aurait entretenues avec le philosophe Paul Ricœur (mort en 2005).

    S’il semble avéré qu’il ait assisté ce philosophe de 1999 à 2001, – en lui cherchant des livres et des références dans des bibliothèques pour permettre la confection de " l’appareil critique " (bibliographie et notes de bas de page) de son livre La Mémoire, l’histoire, l’oubli – il semble également avéré que Macron n’a jamais produit de "thèse".

    Il a indiqué lui-même qu’il avait réalisé un simple "mémoire" – qui est un travail sans comparaison plus simple qu’une authentique " thèse " -, et cela sous la direction d’Étienne Balibar, autre philosophe français et professeur émérite de l’université Paris-Ouest-Nanterre-La-Défense.

    Seulement voilà : interrogé par la presse, Étienne Balibar a indiqué " ne pas avoir de souvenir ni de trace de cet épisode".

    [Source: Magazine Challenges n°450 du 21 avril 2015, p..63 dont la couverture est consacrée à Macron et cf. aussi https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Macron#cite_ref-27]

    Encore un mensonge, donc.

    28 mai 2015: Macron méprise la démocratie

    Lors d’un forum organisé par le journal " Le Monde " le 28 mai 2015, Macron a assuré qu’il n’a pas l’intention d’être candidat aux législatives de 2017 car, selon lui, " passer par l’élection est un cursus d’un ancien temps ".

    6 avril 2016: Macron lance son parti “En Marche” avec un clip-vidéo entièrement mensonger

    C’est Yann Barthès, présentateur de l’émission “Le Petit journal” de Canal + qui dévoile la supercherie le lendemain 7 avril : le clip sur la France présenté par Macron est un mensonge complet.

    Ce clip enchaîne des visages mettant la diversité et les talents de la population française à l’honneur, ainsi que des paysages ensoleillés. Mais la très grande majorité de ces scènes n’ont pas été tournées en France. Elles ont été simplement achetées par l’agence de communication de Macron (payée comment et par qui?) à des banques d’images étrangères.

    En clair:

    – les écoliers montrés ne sont pas français mais américains,

    – une troupe de promeneurs sont des allemands,

    – un adolescent en capuche habite en réalité à New York et est même déjà apparu dans un clip de reggae,

    – un professeur d’université présenté comme français est en réalité américain,

    – des images ont été sciemment trafiquées pour changer une affiche d’anglais en français,

    – une femme d’origine africaine a été reprise d’un clip de la campagne pour les primaires démocrates de Bernie Sanders aux États-Unis,

    Je renvoie les lecteurs à l’analyse que j’ai faite de cette opération de manipulation dans mon entretien d’actualité n°25 du 21 avril 2016.

    10 avril 2016 : Macron ment effrontément sur le nombre des adhérents de son nouveau parti

    Au journal de 20h00 de France 2, regardé par plusieurs millions de téléspectateurs, le journaliste Laurent Delahousse termine son entretien avec Macron en lui demandant s’il va suivre l’entretien télévisé de François Hollande le jeudi suivant sur la même chaîne. Macron répond aussi sec: "Comme toujours".

    Sauf que, comme le repère aussitôt Louis Hausalter, un journaliste de Marianne, Macron sera le même soir à Londres pour un dîner avec des banquiers et des chefs d’entreprise afin de lever des fonds pour son parti politique " En marche ".

    On notera au passage que Macron a besoin de l’argent de banquiers et des chefs d’entreprise pour faire vivre son parti politique, ce qui constitue d’une part l’antithèse exacte de l’UPR et d’autre part une infraction majeure à la loi sur le financement des partis politiques en France s’il était avéré que des banques ou des entreprises ont financé directement le parti de Macron.

    Tout cela n’est cependant qu’une tromperie vénielle par rapport à l’énorme mensonge que Macron a annoncé lors du même journal télévisé, avec un aplomb extraordinaire devant des millions de Français ; à savoir que son parti politique aurait dépassé les 13 000 adhérents cinq jours après son lancement hyper-médiatisé.

    Seulement voilà: comme le révéla quelques jours après le Canard Enchaîné, Macron avait "enjolivé les choses" (c’est-à-dire: menti effrontément) en comptant comme "adhérent" un simple internaute étant allé cliquer sur le site pour voir ce dont il s’agissait!

    À cette aune, l’UPR compterait actuellement plusieurs centaines de millions d’adhérents…

    Au passage, compte tenu du battage médiatique colossal dont avait bénéficié le lancement de "En marche" dans tous les grands médias télévisés et radios, le fait de n’avoir attiré que 13 000 clics sur le site en 5 jours était finalement un échec.

    Suite à ces révélations du Canard Enchaîné, les médias se sentent obligés de corriger le tir devant l’énormité du mensonge.

