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Enfants - Page 15

  • Occitanie en deuil

    Pour avoir subi dans mon âme d'enfant de 7 ans, l'effroyable douleur de la disparition (dans un accident d'une jeune sœur qui jouait sur le trottoir à mes côtés), je puis vous assurer que, soixante ans plus tard, la plaie est toujours béante.... Et que ça fait mal!

    Que ça fait mal!

    C'est une effroyable douleur qui ne peut cesser que dans la tombe...

    Toute ma compassion douloureuse pour tous ceux et celles qui souffrent....

    Une pensée émue, toute particulière, pour cette femme conductrice: son enfer commence! Surtout, ne la quittez pas des yeux, gens de son entourage!

     

     

     

     

  • La France est en deuil....

    La première fois que j'ai vu Johnny, c'était en 1960, sa première émission de télévision; (j'avais dix ans, qu'il était beau, du haut de ses dix-sept ans!)..... depuis.....

    La plus belle des plus belles des chansons d'amour: "Que je t'aime"...

    Quand je l'évoquais, je disais: "oh, mon Johnny!".... Toujours... cela allait tellement de soi....

    Il était beaucoup trop jeune pour partir dans la Voie lactée, la Voie des Étoiles, le Panthéon de France...

    Au revoir MON Johnny!

     

     

  • Gloire à notre France éternelle!

    Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie
    Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.
    Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau.
    Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère;
    Et, comme ferait une mère,
    La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs! aux vaillants! aux forts!
    À ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    C'est pour ces morts, dont l'ombre est ici bienvenue,
    Que le haut Panthéon élève dans la nue,
    Au-dessus de Paris, la ville aux mille tours,
    La reine de nos Tyrs et de nos Babylones,
    Cette couronne de colonnes
    Que le soleil levant redore tous les jours!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts!
    À ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    Ainsi, quand de tels morts sont couchés dans la tombe,
    En vain l'oubli, nuit sombre où va tout ce qui tombe,
    Passe sur leur sépulcre où nous nous inclinons;
    Chaque jour, pour eux seuls se levant plus fidèle,
    La gloire, aube toujours nouvelle,
    Fait luire leur mémoire et redore leurs noms!

    Gloire à notre France éternelle!
    Gloire à ceux qui sont morts pour elle!
    Aux martyrs ! aux vaillants! aux forts!
    A ceux qu'enflamme leur exemple,
    Qui veulent place dans le temple,
    Et qui mourront comme ils sont morts!

    Victor Hugo

  • Tel est pris....

    Brioux (79) : un chien retrouve la trace d’un délinquant en reniflant une pierre lancée sur des pompiers

    Un jeune de 19 ans va comparaître ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Niort. Il a reconnu avoir attiré des pompiers dans un guet-apens, dans la nuit de lundi 30 à mardi 31 octobre, à Brioux-sur-Boutonne dans les Deux-Sèvres.

    Les pompiers appelés pour des feux de poubelles arrivent sur place vers 1 heure du matin mais ne peuvent pas s’approcher plus du lieu d’intervention. Des conteneurs leur barrent la route. C’est à ce moment-là que leur camion se fait attaquer. Quelqu’un leur jette une grosse pierre sur le véhicule. Personne n’est blessé. Pour confirmer l’identité de l’auteur des faits, les enquêteurs font appel – et c’est exceptionnel – à la brigade cynophile de Poitiers.

    Le chien renifle la pierre lancée sur le camion de pompiers et en quelques minutes remonte la trace du suspect sur un kilomètre, jusqu’à son domicile. Derrière la porte se trouve un jeune homme de 19 ans, un garçon en rupture, dans une situation familiale compliquée, déjà condamné quand il était mineur par le tribunal pour enfants

    France Bleu

  • Dernières nouvelles de la grippe 2017-2018

     

    La grippe s’annonce sévère et le vaccin peu efficace, surtout chez les plus âgés

    Sur la base des statistiques venues d’Australie, la grippe 2017-2018 devrait être sévère dans l’hémisphère nord

    L’Australie a recensé entre mai et septembre 2017 au moins 170 000 cas de grippes, soit près de deux fois et demi de plus qu'au cours de la même période de 2016. Au moins 72 personnes sont décédées, dont une petite fille de huit ans.

    Il existe trois grands types de virus de la grippe: A, B et C que l’on distingue selon la nature de certaines de leurs protéines internes. Les plus inquiétants sont les virus A car ils sont à l’origine des grandes pandémies comme celles de 1918 et de 2009.

