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  • U ber, U ber, ça me rappelle quelque chose...

    Elle appelle son fils Uber après avoir accouché dans un VTC

    Par valeursactuelles.com  

    Insolite. Alors qu’elle se dirigeait vers l’hôpital en véhicule de tourisme avec chauffeur (VTC), une femme a accouché dans le véhicule, et décidé de donner à son fils le nom de la compagnie.

    Le Times of India rapporte cette semaine une histoire insolite qui devrait réjouir les publicitaires d’Uber. Après avoir essayé d’obtenir une ambulance en vain, une jeune indienne sur le point d’accoucher a commandé un véhicule à la compagnie de VTC pour la conduire à l’hôpital.

    N’ayant pas eu le temps d’atteindre l’établissement à temps, le chauffeur s’est improvisé médecin et a aidé la jeune femme à mettre au monde son fils. Cette dernière a donc choisi de remercier le chauffeur et la compagnie de VTC en nommant son fils… Uber

  • Et, ce n'est pas plus mal!

    L’Assemblée nationale retoque finalement "l’amendement Mediapart"

    Fiscalité. Les sites de presse en ligne, principalement Mediapart et Arrêt sur Images, soumis à un redressement pour s'être auto-appliqués un taux de TVA réduit ne bénéficieront pas, finalement, d’une amnistie fiscale, les amendements en ce sens ayant finalement été rejetés par l’Assemblée en deuxième lecture.

    Coup dur pour Mediapart et Arrêts sur Images. Après s’être auto-appliqués un taux de TVA réduit de 2,1% au lieu des 19,6% réglementaire sur la période 2008-2014 (la loi a depuis févier 2014 évolué en ce sens)arguant estimant que la presse en ligne devait bénéficier du même taux réduit que la presse papier, les deux médias pensaient échapper à des redressements fiscaux de respectivement 4,1 millions et 540 000 euros après que des amendements adoptés en première lecture. Une " amnistie fiscale " adoptée de justesse, à l’époque par l’Assemblée (11 voix contre 10).

    Mais finalement, l’Assemblée nationale a révisé son jugement en deuxième lecture et a finalement retoqué cette amnistie fiscale, défendue par des députés écologistes et socialistes, par 40 voix contre 22, le secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert les jugeant "inapplicables", notamment parce que "la rétroactivité sur la TVA est source d'inégalité", car d'autres sites ont appliqué le taux normal, ce que "le Conseil constitutionnel ne manquerait pas de relever".

    Le président de la Commission des finances (LR), Gilles Carrez abonde, estimant qu’une telle rétroactivité fiscale en matière de TVA "était sans précédent".