    Pour ne pas mécontenter l’oligarchie qui promeut leur marionnette Macron, les journalistes usent d’un euphémisme pathétique : ils ne disent pas que Macron a "menti" ni qu’il a "pris les Français pour des imbéciles " – ce qui est la stricte vérité – ; ils titrent sur le fait qu’il a "l’art d’enjoliver la réalité" [ sic !] ou qu’il a "gonflé le nombre de ses adhérents"…

    27 mai 2016  Macron affiche son mépris de classe

    En déplacement le 27 mai 2016 à Lunel, dans l’Hérault, Macron a été interpellé par deux salariés au sujet du projet de loi travail. Dans le cadre d’un échange tendu filmé par BFM-TV, le ministre a perdu patience et a lâché une phrase qui a eu un énorme retentissement national: "Vous me faites pas peur avec vos t-shirts, la meilleure façon de se payer un costard est de travailler. "

    Non seulement le ministre de l’Économie insinuait par là que, – dans un pays qui compte au bas mot 4 à 5 millions de chômeurs du fait des politiques catastrophiques imposées par notre appartenance à l’UE et à l’euro -, ceux qui n’ont pas d’emploi sont tout simplement des tire-au-flanc.

    Mais plus encore, cette remarque a prouvé que Macron affichait sans vergogne un mépris de classe qui a choqué la France entière.

    Juin 2016 : Macron est rattrapé par son mensonge sur l’affaire de l’aéroport de Toulouse

    Parmi les désastres de son passage au poste de ministre de l’Économie figure en bonne place la cascade de scandales auxquels a donné lieu la privatisation de la gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac par le sieur Macron, dont l’incompétence et la jobardise ont été soigneusement cachées par les grands médias.

    Premier scandale, Macron avait prétendu qu’il ne s’agissait pas d’une privatisation puisque, si les investisseurs chinois faisaient effectivement l’acquisition de 49,9 % de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, l’État gardait 10 % du capital et, avec les collectivités locales (Région, département et ville de Toulouse), disposait toujours de la majorité du capital. Mais il s’agissait d’un mensonge: Médiapart révéla quelque temps plus tard l’existence d’un pacte d’actionnaires secret, qui liait l’État, non pas aux autres collectivités publiques, mais aux investisseurs chinois, et qui donnait à ceux-ci les pleins pouvoirs pour gérer la société française.

    Deuxième scandale, la société “Casil Europe” – représentant les investisseurs chinois – s’imbriquait dans un groupe opaque, détenu par un dénommé Mike Poon et son épouse Christina, dont la holding de tête “Capella Capital Limited” était une holding immatriculée aux îles Vierges britanniques. Cette holding de tête avait pour filiale à 100 % une société dénommée Friedmann Pacific Investiment Holdings Limited, dont le pays d’immatriculation était inconnu et qui détenait d’autres entreprises écrans immatriculées aux îles Vierges britanniques ou aux îles Caïmans, tous pays réputés pour être des centres de blanchiment d’argent sale…

    Troisième scandale : fin juin 2015, plusieurs agences de presse annonçaient que le dénommé Mike Poon avait disparu et que son nom était cité dans un scandale de corruption, mettant en jeu l’une de ses entreprises immatriculée aux îles Caïmans.

    En bref, Macron a donc privatisé la gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac dans le plus grand secret, en la vendant à une société-écran qui n’a pas pignon sur rue en France et dont le PDG, mis en cause dans une affaire de corruption, a pris la fuite après avoir vendu en catastrophe des actions en sa possession.

    Quelques mois plus tard, le mystérieux Chinois a réapparu mais l’affaire a de nouveau rebondi en juin 2016. Car, au mépris des engagements qu’ils avaient pris, les nouveaux actionnaires ont décidé de siphonner les réserves financières de la société pour se servir un important dividende. Macron, qui avait juré qu’il ne s’agissait pas d’une privatisation, s’est ainsi retrouvé piégé par son mensonge.

    11 août 2016: Macron démasqué comme mythomane

    Dans son numéro du 11 août 2016, le magazine Match, qui semble avoir été particulièrement chargé de contribuer au "lancement marketing" de Macron, a de nouveau consacré sa "Une" de couverture, pour la 2e fois en quelques mois, à Emmanuel Macron et à sa femme Brigitte Trogneux. Rapportant fidèlement ce que lui a dit Macron, le journaliste de Match précise que le ministre "échange" des idées avec l’intellectuel tunisien Abdelwahab Meddeb.

    Manque de chance, celui-ci est mort en 2014, il y a 2 ans…

    Le mensonge est aussitôt éventé par Xavier Marquet, rédacteur en chef de TV5.

    Ce qui suscite la risée générale sur Internet et Twitter à la mi-août 2016: [Nombreuses sources sur le blog].

    Plus fort que moi: Macron parle aux morts! Pauvre de moi qui ne croit pas du tout à une autre vie après la mort!

