Courthney Cox
Courthney Love
Stallonne sa mère! (Jackie qu'elle s'appelle)
Fergie (connais pas)
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Courthney Cox
Courthney Love
Stallonne sa mère! (Jackie qu'elle s'appelle)
Fergie (connais pas)
«Sans lui, je ne suis plus rien». C'est avec ces mots que Philippe Croizon avait décrit sa situation. Auteur notamment d'une traversée de la Manche à la nage alors qu'il est amputé des quatre membres, Philippe Croizon s'était fait dérober son fauteuil roulant électrique, dans la nuit de jeudi à vendredi, alors qu'il séjournait chez des amis près de Dieppe, en Seine-Maritime. L'engin se trouvait alors dans une remorque fermée, qui avait été décrochée et emportée par les voleurs. Le sportif handicapé n'en revenait pas: «Je ne sais pas si ces gens se rendent compte de ce qu'ils ont fait: ils n'ont pas seulement piqué mon fauteuil, ils ont volé mon autonomie.»
Le fauteuil, un modèle tous-chemins «fabriqué spécialement pour lui» et d'une valeur de plus de 10.000 euros, a finalement été retrouvé intact, a fait savoir Philippe Croizon lundi soir. Il «a été retrouvé sur un petit parking vendredi matin, par le chauffeur d'un bus de transport de personnes handicapées. Il l'a mis en sûreté en ignorant que j'en étais le propriétaire. Il ne m'a appelé que ce lundi soir pour m'en informer, après avoir vu un reportage sur cette affaire sur TF1», a précisé Croizon. «C'est une belle histoire d'été», a-t-il conclu.
Des exploits retentissants
Sur Europe 1 , le sportif avait lancé un appel à la population: si les gens «voient passer une remorque, marquée dessus ‘rapido' et derrière ‘zéphyr' en gros, ou alors un fauteuil bleu roi avec un top case à l'arrière, qu'ils appellent les autorités». Plusieurs internautes avait également proposé leur aide financière à Philippe Croizon. Le premier ministre Jean-Marc Ayrault l'avait même appelé lundi pour l'assurer de «son soutien et de sa solidarité».
L'ancien ouvrier métallurgiste de 46 ans, privé de ses bras et jambes après une électrocution en 1994, s'est fait connaître en réalisant plusieurs exploits sportifs, notamment une traversée de la Manche à la nage en 2010. Il a depuis relié les cinq continents par les détroits, toujours à la nage. Philippe Croizon est aujourd'hui occupé à la rédaction d'un livre relatant ses traversées entre les continents: «Je veux parler de la résilience et du côté positif du handicap, mais également de la place du handicap dans différentes sociétés, une place en recul en France selon moi.»
La Française, son chic inné, son aura sulfureuse, ses enfants parfaits… Le cliché, ultra-glam, désespère les housewives américaines, qui rêvent d’égaler cette fashion icône, un peu trop mythique pour être vraie. Six vanity poncifs enfin démystifiés.
Vous avez toujours rêvé d’être une star ? De susciter tant d’intérêt que mille et un ouvrages seraient consacrés à l’étude de votre grâce, de votre humour irrésistible ou encore de votre style absolument génial ? Bonne (et première) nouvelle : ce rêve est aujourd’hui réalité ! Car oui, vous êtes bel et bien une star…, celle des rayons de librairies outre-Atlantique (c’est toujours ça !). Impossible pour les maisons d’édition américaines de le nier : grâce à vous, elles engrangent chaque année des millions de dollars. Votre exploit? Être née française et incarner du même coup l’idéal au féminin selon la femme américaine.
