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Un peu tout - Page 147

  • Pour ceux qui n'ont que le certif'... les autres qui ont le bac.... sans commentaire!

    http://bastiat.org/fr/l_Etat.html

    http://www.bastiat.net/fr/blog/article/frederic-bastiat-et-la-protection

     « Sans doute le salaire arrive avec certitude à la fin d’un jour occupé ; mais quand les circonstances, les crises industrielles ou simplement les maladies ont forcé les bras de chômer, le salaire chôme aussi, et alors l’ouvrier devrait-il soumettre au chômage son alimentation, celle de sa femme et de ses enfants ?

    Il n’y a qu’une ressource pour lui. C’est d’épargner, aux jours de travail, de quoi satisfaire aux besoins des jours de vieillesse et de maladie. (…) De là les sociétés de secours mutuels, institution admirable, née des entrailles de l’humanité (…). J’ai vu surgir spontanément des sociétés de secours mutuels, il y a plus de vingt-cinq ans, parmi les ouvriers et les artisans les plus dénués, dans les villages les plus pauvres du département des Landes. (…) Dans toutes les localités où elles existent, elles ont fait un bien immense (…). Ce n’est jamais sans créer pour l’avenir de grands dangers et de grandes difficultés qu’on soustrait l’individu aux conséquences de ses propres actes.(…)

    Supposez que le gouvernement intervienne. Il est aisé de deviner le rôle qu’il s’attribuera. Son premier soin sera de s’emparer de toutes les caisses sous prétexte de les centraliser ; et pour colorer cette entreprise, il promettra de les grossir avec des ressources prises sur le contribuable. « Car, dira-t-il, n’est il pas bien naturel et bien juste que l’État contribue à une œuvre si grande, si généreuse, si philanthropique, si humanitaire ?

     Première injustice faire rentrer de force dans la société et par le côté des cotisations, des citoyens qui ne doivent pas concourir aux répartitions de secours. Ensuite, sous prétexte d’unité, de solidarité, (que sais-je ?), il s’avisera de fondre toutes les associations en une seule soumise à un règlement uniforme.

    Mais, je le demande, que sera devenue la moralité de l’institution quand sa caisse sera alimentée par l’impôt ; quand nul si ce n’est quelque bureaucrate, n’aura intérêt à défendre le fonds commun, quand chacun, au lieu de se faire un devoir de prévenir les abus, se fera un plaisir de les favoriser ; quand aura cessé toute surveillance mutuelle, et que feindre une maladie ce ne sera autre chose que de jouer un bon tour au gouvernement ?

     Le gouvernement, il faut lui rendre cette justice, est enclin à se défendre ; mais ne pouvant plus compter sur l’action privée, il faudra bien qu’il y substitue l’action officielle. Il nommera des vérificateurs, des contrôleurs, des inspecteurs. On verra des formalités sans nombre s’interposer entre le besoin et le secours. Bref, une admirable institution sera, dès sa naissance, transformée en une branche de police.

    L’État n’apercevra d’abord que l’avantage d’augmenter la tourbe de ses créatures, de multiplier le nombre de places à donner, et d’étendre son patronage et son influence électorale. Il ne remarquera pas qu’en s’arrogeant une nouvelle attribution, il vient d’assumer sur lui une responsabilité nouvelle, et, j’ose le dire une responsabilité effrayante.

     Car bientôt qu’arrivera-t-il ? Les ouvriers ne verront plus dans la caisse commune une propriété qu’ils administrent, qu’ils alimentent, et dont les limites bornent leur droit. Peu à peu, ils s’accoutumeront à regarder le secours en cas de maladie ou de chômage, non comme provenant d’un fonds limité préparé par leur propre prévoyance, mais comme une dette de la société. Ils n’admettront pas pour elle l’impossibilité de payer, et ne seront jamais contents des répartitions.

    L’État se verra contraint de demander sans cesse des subventions au budget. Là, rencontrant l’opposition des commissions de finances, ils se trouveront engagés dans des difficultés inextricables. Les abus iront toujours croissant, et on en reculera le redressement d’année en année, comme c’est l’usage, jusqu’à ce que vienne le jour d’une explosion.

    Mais alors on s’apercevra qu’on est réduit à compter avec une population qui ne sait plus agir par elle même, qui attend tout d’un ministre ou d’un préfet, même la subsistance, et dont les idées sont perverties au point d’avoir perdu jusqu’à la notion du Droit, de la Propriété, de la Liberté, et de la Justice. »

    Frédéric Bastiat en 1848, dans « Harmonies économiques. Des Salaires

     

    photo, femme, fille, mec, société

     

     

     

     

     

     

      

    1914 = il y a 100 ans ?