    19 août 2016: Macron confirme que son engagement politique était une escroquerie

    À l’invitation de l’ancien ministre Philippe de Villiers, Macron se rend le 19 août 2016 au parc d’attractions du Puy du Fou (Vendée). Il y déclare à la presse: "L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. "

    [Sources innombrables].

    Cette déclaration a fait aussitôt scandale dans toute la France. Non pas que ce soit véritablement une surprise de la part d’un homme venu de la Banque Rothschild et qui a passé son temps, comme ministre de l’Économie, à vouloir démolir tous les acquis sociaux des Français.

    La sensation est venue du cynisme sans vergogne avec lequel ce monsieur, élu par personne, reconnaît implicitement qu’il n’avait adhéré au Parti socialiste, ne s’était déclaré socialiste et n’avait travaillé pour François Hollande que dans un but uniquement carriériste.

    Conclusion

    Le magazine Match du 11 août 2016, très lu dans les salons de coiffure, nous a présenté le couple Emmanuel Macron – Brigitte Trogneux comme deux tourtereaux, photographiés en tenue balnéaire avec de l’eau de mer jusqu’aux mollets, sous le titre cocasse de "vacances en amoureux avant l’offensive".

     

    Mais il est peu probable que "l’offensive" Macron se révèle autre chose qu’un pétard mouillé.

    D’une part, on recherche toujours désespérément les militants et les fameux “Marcheurs de Macron” qui devaient, nous avait-on assuré, parcourir la France entière pour livrer un diagnostic sur l’état du pays. En réalité, il s’agissait d’une affabulation de plus : les “Marcheurs” ont été inventés par une société de communication et n’ont d’autre existence que les quelques photos diffusés par des journaux.

    Encore une affabulation de plus : tous les grands médias nous ont annoncé, fin mai 2016, que la France allait être sillonnée par des milliers de "marcheurs" de Macron. Qui en a vu un seul?!?

    Encore une affabulation de plus : tous les grands médias nous ont annoncé, fin mai 2016, que la France allait être sillonnée par des milliers de " marcheurs " de Macron. Qui en a vu un seul?!?

    D’autre part, Macron a déçu même ses plus fervents soutiens. Son mentor Jacques Attali l’a lui-même méchamment décrit comme "l’incarnation du vide" en politique, dans le magazine Challenges du 13 mai 2016.

    Enfin et surtout, Macron, qui nous est présenté constamment comme un “jeune” est en fait un “vieillard politique” et le représentant d’une politicaillerie d’un autre âge.

    Croyant que les manipulations médiatiques des années 80 fonctionnent encore, n’ayant pas compris le formidable sérum de vérité qu’est Internet – qui démasque dans la demi-heure le moindre mensonge -, Macron pense que ses mensonges, ses affabulations, ses élans de mythomanie et son escroquerie morale ne se voient pas.

    Il n’a pas compris que les Français ne voient que ça et que la façon de faire de la politique qu’il incarne est la quintessence de ce dont ils ne veulent plus.

    La dernière chance qui lui reste peut-être pour continuer à hanter les palais nationaux est de changer de camp. Certains envisagent déjà que, tout comme le socialiste Eric Besson avait rallié Sarkozy en 2007, Macron pourrait rallier Juppé en 2017. Cette trahison parachèverait l’indécence du personnage.

    François Asselineau

    http://www.lelibrepenseur.org/macron-vous-fait-marcher

     

  • Dans la série: certains sont tombés au fond de la débilité... et ils creusent encore!

    Avec Macron, le changement, c’est mollement ♪♥

    Un texte de Nathalie MP et h16

    Personne ne pourra accuser Emmanuel Macron de ne pas soigner tous les détails de sa candidature présidentielle.

    Ainsi, fini les petits couinements et le passage aux ultrasons éraillés comme à la fin de son grand meeting de la porte de Versailles en décembre dernier : il suit maintenant les cours d’un chanteur d’opéra! ♫♪♬!

    Personne ne pourra l’accuser non plus de négligence avec les médias. Depuis janvier 2015, il a été le sujet de plus de 8 000 articles dans Libération, l’Obs, le Monde et l’Express. C’est plus que tout autre candidat, sans parler des multiples couvertures de Paris Match ou VSD façon couple glamour avec sa femme.

    Et personne ne pourra l’accuser de ne pas savoir trouver les mots qui font rêver et galvanisent les foules.

    Notre révolution est En Marche… On ne peut plus faire comme avant, il faut dépasser les clivages, rebattre les cartes, remettre la France en mouvement, libérer les forces et apporter l’espérance… Je compte sur votre mobilisation et votre engagement, c’est notre force! Etc…

    Pour Manu qui s’adresse ♫♪♬ " à tous les recalés de l’âge et du chômage, les privés du gâteau, les exclus du partage " ♫♪♬, il faut dépasser les clivages ♥ et le chacun pour soi. Quand il pense à eux, il pense à lui ❥ et la coïncidence avec les Restos du Cœur ❤ n’est pas tout à fait fortuite parce que c’est de cœur ❤ qu’il s’agit, mes amis, mes amours, mes enfants, ♥♥♥ ♫♪♬.