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Ce je-ne-sais-quoi ”
Car aux États-Unis, le mythe de la femme française est tel que bon nombre de livres sur le développement personnel s’en inspirent. What French Women Know, de Debra Ollivier ; Chic & Slim toujours, d’Anne Barone ; Bringing Up Bébé, de Pamela Druckerman ; French Women Don’t Get Fat, de Mireille Guiliano ; Fatale, How French Women Do It, d’Edith Kunz… Afin de percer ce mystère inhérent à notre petite personne (mais comment font-elles pour être si parfaites ?), des dizaines d’auteurs se sont mis au travail. On y apprend au passage que la femme française est belle au naturel, qu’elle a un sens du style inné, qu’elle a ce je-ne-sais-quoi qui la rend irrésistible, qu’elle mène les hommes et ses enfants à la baguette. Mais ce n’est pas tout: elle est fatale, mystérieuse, nonchalante, subtile, sûre d’elle, drôle, charismatique…
La vérité de vrai: quand, avant la guerre de ma vieillesse, je me garait sur une place vide, en quelques minutes, une trentaine de voitures se garaient contre la mienne tellement je suis charismatique et que, quand j'ai cessé mes émissions de télévision sur TLT, j'ai reçu des tas d'appels me dirsant que moins au moins, contrairement à celle qui a payé pour me piquer ma place, j'avais les yeux qui sourient à la télé; une femme m'a dit, même, vrai de vrai je vous jure: vous êtes miraculeuse... bon, là, c'était un peut trop, je vous l'accorde...
Dire que cette femme, c’est vous, moi, votre voisine de palier, votre collègue de travail (que, curieusement, on ne voit pas du même œil)… Dire aussi que cette même femme, prétendument parfaite et ultra-sûre d’elle, bave sur les Brushing impeccables de son homologue américaine, sur ses manucures so chic et trendy, sur son sens inné de l’hospitalité, sur ses cookies moelleux dedans, croustillants dehors… et qu’elle est prête à débourser des dizaines d’euros chaque année dans des ouvrages passant au peigne fin l’American way of life pour tenter de s’en approprier l’essentiel !
Alors évidemment, on pourrait se contenter de recevoir ces brassées de roses sans broncher. On pourrait continuer à entretenir le mystère, à alimenter le mythe. Mais la femme française est aussi connue pour son franc-parler. Elle ne mâche pas ses mots. Il est donc grand temps de rétablir quelques vérités. Cela pourrait s’intituler : The Truth About French Women, by a French woman assez loin de la perfection et tellement représentative de ses semblables…
La Française est belle au naturel
Le mythe : selon de nombreuses Américaines, le temps n’aurait aucune influence sur notre divine beauté. Nous vieillissons sans prendre une ride. D’après les auteurs des best-sellers, notre naturel si charmant serait le résultat d’un jus de citron fraîchement pressé et avalé à la hâte tous les matins. Quant à l’éclat de notre peau, il serait la conséquence d’une addiction certaine au sommeil. Autrement dit, nous serions de jolies princesses à la beauté immortelle bio et couche-tôt.
La vérité de vrai de vrai: c'est que des jeunes de 20-25 ans, il y a six mois m'ont dit: vous devez avoir 42 ans?! et j'ai insisté: mais, vous êtes sûrs: regardez bien, en pensant à leur maman, ils ont réitéré: 42 ans, j'en suis sûr... et une coiffeuse, l'an passé m'a dit: vous devez avoir dans les 45 ans... bref, en général, c'est 15 à 18 ans de moins... par chance, ma fille parait n'en avoir que 25... donc, on nous prends plus pour grande soeur que pour mère-fille! et je ne dois pas être la seule, croyez-moi! Fille de France: oui, t'est belle... d'ailleurs, pourquoi y'a-t'il tant de nouveaux arrivants en France? hein... parce que nous vivons très longtemps, na! et à la nôtre de santé.