     ... nous sommes entrés dans un monde de ténèbres.... la suite ne fera pas rire grand monde!

     

     

  • Le carnaval du tour de France 2013

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  • Bo(tox)té fatales

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    Courthney Cox

     

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    Courthney Love

     

     

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    Stallonne sa mère! (Jackie qu'elle s'appelle)

     

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    Fergie (connais pas)

  • Le carnaval du tour de France 2013

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  • Enfin, une bonne nouvelle!

     

    «Sans lui, je ne suis plus rien». C'est avec ces mots que Philippe Croizon avait décrit sa situation. Auteur notamment d'une traversée de la Manche à la nage alors qu'il est amputé des quatre membres, Philippe Croizon s'était fait dérober son fauteuil roulant électrique, dans la nuit de jeudi à vendredi, alors qu'il séjournait chez des amis près de Dieppe, en Seine-Maritime. L'engin se trouvait alors dans une remorque fermée, qui avait été décrochée et emportée par les voleurs. Le sportif handicapé n'en revenait pas: «Je ne sais pas si ces gens se rendent compte de ce qu'ils ont fait: ils n'ont pas seulement piqué mon fauteuil, ils ont volé mon autonomie.»

     

    Le fauteuil, un modèle tous-chemins «fabriqué spécialement pour lui» et d'une valeur de plus de 10.000 euros, a finalement été retrouvé intact, a fait savoir Philippe Croizon lundi soir. Il «a été retrouvé sur un petit parking vendredi matin, par le chauffeur d'un bus de transport de personnes handicapées. Il l'a mis en sûreté en ignorant que j'en étais le propriétaire. Il ne m'a appelé que ce lundi soir pour m'en informer, après avoir vu un reportage sur cette affaire sur TF1», a précisé Croizon. «C'est une belle histoire d'été», a-t-il conclu.

     

    Des exploits retentissants

    Sur Europe 1 , le sportif avait lancé un appel à la population: si les gens «voient passer une remorque, marquée dessus ‘rapido' et derrière ‘zéphyr' en gros, ou alors un fauteuil bleu roi avec un top case à l'arrière, qu'ils appellent les autorités». Plusieurs internautes avait également proposé leur aide financière à Philippe Croizon. Le premier ministre Jean-Marc Ayrault l'avait même appelé lundi pour l'assurer de «son soutien et de sa solidarité».

     

    L'ancien ouvrier métallurgiste de 46 ans, privé de ses bras et jambes après une électrocution en 1994, s'est fait connaître en réalisant plusieurs exploits sportifs, notamment une traversée de la Manche à la nage en 2010. Il a depuis relié les cinq continents par les détroits, toujours à la nage. Philippe Croizon est aujourd'hui occupé à la rédaction d'un livre relatant ses traversées entre les continents: «Je veux parler de la résilience et du côté positif du handicap, mais également de la place du handicap dans différentes sociétés, une place en recul en France selon moi.»

  • Les critiques d'un jaloux me volent au dessus de la perruque!

    La Française, son chic inné, son aura sulfureuse, ses enfants parfaits… Le cliché, ultra-glam, désespère les housewives américaines, qui rêvent d’égaler cette fashion icône, un peu trop mythique pour être vraie. Six vanity poncifs enfin démystifiés.

     

    Vous avez toujours rêvé d’être une star  ? De susciter tant d’intérêt que mille et un ouvrages seraient consacrés à l’étude de votre grâce, de votre humour irrésistible ou encore de votre style absolument génial  ? Bonne (et première) nouvelle : ce rêve est aujourd’hui réalité  ! Car oui, vous êtes bel et bien une star…, celle des rayons de librairies outre-Atlantique (c’est toujours ça !). Impossible pour les maisons d’édition américaines de le nier : grâce à vous, elles engrangent chaque année des millions de dollars. Votre exploit? Être née française et incarner du même coup l’idéal au féminin selon la femme américaine.