    Voici en substance la teneur de ses appels (vidéo ci-dessous), voici ce qu’il martèle de meeting en meeting sous les applaudissements frénétiques (ou médusés) de milliards milliers de personnes.

    Lorsqu’il parade au Palais des Sports de Lyon, des millions milliers de personnes viennent boire ses paroles. 8000 selon les organisateurs, 800.000 selon les médias et plusieurs milliers d’autres, massées aux abords. Telle une rock-star, Macron fend la foule en musique (vidéo ci-dessous), voit dans "ce mur de présence" un désir d’avenir une "démonstration d’envie de sa candidature", et, se prenant manifestement pour Napoléon Ier à Austerlitz et ses "Marcheurs" (le petit nom des "adhérents") pour les fantassins de sa campagne, lance avec cette modestie onctueuse de ceux qui osent tout (et c’est à ça qu’on les reconnaît):

    "Vous pourrez dire: ‘J’étais là’. Parce que nous allons changer les choses encore aujourd’hui et nous continuerons à avancer. Ensemble! "

     #MacronLyon : arrivée en musique de celui que tout le monde attend. pic.twitter.com/ryiR46PDg4

    — Margaux Baralon (@MargauxBaralon) February 4, 2017

    Dans la même veine, voici une petite vidéo hautement réjouissante alignant les "meilleurs moments" d’Emmanuel aux instruments à vent: "Ce que nous ferons pour la culture, mes amis, c’est un chemin " – "Je veux réconcilier la France avec le Monde" – etc … etc…

    De fait, trouver les mots, aussi creux soient-ils, fut le grand travail de sa campagne et dans ce domaine, rien ne fut laissé au hasard. Là encore, on ne pourra pas reprocher à Emmanuel Macron de ne pas avoir exploité à fond toutes les possibilités de la magie du verbe pour captiver un auditoire prêt à tomber en pâmoison.

    Au cours d’une "grande marche" qui s’est déroulée en porte-à-porte cet été, des "Marcheurs" ont eu "100 000 conversations" et ont recueilli "25 000 questionnaires", constituant autant de verbatim dont les mots – pardon on dit " prédicats " à présent – furent analysés via des algorithmes complexes, par la société Liegey Muller Pons, la "première start-up de stratégie électorale en Europe" et par Proxem dont le métier consiste à "changer les conversations en données" (au contraire des journalistes dont le métier consiste à transformer des conversations en courants d’air chaud).

     

    Cette "grande marche", au-delà du côté proximité, écoute et rencontre avec la France "vraie de vraie", a surtout eu pour objectif de définir au mieux le discours qui sera "le plus intelligible possible pour le plus de monde possible". En clair, le discours qui ratissera le plus large, déclenchera le plus de réactions positives et transformera les auditeurs en adhérents scotchés.

    Ajoutez qu’Emmanuel Macron est jeune, intelligent, tout beau et tout nouveau. Il n’a jamais été élu, mais l’Elysée direct, ça ne lui fait même pas peur! Mieux encore: il est de gauche (il l’a dit cent fois) mais il peut aussi être de droite si besoin est, d’autant qu’il n’est plus membre du PS tout en étant socialiste, et ayant participé à un gouvernement de gauche, " mais quelle importance?" (vidéo 01:10):

    Ce discours, ce style, ce show bien orchestré plaisent beaucoup, aux médias, aux socialistes en mal de représentation politique, à tous ceux qui cherchent une nouvelle tête, à tous ceux qui attendent un discours rassurant du type " Yes We Can ", à tous ceux qui veulent gagner en liberté sans perdre en protection tutélaire de l’État, à tout ceux qui pensent qu’il suffit d’améliorer la gestion de nos structures sans les remettre en cause fondamentalement.

    Bonne pioche! Emmanuel Macron se dit d’une "gauche qui se confronte au réel", c’est-à-dire typiquement d’une gauche sociale-démocrate façon Rocard et même Hollande, le style et la persuasion en plus. Forcément, ça attire : d’après les responsables, En marche! aurait à ce jour 170 000 adhérents. L’adhésion gratuite, en ligne, ça aide.

    Bonne pioche toujours, lorsque Benoît Hamon est désigné candidat du PS. Bonne pioche encore, lorsque les affaires embourbent Fillon dans des emplois présumés fictifs. Et super bonne pioche, lorsque les sondages placent finalement notre héros en deuxième position au premier tour de la présidentielle!

    Décidément, Manu Macron, c’est de la très bonne pioche!