La vérité : elle est beaucoup moins glamour, évidemment. Premier aveu, la Française est une petite cachottière. Sa devise : n’avoue jamais ! Plutôt mourir que livrer ses secrets de beauté. Elle clame dans les magazines qu’elle a hérité son blond bébé de sa maman ? Archifaux ! Elle a mis des mois avant de trouver le bon coloriste. Mais pas question de le dire. Et encore moins de divulguer le nom du fameux coloriste. Le coup du jus de citron pressé tous les matins qui nous assurerait un teint plus frais que frais ? Soyons sérieux, la Française est beaucoup trop fainéante pour se plier à ce genre de rituel. À la place, elle investit dans des supercrèmes antirides dès 25 ans. D’ailleurs, selon une récente étude menée par un journal anglais, les Françaises sont les premières consommatrices de crèmes antirides en Europe. La jolie princesse à la beauté immortelle est en fait une sorte de Mère Gothel accro aux élixirs de jouvence…
La vérité je vous jure: je ne dors que 5 h par nuit et je viens d'utiliser ma première crème antirides à l'âge de 63 ans (depuis le 10 août!)
La Française mange, mais ne grossit pas
Le mythe : miracle des miracles, la Française se goinfre à longueur de journée de baguette beurrée, mais elle ne prend pas un gramme. Sa silhouette reste fine et élancée. D’ailleurs, le mot « régime » ne fait pas partie de son vocabulaire. Mireille Guiliano, auteure de French Women Don’t Get Fat, le proclame haut et fort dans son manifeste de la femme française : French women don’t diet. Parlez-lui de diet, et celle-ci se met à glousser, glissant au passage qu’elle doit sa ligne de déesse à un métabolisme hors norme. Quelle chanceuse, cette French girl !
La vérité : tout ça est vrai ! La Française ne se déclare jamais « au régime ». Elle préfère dire qu’elle fait « attention ». Traduction : elle se serre la ceinture en continu mais… mine de rien.
Vous voyez la nuance ? Quant à la fameuse baguette beurrée…, elle n’en a pas croqué depuis juin 1984, date du baptême de son aîné ! Autre détail loin d’être anodin : beaucoup de Françaises présentent une addiction certaine à la cigarette (sur 100 fumeurs, 45 sont des fumeuses), réputée pour calmer les nerfs, certes, mais aussi pour couper les petites faims passagères. Ceci explique peut-être cela.
La vérité de vrai: mon plat préféré? après le cassoulet que je cuisine mieux qu'un chef à 5 étoiles, mon plat préféré est le très bon pain croustillant avec une très grosse couche de bon beurre à peine tartinable: c'est bien connu, les hommes préfèrent les grosses! on est plus confortable!
La Française est désirable
Le mythe : la Française est une séductrice-née. Dans French Women Don’t Sleep Alone, Jamie Cat Callan raconte qu’elle déborde de confiance en elle et parvient, en deux temps trois mouvements, à mettre n’importe quel homme à ses pieds. Son arme fatale ? La lingerie fine. Ses placards déborderaient d’ensembles plus affriolants les uns que les autres qui lui assureraient une sexy attitude en continu.
La vérité : si la Française collectionnait les parures en soie et dentelle, ça se saurait ! Une récente étude menée par l’Institut français de la mode révèle qu’elle a dépensé en 2012 la modique somme de 97 euros en lingerie… Au total, les Américaines dépensent cinq fois plus que les Françaises. Pas de quoi se pâmer et, surtout, pas de quoi faire des folies ! En revanche, de quoi largement faire plaisir à Petit Bateau, qui reste « le » fournisseur officiel des petites culottes made in France. Le modèle phare de la maison : la culotte recouvrante 100 % coton. C’est notre taux de désirabilité qui en prend un coup !
La vérité de vrai: Petit bateau, mon oeil? moi, c'est un mini-slip qui tient par la grâce de mes hanches et dont j'achète le même style depuis ma première chemise (heu, culotte!).
La Française cuisine si bien !
Le mythe : ah, voilà une femme qui sait vivre ! Qui apprécie le bon vin, la bonne chère et qui passe des heures derrière ses fourneaux à préparer de bons petits plats mijotés, du type coq au vin ou blanquette de veau. Son carnet de recettes est une relique ô combien précieuse, qui se transmet de mère en fille depuis quatorze générations… au moins !
