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Un peu tout - Page 143

  • Journalistes analphabètes....

    La météo (encore!) de BFM du samedi 25 du journal de 7h30

    La rubriqueuse informe de la vigilance crues ou inondations dans le Sud-Ouest… Elle cite les départements concernés (que l'on voit sur la carte,) “auxquels il faut rajouter le Gers et le Tarn“ dit-elle

    et, finalement, elle nous prie “de rester vigilants car le cumul des pluies sera très important et cela concerne les départements concernés“ (sic)

  • Ce sont les toubibs français qui le disent...

    Et si la grippe était plus grave cette année ...

    Avec 75 cas graves et 5 décès depuis le début de la saison, la grippe est responsable cette année, d’un " nombre plus élevé qu’attendu d’admissions en réanimation pour grippe alors que le seuil épidémique n’a pas encore été atteint (taux d'incidence des consultations pour syndromes grippaux de 156/100 000 ) " indique l’InVS dans son " Bulletin épidémiologique grippe " publié hier.

    Le spectre de H1N1

    " Ce nombre est peut-être majoré par un meilleur dépistage de la grippe en services de réanimation, mais reflète plus probablement la circulation du virus A(H1N1)pdm09 " analyse l’InvS. De fait, la majorité (88%) des patients admis en réanimation étaient porteurs d’un virus de type A avec 25% de A (H1N1), 12 % de A(H3N2) et 51% de A non sous typés.

    Par ailleurs, ces formes graves surviennent en majorité chez des adultes " jeunes " (57% de cas chez les 15-64 ans contre seulement 32% chez les plus âgés). Elles sont aussi plus fréquentes chez les hommes et les sujets non vaccinés (51% des cas contre seulement 13% des cas chez les sujets vaccinés).

    Dans ce contexte, " la vaccination et la prise en charge rapide des personnes à risque de complication de grippe sont d’autant plus d’actualité " conclut l’InVS.

    - See more at: http://www.legeneraliste.fr/actualites/article/2014/01/23/et-si-la-grippe-etait-plus-grave-cette-annee-_232761#sthash.A1n2ZNOv.dpuf

     

  • C'était en février 1956

    En février 1956, j'allais faire 6 ans en Août. Nous étions la seule famille de la cité qui avait du chauffage. En effet, mon père qui était maçon avait obtenu de son patron, par un hasard extraordinaire, que ce dernier lui livre plusieurs madriers de chantier. “Té, toi qui a des gosses petits, je te fais porter ça“.

    Bien lui en a pris car, avec ce froid polaire inoubliable, malgré le bois mis à chauffer dans la cuisinière à charbon, il y avait à peine 6 à 8° dans la maison. En ce temps-là, encore, la France était ravagée… presque pas de maisons debouts et, ma famille a eu la chance d'obtenir un appartement; Nous avions, véritablement, de la chance!

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    En fait, il y avait dans ces années-là, une caserne de militaires qui bordaient la piste d'envol de Sud Aviation, à Colomiers, proche de Toulouse. Comme la guerre était fini, on démilitarisait à tour de bras. Les longs bâtiments avaient été coupés en plusieurs morceaux et recoupés en 4; c'était la maison du 66 cité Nouvelle à Colomiers.

    Un évier, de l'eau froide, pas de salle d'eau et les cabinets communs dans un autre bâtiment à environ 250 m où il fallait jeter tous les jours le seau “hygiénique“ ou le pot de chambre, comme l'on disait pudiquement. Le plus souvent, mon frère et moi étions réquisitionnés pour ce faire.

    En ce temps-là, il n'y avait pas de vitrage double ou triple épaisseur… même pas de mastic, les vitres étaient coincées avec de petites pointes…. le vent, le froid passaient partout. La maison se composait de 4 pièces au carré, donc. On entrait par la cuisine, au fond, on pénétrait dans la chambre des filles (ma sœur et moi), à moitié cloison de cuisine, une autre porte pour aller dans la chambre des parents et la porte de la chambre des garçons était au milieu du mur de la chambre des parents: le carré parfait. Une porte d'entrée, 4 fenêtres et basta, ça suffisait comme ça…

    On était pas exigeant moins de 10 ans après la seconde guerre: de toutes façons, pas le choix. (n'oubliez pas qu'en 54, l'abbé Pierre à lancé son fameux appel au secours: trop de gens dehors, sous les cartons et les planches).

    Afin d'éviter les vents coulis et la froidure sévère, mon papa a cloué des couvertures aux fenêtres; dans la journée, on repoussait un bout de la couverture pour laisser entre le petit jour blême et glacé… Dans la maison, venaient des dizaines d'enfants et leurs parents… la seule maison chauffée du coin! tous avaient des tricots fait main en pelure d'oignons, deux ou trois… on était fort embarrassés de ne pouvoir trop se mouvoir, à cause des épaisseurs mais aussi pour tout ce nombre de gens qui s'agglutinaient et se posaient comme ils pouvaient!

    Dans la nuit, il faisait dans les moins 15 ou moins 18… et le jour, c'était pas bien haut non plus….