    Aux grincheux qui pointent régulièrement l’absence d’un vrai programme politique derrière les envolées lyriques, les " Marcheurs ", tendrement hypnotisés par leur candidat, rétorquent que si Macron les attire, c’est justement parce qu’il " fédère une vision, il y a une espèce de fluide ". Lubrifiant qui permet d’éviter les frottements douloureux et de rêver à son aise à un monde meilleur :

    "Un président, ce n’est pas un épicier. L’important, c’est d’avoir une vision, pas forcément d’être dans les détails de la comptabilité. " (un participant au meeting de Lyon, 4 février 2017)

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     Malgré tout, ce programme trop diaphane gêne certains militants. Sa divulgation ayant été souvent annoncée puis repoussée, pour être finalement fixée à début mars, les " Jeunes avec Macron " ont pris sur eux de construire un site internet reprenant les principales déclarations de leur leader pour leur donner un semblant de consistance.

    Ça ne s’invente pas, ce site s’appelle "Vision Macron" et surfe avec application sur un océan de lieux communs des plus vagues, dispatchés en une partie "Diagnostic" puis une partie "Action". La partie "Réaction" est laissée comme exercice au lecteur.

    C’est ainsi que les 35 heures sont "une avancée sociale non contestable" qui présente "un bilan contrasté" qu’il faudra "adapter sans remettre en cause le principe". Jolie bourrasque d’air tiède. On souhaite bon courage au futur ministre de l’économie si d’aventure Emmanuel était élu!

    Si le mystère reste entier quant au programme de gouvernement de Macron, on a cependant quelques idées sur ce qu’il sera en observant les soutiens qui s’agglutinent à lui.

    Au-delà de sa tendresse pour le socialisme du réel qui signe son tropisme social-démocrate, on constate sans trop de surprise que les ralliements qu’il enregistre en nombre sont tous le fait d’individus extrêmement à l’aise dans " le système " dont il prétend s’affranchir et que certains d’entre eux sont de vieux routards de la politique depuis des dizaines d’années.

    À gauche, on peut citer Gérard Collomb et tous les députés socialistes orphelins de la candidature Valls, les hommes d’affaires Marc Simoncini (Meetic), Xavier Niel (Free) et Pierre Bergé, les deux derniers étant de plus co-propriétaires de l’Obs qui a largement ouvert ses pages à Macron, l’écrivain Erik Orsenna, ancienne plume de Mitterrand, Daniel Cohn-Bendit, Alain Minc, Bernard Kouchner, sans oublier Ségolène Royal qui apporte indirectement le parrainage de François Hollande et une caution de sérieux assez originale dans la gestion des affaires publiques, et sans oublier non plus Geneviève de Fontenay, génialissime caution populaire, venue spécialement à Lyon pour vérifier que Macron n’avait pas "❤ une banque à la place du cœur ❤"!

    À cette brochette de cadors, ajoutons la droite énarchiste et étatiste représentée par Renaud Dutreil, ancien ministre responsable de la création du pitoyable RSI (que Macron veut réformer, pas forcément pour le bien des Indépendants) et Anne-Marie Idrac, ancienne secrétaire d’État aux transports sous Chirac et ex-présidente de ces fleurons de la réussite nationale que sont la RATP et la SNCF.

    Le vrai défi, maintenant, consistera à croire que ce sont ces personnes qui seront capables de mettre en marche une révolution vertueuse, alors qu’elles sont toutes liées à tout ce que la France fait sans succès depuis quarante ans en termes de chômage, de dépenses publiques, de déficit et de dette.

    Il va en falloir, de la foi, pour imaginer que l’État, gonflé d’orgueil à l’idée d’être stratège, va continuer à l’être sans se fracasser sur des catastrophes financières qui se chiffrent en milliards d’euros.

    Il va en falloir, de la ferveur, pour voir en Emmanuel Macron l’artisan d’une transformation libérale de la France, lui dont le bilan se résume à des conseils catastrophiques pendant un quinquennat calamiteux et à une loi qui aura permis d’ouvrir quelques lignes d’autocars et quelques magasins un nombre limité de dimanches.

    Conclusion

    Certes, Emmanuel Macron s’est montré particulièrement habile à mobiliser médias et public autour de lui. Certes, il a su trouver les mots les plus susceptibles de toucher des Français désorientés et désireux de changement, mais aussi de protection et d’attention. Certes, il a su faire passer un message de nouveauté et de modernité en menant une campagne aussi originale que calibrée au millimètre comme s’il vendait le produit Macron à des consommateurs et non pas un programme politique à des électeurs. Soit.

    Il n’en reste pas moins que le vide grandiloquent de ses propos associé au déjà-vu, au progressisme revendiqué et à l’étatisme assumé de l’équipe qui l’entoure fait irrésistiblement penser à la réflexion de Tancrède à son oncle le prince Salina dans le Guépard: "Il faut que tout change pour que rien ne change“.