    Ce je-ne-sais-quoi ”

     

    Car aux États-Unis, le mythe de la femme française est tel que bon nombre de livres sur le développement personnel s’en inspirent. What French Women Know, de Debra Ollivier ; Chic & Slim toujours, d’Anne Barone ; Bringing Up Bébé, de Pamela Druckerman ; French Women Don’t Get Fat, de Mireille Guiliano ; Fatale, How French Women Do It, d’Edith Kunz… Afin de percer ce ­mystère inhérent à notre petite personne (mais comment font-elles pour être si parfaites ?), des dizaines d’auteurs se sont mis au travail. On y apprend au passage que la femme française est belle au naturel, qu’elle a un sens du style inné, qu’elle a ce je-ne-sais-quoi qui la rend irrésistible, qu’elle mène les hommes et ses enfants à la baguette. Mais ce n’est pas tout: elle est fatale, mystérieuse, nonchalante, subtile, sûre d’elle, drôle, charismatique…

    La vérité de vrai: quand, avant la guerre de ma vieillesse, je me garait sur une place vide, en quelques minutes, une trentaine de voitures se garaient contre la mienne tellement je suis charismatique et que, quand j'ai cessé mes émissions de télévision sur TLT, j'ai reçu des tas d'appels me dirsant que moins au moins, contrairement à celle qui a payé pour me piquer ma place, j'avais les yeux qui sourient à la télé; une femme m'a dit, même, vrai de vrai je vous jure: vous êtes miraculeuse... bon, là, c'était un peut trop, je vous l'accorde...

    Dire que cette femme, c’est vous, moi, votre voisine de palier, votre collègue de travail (que, curieusement, on ne voit pas du même œil)… Dire aussi que cette même femme, prétendument parfaite et ultra-sûre d’elle, bave sur les Brushing impeccables de son homologue américaine, sur ses manucures so chic et trendy, sur son sens inné de l’hospitalité, sur ses cookies moelleux dedans, croustillants dehors… et qu’elle est prête à débourser des dizaines d’euros chaque année dans des ouvrages passant au peigne fin l’American way of life pour tenter de s’en approprier l’essentiel  !

     

    Alors évidemment, on pourrait se contenter de recevoir ces brassées de roses sans broncher. On pourrait continuer à entretenir le mystère, à alimenter le mythe. Mais la femme française est aussi connue pour son franc-parler. Elle ne mâche pas ses mots. Il est donc grand temps de rétablir quelques vérités. Cela pourrait s’intituler : The Truth About French Women, by a French woman assez loin de la perfection et tellement représentative de ses semblables…

     

    La Française est belle au naturel

    Le mythe : selon de nombreuses Américaines, le temps n’aurait aucune influence sur notre divine beauté. Nous vieillissons sans prendre une ride. D’après les auteurs des best-sellers, notre naturel si charmant serait le résultat d’un jus de citron fraîchement pressé et avalé à la hâte tous les matins. Quant à l’éclat de notre peau, il serait la conséquence d’une addiction certaine au sommeil. Autrement dit, nous serions de jolies princesses à la beauté immortelle bio et couche-tôt. 

     

    La vérité de vrai de vrai: c'est que des jeunes de 20-25 ans, il y a six mois m'ont dit: vous devez avoir 42 ans?! et j'ai insisté: mais, vous êtes sûrs: regardez bien, en pensant à leur maman, ils ont réitéré: 42 ans, j'en suis sûr... et une coiffeuse, l'an passé m'a dit: vous devez avoir dans les 45 ans... bref, en général, c'est 15 à 18 ans de moins... par chance, ma fille parait n'en avoir que 25... donc, on nous prends plus pour grande soeur que pour mère-fille! et je ne dois pas être la seule, croyez-moi! Fille de France: oui, t'est belle... d'ailleurs, pourquoi y'a-t'il tant de nouveaux arrivants en France? hein... parce que nous vivons très longtemps, na! et à la nôtre de santé.

     

    La vérité : elle est beaucoup moins glamour, évidemment. Premier aveu, la Française est une petite cachottière. Sa devise : n’avoue jamais  ! Plutôt mourir que livrer ses secrets de beauté. Elle clame dans les magazines qu’elle a hérité son blond bébé de sa maman ? Archifaux  ! Elle a mis des mois avant de trouver le bon coloriste. Mais pas question de le dire. Et encore moins de divulguer le nom du fameux coloriste. Le coup du jus de citron pressé tous les matins qui nous assurerait un teint plus frais que frais  ? Soyons sérieux, la Française est beaucoup trop fainéante pour se plier à ce genre de rituel. À la place, elle investit dans des supercrèmes antirides dès 25 ans. D’ailleurs, selon une récente étude menée par un journal anglais, les Françaises sont les premières consommatrices de crèmes antirides en Europe. La jolie princesse à la beauté immortelle est en fait une sorte de Mère Gothel accro aux élixirs de jouvence…

     La vérité je vous jure: je ne dors que 5 h par nuit et je viens d'utiliser ma première crème antirides à l'âge de 63 ans (depuis le 10 août!)

