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Femmes - Page 3

  • Le Premier Noël

    C'était pareille nuit, le ciel tout aussi pur

    Les étoiles aussi belles, y avait les mêmes fruits

    La lune sur le mur et les oiseaux fidèles

    L'herbe avait des trésors de rosée sur le corps

    Et le vent caressait les ombres qui passaient

    Rayonnantes de joie sous les palmes de soie

    Les bergers du pays, le bœuf et l'âne gris,

    Sur la paille d'or fin, veillaient tous sur le grain

    C'était Noël

    Un enfant, paraît-il

    Un enfant, disaient-ils

    Venait tout droit du Ciel

    C'était Noël

    La nuit parlait de Paix

    Et la Terre y croyait

    C'était Noël !

    Les uns portaient des fleurs, les autres des trésors

    Certains donnaient leur cœur, quelques autres leur or

    On aurait tout donné pour un jour, pour toujours

    Dans la joie, les enfants allumaient de grands feux

    Dans la rue, les passants s'embrassaient, très heureux

    Sous le ciel d'Orient, brillait la route bleue

    Dans l'étable, un enfant, un père un peu tremblant

    Une mère perdue, un tout petit Jésus

    C'était Noël

    Un enfant, paraît-il

    Un enfant, disaient-ils

    Venait tout droit du Ciel

    C'était Noël

    Et les alléluia

    Pour toujours, ce soir-là

    Chantaient Noël !

    par LES COMPAGNONS DE LA CHANSON

    Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)

  • "Tu vas manger du cochon! "Une femme de 40 ans condamnée

    après avoir humilié et agressé son mari musulman

    Une femme de 40 ans a été condamnée par le tribunal de La Roche-sur-Yon pour avoir agressé et humilié son mari de confession musulmane.

    Dans cette affaire de violences sur personne vulnérable, le tribunal a prononcé un ajournement de la peine, laissant à la défense six mois pour proposer une solution.

    "On voit la nécessité d’une séparation. L’amour, ce n’est pas se comporter de la sorte". Jeudi 28 novembre, Sarah Huet, procureure de la République du tribunal judiciaire de La Roche-sur-Yon, a requis six mois de prison avec sursis à l’encontre d’une Vendéenne de 40 ans.

    A la barre, le visage enfoui dans sa doudoune noire, la prévenue semble tétanisée, au point d’en oublier sa date de naissance au moment de se présenter. Cette femme se retrouve face au juge pour avoir, en mars dernier, commis des violences et des humiliations à l’encontre de son mari, un homme de confession musulmane arrivé en France et avec qui elle s’est mariée en 2022.

    "Une humiliation qui le renvoie à son origine"

    Mais, très vite, la relation du couple se dégrade. L’homme fait état de violences, d’un "manque de respect" à son encontre. Une première séparation a lieu en 2023, ainsi qu’une première condamnation pour madame qui se voit dans l’obligation de suivre un stage sur les violences conjugales.

    La séparation ne dure qu’une dizaine de jours. L’homme accepte de revenir après de nombreux textos reçus de sa femme qui insiste pour qu’il revienne. A peine revenu, l’homme se plaint à nouveau de subir des réflexions le rabaissant.

        Vous lui avez mis de force une tranche de jambon dans la bouche en lui criant "tu vas manger du cochon". Une violence et une humiliation qui le renvoient à son origine.

    Des faits que la femme reconnaît, mais qu’elle explique par un mariage loin de l’image qu’elle s’en faisait. Sur la détérioration de leur relation, la prévenue indique que "ça a commencé en février 2023, au moment où il a obtenu ses papiers. Du jour au lendemain, il pouvait me laisser avec mes enfants sans nouvelles pendant un jour, une semaine, un mois. Il rentrait quand il voulait, il faisait ce qu’il voulait", déroule-t-elle.

