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fille - Page 163

  • Le rire jaune des smicars!

    Un délégué syndical de l’Opéra de Paris épinglé pour une facture téléphonique exorbitante

    Après l’Ina et les frais de taxi d’Agnès Saal, c’est au tour de l’Opéra de Paris et de l’ardoise téléphonique de J. A. d’être au cœur de la polémique. Ce délégué syndical de la FSU a en effet utilisé son mobile professionnel pendant ses vacances d’été. Le montant de la facture : 52 000 euros, révèle le Parisien. “C’est une carte téléphonique fournie par l’Opéra aux organisations syndicales. Je n’ai pas été informé du surcoût exorbitant de son utilisation à l’étranger“, a-t-il tenté de se justifier auprès du quotidien. Une enquête interne est actuellement en cours.

     

    ... et en plus, il nous prend pour des cons!...

  • La belle France!

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  • Envoyé par une amie: le pompom rouge de la conn.....

    Les données: un horodateur avec des consignes en français, et dedans un petit papier scotché donnant d'autres consignes, toujours en langue supposée française

    Il donne le droit de se garer gratuitement pd 1 h30, à condition de faire éditer un ticket que l'on porte religieusement dans sa voiture.

    Cela part donc d'un bon sentiment : la gratuité pour tous. (que l'on ait besoin de revenir plusieurs fois/ jour en "coupé", ne leur est  pas venu à l'idée... faire par exemple 3 petits " sauts" d'une demi-H)

    Le problème: les consignes données sur le papier collé dans l'horodateur sont incompréhensibles

    on demande d'entrer la plaque d'immatriculation en entier , puis d'appuyer deux fois pour avoir un ticket.

    C'est la que cela devient drôle. confronté à la " bête", le citoyen obéissant, râle un petit coup, va vérifier sa plaque d'immatriculation,

    revient et rentre consciencieusement les chiffres et les lettres ( et recommençant quand il s'est trompé )

    La bestiole refuse de marcher... horreur.

    attroupement devant l'horodateur.. chacun y allant de son commentaire et émettant des suggestions. (et p'et que si on faisait comme ci, ou bien comme ca ?)

    les uns s'arrachant les cheveux (mais P... j'ai bien tapé TOUTE ma plaque, comme ils le demandent... comprends pas), appuyant frénétiquement deux fois de suite assez vite ( ça,  faut pas faire )

    La queue peut devenir assez grande, jeunes et vieux dans la panade.

    Suffit qu'un vieux de la vieille arrive (qui a déjà dompté la bestiole par le passé) et explique qu'il ne faut taper

    QUE les chiffres.. (entre temps, les gens rendus fous, ont oublié les chiffres et retournent vérifier à leur voiture...

    si peu qu'elle soit loin et la personne un peu "âgée", boiteuse ou je ne sais quoi.... cela fait bien du tintouin... il faut bien reprendre la queue à la fin... )

    D'ailleurs quand l'attroupement devient assez grand, et qu'il fait encore jour, il y a toujours quelqu'un qui obligeamment et avec grande urbanité, se " déroute" et vient expliquer comment faire

    Première étape franchie

    MAIS ensuite,  en général, les gens tapent ensuite 2 fois sur le bouton vert, rapidement..

    la, on a beau leur expliquer, qu'il faut taper une fois, attendre un peu ( pifométriquement quelques secondes,  on ne sait pas trop pourquoi , pour laisser à l'horodateur le temps de réfléchir  ou de mettre en route ses engrenages ? ).... et appuyer de nouveau.. de jeunes énergumènes encore toniques tapent comme sur un mulot, clic clic...et la bete se bloque, refuse de leur imprimer un ticket

    et c'est reparti pour un tour..  le jeune s'énerve, tape, clique... rien...

