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Plus c'est débile, plus c'est gros, plus ça passe!
Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais on a des hommes (et des femmes) politiques en France qui passent leur temps à dire n’importe quoi et qui — ensuite — viennent s’excuser d’avoir dit n’importe quoi ! Ils sortent leurs bourdes et, devant l’indignation qu’elles provoquent, expliquent — après coup — qu’ils ont tenu des propos sans doute excessifs, qu’ils n’ont pas mesuré les conséquences de leurs paroles… qu’ils ne voulaient pas blesser… que leurs propos ont été mal compris etc.
Ces êtres supérieurs, s’ils ne contrôlent pas leur cerveau et s’ils ne mesurent pas ce qu’ils disent, alors qu’ils fassent un autre métier et qu’ils s’en aillent.
Point final: dehors et au suivant.
Gouverner notre beau pays de France exige pour moi davantage de compétences que faire le pitre dans toutes les émissions télévisés (aux si beaux noms ou titres si tellement pas français du tout: talquechaud, qu'ils disent) où ils se précipitent pour montrer leur grand amour des sans-dents et où ils croient exceller.
Hélas pour notre intelligence (et curieusement pourtant), il semble que le bon Peuple de France, vous savez la veuve de Carpentras… si bien anesthésié, décérébré et chloroformé par la médiacratie gauchiasse, trouve cela plutôt drôle et sympa. Regardez les taux d'audiences… un peu trafiqués, non?
Juste un petit rappel du lycée de Versailles:
Ségolène Royal avait à l’époque présenté des excuses à Jose Luis Zapatero, président du gouvernement espagnol, non pas pour ses propres bourditudes à elle, mais pour Nicolas Sarkozy afin de “mettre un coup d’arrêt à ses dérapages verbaux permanents“.
Jack Lang avait aussitôt demandé à ses amis espagnols d’excuser Ségolène après les “excuses“ qu’elle avait formulées auprès de José Luis Zapatero: “excusez-la, pardonnez-lui!" avait demandé l’ancien ministre socialiste à ses amis espagnols, sous-entendu, elle ne sait vraiment pas ce qu’elle dit, c'est une sorte de mégère non apprivoisée et non apprivoisable…
Manuel Valls aurait tenu des propos excessifs à l’égard des Roms. Le Premier ministre a annoncé que le ministre de l’intérieur se serait excusé pour sa maladresse mais le cabinet de Manuel Valls aurait finalement démenti les excuses: il ne se serait en fait pas excusé…
Madame Trierweiler, l'ancienne compagne, (non pacsée et non aimée de toutes les folles des pipoles mais qui ont changé d'avis lorsqu'elle a été jetée comme un mouchoir en papier) de François Hollande s’était excusée de son côté pour le message qu’elle avait posté sur Twitter en soutien d’Olivier Falorni qui était opposé à Ségolène Royal, lors du second tour des élections législatives.
Arnaud Montebourg avait, lui, présenté ses excuses à Florence Woerth, la femme de l’ancien ministre du Budget, pour des propos contre lesquels elle avait porté plainte en diffamation…
Jean-François Copé avait présenté ses excuses à Mohammed Moussaoui, le Président du Conseil Français du Culte Musulman qui avait été heurté par ses propos sur les petits pains au chocolat que c'est la vérité si je ment! mais, il faut se prosterner ventre à terre et cul levé comme d'autres soumis à la connerie humaine; il est bien entendu que c'est à Cuba qu'on fait du cacao.
François Baroin, ancien ministre de l’Économie, en avait profité à l’époque pour s’excuser, au nom de l’UMP, de l’histoire des “pains au chocolat“ de J.-F. Copé qu’il considérait comme une “insulte“ envers qui ou quoi, on ne sait pas mais il faut faire semblant d'être contre pour ne pas vexer des socialos et autres pré-empteurs de pré-imposture du pognon que verse à grand seaux les administrations territoriales et autres administrations locales et ministérielles ou professionnelles pour obtenir la paix dans les ménages ou les quartier zisolés; quand à la paix des méninges des ménages bien de chez nous, c'est bien foutu, tant qu'il y a 5 millions de chômeurs qui, comme on est bien au courant, doit baisser bientôt puisque le Flamby s'abaisse à nous le dire sans cesse, que veux-tu, toi, sans dents; c'est dit, c'est promis, je ne me représente pas, non mais, puisque je vous le dis!