    Une vision du mariage qui n’est pas la sienne. "Ce n’est pas ça, vivre avec un mari", estime-t-elle avant d’accuser son conjoint de violences à son égard, voire de viol conjugal. "Ce sont des faits graves que vous dénoncez", lui lance la juge, interloquée par ses révélations. " Pourquoi n’êtes-vous pas allée voir les gendarmes si vous avez subi des violences?" lui demande la juge.

    "Parce que je n’ai pas envie d’aller à la gendarmerie toutes les cinq minutes. Je préférais que l’on règle ça entre nous, en discutant".

    Déjà condamnée pour violences

    Cette défense laisse sceptique l’auditoire. "On a du mal à vous situer, vous et votre mari", avoue la juge qui rappelle toutefois que c’est elle qui a déjà été condamnée pour des violences sur son époux.

    Partie civile, le mari, absent à l’audience, mais représenté par un avocat, a demandé la clémence du tribunal à l’égard de sa femme et ne réclame aucun dommage. Conscient de leur "relation mortifère, il tient juste à notifier sa position de victime, qu’il ne rentrait pas chez lui, de peur que les choses dérapent à nouveau", explique son conseil.

    Reconnue coupable des violences et des humiliations, la femme écope finalement d’une peine amende de 1 000 € avec sursis. Mais la juge encourage le couple à "sortir de cette situation". Une réflexion que les deux commencent enfin à entamer en envisageant le divorce.

    https://actu.fr/pays-de-la-loire/lucon_85128/

    L'article ne dit pas si la femme est, elle-même, musulmane!

  • PHILIPPINE, 19 ans

    Elle était scout et guide de France, "toujours partante et disponible s’il y avait besoin de faire quoi que ce soit ou pour motiver les autres" ; issue d’une famille de 6 enfants, Philippine était une brillante étudiante à l’Université Paris-Dauphine.

    Vendredi de la semaine dernière, après son déjeuner au restaurant universitaire, et comme elle aimait souvent le faire, elle choisit de rentrer à son appartement d’étudiante à pied via un détour-promenade par le proche Bois de Boulogne; elle devait ensuite rejoindre ses parents pour dîner et passer le week-end en banlieue parisienne. Ils ne la verront jamais arriver.

    ILS NE LA VERRONT PLUS JAMAIS.

    Philippine a croisé le chemin d’un homme qui n’aurait jamais dû être là.

    Jamais sans les défaillances idéologiques d’État: marocain sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), non exécutée comme 94% d’entre elles, et tout juste libéré de prison pour un viol dans les mêmes circonstances, dont il n’a purgé que 5 ans sur 7, car libéré par anticipation par la justice française.

     On aimerait se dire que cette tragédie est isolée, plus encore qu’elle est la dernière, et celle de trop. Mais elle est comme tant d’autres soi-disant " faits divers ", comme Lola, 12 ans, il y a deux ans (tuée par une personne algérienne sous OQTF), comme Thomas 16 ans, comme Matisse 16 ans, et tant d’autres.

    Ce nouveau drame est la conséquence directe de maladies idéologiques qui détruisent notre peuple, qui tuent ou laisse tuer ses enfants.

    Face à ces drames, nous savons pourquoi nous défendons les valeurs patriotes, celles d’un ordre juste et de bon sens, qui sait aimer et protéger ses enfants, son propre peuple.

    Soutenons en pensée le désarroi de cette famille brutalement endeuillée, et si digne.

    Des rassemblements d’hommage à Philippine sont prévus en divers lieux de France, et notamment :

    ce samedi 28 sept.:

    • Aix-en-Provence, 10h, Nouveau Palais de Justice ;
    • Vienne, 10h, place Charles de Gaulle,
    • Bordeaux, 15h, place de la Bourse ;

    ce dimanche 29 sept. :

    • Lille, 15h, place Rihour,
    • Paris, 15h, place Denfert,
    • Nice, 15h, place Garibaldi,

    ce lundi 30 sept. :

    • Angers, 18h30, place du Ralliement.

    … et peut-être dans votre ville?

     

    Repose en paix Philippine.

     

    Puisse l’électrochoc de ta mort servir à corriger ceux qui en ont besoin parmi les vivants.