    La queue s'agrandit, les gens parlent entre eux, contents d'avoir compris une partie du problème et d'entrapercevoir une solution ainsi qu'une possible délivrance. (mais b... pourquoi qu'il n'imprime pas le ticket, maintenant que je n'ai tapé QUE les chiffres...." ben on vous a dit de ne pas appuyer trop vite sur la pov bete " )

    ca crée du lien social, c'est chouette... personne n'a jamais vu un pareil horodateur.. on en vient à comparer les horodateurs de diverses villes, et cela fait réviser la géographie. ( ah, ben dans telle ville, il y a un horodateur bizarre, mais pas autant que celui ci.... )

    l'été, il parait qu'il y a quelques SDF (ou identifiés comme tels ) qui sont prés de l'horodateur , bien charmants, et qui expliquent quoi faire.

    Les horodatés libérés leur donnent une petite pièce, du coup...

    cet ap midi, j'ai eu à l'utiliser... cela fait 3 fois que je l'utilise, donc je commence un peu à maitriser ( il faisait nuit et il pleuvait, pas un chat en vue )

    J'ai eu des sueurs froides cependant à un moment.

    Je tape mon numéro, je clique une fois sur le bouton vert... et je m'aperçois que l'on me demande si je veux payer par carte bancaire ou en espèces....!

    j'en suis restée pantoise.. 4e dimension... " et je fais quoi, maintenant, je croyais que c'était gratuit... ca a changé ?

    Puis bravement, j'ai appuyé une deuxième fois sur le bouton vert...

    Et youpi, j'ai eu un ticket...

    je pense que réellement, l'administration veut notre bien.. si l'on considére que cet horodateur fait

    - faire de la marche (plusieurs allé retour à la voiture )

    - travailler la mémoire (plan anti Alzheimer )

    - test de lecture (voir si on sait lire)

    - tester nos capacités d'adaptation et d'imagination face à des consignes erronées ( c'est bien plus fort qu'un test de QI )

    - apprendre à rester zen et à se laisser flotter

    - voir si les contrariétés jouent sur la mémorisation

    - créer plein de liens sociaux, entre autochtones, touristes, SDF... il se passe toujours quelque chose de rigolo.

    J'ai suggéré que l'on donna quelques cours d'anglais aux " SDF" estivaux afin qu'ils soient en mesure d'aider au mieux les vacanciers étrangers.

    Je suppose qu'il est absolument impossible d'aller changer le bout de papier donnant des instructions fantaisistes... sinon, cela aurait été fait depuis longtemps, bien évidemment.

    (une petite traduction en anglais serait bienvenue cependant...  pour nos touristes, parce qu'en plus, s'il faut tout leur expliquer en anglais, je ne vois pas ce que cela va donner)

  • Le ciel en a de bien belles!

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  • Cé fransé bocou

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    Carrefour: et ils vendent dans le monde entier avec du bon Français de France!

     

    vu sur

    bescherelletamere.fr

  • Sauter en chantant!

    20 octobre 1973. Inauguration de l’opéra de Sydney par la reine Élisabeth II. Dessiné par l’architecte danois Jørn Utzon, en forme de coquillages voûtés, il est le symbole de la ville australienne.

    20 octobre 1964. Les Rolling Stones donnent leur premier concert en France, à l’Olympia.

    20 octobre 1968. Le chanteur, acteur, écrivain et parolier français Maurice Chevalier (1888-1972) présente son ultime récital, sur la scène du Théâtre des Champs-Élysées, après soixante-six ans de carrière.

    20 octobre 1968. Aux jeux Olympiques de Mexico, l’Américain Dick Fosbury révolutionne la technique du saut en hauteur, en se présentant dos à la barre dans toutes ses tentatives, jusqu’à franchir 2,24 mètres et gagner l’or. Il invente donc le Fosbury Flop (ou rouleau dorsal au lieu de ventral).

  • Il n'est pas Charlie!!!

    Un agent des fraudes s'arrête dans une ferme de la Drôme pour parler à un fermier. "Monsieur, je dois inspecter votre ferme à la recherche d’une culture illégale de drogue"

    Le fermier répond "O.K. mais n'allez pas dans ce champ là‐bas," en pointant le lieu du doigt.