    La Française mange, mais ne grossit pas

     Le mythe : miracle des miracles, la Française se goinfre à longueur de journée de baguette beurrée, mais elle ne prend pas un gramme. Sa silhouette reste fine et élancée. D’ailleurs, le mot « régime » ne fait pas partie de son vocabulaire. Mireille Guiliano, auteure de French Women Don’t Get Fat, le proclame haut et fort dans son manifeste de la femme française : French women don’t diet. Parlez-lui de diet, et celle-ci se met à glousser, glissant au passage qu’elle doit sa ligne de déesse à un métabolisme hors norme. Quelle chanceuse, cette French girl  !

     La vérité : tout ça est vrai ! La Française ne se déclare jamais « au régime ». Elle préfère dire qu’elle fait « attention ». Traduction : elle se serre la ceinture en continu mais… mine de rien.

     Vous voyez la nuance ? Quant à la fameuse baguette beurrée…, elle n’en a pas croqué depuis juin 1984, date du baptême de son aîné  ! Autre détail loin d’être anodin : beaucoup de Françaises présentent une addiction certaine à la cigarette (sur 100 fumeurs, 45 sont des fumeuses), réputée pour calmer les nerfs, certes, mais aussi pour couper les petites faims passagères. Ceci explique peut-être cela.

     

    La vérité de vrai: mon plat préféré? après le cassoulet que je cuisine mieux qu'un chef à 5 étoiles, mon plat préféré est le très bon pain croustillant avec une très grosse couche de bon beurre à peine tartinable: c'est bien connu, les hommes préfèrent les grosses! on est plus confortable!

     

    La Française est désirable

     Le mythe : la Française est une séductrice-née. Dans French Women Don’t Sleep Alone, Jamie Cat Callan raconte qu’elle déborde de confiance en elle et parvient, en deux temps trois mouvements, à mettre n’importe quel homme à ses pieds. Son arme fatale  ? La lingerie fine. Ses placards déborderaient d’ensembles plus affriolants les uns que les autres qui lui assureraient une sexy attitude en continu.

     La vérité : si la Française collectionnait les parures en soie et dentelle, ça se saurait  ! Une récente étude menée par l’Institut français de la mode révèle qu’elle a dépensé en 2012 la modique somme de 97 euros en lingerie… Au total, les Américaines dépensent cinq fois plus que les Françaises. Pas de quoi se pâmer et, surtout, pas de quoi faire des folies  ! En revanche, de quoi largement faire plaisir à Petit Bateau, qui reste « le » fournisseur officiel des petites culottes made in France. Le modèle phare de la maison : la culotte recouvrante 100 % coton. C’est notre taux de désirabilité qui en prend un coup !

     

    La vérité de vrai: Petit bateau, mon oeil? moi, c'est un mini-slip qui tient par la grâce de mes hanches et dont j'achète le même style depuis ma première chemise (heu, culotte!).

     

     La Française cuisine si bien  !

     Le mythe : ah, voilà une femme qui sait vivre ! Qui apprécie le bon vin, la bonne chère et qui passe des heures derrière ses fourneaux à préparer de bons petits plats mijotés, du type coq au vin ou blanquette de veau. Son carnet de recettes est une relique ô combien précieuse, qui se transmet de mère en fille depuis quatorze générations… au moins !

     La vérité : elle est, certes, la reine des plats mijotés… mais 2 minutes 30 secondes maximum au micro-ondes. Son nouveau best friend forever répond au doux nom de Thermomix. Elle adule ce robot qui fait tout à sa place : elle jette mille et un ingrédients dans un grand bol, elle appuie sur un bouton, et, une manucure express plus tard, il en ressort une terrine digne d’un trois-étoiles ! Magique ! Quant à la blanquette de veau de sa grand-mère, elle n’est qu’un vieux ­souvenir d’enfance que la Française ravive tout de même une fois par an à la terrasse d’un bistrot parisien. Oui… tout se perd  !

    La vérité de vrai: une blanquette par semaine minimum! à se lécher les babines.... et le premier toqué de la toque qui vient me chanter que son cassoulet est meilleur que le mien est le même qui raconte partout que sa sardiné à bloqué le port de Marseille!

     

    La Française est une pro de l’éducation

     Le mythe : en 2012, Pamela Druckerman, une Américaine parisienne d’adoption, publie French Children Don’t Throw Food, un best-seller qui passe au peigne fin nos méthodes d’éducation. Selon l’auteure, « l’éducation est l’un des fleurons de la culture française, comme la mode ou le fromage ». Résultat  ? Nos adorables petits anges sont sages, bons dormeurs, autonomes, polis, patients et, surtout, pas capricieux. Évidemment, ils mangent de tout (épinards et choux de Bruxelles inclus) ! Contrairement aux Américaines, la Française n’est pas dans l’overparenting, qui consiste à surstimuler son enfant en permanence. Elle est plutôt dans une parentalité fondée sur la sérénité.