    Emmanuel Macron n’est rien d’autre que la nouvelle frimousse " hors-système " choisie par le "systèm ", coterie de médias et de politiciens qui nous gouvernent. C’est un changement purement formel et en rien fondamental pour la France, et les Français, qui préservera ces derniers au pouvoir.

    Le navire de gauche a coulé. Celui de droite prend l’eau. Les rats quittent ces navires incertains pour courir chez Macron, ce "révolutionnaire" qui rassure tous les étatistes et leur promet qu’il suffit de dire que tout va changer pour que finalement rien ne change. ♫♪♬!

    contrepoints.org

    Copié-coller de Hollande, le pauvre type!

    Qui paye pour le ressemelage des godasses des marcheurs?

    C'est comme chez les shadock: ils pompaient, ils pompaient, ils pompaient

    Pour en savoir plus sur les politiques, lisez la catégorie: ZOO

     

     

  • Dans la série: certains sont tombés au fond de la débilité... et ils creusent encore!

    Vous avez aimé Hollande ? Vous adorerez Macron !

    Emmanuel Macron est jeune, énarque, inspecteur des finances, ce corps de fonctionnaires qui contrôle Bercy, et à travers Bercy, le Parlement ; cela suffit.

    Appelé par le président Hollande au début de son mandat, Emmanuel Macron a été le plus écouté de ses collaborateurs dans la définition de sa politique économique. Pas toujours suivi, car il fallait bien donner du grain à moudre aux frondeurs, mais suffisamment pour donner ce parfum social-démocrate espéré par l’aile droite du parti socialiste. Mais qui est-il vraiment ?

    Quand on lit avec un peu d’attention les professions de foi d’Emmanuel Macron, telles que rédigées dans son manifeste par son équipe de jeunes gens « brillants », on voit que Macron est très frustré d’avoir été en partie empêché par les frondeurs de mettre en œuvre son programme social-démocrate « hollandais ». Mais il reste bien de gauche, et a appris de son maitre le flou, l’indécision et le verbe creux.

    Prenons deux exemples : les 35 heures et le logement.

    Les 35 heures

    Après l’exposé philosophique sur la baisse du temps de travail qui s’inscrirait dans l’histoire de l’humanité, Macron affirme donc que les 35 heures représentent une grande avancée sociale, digne de l’instauration des congés payés. Bien sûr il n’a pas toujours dit cela et, en réfléchissant, il n’y a pas que des bons côtés à cette mesure… mais les bons côtés l’emportent parait-il. D’ailleurs, pour pouvoir gagner plus, il faut permettre aux travailleurs de faire des heures supplémentaires… Si on supprime les 35 heures, comment va-t-on calculer les heures sup ?

    CQFD : il faut garder cette grande avancée pour l’humanité.

    La loi ALUR

    Sur le logement et la loi ALUR, la démarche intellectuelle est la même : après une longue introduction sur le problème du logement, c’est-à-dire le manque d’offre de logements à des prix abordables, Macron se félicite de la grande avancée sociale apportée par la loi ALUR : enfin la transparence, apportée par le contrôle des loyers. On sait enfin combien paient les locataires (surtout combien paie son voisin) et il faut rapidement étendre ce système à toute la France : le contrôle des loyers est la solution.

    On ne sait pas ni comment ni pourquoi cette loi va améliorer la situation du logement, mais, comme le dit Macron, il suffit de libéraliser le foncier (comment ? mystère), et permettre donc à des nouveaux logements de voir le jour. Avec la loi ALUR, grande avancée sociale, il n’est cependant pas certain que de nombreux investisseurs se précipitent…

    François Baroin a caractérisé Macron : c’est le patron de l’extrême flou. Tellement vrai. Mais aujourd’hui, ses partisans ne veulent rien entendre. Il est jeune, énarque, inspecteur des finances, ce corps de fonctionnaires qui contrôle Bercy, et à travers Bercy, le Parlement ; cela suffit.

    contrepoint.org

  • Quand on sait plus quoi dire devant tant d'abrutissement médiatique...

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  • Macron: Cap d'ase! (traduction de l'occitan: tête d'âne) - 4 répétitas!!!

    Une nouvelle stupidité-crasse des copains à Macron-concon

    L’islamo-collabo Macron-con se revendique du Résistant René Char, qu’il confond avec Albert Camus!

    Pitoyable Macron! Et pourtant, il est l’idole de la presse!

    A Lyon, il déclare: "la culture française n’existe pas", et il se permet de citer René Char

    Mais c’est vrai que ce micron peut prétendre que  "la culture française n’existe pas", il en est la preuve:

    Sur son compte twitter, pour illustrer son propos sur René Char, il met une photo…… d’Albert Camus!