La vérité : elle est, certes, la reine des plats mijotés… mais 2 minutes 30 secondes maximum au micro-ondes. Son nouveau best friend forever répond au doux nom de Thermomix. Elle adule ce robot qui fait tout à sa place : elle jette mille et un ingrédients dans un grand bol, elle appuie sur un bouton, et, une manucure express plus tard, il en ressort une terrine digne d’un trois-étoiles ! Magique ! Quant à la blanquette de veau de sa grand-mère, elle n’est qu’un vieux souvenir d’enfance que la Française ravive tout de même une fois par an à la terrasse d’un bistrot parisien. Oui… tout se perd !
La vérité de vrai: une blanquette par semaine minimum! à se lécher les babines.... et le premier toqué de la toque qui vient me chanter que son cassoulet est meilleur que le mien est le même qui raconte partout que sa sardiné à bloqué le port de Marseille!
La Française est une pro de l’éducation
Le mythe : en 2012, Pamela Druckerman, une Américaine parisienne d’adoption, publie French Children Don’t Throw Food, un best-seller qui passe au peigne fin nos méthodes d’éducation. Selon l’auteure, « l’éducation est l’un des fleurons de la culture française, comme la mode ou le fromage ». Résultat ? Nos adorables petits anges sont sages, bons dormeurs, autonomes, polis, patients et, surtout, pas capricieux. Évidemment, ils mangent de tout (épinards et choux de Bruxelles inclus) ! Contrairement aux Américaines, la Française n’est pas dans l’overparenting, qui consiste à surstimuler son enfant en permanence. Elle est plutôt dans une parentalité fondée sur la sérénité.
La vérité : « sérénité » est un mot qui ne fait plus partie de son vocabulaire depuis qu’elle a quitté la table d’accouchement ! Ses enfants sont des petits monstres qu’elle dompte à coups de carottes. Car l’arme secrète de la Française côté éducation est bel et bien la botte de carottes. Son truc ? User encore et encore du bon vieux chantage affectif : « Tu auras droit à dix minutes de Xbox quand tu auras débarrassé la table, fini tes devoirs et brossé tes dents. » Quant au fait de ne pas surstimuler l’enfant, c’est tout simplement parce qu’elle a compris qu’elle n’arriverait à rien. C’est la politique du « jetage d’éponge », également appelée « baissage de bras ». En bref, elle démissionne…, d’où la sérénité retrouvée !
La vérité de vrai: je n'ai eu qu'une fille mais elle n'est jamais sortie de son lit (avant ses 8 ans) ou sortie de table (avant ses 14 ans) sans avoir demandé la permission à maman!!! si tu sait y faire, ton gosse ne te mangeras pas la soupe sur la tête, que j'ai eu 18 ans en 68 ou pas: mais, bon sang: coordonnier et maître chez soi! si vous ne pouvez pas en faire autant, inutile de faire des gosses: l'éducation, c'est pas de l'élevage de marmaille pour toucher des allocs et jouer au tiercé!
La Française est “so chic”
Le mythe : elle trimbale sa silhouette nonchalante du pont des Arts aux terrasses de Saint-Germain-des-Prés. Elle affiche une désinvolture naturelle. Elle manie les codes de la mode comme personne. Elle ne connaît pas les fautes de goût. Un rien l’habille. Elle affiche cet air mystérieux qui fascine encore et encore.
La vérité de vrai: oui, exact, avant d'être borgne et boiteuse, vous demandiez à un mec ce qui lui plaisait chez moi, il répondait invariablement: son port de reine, son port de déesse... sans me flatter, non mais!
