Pas la peine d'aller voir des zombies au cinoche!
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Pas la peine d'aller voir des zombies au cinoche!
Le dealer de la trentenaire était son voisin
Ce jeudi, vers 13 heures, le commissariat valentinois reçoit un appel des plus insolites. Une trentenaire explique en effet avoir été arnaquée par son dealer, qui s’avère être l’un de ses voisins. La Valentinoise précise qu’il y a quelques jours, elle a versé de l’argent mais que lui n’a, en retour, jamais donné la drogue : ici de la résine de cannabis. La trentenaire précise encore qu’elle s’est présentée une seconde fois chez son voisin-dealer pour tenter de faire aboutir la transaction. En vain. L’homme aurait par ailleurs été menaçant. Alors que les policiers procèdent à des vérifications, la Valentinoise, quant à elle, envisagerait de déposer plainte…
Amour, Travail est en ligne
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Si les médias restent sexistes, ils pourraient perdre des subventions
Voici un site qui a eu un bon réflexe en me choisissant!
http://www.ilosport.fr/iloweek/iloscope/horoscope-du-20-au-26-octobre/
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a reçu lundi le rapport du haut Conseil à l'égalité sur la lutte contre les stéréotypes.
Le Haut Conseil à l'égalité a proposé une série de mesures pour favoriser l'égalité femmes-hommes dans les médias, l'éducation et la communication institutionnelle.
Pour que l'argent public ne nourrisse pas le sexisme " ni les représentations stéréotypées ", le Haut Conseil à l'égalité préconise de conditionner les subventions à des règles de bonne conduite dans un rapport remis le lundi 20 octobre à la ministre des Affaires sociales, de la Santé et du Droits des femmes, Marisol Touraine, ainsi qu'à la secrétaire d'État chargée des Droits des femmes, Pascale Boistard. Dans ce document, commandé en février 2013, sur les possibles outils pour lutter contre les stéréotypes dans les médias, l'éducation et la communication institutionnelle, les auteurs entendent lier les financements publics au respect des obligations légales en matière d'égalité professionnelle, de parité et de représentation équilibrée entre les sexes dans les instances dirigeantes. Autrement dit, les organisations ou associations où les femmes sont secrétaires et les hommes patrons, devront évoluer si elles veulent obtenir des sous de la part de l'État.
Pour l'instant, les médias ne contribuent guère à la lutte contre les stéréotypes : sur les plateaux, on compte seulement 20% de femmes expertes parmi les invités, comme si la figure de celui qui sait et décrypte restait associée aux hommes. Sans compter les nombreux programmes de fictions et les émissions qui réduisent la femme aux rôles de mère ou de putain. Au choix. Pourtant, ces instances récoltent des financements publics.
Le Haut Conseil à l'égalité demande donc de conditionner les subventions offertes aux chaînes en fonction d'un " panier d'indicateurs " pour relever la place et l'image des femmes dans les domaines de l'information, de la fiction, du divertissement et de la téléréalité. Alors que les études sur la place des femmes dans les médias concernaient surtout les radios et chaînes de télévision jusqu'ici, le rapport préconise également d'étendre le panier d'indicateurs aux secteurs de la presse écrite et du Web.
Si les médias restent sexistes, ils pourraient perdre des subventions
Les acteurs institutionnels (c'est-à-dire l'État et les collectivités territoriales) qui voudraient s'afficher sur les marchés publics pourraient aussi être soumis à la condition de l'égalité, en faisant une croix sur l'utilisation de stéréotypes de sexe pour leurs campagnes de communication.
En ce qui concerne l'école, le Haut Conseil à l'égalité a décidé de s'attaquer à la sous-représentation des femmes dans les manuels en partenariat avec le Centre Hubertine Auclert. Ce dernier avait publié un rapport édifiant en 2013 déduisant les chiffres suivants : sur les 13192 noms de personnes réelles mentionnées dans l'ensemble des manuels de français de seconde, seuls 6,1% désignaient des femmes. Les auteurs féminines ne sont que 3,7% et les femmes philosophes: 0,7% !
Une grille d'indicateurs a donc été élaborée pour évaluer la présence des stéréotypes sexistes dans les ouvrages scolaires, sans pour autant que celle-ci ne soit présentée comme un critère décisif dans l'attribution de financements publics. Associations d'élus, de parents d'élèves, de syndicats lycéens et syndicats d'enseignants mais également les éditeurs de manuels pourraient se voir impliqués dans la création et la ratification d'une convention d'engagement pour lutter contre les stéréotypes.
À l'école, filles et garçons sont encore soumis à des stéréotypes persistants.
Au programme également : des cours de sensibilisation à l'égalité dans les cursus de journalisme, communication, publicité et audiovisuel mais aussi un palmarès des manuels scolaires les plus égalitaires. Une idée qui avait déjà été proposée fin juin par la délégation aux droits des femmes du Sénat, sans suite. "Nous nous interrogeons sur la volonté de l’Éducation nationale de travailler le sujet de l’égalité, surtout après la disparition des ABCD de l’égalité", nous avait confié en août Clémence Pajot, directrice du centre Hubertine Auclert.