    L'inspecteur explose:" MONSIEUR, J'AI L'AUTORITÉ DU GOUVERNEMENT!"

    Prenant sa carte tricolore dans sa poche arrière, il la brandit fièrement sous les yeux du fermier,

    "VOYEZ-VOUS ÇA? CETTE carte SIGNIFIE QUE JE PEUX ALLER OÙ JE VEUX, ET CELA SANS JUSTIFICATION. AVEZ‐ VOUS COMPRIS? SUIS‐JE ASSEZ CLAIR?"

    Le fermier hoche la tête poliment et retourne à ses corvées.

    Quelques minutes plus tard le fermier entend des cris et des hurlements et voit l'inspecteur courir à toute allure, pourchassé par CHARLIE le taureau.

    À chaque enjambée l’animal gagne du terrain sur l'inspecteur, et avant qu'il puisse atteindre la clôture, le taureau l'aura sûrement rattrapé. Sur ce, le fermier laisse tomber ses outils, court vers la clôture et se met à crier à l'inspecteur:

    "TA CARTE, MONTRE-LUI TA CARTE!"

  • La France!

    Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs;l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis. L'homme, Messieurs, ne s'improvise pas. La nation, comme l'individu, est l'aboutissant d'un long passé d'efforts, de sacrifices et de dévouements. Le culte des ancêtres est de tous le plus légitime; les ancêtres nous ont faits ce que nous sommes.

    Un passé héroïque, des grands hommes, de la gloire (j'entends de la véritable), voilà le capital social sur lequel on assied une idée nationale. Avoir des gloires communes dans la passé, une volonté commune dans le présent;avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple. On aime en proportion des sacrifices qu'on a consentis, des maux qu'on a soufferts. On aime la maison qu'on a bâtie et qu'on transmet. Le chant spartiate: "Nous sommes ce que vous fûtes;nous serons ce que vous êtes" est dans sa simplicité l'hymne abrégé de toute patrie.

    Dans le passé, un héritage de gloire et de regrets à partager, dans l'avenir un même programme à réaliser; avoir souffert, joui, espéré ensemble, voilà ce qui vaut mieux que des douanes communes et des frontières conformes aux idées stratégiques; voilà ce que l'on comprend malgré les diversités de race et de langue. Je disais tout à l'heure: "avoir souffert ensemble"; oui, la souffrance en commun unit plus que la joie. En fait de souvenirs nationaux, les deuils valent mieux que les triomphes, car ils imposent des devoirs, ils commandent l'effort en commun.

    Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu'on a faits et de ceux qu'on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé;elle se résume pourtant dans le présent par un fait tangible: le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la vie commune. L'existence d'une nation est (pardonnez-moi cette métaphore) un plébiscite de tous les jours, comme l'existence de l'individu est une affirmation perpétuelle de vie. Oh ! je le sais, cela est moins métaphysique que le droit divin, moins brutal que le droit prétendu historique.

    Dans l'ordre d'idées que je vous soumets, une nation n'a pas plus qu'un roi le droit de dire à une province: "Tu m'appartiens, je te prends". Une province, pour nous, ce sont ses habitants;si quelqu'un en cette affaire a droit d'être consulté, c'est l'habitant. Une nation n'a jamais un véritable intérêt à s'annexer ou à retenir un pays malgré lui. Le vœu des nations est, en définitive, le seul critérium légitime, celui auquel il faut toujours en revenir.

    Nous avons chassé de la politique les abstractions métaphysiques et théologiques. Que reste-t-il, après cela? Il reste l'homme, ses désirs, ses besoins. La sécession, me direz-vous, et, à la longue, l'émiettement des nations sont la conséquence d'un système qui met ces vieux organismes à la merci de volontés souvent peu éclairées. Il est clair qu'en pareille matière aucun principe ne doit être poussé à l'excès. Les vérités de cet ordre ne sont applicables que dans leur ensemble et d'une façon très générale. Les volontés humaines changent; mais qu'est-ce qui ne change pas ici-bas? Les nations ne sont pas quelque chose d'éternel. Elles ont commencé, elles finiront. La confédération européenne, probablement, les remplacera. Mais telle n'est pas la loi du siècle où nous vivons. À l'heure présente, l'existence des nations est bonne, nécessaire même. Leur existence est la garantie de la liberté, qui serait perdue si le monde n'avait qu'une loi et qu'un maître.