L'art de faire "genre”
La vérité : nous ne sommes pas toutes des Ines de la Fressange ou des Charlotte Gainsbourg en puissance, loin de là. Le triste constat ? La Française se bat comme une lionne pour comprendre les tendances et savoir comment les afficher. Pas de style inné à l’horizon, mais un symptôme aigu et permanent du « je-n’ai-rien-à-me-mettre » qui conduit à porter un peu tout et n’importe quoi… n’importe comment. Le secret de la dégaine à la française ? Faire tout « faussement » : être faussement coiffée, faussement habillée, faussement fatale. Afficher une démarche faussement assurée, une mine faussement sympathique… Le résultat de cette « faussement attitude » ? Un air faussement mystérieux qui fascine encore et encore !
La vérité de vrai: et qui a été la première toulousaine a accoucher sous le monitoring à Toulouse? qui a été la première femme a être photograveur offset dans une imprimerie toulousaine? qui a été la première voyante sur Télé-Toulouse a être payée par la télé et à ne pas payer pour passer à l'antenne... qui été à l'origine en France de la toute première "explication des rêves dans les médias"? bon, j'arrête-là, j'ai été trop souvent première de quelque chose.... alors, que la critiqueuse du Figaro se morde jusqu'au sang ses lèvres de vipère!
Conclusion de merde
La Française est une délicieuse mystificatrice qui excelle dans l’art de « faire genre ». Son truc ? Appliquer la devise « Less is more » dans à peu près tous les domaines. Un talent qui n’est apparemment pas donné à tout le monde !
Et quand tu parleras Français en France au lieu d'utiliser du galimatias angliche de crétine qui a traîné ses fesses sur les bancs de la fac, tu seras moins conn.. et parvenue bobo de gauche que même les américaines ne doivent pas imiter tellement cela fait couil... de ne pas savoir parler la langue de son pays, de savoir bien l'écrire ou le dire sans faire de liaisons partout: quartiers zisolés, personnes zagées, personnes zandicapés... etc... etc... si tu veux ma recette de blanquette en échange d'une belle pub sur mes compétences, te gêne pas: viens chez moi, je pousserais mes copines grassouilletes et bonnes cuisinières "qui-se-la-jouent-pas" dans les coins pour te faire de la place, cocotte en papier!
René Le Honzec, auteur de bandes dessinées en tout genres, passionné d'histoire, de culture, de cigares et whyskies.
Breton occidental libéral.
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Les deux dernières images ne sont pas de Le Honzec
Un homme oublie 25 000 euros au Mc Donald's
C'est un repas qui aurait pu lui coûter cher. Un homme a oublié la modique somme de 25 000 euros dans un Mc Donald's de la Cristole, à Avignon. L'argent, en liquide, était rangé dans une sacoche.
Le Dauphiné rapporte que le jeune homme est retourné sur les lieux quelques instants après en être parti. Très inquiet d'avoir oublié une telle somme d'argent, il a demandé au personnel si des affaires lui appartenant n'avaient pas été retrouvées. Et c'est finalement aux alentours de 13h qu'une enveloppe, contenant l'argent liquide, a été retrouvée vers les poubelles du restaurant.
L'argent lui a été restitué immédiatement, et quand les policiers l'ont interrogé sur l'origine de cette somme, l'individu a affirmé qu'elle provenait d'une transaction immobilière.
Des plongeurs archéologues ont retrouvé les restes du phare d’Alexandrie au fond de l’eau, mais pour retrouver les restes du phare France, il faudra un bathyscaphe, parce que la fosse de Marianne est la plus profonde.
"La Hollandie, l’autre pays du chômage "" " Ah, ah, ah !
Il y a peu un couple de amis avait réservé une chambre d’hôtel avec ses deux enfants aux alentours de je ne sais plus quel aéroport parisien. Quand ils sont arrivés à l’hôtel on leur a appris que leur chambre avait été réquisitionnée par la Préfecture de Police.
Je ne me souviens plus où ils ont trouvé à dormir mais je sais que les gamins ont dormi sur le sol.