    Même  "l’obs" s’en est aperçu:

    En meeting à Lyon ce samedi après-midi, Emmanuel Macron a cité un extrait des " Feuillets d’Hypnos " de René Char, écrits entre 1943 et 1944 lorsque le poète était engagé dans la Résistance: "Je tenais à ces êtres par mille fils confiants dont pas un ne devait se rompre", écrit ce dernier au sujet de villageois protégeant un maquisard des nazis.

    Problème, son équipe a illustré le tweet associé par une photo de l’écrivain et philosophe… Albert Camus. Une erreur peut-être explicable par le fait que l’ouvrage, qui développe les idées de "L’Homme révolté", était dédié au penseur, ami proche de René Char… Avant d’être supprimé, le tweet a en tout cas immédiatement été relevé par les internautes les plus lettrés.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/33192-macron-macron-compte-twitter-illustre-photo-camus.html

    Tous, lisez  "feuillets d’Hypnos " de René Char …. et vous comprendrez beaucoup de choses sur la situation actuelle,

    ... et vous comprendrez que macron est un macro-con!

    Note de Christine Tasin

    Honte à l’ignare, honte au vendu de Bruxelles, de Merkel, de la mondialisation qui ose salir un René Char en le citant à contre-emploi. Pendant la seconde guerre mondiale, un René Char et d’autres Résistants dignes de ce nom auraient voté la mort pour un macron, qui collabore avec nos ennemis.

    Comment cela, un Desnos serait mort pour qu’un Macron puisse parler de solidarité ?

    Un Desnos qui fabriquait des faux papiers pour les juifs, qui annonçait tout haut être prêt à tout pour emmerder Hitler, un Desnos mort pour avoir résisté.

    On se souviendra de l’hommage d’Eluard à Desnos:

    "Jusqu’à la mort, Desnos a lutté. Tout au long de ses poèmes l’idée de liberté court comme un feu terrible, le mot de liberté claque comme un drapeau parmi les images les plus neuves, les plus violentes aussi. La poésie de Desnos, c’est la poésie du courage. Il a toutes les audaces possibles de pensée et d’expression. Il va vers l’amour, vers la vie, vers la mort sans jamais douter. Il parle, il chante très haut, sans embarras. Il est le fils prodigue d’un peuple soumis à la prudence, à l’économie, à la patience, mais qui a quand même toujours étonné le monde par ses colères brusques, sa volonté d’affranchissement et ses envolées imprévues".

    Que dire de Saint-Exupéry ? Quel rapport avec le minable Macron ?

    Un Eluard et un Aragon auraient combattu pour qu’un Macron puisse parler du petit peuple qu’il méprise et vend à Soros?

    Pitoyable Macron! Et pourtant, il est l’idole de la presse!

    La presse socialaupe, bien sûr!

     

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/11/17/le-zoo-humain-1-macron-5875372.html

     

  • Hamon, le fumier, fumiste!

    Hamon, prof de fac avec une licence d’histoire et un bouquin plagié

    Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme "professeur associé"!..... à leur connerie, oui!

    Quand vous bossiez dur pour décrocher des concours, lui manifestait contre les diplômes trop difficiles à obtenir: 1986, loi Devaquet, SOS Racisme dans la rue, la gauche démago au service de Tonton. Il adhère à l’UNEF. Mais il faut bien justifier qu’on est un peu étudiant: donc, Benoît réussit à décrocher une licence d’histoire. Et voilà, sur le CV, la liste des diplômes s’arrête là.

    Une maîtrise? Un DEA? Un doctorat? Pensez donc, de longues années de recherche, ça ne laisse pas de temps pour faire carrière aux MJS. Mais alors, un concours d’enseignement? Un CAPES? Une agrégation? Attendez, c’est risqué, un concours! Benoît Hamon a zappé ce qui était, avant, la voie royale chez les élus de gauche : l’enseignement. Avec lui, fini la République des professeurs.

    Pas d’autre expérience professionnelle que la vie du Parti socialiste : UNEF, MJS, courants, éléphants, etc., jusqu’à en être aujourd’hui le candidat.

    On peste souvent, avec raison, contre les candidats du système, formatés par l’ENA ou Sciences Po. Mais je croyais qu’à gauche, on avait encore, malgré tout, le respect de cette méritocratie-là. Hamon? Le pur produit, non du système, mais du sous-système PS…

    Mais attention, n’allons pas instiller le doute sur la formation limitée de notre apparatchiks. "Les Décodeurs" du Monde nous expliquent sans rire:

    "Les engagements syndicaux et politiques précoces de Benoît Hamon ne lui ont effectivement pas laissé le temps de faire de longues études, puisqu’il s’est contenté d’une licence d’histoire à l’université de Bretagne-Occidentale à Brest avant d’entrer en politique comme assistant parlementaire du député PS Pierre Brana. "

    Pauvre Benoît, tellement précoce qu’il n’a pas eu le temps de faire des études…

    Sauf que, assistant parlementaire, il le devient en 1991: il a 24 ans. Pas le temps de décrocher mieux qu’un bac+3, six ans après le bac?