    Par leurs facultés diverses, souvent opposées, les nations servent à l'œuvre commune de la civilisation; toutes apportent une note à ce grand concert de l'humanité, qui, en somme, est la plus haute réalité idéale que nous atteignions. Isolées, elles ont leurs parties faibles. Je me dis souvent qu'un individu qui aurait les défauts tenus chez les nations pour des qualités, qui se nourrirait de vaine gloire; qui serait à ce point jaloux, égoïste, querelleur;qui ne pourrait rien supporter sans dégainer, serait le plus insupportable des hommes. Mais toutes ces dissonances de détail disparaissent dans l'ensemble. Pauvre humanité, que tu as souffert! que d'épreuves t'attendent encore! Puisse l'esprit de sagesse te guider pour te préserver des innombrables dangers dont ta route est semée !

    Je me résume, Messieurs. L'homme n'est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaînes de montagnes. Une grande agrégation d'hommes, saine d'esprit et chaude de cœur, crée une conscience morale qui s'appelle une nation. Tant que cette conscience morale prouve sa force par les sacrifices qu'exige l'abdication de l'individu au profit d'une communauté, elle est légitime, elle a le droit d'exister. Si des doutes s'élèvent sur ses frontières, consultez les populations disputées. Elles ont bien le droit d'avoir un avis dans la question. Voilà qui fera sourire les transcendants de la politique, ces infaillibles qui passent leur vie à se tromper et qui, du haut de leurs principes supérieurs, prennent en pitié notre terre à terre. "Consulter les populations, fi donc ! quelle naïveté ! Voilà bien ces chétives idées françaises qui prétendent remplacer la diplomatie et la guerre par des moyens d'une simplicité enfantine". - Attendons, Messieurs;laissons passer le règne des transcendants;sachons subir le dédain des forts. Peut-être, après bien des tâtonnements infructueux, reviendra-t-on à nos modestes solutions empiriques. Le moyen d'avoir raison dans l'avenir est, à certaines heures, de savoir se résigner à être démodé.

    ici: http://classiques.uqac.ca/classiques/renan_ernest/qu_est_ce_une_nation/renan_quest_ce_une_nation.pdf

     

    Le texte intégral à partir de la page 31

    Analyse de la notion de " race" pour un historien, puis de la langue, de la religion, la géographie

    Ayant "critiqué" ces concepts, Renan en arrive à la notion de NATION

    (lire aussi l'explication qui suit ce texte limpide, d'une belle rhétorique, mais qui est néanmoins un texte de " combat").

     

    Au fait, j'ai fais ma communale à l'Ecole Ernest Renan de Toulouse.

    Mesdames et messieurs les bien-pensant de la gauchiasse, allez-y, brulez les livres de Renan; allez profaner sa tombe. Et tant que vous y êtes, je vous signale qu'à Toulouse, comme partout en France, il y a des tas de quartiers Saint ou Sainte Machin… y'a aussi des églises, des basiliques, des cathédrales Saint quelque chose…

    Je vous ordonne de les débaptiser ou de les brûler.

    Tant que vous y êtes, débaptisez les rues des Saints que vous ne sauriez voir!

    Supprimez et éradiquez ou exilez les Français de France qui ont le culot d'habiter dans les villages de France Saint Machin ou Sainte Patin…

    Soyez beaux, soyez forts, soyez les cons qui démolissent la France la fille aînée de l’Église.

    Note de la rédactrice qui n'a jamais eu la foi en rien, même pas aux êtres humains qui peuplent notre pauvre Terre.

    Quel misérabilisme cette gauchiasse, on finit pas être misanthrope.