Il y en a encore une bonne vingtaine de pour cent qui sont " satisfaits " de Normal 1er. Il est vrai que pour un fonctionnaire titularisé et encarté à un syndicat, l’ évolution de la courbe du chômage n’ a guère d’ importance…
La lumièrer au bout du tunnel, c’est pas plutôt le train qui arrive à pleine vitesse?
Mais non, mais non. Que vous êtes mauvaise langue. C’est un clignotant, et vert, s’il vous plaît…
Une formatrice de Pôle Emploi entame un atelier de 3 jours pour apprendre aux chômeurs à saisir leur identifiant
Pôle Emploi
C’est visiblement une épreuve pour tout le monde. Ce matin aux alentours de 9h15, le Pôle Emploi de Paris-Boucicaut dans le 15e arrondissement a été le théâtre d’une scène des plus difficiles. C’est peu après l’ouverture des portes qu’une intervenante extérieure a lancé un ambitieux atelier pédagogique à destination des demandeurs d’emploi. Objectif de la formation : leur apprendre les bases de la saisie informatique de leur identifiant pour accéder à leur espace personnel sur le site internet du Pôle Emploi. Une ambition plutôt noble hélas mise à mal par quelques soucis d’ordre technique et par une formatrice parfois dépassée par la difficulté de
la tâche.
Y aller par paliers
Julie Florent est l’intervenante spécialement dépêchée par le Pôle Emploi du XVe arrondissement pour animer cet atelier: " Ça reste une formation plutôt exigeante et complexe. Saisir son identifiant est toujours une entreprise obscure et insurmontable pour les non-initiés. Il faut allumer son ordinateur, ouvrir une session, lancer un navigateur internet, se rendre sur le site du Pôle Emploi, trouver l’onglet " Accéder à mon espace personnel " et enfin saisir son identifiant. Ça représente tout de même un nombre d’actions relativement élevé. Le danger, c’est de mélanger les étapes et d’accomplir une opération avant une autre. ".
Se mélanger les pinceaux, c’est la hantise de Mme Florent. Ayant déjà piloté d’autres ateliers semblables, elle raconte : " J’ai souvent des participants qui essaient d’accéder à leur espace personnel avant même d’avoir allumé l’ordinateur. C’est mon travail alors de remettre en ordre dans leur esprit les pièces du puzzle. Mais des fois on rencontre de sacrées résistances quand les mauvaises façons de faire sont ancrées depuis plusieurs années déjà. C’est pour ça qu’ici nous prenons 3 journées entières pour apprendre à nos participants à saisir correctement leur identifiant. "
Adrien Piquet est l’un de ces fameux participants, pour ainsi dire l’unique même, de cette formation proposée par Pôle Emploi. A la base venu pour une simple inscription, il raconte comment il s’est laissé embarquer : " Je venais de terminer mon rendez-vous avec un agent qui m’a expliqué ce qu’il me restait à faire comme démarches. Et en sortant de là, je me suis fait littéralement alpaguer par la formatrice. Elle était plutôt en panique. Elle disait qu’il y avait un formidable atelier qui commençait dans 5 minutes et que c’était dommage parce qu’il n’y avait encore aucun inscrit. " et le nouveau demandeur d’emploi d’ajouter : " J’ai vu que ça lui faisait un peu de peine qu’il n’y ait personne. Alors j’ai dit oui. Ça a été ma seule erreur. "
Une technologie défaillante
Une erreur qui va coûter cher au jeune homme de 29 ans. Après avoir donné son accord, il se retrouve avec sa formatrice qui tente de lui enseigner la dure discipline de la saisie d’identifiant. Un apprentissage dont Adrien se serait bien passé à en croire ses paroles : " Ça sert vraiment à rien ce genre de truc. La formatrice a au moins 60 ans. Niveau technologie, elle en est juste restée à l’âge de pierre. Autant dire que j’ai fait semblant de l’écouter juste par politesse mais psychologiquement j’étais déjà ailleurs. "
Un passage douloureux donc pour ce demandeur d’emploi mais qui a heureusement été écourté par un souci technique : " Par chance, les ordis du Pôle Emploi étaient tous hors-service. Après avoir essayé de les allumer à 3-4 reprises, la formatrice a finalement décidé d’abandonner et de me libérer plus tôt que prévu. Je me suis senti tellement bien en sortant de là. C’est comme si j’étais sorti de prison après une erreur judiciaire. J’ai eu l’impression que justice avait été rendue. " nous explique Adrien Piquet.