    Les virus A sont à leur tour classés en sous-types, en fonction de la composition des deux protéines qui hérissent leur surface, l’hémagglutinine et la neuramidase (le H et le N du virus comme dans H1N1).  Il existe au moins 16 variétés ou sous-types d’hémagglutinine, notées H1 à H16, et 9 sous-types de neuramidase (N1 à N9).

    Le virus qui a le plus circulé en Australie cette année est de type H3N2; c’est la même souche qui avait sévi en Europe en 2016-2017 et les spécialistes s’attendent à ce qu’elle prédomine encore au cours de l’hiver 2017-2018 dans l’hémisphère nord.

    Le vaccin contre la grippe est notoirement moins efficace que d'autres vaccins (comme le vaccin contre la rougeole) parce que les virus de la grippe mutent facilement. Le vaccin administré l’an dernier aux Européens s’est révélé très peu efficace contre la souche H3N2, et même totalement inefficace chez les plus de 65 ans.

    L’efficacité du vaccin antigrippal est généralement plus basse chez les personnes âgées, parce que leur système immunitaire répond moins bien à l’immunisation que celui des personnes plus jeunes.

    Les données diffusées dans Eurosurveillance le 26 octobre 2017 et qui couvrent la période du 1er mai au 24 septembre 2017 montrent que la vaccination a eu zéro efficacité chez les Australiens de plus de 65 ans. L’efficacité moyenne pour l’ensemble de la population s’établit à 33% : cela signifie que sur 100 personnes vaccinées contre la grippe, 67 ont quand même été infectées. Si l’on ne considère que l’infection par le virus A (H3N2), majoritaire, l’efficacité moyenne du vaccin n’a été que de 10%.

    Si les conditions dans l’hémisphère nord cet hiver reflètent celles qu’a connues l’Australie, alors il faut se préparer à un pic épidémique comme il en survient tous les 10-15 ans. Les personnes les plus fragiles sont les enfants de moins de 5 ans, les personnes avec des maladies chroniques (du cœur, des poumons…) et les plus de 65 ans.

    Le vaccin risque de peu protéger, voire pas du tout pour les plus âgés (qui ont été l'hiver dernier particulièrement sensibles à la souche H3N2). Le Dr Peter Collignon qui a travaillé avec l'OMS sur la prévention de la grippe considère malgré tout qu'une protection même faible est "bonne à prendre". Mais il faudra, que l'on soit ou pas vacciné, adopter des mesures qui ont prouvé leur efficacité : ne pas manquer de vitamine D, éviter de sortir en période d’épidémie, se laver régulièrement les mains, porter des gants à l’extérieur, voire un masque de type N95.

     

  • L’écriture inclusive, la nouvelle fabrique des crétin·e·s

    En matière de sexisme, tout a-t-il déjà été dénoncé? Arriverions-nous trop tard? Non ! Il reste la langue. On la savait sexiste, surtout le français qui ne connaît pas le neutre et pour lequel le masculin l’emporte sur le féminin. Mais on n’avait encore rien entrepris là-contre.

    Alors voici l’écriture inclusive. On avait bien essayé les formulations épicènes (usage de mot désignant aussi bien le masculin que le féminin), et d’autres moyens, comme de préciser " le ou la ", etc. Mais l’objectif n’était alors que d’ajouter une précision sans trop alourdir les phrases. Car il peut se trouver nécessaire de marquer dans le langage le genre auquel on fait allusion, par exemple pour éviter les malentendus. C’est souvent le cas des contrats et plus généralement des textes juridiques où la clarté doit l’emporter sur toute autre considération.

    L’exclusion à portée de clavier

    Si, dans le langage parlé, il est aisé de préciser les genres sans alourdir l’expression, dans l’expression écrite, il en va tout autrement. D’où l’invention d’une écriture spéciale dite inclusive qui ajoute à l’écriture des mots des terminaisons nouvelles, séparées par un point médian (à mi-hauteur, alt-0183 ‘‘·’’).

    Il est inutile de répéter ici ce qu’ont très bien dit Raphaël Enthoven, Alain Finkielkraut, Alain Bentolila et bien d’autres et les féministes, dont nous sommes, n’ont rien à gagner à ce petit jeu, risible, de démolition de la langue écrite. Et l’échec est assuré, même si les pétroleuses (qui ne sont pas des pétroleurs au féminin) du féminisme réussissent à institutionnaliser l’écriture inclusive, conformément aux directives du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes. L’échec est assuré, car la langue, y compris la langue écrite, qui n’est nullement un simple redoublement de la langue orale, est une réalité vivante qui n’évolue que selon ses propres lois et non par décret. Lui ajouter, de l’extérieur, des sophistications alambiquées est impossible.