Philippe Marini s’était à l’époque excusé d’avoir déclaré qu’il “aurait préféré qu’en 1867 Napoléon III et Bismarck aient un entretien qui débouche autrement et que le Luxembourg n’existe pas“. Sa bourde, qui s’ajoutait à une déclaration de Nicolas Sarkozy, suggérant au Luxembourg d’accueillir des Roms, avait failli provoquer une guerre diplomatique entre la France et le Luxembourg. Et François Fillon, premier Ministre, et le Quai d’Orsay avaient dû présenter leurs excuses et se désolidariser du sénateur UMP. Il y a toujours des gens qui veulent refaire l'histoire de France, la preuve dans tous les manuels scolaires de nos chères têtes blondes.
Jacques Séguéla s’était lui emporté sur les ondes de “Radio Néo“ en traitant Audrey Pulvar de “salope“. Il s’était excusé dans une lettre à la journaliste. Mais on s'est bien que ceux qui traitent les femmes de salope voudraient bien qu'elles les rejoignent dans leur pieu, quand ils se tapent la branlette en pensant à elles avec, quand même, je l'ai mérité, sa montre au poignet.
François Bayrou, dans l’affaire Duflot-Valls sur les Roms, avait quant à lui déclaré sur France 24: “En tant que Président de la République, si j’avais soutenu le ministre de l’Intérieur, j’aurais demandé à Mme Duflot de s’excuser ou de quitter le gouvernement […] C’est le minimum de responsabilité“. Et on est bien content qu'il ne sera jamais président monsieur de la Tournette qui tourne, comme la girouette du côté où le vent souffle et qui, fout le camp comme on l'appelle comme le chien de Jean de Nivelle m'a raconté Cadet Roussel.
Ce Bayrou, en plus, il aurait demandé à Duflot de s’excuser ou de quitter le gouvernement. Sous-entendu si on s’excuse on peut rester au gouvernement! Tous ces gens, c'est comme le serpent Ouroboros, ils tournent en rond en se mordant la queue!
Si on dit des conneries de ce genre, on doit quitter le gouvernement: parce qu’on montre qu’on ne contrôle ni ses nerfs, ni ses propos, ni le poids des mots, ni son cerveau… Et donc, dans ces conditions, on ne peut évidemment pas participer au gouvernement de la France.
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L'argent de vos impôts
JEAN-CHARLES TAUGOURDEAU.
Le député républicain de Maine-et-Loire est le seul à avoir interrogé Manuel Valls, hier, lors des questions au gouvernement, sur l’"amendement Mediapart" adopté par les députés, qui donne à la presse en ligne le même taux de TVA que la presse papier.
Il a qualifié cela de "cadeau de Noël de 4,1 millions d’euros de fraude fiscale".
Fleur Pellerin, ministre de la Culture, lui a répondu en justifiant cette amnistie par la nécessité de garantir "la liberté de la presse".
Pour rappel, ce "petit cadeau" intervient un mois après que Fleur Pellerin eut privé Valeurs actuelles des aides publiques de l’État à la presse.
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10 Décembre
10 décembre 1901. Attribution des premiers prix Nobel. L’inventeur de la dynamite, Alfred Nobel, avait stipulé dans son testament que des prix soient attribués annuellement, avec son héritage, à des personnes ayant contribué de façon significative au bien de l’humanité. Les prix sont distribués le jour anniversaire de la mort d’Alfred Nobel, le 10 décembre.
10 décembre 1964. Martin Luther King reçoit le prix Nobel de la paix (à 35 ans) à Oslo, en Norvège, pour son combat non violent contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Le pasteur baptiste est le plus jeune lauréat du prestigieux prix. Un an auparavant, il avait prononcé son célèbre discours « I have a dream », devant 25 000 personnes.
10 décembre 1903. Les Curie partagent avec Henri Becquerel le prix Nobel de physique, après avoir découvert le polonium et le radium. Marie Curie est la première femme à décrocher la distinction suédoise.
AUJOURD'HUI 10 décembre:
Cérémonie de remise des différents prix Nobel, à Stockholm et Oslo.
