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Bon, allez-y! C'est une des plus intelligente plateforme apparue sur le net depuis très, très longtemps...
Et croyez-moi: je suis internaute depuis 1996 (du temps où il n'y avait même pas Google et Yahoo pour nous aider à surfer comme on disait à l'époque...) et j'en ai vu bien d'autres!
En plus, ils sont à Montpellier, les créateurs, la petite ville d'Occitanie qui se croit plus grosse que Toulouse, MA ville, Ma capitale Occitane.
Si j'ai compris leur truc (le pitch comme y disent) elle vient en aide aux personnes âgées, aux enfants seuls qui voyagent (pour aller voir l'autre parent divorcé?), aux personnes handicapés qui sont plus ennuyées qu'on ne le croit dans les transports....
et de l'autre côté, si un "debout" ou "mobile" en pleine santé veut faire un petit acte de solidarité, il indique qu'il sera dans l'avion, le train... et qu'il aidera la personne à monter sa valise, monter une marche, etc....
Merci aux concepteurs, merci aux aidants temporaires qui vont faire une bonne action!
Waoouh, je vais, ENFIN, pouvoir partir en vacances!
Poutous de Toulouse à Montpellier tout entier!
La rédactrice
Il y a plus d'une centaine d'années, il y avait, dans mon pays toulousain, une expression qui courrait et qu'il fallait prendre au pied de la lettre: il faut suivre la mode ou quitter le pays.
Cela signifiait que, si tu es un breton et que les hasards de la vie t'emmènent vivre à Toulouse, il vaut mieux porter un béret plutôt qu'un chapeau rond… sinon, le conseil c'est de quitter le pays… sous entendu, toulousain. Mon papa portait le béret: il est né dans les Hautes Pyrénées. Mon papa, sans le béret sur la tête, je ne l'ai pas souvent vu. Même à table, il portait son béret.
Je me souviens qu'enfants, quand nous croisiions un pépé à casquette (les vieux en ce temps-là mourrait avant d'atteindre leur 75 ans), ce papy à casquette nous faisait “crever“ de rire tant son couvre-chef était inusité dans nos parages.
Quand j'ai eu 17 ans, (en 1967) il y eût un sacré raz-de-marée qui s'appelait: la mini-jupe. Elle était peut-être arrivée bien plus tôt dans la capitale, mais, moi, je bossais à l'usine et je ne sortais jamais que le dimanche après-midi, à la balloche car, on ne laissait pas sortir les filles de 17 ans le soir. Interdiction de sortir jusqu'à ses 21 ans. C'était comme cela, la bienséance, même chez les filles d'ouvriers.
Mais, à 17 ans, on se voulait “dans le coup“ comme nous disions en 67. Donc, nous avions des ruses de sioux pour raccourcir nos jupes car, selon la vieille expression, déjà détournée de son sens: si tu ne suis pas la mode teen-ager, tu peux quitter Toulouse… sinon on va t'aligner comme un plouc de cambrouse. Horreur dans la jeunesse seventies!
Aujourd'hui, l'expression court toujours: je vous laisse deviner dans quelle acception, elle court dans nos conversations quotidiennes.