    Déjà une réalité…

    Mais voici que cette écriture entre à l’école, par la voie d’un grand éditeur, Hatier, dont un manuel destiné au CE2 a décidé d’adopter les conventions du Manuel d’écriture inclusivedu Haut Conseil cité plus haut. On peut se demander quelles sont les motivations de cet éditeur… Ce manuel aura du mal à se vendre, car il s’agit d’un ouvrage militant et non d’un simple ouvrage scolaire.

    À supposer, cependant, que cette écriture devienne obligatoire, les erreurs seraient-elles des "fautes" d’orthographe ou des délits passibles de la correctionnelle pour incitation à la haine sexiste? À quand des élèves de CE2 au tribunal des mineurs pour délit orthographiques?

    Manipulation des masses

    Alors, puisqu’il s’agit d’école où des enfants se verraient imposer des options partisanes, plusieurs remarques sont à formuler.

    1. Les enfants des écoles sont de plus en plus, sous couvert d’égalité, une masse de manœuvres pour des intérêts partisans particuliers et spécifiques. On a déjà vu les ABCD de l’égalité derrière laquelle pouvait se lire cette fameuse théorie du genre qui n’existe pas. On a vu la promotion de la famille homoparentale et il n’y a pas jusqu’aux rythmes scolaires qui, sous couvert de respecter les rythmes naturels font entrer des associations un peu particulières dans les écoles. L’écriture inclusive est une tentative de même nature.
    2. Pédagogiquement, pourtant l’écriture inclusive rend la lecture particulièrement difficile à un âge où beaucoup d’enfants lisent encore très mal et l’idée que c’est seulement une petite habitude à prendre ne vaut que pour les lecteurs confirmés et nullement pour les enfants qui apprennent à lire.

    — Elle rend la lecture particulièrement difficile notamment pour ceux qui, à cet âge, et ils sont nombreux, continuent d’oraliser intérieurement dans leur lecture silencieuse.

    — Elle rend la lecture à haute voix totalement chaotique. Exemple: l’élève doit deviner que "agriculteur·rice·s" se lit agriculteurs agricultrices et non agriculteurrice.

     — Elle embrouille l’orthographe. Exemple, pris dans ce manuel, "Les artisan·e·s". Il devra d’abord apprendre la fonction particulière du point médian qui fait que le s s’ajoute au masculin comme au féminin. Il n’en reste pas moins que l’élève voit écrit "les artisan" sans le s. C’est de la cacographie. Et ici, le coup des "moutonsssss" ne pourra pas fonctionner même avec le talent de Louis Jouvet.

    1. Ce manuel, qui initie aux sciences et notamment à l’histoire (histoire de nulle part) avoue benoîtement avoir faussé les choses pour qu’il y ait parité. Autant d’hommes que de femmes. Il faut réécrire l’histoire.
    2. Toutes les subtilités orthographiques (accord avec le substantif le plus proche) sont totalement hors de portée des élèves et l’effet de contribution " à une éducation à l’égalité entre tous " risque fort de n’être pas très visible.
    3. En revanche le conflit avec la majorité des parents – ils ne sont pas tous boboïsés – risque bien d’être frontal et l’exode vers l’enseignement privé relancé.

    Histoire d’en rire…

    Faire payer à la langue d’avoir une histoire n’est pas sans conséquence. La féminisation des mots ne rend pas toujours service aux femmes. Lorsqu’on dit écrivaine, on signale plus la femme que l’écrivain. Sans compter que les amoureux de la langue ne peuvent manquer de trouver le mot écrivaine assez laid et de connotation discutable, appelant, par assonance, une vaine écrivaine. Sans compter les hautes fonctions qui résistent à la féminisation et optent pour le neutre écrit au masculin. On dit Mme la Directrice de l’école maternelle, mais Mme le Directeur des enseignements supérieurs (si c’est le cas). Mme la Maire et non Mme la mairesse…

    Et puisqu’il s’agit d’école, il faut faire attention aux glissements de sens dans les reformulations épicènes. Les droits humains, par exemple, ne sont pas la même chose que les Droits de l’homme dont la formulation épicène serait plutôt droits naturels. " Droits humains ", est un anglicisme dont on peut se demander s’il ne serait pas une manière de faire oublier les droits de l’homme.