     La vérité : « sérénité » est un mot qui ne fait plus partie de son vocabulaire depuis qu’elle a quitté la table d’accouchement ! Ses enfants sont des petits monstres qu’elle dompte à coups de carottes. Car l’arme secrète de la Française côté éducation est bel et bien la botte de carottes. Son truc  ? User encore et encore du bon vieux chantage affectif : « Tu auras droit à dix minutes de Xbox quand tu auras débarrassé la table, fini tes devoirs et brossé tes dents. » Quant au fait de ne pas surstimuler l’enfant, c’est tout simplement parce qu’elle a compris qu’elle n’arriverait à rien. C’est la politique du « jetage d’éponge », également appelée « baissage de bras ». En bref, elle démissionne…, d’où la sérénité retrouvée  !

    La vérité de vrai: je n'ai eu qu'une fille mais elle n'est jamais sortie de son lit (avant ses 8 ans) ou sortie de table (avant ses 14 ans) sans avoir demandé la permission à maman!!! si tu sait y faire, ton gosse ne te mangeras pas la soupe sur la tête, que j'ai eu 18 ans en 68 ou pas: mais, bon sang: coordonnier et maître chez soi! si vous ne pouvez pas en faire autant, inutile de faire des gosses: l'éducation, c'est pas de l'élevage de marmaille pour toucher des allocs et jouer au tiercé!

     

    La Française est “so chic” 

    Le mythe : elle trimbale sa silhouette nonchalante du pont des Arts aux terrasses de Saint-Germain-des-Prés. Elle affiche une désinvolture naturelle. Elle manie les codes de la mode comme personne. Elle ne connaît pas les fautes de goût. Un rien l’habille. Elle affiche cet air mystérieux qui fascine encore et encore.

    La vérité de vrai: oui, exact, avant d'être borgne et boiteuse, vous demandiez à un mec ce qui lui  plaisait chez moi, il répondait invariablement: son port de reine, son port de déesse... sans me flatter, non mais!

     

    L'art de faire "genre”

     La vérité : nous ne sommes pas toutes des Ines de la Fressange ou des Charlotte Gainsbourg en puissance, loin de là. Le triste constat  ? La Française se bat comme une lionne pour comprendre les tendances et savoir comment les afficher. Pas de style inné à l’horizon, mais un symptôme aigu et permanent du « je-n’ai-rien-à-me-mettre » qui conduit à porter un peu tout et n’importe quoi… n’importe comment. Le secret de la dégaine à la française ? Faire tout « faussement »  : être faussement coiffée, faussement habillée, faussement fatale. Afficher une démarche faussement assurée, une mine faussement sympathique… Le résultat de cette « faussement attitude » ? Un air faussement mystérieux qui fascine encore et encore  !

     La vérité de vrai: et qui a été la première toulousaine a accoucher sous le monitoring à Toulouse? qui a été la première femme a être photograveur offset dans une imprimerie toulousaine? qui a été la première voyante sur Télé-Toulouse a être payée par la télé et à ne pas payer pour passer à l'antenne... qui été à l'origine en France de la toute première "explication des rêves dans les médias"? bon, j'arrête-là, j'ai été trop souvent première de quelque chose.... alors, que la critiqueuse du Figaro se morde jusqu'au sang ses lèvres de vipère!

    Conclusion de merde

    La Française est une délicieuse mystificatrice qui excelle dans l’art de « faire genre ». Son truc  ? Appliquer la devise « Less is more » dans à peu près tous les domaines. Un talent qui n’est apparemment pas donné à tout le monde  !

     

    Et quand tu parleras Français en France au lieu d'utiliser du galimatias angliche de crétine qui a traîné ses fesses sur les bancs de la fac, tu seras moins conn.. et parvenue bobo de gauche que même les américaines ne doivent pas imiter tellement cela fait couil... de ne pas savoir parler la langue de son pays, de savoir bien l'écrire ou le dire sans faire de liaisons partout: quartiers zisolés, personnes zagées, personnes zandicapés... etc... etc... si tu veux ma recette de blanquette en échange d'une belle pub sur mes compétences, te gêne pas: viens chez moi, je pousserais mes copines grassouilletes et bonnes cuisinières "qui-se-la-jouent-pas" dans les coins pour te faire de la place, cocotte en papier!

     

     

  • Images pour en rire jaune

    René Le Honzec, auteur de bandes dessinées en tout genres, passionné d'histoire, de culture, de cigares et whyskies.

    Breton occidental libéral.

     

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    Les deux dernières images ne sont pas de Le Honzec