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Humour - Page 52

  • Nouvelle mode déjantée de Tokyo

    Ishoku Hada : découvrez la nouvelle mode déjantée de Tokyo

    La créativité conjuguée à l’excentricité japonaise ne cessera jamais de nous surprendre et de trouver le moyen de se renouveler. La dernière tendance fashion décalée lancée par une minorité undergound de jeunes japonaises ? La peau recouverte d’une couleur vive, les cheveux teints et des vêtements tout aussi flashy, plutôt minimalistes et moulants pour un résultat mêlant provocation et extravagance. Découverte haute en couleurs !

    À Tokyo, dans les quartiers branchés tels Harajuku ou Shibuya, le monde de la mode de rue a vu passer des phénomènes vestimentaires marquants : les Lolita (avec ses multiples déclinaisons : Gothic, Sweet, Punk…), les Gyaru, les Mori Girls, les Fairy Key… Autant de styles qui ont leur histoire propre et sur chacun desquels on pourrait s’attarder. Une grande famille donc qui, en dépit d’un déclin tragique, s’apprête peut-être à accueillir un nouveau membre : le " Ishoku Hada " (異色肌).

    Source : Twitter

    Ce nouveau look se caractérise principalement par une couleur qui recouvre le corps des pieds à la tête. D’où son nom  "Ishoku Hada" qui signifie "peau unique" et en effet la couleur dont les jeunes filles se sont recouvertes est tout sauf à effet naturel, il faut au contraire qu’elle accroche le regard! Et on peut dire que ça marche… Du coup, pour rester dans le ton, les vêtements qui l’accompagnent se doivent d’être flashy, courts ou ouverts : mini-jupe, bas résilles, top, pour laisser apparaitre un maximum de peau, à la limite (franchie ou pas?) de la provocation. On assortira évidemment sa coiffure avec une teinture ou une perruque à la couleur tout aussi surréaliste, et enfin la tenue sera peaufinée par des accessoires.

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  • Où l'on voit bien que le mental des amerloques...

    … n'est pas le même que le notre! Ils doivent être bien surpris de voir combien les salariés et/ou employés en France sont chéris par notre droit du travail!!!

    Amiens: au lieu d'une augmentation, Whirlpool propose à ses salariés... un sèche-linge

    Par  Journaliste Figaro Guillaume Poingt 

    Selon Le Courrier Picard, cette proposition a été faite mercredi lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires. Les salariés sont outrés et envisagent des actions. Délocalisée en Pologne, l'usine Whirlpool d'Amiens fermera le 31 mai prochain.

    Pour les salariés, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Alors que l'usine Whirlpool d'Amiens - qui fabrique des sèche-linge - fermera définitivement le 31 mai prochain suite à une délocalisation en Pologne, un bien étrange "cadeau" leur a été proposé en guise d'adieu: un sèche-linge!

    Selon nos confrères du Courrier Picard , cette proposition a été faite par la direction le mercredi 28 mars lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires (NAO) au sein de l'usine Whirlpool d'Amiens. Alors que les syndicats demandaient une forte augmentation pour les derniers mois d'activité, la direction du site amiénois a proposé un sèche-linge afin d'augmenter le pouvoir d'achat des salariés.

    "On se fout des gens jusqu'au bout"

    Un représentant de la CGT

    Cette attitude a outré les salariés et les représentants syndicaux, dont certains ont été interrogés par Le Courrier Picard. "Ils ont pété des records au niveau des dividendes des actions cette année et on nous propose un sèche-linge", déplore ainsi Frédéric Chantrelle, délégué CFDT du site amiénois Whirlpool. Avant de poursuivre: "C'est du foutage de gueule, après des années de bénéfices record. C'est indécent". Le syndicaliste détaille: "Nous demandons 700 euros mensuels avant que l'usine ne ferme. L'an dernier, on avait obtenu 4%. Pour le collège des ouvriers, cela représente 80 euros pour un salaire de 2000 euros brut". Même son de cloche pour un représentant de la CGT: "On demandait 10% d'augmentation avec rétroactivité à partir de janvier, avant que le site ne ferme. On se fout des gens jusqu'au bout".

    Selon Le Courrier Picard, une colère froide monte actuellement dans l'usine et une action du personnel serait envisagée dans les prochains jours. "Si la direction ne revient pas vers nous, nous envisageons des actions. On réfléchit à une action en début de semaine prochaine, le temps que l'on s'organise et que l'on fasse le tour des salariés", prévient ainsi Frédéric Chantrelle. Pour les salariés, il s'agirait de se manifester une dernière fois pour faire de la mauvaise publicité au géant américain Whirlpool, dont on avait beaucoup parlé durant la campagne présidentielle lorsque Marine Le Pen et Emmanuel Macron s'étaient rendus sur le site d'Amiens.

    Former les remplaçants polonais

    Il faut croire que Whirlpool n'a pas vraiment retenu la leçon. Interrogé par Le Courrier Picard, le représentant de la CFDT Frédéric Chantrelle rappelle une situation comparable au début des années 2000, lorsque le groupe a abandonné la production de machines à laver dans l'usine d'Amiens. "C'était en 2002, au moment de l'arrêt de la production des machines à laver, la direction en avait offert une aux salariés", se remémore-t-il.

    Le groupe américain n'est pas le seul à s'être montré indélicat envers ses salariés licenciés. Au début du mois, le groupe Kingfisher (maison mère de Castorama et Brico Dépôt) - qui avait annoncé le 13 février la suppression de 446 emplois en France liée à la délocalisation de services administratifs en Pologne - avait ainsi incité les salariés licenciés à former leurs remplaçants polonais.... Face au tollé suscité, le groupe avait finalement plaidé une "maladresse de formulation". Derrière ces polémiques se pose la question cruciale des délocalisations d'activités implantées en France vers des pays à bas coûts, comme la Pologne, où le travail est "bon marché".

     

  • À Caen, un mur anti-urine va être expérimenté

    La ville de Caen, dans le Calvados, souhaite mettre le holà sur les incivilités du quotidien, notamment face à ceux qui se "soulagent" contre les murs.

    Qui n’a jamais eu cette envie pressante, en plein milieu d’un trajet, à tel point que l’on ne puisse plus attendre pour s’alléger la vessie, même en pleine rue ? Cette urgence, chaque homme a dû la connaître au moins une fois dans sa vie, notamment après une soirée bien arrosée.

    Seulement voilà, cette incivilité, la mairie de Caen n’en veut plus et a trouvé un subterfuge pour dissuader ces habitants de faire pipi sur les murs de la ville.

    En effet, la municipalité caennaise a décidé, dans certains quartiers tests, de déployer des murs couverts de peinture "anti-pipi". Sur ces murs, un produit hydrofuge appliqué est supposé renvoyer l’urine à son "envoyeur". Ainsi, plutôt de voir l’urine couler tranquillement sur le mur, celle-ci rebondit et éclabousse le pantalon et les chaussures. Autant dire que ce dispositif pourrait en rebuter plus d’un.

    Dans un premier temps, l’essai s’effectuera sur une surface totale de 40 mètres carrés d’ici quelques semaines sous l’œil des caméras de vidéosurveillance, afin de voir directement si cela fonctionne.

    Forcément, ce dispositif aura un coût et non des moindres puisque chaque mètre carré traité coûtera 58 euros. Un tarif qui a notamment refroidi la ville de Bordeaux qui voulait également essayer cette technique.

    Cependant, si Caen sera la première ville en France à essayer les murs anti-urine, d’autres villes ont déjà généralisé ce dispositif avec réussite comme à Hambourg.