    Revenons à l’école. Au lieu d’introduire des écritures disruptives, on serait plus efficace d’expliquer que notre langue a une histoire, que le masculin ne l’emporte sur le féminin que dans la grammaire et que ce ne doit pas être le cas dans les domaines sociaux, que le genre neutre n’existe pas en français, qu’une pierre est de genre féminin, mais un caillou masculin. En outre, homo, ce n’est pas vir. Et, pour les plus grands, qu’une péripatéticienne, si elle peut être l’amie d’un péripatéticien, n’en est pas pour autant philosophe.

    Car au final, il vaut mieux en sourire et faire le gros dos en attendant que ça passe.

    Jacques Billard

    https://www.causeur.fr/ecriture-inclusive-orthographe-ecole-hatier-147170

    Le problème vient à mon sens de cette "chosification" des mots qui prend le mot détaché de son contexte et à la lettre, car, quand on est vraiment Français de souche avec la langue française comme langue maternelle, on reconnait le sens du mot en regard du contexte et cela ne pose pas problème.

    Cette " chosification " se retrouve dans les nombreux procès et crises de colère de certains illuminés qui sont incapables de saisir le sens profond d’une phrase prise dans son ensemble. A moins que ces sires aient pris un malin plaisir pour ne pas dire un plaisir malin (ce serait les reconnaître comme intelligents) à extraire, en l’isolant de son contexte, le mot incriminé.

    Ces imbécillités ne seront pas suivies d’effet…. Pour ma part, je n’ai et ne changerai jamais mon vocabulaire ni ma grammaire.

     

     

  • Petite réflexion personnelle....

    Dans le vaccin de la grippe il y a toujours 3 souches plus une ou deux secondaires...

    Cette année, il y a Brisbane et Hong-Kong... Brisbane c'est un virus grippal un peu dangereux.

    Mais, le Hong-kong, alors là!!!! je tremble pour vous (perso, cela fait 20 ans que je me fais vacciner...)

    Figurez-vous qu'en 1968, (j'avais 18 ans entre parenthèses), il y a eu, en France, plus de 50.000 morts... c'était le Hong Kong...

    Il faut savoir qu'avant que les crétins anti-virus ne foutent la trouille à toute la population, la grippe faisait, il y a environ 5 ou 6 ans dans les 3000 à 4000 décès, surtout des personnes âgées et DES BÉBÉS...

    Il y a trois ans, elle a fait 10.000 morts l'année suivante, 11 000 (l'année où les épidémios s'étaient trompés sur le virus qui allait frapper), et l'an passé, vous l'avez entendu, 14 000 morts dont 75% des décédés étaient âgés mais n'AVAIENT PAS FAIT LE VACCIN!

    Les autres décès... pas que des bébés, croyez moi, des tas de jeunes!...

    ceux qui croient qu'ils sont increvables comme croient tous les jeunes (je suis passée par là, moi aussi).

    Bon, chacun voit midi à sa porte... je voulais juste vous avertir...

    Ensuite, si vous suivez des tas de cortège funéraires... c'est votre problème.

  • À la retraite, ce grand-père câline et rassure les nouveau-nés hospitalisés

    Depuis douze ans, et deux fois par semaine, David Deutchman vient à l’hôpital pour enfants d’Atlanta afin de s’occuper bénévolement des nouveau-nés hospitalisés.

    Ancien employé dans le marketing, désormais retraité, le grand-père est un rayon de soleil pour le personnel de l’hôpital pour enfants d’Atlanta. Il profite de sa retraite pour cajoler et rassurer les bébés hospitalisés en soins intensifs. Il les porte, les câline, leur parle et leur chante des chansons.

    Selon ses propres dires, il n’a jamais ressenti autant de satisfaction dans un travail depuis qu’il fait cela: " Ma récompense, c’est de faire quelque chose qui a du sens. Quelque chose qui compte pour le bébé. Et apparemment, il apprécie cela. Certains de mes amis me demandent ce que je fais ici. Je leur réponds que je porte des bébés, que parfois ils vomissent ou urinent sur moi et que c’est génial. Ils me demandent pourquoi je fais ça. Ils ne saisissent pas le genre de récompense qu’on peut avoir en cajolant un bébé comme celui-ci".

    Faisant preuve d’un altruisme et d’un dévouement exceptionnel, qui semble si naturel pour lui, David Deutchman a été surnommé "Baby Buddy" (soit "le pote des bébés") par le personnel de l'hôpital.