Le rapport du Haut Conseil à l'égalité vient s'ajouter aux nombreuses initiatives pour l'égalité qui ont émergé au cours de cette année entre la publication du rapport du CSA sur l'image de la femme dans les médias, la création du collectif Prenons la Une, du site Macholand.fr ou encore la pétition lancée par Ariane, une lycéenne, contre l'invisibilité des femmes dans les manuels scolaires. Des batailles qui font sens face aux inégalités persistantes mais s'attaquent toutes au même démon : "les stéréotypes sexistes", dont la définition reste encore floue et donc remise en question en permanence par la plupart des Français.
Interdiction, interdiction, interdiction, parce que la France est un pays de liberté, que trop de liberté tue la liberté, et qu’il faut absolument réguler tout ce qui ne l’est pas encore, et que toutes ces interdictions étaient réclamées bruyamment par le peuple (dont les autres problèmes – chômage, niveau de vie en baisse, éducation parcellaire, etc… – sont parfaitement traités par ailleurs).
Accessoirement, on pourra tout de même assortir tout ça d’une bonne taxation, taxation, taxation, et l’affaire est dans le sac. En papier, bien sûr.
Par H16.
Souffrez-vous d’apnée de l’email ?
8 personnes sur 10 bloquent leur respiration en écrivant un email. Si vous êtes dans ce cas, voici des solutions.
80 % des personnes cesseraient de respirer, ou respireraient de manière intermittente quand elles écrivent un email ou travaillent (ou jouent) sur un ordinateur ou un téléphone portable. Cet apnée de l'e-mail ou " apnée de l’écran " a été décrit pour la première fois par l'Américaine Linda Stone, une ex-salariée d’Apple.
Le fait de retenir sa respiration peut activer le système nerveux sympathique, ce qui élève le niveau de stress. Il semble que les personnes en surpoids souffrent plus d’apnée de l’email, à moins que cet apnée en apparence anodin augmente l’appétit, la consommation d’énergie et le surpoids…
Après avoir remarqué qu’elle retenait sa respiration en écrivant, Linda Stone a mesuré la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV pour heart rate variability) chez elle et chez d’autres personnes lorsqu’elles écrivaient des emails ou du texte.
La HRV est une mesure de la variation de temps écoulé entre les battements du cœur. Si votre cœur bat à 60 pulsations par minute cela ne signifie pas que l’intervalle entre deux pulsations est toujours d’une seconde. Cet intervalle peut varier d’une demi-seconde à deux secondes. Plus cet intervalle varie, moins vous êtes en état de stress. Schématiquement, l’activation du système nerveux sympathique (mobilisé en cas de stress) augmente le pouls et diminue la HRV, alors que l’activation du système nerveux parasympathique ralentit le pouls et augmente la HRV.
Le fait de passer en apnée lorsqu’on travaille est assimilé à une situation de stress. Explications du Dr David O’Hare, auteur de Cohérence cardiaque 365 :
" L'attention soutenue associée au stress ou à la surcharge émotionnelle fait intervenir la respiration pour la renforcer.
L'inspiration stimule le système nerveux sympathique, celui responsable de l'accélération du cœur, au moyen de l'adrénaline, ceci pour accroître l'apport en oxygène et en sucre aux muscles et au cerveau.
Le blocage de la respiration en fin d'inspiration augmente encore ce processus. L'exemple type est la surprise brutale : inspiration et blocage permettent de préparer le surpris à s'enfuir ou à se battre si la menace est avérée.
L'expiration stimule le système nerveux parasympathique, responsable de la relaxation, de la détente musculaire, de la récupération et de la gestion calme des informations. Dans ce cas, l'exemple type est le soupir de soulagement qui force le retour au calme.
Cette alternance de stimulation des deux systèmes s'appelle l'arythmie sinusale respiratoire elle est connue depuis très longtemps.
Ce qui est nouveau, c'est la fréquence des stresseurs, leur enchaînement rapide dans le temps, l'impossibilité de retour serein à la normale au temps physiologique de plusieurs heures.
Le courrier postal que les anglophones appellent snail mail (courrier escargot) était plus lent, les réponses l'étaient autant, le corps humain pouvait s'adapter, assimiler l'information et se restabiliser.
Le courriel avec son volume croissant, l'intrusivité permanente, la mobilisation de l'attention qui la détourne dès que le signal d'arrivée retentit pour éveiller la curiosité créant un sentiment d'urgence, mettent le corps dans un état de tension accrue, une stimulation permanente du système nerveux autonome qui s'auto-entretient en bloquant la respiration sentant la menace l'envahir.
L'état de tension extrême du système nerveux autonome s'appelle le stress.
La respiration peut, à la fois, l'entretenir ou le soulager. "
Si vous retenez votre respiration quand vous écrivez, habituez-vous à quitter régulièrement votre écran des yeux pour fixer d’autres points dans la pièce. Cela s’accompagne normalement d’une expiration avec reprise de la respiration normale. Vous pouvez aussi adopter la cohérence cardiaque, qui est une respiration rythmée. " La pratique de séances de respirations volontaires, lentes et amples a un effet de stabilisation de la réponse corporelle aux stresseurs ", dit le Dr David O’Hare. " La cohérence cardiaque représente l'exercice le plus simple et le plus accessible. Entraînez vous à respirer 6 fois en une minute (5 secondes d'inspiration, 5 secondes d'expiration) avant ou après la lecture d'un courriel. Effet bénéfique garanti. "