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    Je me souviens l'huile de cuisine gelée dans sa bouteille… je me souviens du lait dans bouteille en verre, avec des cristaux de gel…

    Je me souviens: les verres contenant les dentiers de mes parents totalement gelés au petit matin et qu'ils devaient chauffer au bain-marie avant de pouvoir les remettre;

    Quand on à de 15 à 20 ans pendant l'occupation, on n'a pas l'occasion d'avoir toutes les bonnes vitamines et autres meilleurs nutriments que nous avalons de nos jours… et, dans la bouche des parents de France, presque toujours un dentier…. j'étais sûre que vous ne connaissiez pas toutes les conséquences d'une guerre…. et l'Europe actuelle vous horrifie???

     

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    Presque rien à manger… pas de fruits ni de légumes, bien sûr… le diésel de l'époque gelait dans les camions… pas de nettoyage de routes gelées…

    pas de lumière non plus… de toutes façons, nous avions l'habitude: il a fallu beaucoup d'années, après-guerre pour que l'électricité fonctionne sans coupure… nous avons subis des pannes d'électricité plusieurs fois par semaine pratiquement jusque dans les années 60…

    et comme nous avons eu la télé en 1960, là aussi, nous avons connus les pannes d'émetteur télé…. le bon temps du noir et blanc et d'une seule chaîne… qui ouvrait ses programmes de 19 h 30 à 23 heures et pas plus!

    En 56 aussi, toutes les canalisations d'eau gelées et quand la température à remonté, tellement d'inondations… traquer la fuite d'eau dans les planchers ou les plafonds…

    On était pauvres, on était solidaires entre voisins… on pouvait laisser sa bicyclette sans cadenas devant la porte… on la retrouvais intacte…

    Non, je ne "rappiape" pas comme une vieille peau: le progrès depuis, c'est incroyable! personne ne peut regretter ces années de pénuries et de difficultés…

    ...mais, la gentillesse, la solidarité, le respect du bien d'autrui, la politesse… ça, voyons, ne dites pas que cela ne manque pas cruellement!

    Et oui, je suppose que vous n'avez jamais connu cela et que vous ne pouvez même pas l'imaginer...

    Té petiot à  qui coule encore du lait maternel par les narines.... va compter le nombre de tes followers; quand t'auras un problème, ils te tiendront chaud...

    tu peux toujours le croire...

  • Ne regrettez pas la neige

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    Elle va arriver plus vite que vous le pensez!

    En attendant, bonne pledge (pluie) comme on dit chez nous!

    .... et, il y en aura toute l'année! (de la pluie)

     

  • Ho, là, là, là... c'est MAGNIFIQUE!

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  • Poème

    Une lumière luit… à l’horizon :

    Par une nuit noire, un certain François Hollande, fût ébloui par une étoile lumineuse sur le chemin de Damas, et un miracle faillit se produire : comment retrouver le doux Jésus… Après une formation technocratique au Colbertisme, une carrière dans la pénombre rue de Solférino à consolider une partition à jouer mais avec des musiciens non mélomanes et plutôt chahuteurs, indisciplinés, arrivé presque par hasard au trône suprême par un élan amoureux sanctionné de son leader, et, après vingt mois de béatitude au sommet de l’État, voici qu’un éclair soudain, l’oriente dans une direction opposée…

    Oui mais, en fin normand mâtiné de corrézien, à ses dires, il ne faut pas se fier outre-mesure, car au langage des sots, comme maitre Corbeau sut si bien en profiter, il ne lâchera pas le fromage tout en laissant croire monts et merveilles, le déni de réalité étant si ancré en lui, et son désir de ne point lasser ses fervents supporters, il déclare tout benoîtement que le chariot de l’État est bien trop lourd et pesant. Croyez-vous qu’il proposa une solution pour donner de l’air à ce moyen de transport embourbé, nenni, tout un chacun eusse crû qu’une part du fardeau fusse enlevé des épaules de cet Hercule, encore non, rappelez-vous, il fait nuit noire, à chacun de trouver ses petits, ses espoirs, ses illusions…

    Nous voici donc en fâcheuse posture avec un maître d’attelage vociférant, agitant un fouet à l’intention des entreprises qui ne sont pas ( à son goût) assez flatteuses et productrices pour nourrir les cohortes technocratiques… ces élites voraces…

    Comment, ces gens que l’on a taxé, subtilisé les bénéfices avant même qu’ils ne soient produits, qui s’évertuent dans un maquis administratif peuplé de chausses-trappes et poursuivis par des questeurs féroces, donc ces gens ont des hésitations à lécher les chausses du maître…

    Qu’il soit dit qu’on leur fera rendre gorge, foi de Cégétistes en pneumatiques assurés… Voyez-vous mes amis, les fables ont toujours une morale, bien que cette dernière soit bannie dans le royaume de ce maitre d’attelage, Ah cher La fontaine et Ésope, que vos écrits ont été déformés à des vils fins….

    ……………***par Cagouille.Le 9.1.2014- blog :  »Saintongeais.wordpress.com »’…