Restructurer la formation
Malgré cette inattendue panne informatique, Julie Florent reste optimiste et aborde avec entrain ses futures interventions programmées dans ce Pôle Emploi : " Une fois tous les problèmes d’ordre technique résolus, les participants qui n’ont pas pu bénéficier de cette formation seront invités à revenir pour suivre le cursus en entier. De plus et c’est une bonne nouvelle, Pôle Emploi va probablement fusionner cette formation de 3 jours sur les identifiants avec une autre session de 2 jours où l’on enseigne aux demandeurs d’emploi à entrer leur mot de passe. On aurait donc une formation complète d’une semaine à l’issue de laquelle tous les participants devraient être en mesure d’accéder à leur espace personnel. "
Juste un détail : avant de leur offrir ce master en login, s’est-on assuré qu’ils savent lire et écrire ?
Ecrire ? Il suffit de copier les petits dessins (celui qui ressemble à un serpent ça doit être le " s ", et le rond comme une bouche qui fait " o " doit faire… euh.. ben, " o "). En copiant dans l’ordre ça peut marcher.
Enfin, satire (et insulte gratuite à l’intelligence des chercheurs d’emploi, que je ne mets pas du tout dans le même panier) mise(s) à part, voici une anecdote parmi tant d’autres qui corroborent l’idée générale du billet : fraîchement diplômée, il y a quelques années, je me suis pointée chez Paul (sans à priori, et avec l’espoir au cœur, à l’époque) pour qu’il fasse son boulot (ha ha) et m’aide à démarrer ma carrière.
Quelle ne fut pas ma déconfiture, quand ma " conseillère " m’avoua qu’elle ne comprenait pas la nature du poste que je recherchais, mais qu’il était bon que je continue de faire ce que je faisais : me démerder sans elle pour trouver un job.
Quelque part, finalement, c’était un bon conseil… ça a marché.
Je ne résiste à l’envie de faire cette vieille blague : " Aux USA, ils ont Steve Jobs, en France, on a Paul Emploi. Chacun son domaine ! "
À noter que dans Steve Jobs, Jobs est au pluriel (plus de 60 000 employés) alors que dans Pôle Emploi, emploi est au singulier.
Pas étonnant que notre service public soit incapable de trouver du boulot aux chömeurs !
Blague:
" Que fait-on avec les crapules en France ? On les gracie. "
variante:
" Que fait-on avec les crapules en France ? On les élit. "
" Le site pole-emploi.fr reste cette année en tête des sites préférés des français dans sa catégorie > "
Affirmation totalement mensongère !
Aujourd’hui pour recruter ou chercher du travail il faut passer une annonce gratuite dans Le Bon Coin.
L’an dernier j’en ai fait l’expérience :
- 12 postes à pourvoir
- 1 annonce Pole Emploi = un entretien avec le conseiller, deux RDV téléphoniques, et 3 trois candidatures en 2 mois, qui ne seront pas retenues.
- 1 annonce sur Le bon coin = 22 entretiens dans les 8 jours !
Oui mais chez Pole Emploi on sélectionne, on cible …. du flan oui ! Ils vous envoient les gus dont personne ne veut en priorité !
Par contre il n’en reste que la motivation des candidats est toujours un problème, mais ça c’est une autre histoire.
Imposture !
Ne pas confondre " site préféré " mais " site obligé ".
Tel le site de payment des impots en ligne qui a probablement une tres grosse frequentation. Seuls les SM le prefereront. Pour les autres, ce sera une obligation.