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Si votre intelligence vous y pousse.....
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C'est la fête à la souris!
9 décembre 1968.
La première souris.
Lors de la conférence des sociétés d’informatique à l’université de Stanford, en Californie, Doug Engelbart et son équipe font la démonstration pour la première fois de leur dernière invention : la souris d’ordinateur.
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Journeaux, journalistes.... les idiots utiles en France
Malinformation, Sédentarisme culturel et Obésité intellectuelle
"La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité". David Bohm, 1977
Médias et Information/ il est temps de tourner la page.
Lisez bon sang!, vous apprendrez à réfléchir et à ne pas continuer à vivre comme des moutons!
Pour les faignants, car l'article est très long….. la conclusion
Quelle est la gravité de la situation?
Je vois partout et tous les jours des formes d’indécence s’étaler, des charlatanismes s’exprimer, des horreurs se banaliser.
Je vois des tas de magazines " sérieux" publier régulièrement une rubrique qui annonce votre avenir selon votre date de naissance. Je connais des ministres condamnés pour propos racistes. Je vis dans un pays qui voue un culte à Napoléon Bonaparte. Je vois les journalistes se montrer révérencieux envers George Bush et Tony Blair. J’entends des gens "cultivés " et "intelligents "prôner des "guerres humanitaires" - et je me demande ce qu’ils penseraient d’un nouveau concept de mon invention, celui de " torture thérapeutique"...
Voir couler plus d’encre sur une femme portant un voile que sur une bombe larguée sur elle au nom de la société succinctement décrite plus haut me donne envie de vomir.
L’absurdité de la situation et la pauvreté de notre perception sont telles que des lois sur les médias récemment adoptées en Amérique latine (toujours une longueur d’avance sur nous) visant à élargir les espaces de liberté, à donner de la substance à la liberté d’expression, sont fréquemment qualifiées ici - y compris par des militants de gauche - de lois " liberticides ". Est-il possible d’être plus " à côté de la plaque " que ça?
Le combat des médias n’est pas un combat annexe/ il est devenu le combat. Certains l’ont bien compris et n’hésitent pas à acheter un journal qui perd des millions d’euros par an. Se pose-t-on assez souvent la question de savoir pourquoi un capitaliste investirait des millions d’euros dans une affaire qui perd de l’argent alors que dans le même temps il n’hésitera pas à fermer une usine qui en gagne, mais pas assez? Par amour de la démocratie et du pluralisme de la presse, peut-être?
L’information est une forme d’éducation, elle forge notre vision du monde. Mais accepterions-nous que nos enfants à l’école soient éduqués par des enseignants sortis d’on ne sait où, formés dans des " écoles de journalisme " privées et indépendantes de toute tutelle, même mineure, indéboulonnables quel que soit leur degré d’incompétence?
Est-il normal d’exiger le non-cumul des mandats d’un élu (qui, après tout, est élu) tout en acceptant sans broncher l’ubiquité des journalistes? Est-il normal de limiter le nombre de réélections d’un élu (qui, après tout, est élu) tout en acceptant sans broncher de voir les mêmes têtes partout sur toutes les chaînes et radios pendant vingt ans et plus? Est-il normal que le premier abruti venu muni d’une carte de presse puisse qualifier Chavez de dictateur dans un journal distribué gratuitement à des dizaines de milliers d’exemplaires ou sur un site Internet pseudo-alternatif?
N’y aurait-il point de nom pour désigner un système où un pouvoir avant tout économique et commercial et non-élu supplanterait celui des représentants du peuple?
Forts du leurre que constitue une certaine facilité sur Internet, nous avons de facto abandonné avec armes et bagages le champ de bataille des médias. Champ à partir duquel l’adversaire nous bombarde en toute... liberté.
Alors, si combat pour le pouvoir il doit y avoir, autant viser le véritable pouvoir. Car ce ne sera qu’à partir de ce moment-là, et de ce moment-là seulement, que nous pourrons dire que nous avons enfin tourné la page.
Viktor Dedaj
"J’aurais pu faire plus court, c’est vrai"
http://www.legrandsoir.info/medias-et-information-il-est-temps-de-tourner-la-page.html
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Rire, cela fait du bien