    Mais si " Les Décodeurs " défendent notre ex-jeune socialiste, c’est que certains ont osé dénoncer son poste de professeur associé, en 2009, et pendant trois ans, dans une université. C’est sûr que vous qui ramez pour décrocher un poste à l’université, malgré votre thèse, votre agrégation, vos articles (et du sérieux, du lourd! Pas du plagiat ou du facile!), votre expérience d’enseignement, vous trouvez ça un peu fort de café, le Hamon qu’on balance professeur à l’université, avec sa petite licence d’histoire.

    Mais vous vous fourvoyez! Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme " professeur associé "! C’est légal!

    Benoît Hamon était en panne dans sa carrière, et il se trouvait que la fac avait justement besoin d’un professeur associé à ce moment-là! Un commentateur de l’article a lâché le fin mot de l’histoire: piston!

    Alors, Benoît, pour enrichir ton programme, après le revenu universel, le piston universel?

    Au fait, "Les Décodeurs", tous ces extraits de son livre si justement titré Tourner la page (publié quand il est recruté sur ce poste de professeur), qu’il a recopiés sans mettre les guillemets, c’est une affaire? C’est du plagiat? Ou simplement un déficit de formation… initiale?

    BdVoltaire

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    j'ai écrit cela le 18:12:2016, ici même

    J'explique dans le numéro 1 consacré à Macron la pertinence de cette voyance un peu spéciale. Lorsque j'associe des explications psychologiques, ce sont celles qui me passent à l'esprit au moment où j'écris la note: je suis en concentration mentale. Comme pendant une consultation normale.

    Bouyouyou!! que c'est compliqué sur le monsieur… j'ai vu de l'aigle, de la tortue, de l'ours ratatiné en ses pénates, j'ai vu aussi se superposer la tête de Macron quand il est âne….

    J'espère que vous avez lu mes 7 précédentes “voyances“ des humains du zoo. Cet homme-là, il a tous les défauts de ces animaux….

    Le plus apparent, c'est quand il fait sa tortue: une tortue “rouscailleuse“ comme on dit par chez nous à Toulouse. Une qui râle tout le temps, la tête dans les souvenirs du passé. Une tortue qui croit en rien ni en personne… Qui est sur son chemin, tête baissée comme le cycliste qui croit qu'en baissant la tête, il ressemblera à un champion cycliste de ceux qu'on voit sur le Tour.

    Hamon, il voudrait bien, mais il peu point. Quoi? me direz-vous. Tout et rien. Il veut tout mais chaque fois qu'il avance une envie, une idée, une explication, il se rétracte aussitôt comme un ours qui fait semblant d'être opiniâtre, fort et solide, Bon pour la France.

    Mais, il se planque dans sa caverne pour hiberner jusqu'à la saison prochaine. Il espère que les plats repasseront encore une fois ou deux. Il sait pourtant qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même…. mais, il est pas assez aigle pour forcer la “main“ médiacratique. Faut se pincer pour lui trouver une vraie idée qu'elle est bonne pour l'avenir de la France.

    Alors, il dit, il dit, il dit…. et puis il clique...... sur rien. Rien au bout de la souris. Rien dans ses propositions, rien dans ses poches. Cui-là, il croit qu'il avance d'un pas, mais en fait, il recule de quatre. Il est juste tenace…

    Son truc à lui? qu'on vienne le chercher.... oup's... si c'est pas lui qui va vers les journaleux-baveux, on va pas le chercher... alors, ça l'angoisse: être oublié dans un coin...

    Très souvent, il se plante, c'est comme l'âne en Macron, mais, y'a personne pour lui dire qu'il se fourvoie. Il prend trop de chemins de traverse qui ne mènent à rien. Heureusement que dans le zoo humain des politicards, il y a quelques zèbres pour nous faire marrer… sinon, la politique en France, ces temps-ci, c'est pas la grosse joie!

    Quand un Français pète de travers, il a un procès aux fesses à cause des tas de ligues de Vertu Outragées qui foisonnent en dictature socialaupe, qu'on se croirait revenus au temps des Romantiques qui avaient interdiction de se gratter les buebos, “ça ne se fait pas, on ne doit pas mélanger les torchons et les serviettes“.

    Macron et lui sont frères jumeaux en caractère et en action de plantages récurrents. C'est une tortue tenace mais ça suffit pas pour en faire un président; y'a pas les idées modernes, y'a pas un Grand Chemin à indiquer à tous les Français pour les réunir face à leur Grand Destin…. tout est vieux, usé, mité… et y'a même pas la suite dans les idées.