" Ce pays qui voulut jouer le rôle de phare du monde moderne n’est plus qu’une petite LED clignotante. "
Ok Paul Employ est parfait. On a juste besoin que des interlocuteurs plus raisonnables que nous viennent nous le rappeler donc merci. Surtout ne changeons rien à cette suprême félicité que connaît notre pays avec ses services publics inégalables.
Hahaha. Et de courir chez manpower pour payer son loyer quand l’allocation touche à sa fin ?
Ce grand pays, généreux, bien situé et de riche culture n’aura cessé de faire les frais d’ambitieux dangereux s’acharnant à diriger leurs contemporains. Quelle pathologie pousse les élus à se faire élire ? Au delà de la recherche d’une (très) bonne carrière quelle penchant les pousse à vouloir commander ? Quelle impérieuse nécessité d’interdits, décrets, Lois, rond points et autres médiathèques absurdes ? Ils ne sont savants en rien mais bateleurs de foire. Grossier au verbe vindicatif, tour à tour intimidant, rusé, séducteur et calculateur, le politique est bien ce petit enfant qui, dans la cour de l’école, frappe, veut avoir toujours raison, monopolise la maitresse, vole et nuit à tout ses camarades. Capricieux, manipulateur, pervers, la réalité n’existe pas pour ces individus. Leurs discours sournois ne sont qu’ enfumage creux pour les rendre légitimes à leur poste inutile. Qui fera l’étude psychologique de ces malades, imbus au point de vouloir régenter chaque détail de la vie de leur proches ? Paranoïaques centrés sur eux même et faisant leur entourage les servir. Incapables d’empathie, exaltés par l’idée qu’ils puissent être en symbiose avec leurs proche sans jamais être parmi eux. Bercé dès l’enfance au nom de l’Etat français, ce chiffon substitué à la Nation par une bande de tristes marquis. Comment couper court à ces élans maniaques dès l’enfance ? Mon boulanger, mon agent immobilier ne ressentent pas ce besoin de gouverner tout le monde. Tout au plus gèrent ils en bon père de famille autant que faire se peut leurs petit monde. Et nous, quelle faiblesse nous pousse ? Idolâtres (de Tassigny), heureux sous le fouet d’exister, même un peu. Pauvres femmes battues qui n’ont nulle part où aller et restent là. Fonctionnaires minuscules pensant faire partie de l’élite, arrogants puis fatigués. Quelles nouvelles forces pour changer d’air ? Vieux français centristes contre jeunes Musulmans ? Si vous avez une idée… moi je vais me refaire une pina bien tassée et m’allumer un corona de chez Ramon.
Autre vieille blague, soit disant, ultra-turbo-hyper-néo-libérale : " Zut, avec l’instauration des trente cinq heures les fonctionnaires vont devoir travailler plus ", fut bien réelle chez popol emploi Antilles-Guyane !
Comme là bas, les jours fériés sont encore plus nombreux qu’en métropole, qu’ils ont glanés d’autres avantages majeurs pour leur bien être, ils travaillaient en fait officiellement, 32 heures par semaine ! Donc gréve très dure, de plus de sept semaine dans toutes le secteur. L’état en douce, comme d’habitude, à finit par payer les jours de gréve ! Pour qu’ils reprennent le travail, après avoir cédé, en prime ! à toutes leurs exigences. Il faut dire que le fameux indépendantiste Domota, est cadre chez popol.
" Dans les DOM, le poids des effectifs de la fonction publique, qu’elle soit d’État ou territoriale, est hypertrophié par rapport à celui du secteur privé local mais aussi par rapport à la fonction publique de métropole, déjà bien plus importante que celle des autres pays de l’OCDE. Alors que le secteur " non-marchand " représentait en métropole en 2004 19,5% du PIB, dans les DOM, sa part oscillait entre 30 et 34,6%. " Source iFRAP