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Choses - Page 3

  • Parlez français, non de d….!!

    Franglais, dialecte des banlieues et mots creux: 3 menaces pour la langue française

    Nous sommes profondément attachés à la grandeur et à l’influence de la France dans le monde dont une des composantes majeures réside dans une Défense nationale puissante et crédible.

    Mais la défense de notre langue en est un des facteurs non moins essentiels et vitaux non seulement pour tenir notre rang international mais également afin de maintenir la cohésion nationale au sein d’une communauté d’appartenance.

    De nos jours en effet, la langue française est aux abois. Elle est attaquée simultanément par trois menaces dont les effets délétères se cumulent et dilapident notre patrimoine linguistique.

    L’usage intempestif du " franglais"

    L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    L’usage intempestif du "franglais"

    Il est démontré par l’Académie française en 2021. Pour illustrer ce constat, un exemple concret a été choisi : il s’agit de la création de la nouvelle carte d’identité nationale (CNI). Cette récente version bilingue (traduite in extenso en anglais), entre en contradiction avec la Constitution, la loi Toubon de 1994 qui stipule que toute inscription ou annonce destinée à l’information du public doit être formulée en langue française, et surtout la vérité.

    En effet, cette carte n’est pas un passeport de voyage. Si l’on entre aux USA, on a besoin d’un passeport, pas de la CNI. En outre, avec la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne, il n’y a pas de raison de privilégier l’anglais.

    Que le gouvernement établisse une carte bilingue en choisissant l’anglais, c’est le signe d’un aveu terrifiant : au fond, le français ne compte plus. D’ailleurs, le gouvernement lui-même explique, toute honte bue, qu’il est préférable que ce document soit en anglais car le français ne serait plus compris !

    C’est la démonstration d’une démission coupable qui rejoint dans sa tragique ampleur le déni de notre Histoire et la politique de repentance affichés par nos gouvernants.

    Cette démission tend à reléguer notre langue nationale au statut d’un parler local, d’un dialecte tribal.

    Cependant, le monde francophone s’insurge de cette situation et sonne l’alarme. Cette indignation grandissante souligne l’aberration que constitue cette abdication institutionnelle. Nous assistons à l’invasion générale du vocabulaire scientifique, de la culture, de la communication, de l’information par des anglicismes.

    L’anglicisation s’est généralisée et s’est accélérée durant les cinq dernières années. Il y a désormais une lame de fond qui est en train de subvertir le français. La diffusion des anglicismes s’est encore amplifiée avec la crise sanitaire Covid ( par exemple l’emploi répété, à l’envi, de "cluster "  au lieu de " foyer ").

    Néanmoins, cette propagation des anglicismes se heurte à l’exaspération croissante des Français.

    Ces derniers ne veulent pas du franglais, ils croient en la valeur de leur langue. Les stratégies de communication ne portent pas.

    Les gens ne comprennent pas les messages qu’on leur impose ni pourquoi ce sabir se substitue au français.

    Cela montre une fracture entre une frange privilégiée des élites représentant le haut du panier national sensé être inventif et productif et le reste de la société , invité à penser que l’ascenseur social passe par l’adoption d’un jargon débilitant qui confine désormais aux tics de langage.

    Il s’ensuit pour la population française le risque d’un double clivage linguistique: SOCIAL d’une part, le fossé se creusant entre les publics suivant qu’ils sont imprégnés ou non des nouveaux codes de langage. Le ton badin, parfois futile devenu la règle en matière de communication institutionnelle , prête le flanc à un rejet fréquent , né d’une perplexité et souvent d’une incompréhension des destinataires pouvant aller jusqu’à un sentiment d’exclusion: "être  people-minded  est notre raison d’être" et GéNéRATIONNEL d’autre part, les plus jeunes étant particulièrement réceptifs aux usages numériques et mieux à même de les assimiler, mais d’autant plus exposés au risque d’être cantonnés à un vocabulaire approximatif et n’avoir qu’une très faible maîtrise de la langue.

    En utilisant largement un vocabulaire anglais (cf annexes) incompris d’une grande partie du public, les services en ligne contribuent à alimenter la défiance qu’on a vu se développer ces dernières années vis à vis des différentes autorités, qu’elles relèvent des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, mais également de l’administration , du monde politique , de la sphère économique et dans le domaine de la santé.

    – L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    A l’oreille, on comprend bien qu’il s’agit désormais d’un parlé " dur ", hostile, forgé dans l’exclusion ou le repli communautaire.

    Avec l’émergence de réseaux terroristes au cœur même de notre Nation, un phénomène de division, de dilution affecte notre population.

    Il s’agit du repli d’une partie des "citoyens" vers un quant- à- soi géographique, socio-économique et religieux intégriste.

    Cette fragmentation va bien au-delà de ce qu’il est convenu d’appeler les différences ou la diversité. Cet émiettement tribal passe par un langage spécifique dont on mesure l’importance et la portée dès que des troubles éclatent dans les banlieues et quartiers de nos villes.

    Cette fracture linguistique véhiculée par un langage de combat n’a plus rien de comparable avec ce qui existait il y a encore quelques années à l’époque des fantaisies du verlan, de l’accent beur ou des mille facettes de l’argot des cités sublimé par la plume gouleyante d’un Frédéric Dard, d’un Alphonse Boudard ou encore d’un Michel Audiard.

    La fracture constatée dépasse le problème de l’école ou celui des cités. Rien n’est plus dangereux que cette lente dislocation à l’œuvre dans les tréfonds démocratiques, dont l’apparition d’un idiome appauvri et verrouillé, d’un patois dissident au sein de la ville, est le symptôme le plus corrosif.

    Quand les mots eux-mêmes se décomposent, quand la parole elle-même se délite, c’est que rôde en effet un péril majeur.

    Parmi les produits empoisonnés de cette dissidence, il faut désigner désormais le djihadisme.

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    On disait il y a quelques années encore: " il parle comme un livre"

    La formule s’est inversée et aujourd’hui, on dira plutôt " il écrit comme il parle". Comme notre façon actuelle de nous exprimer, celle de la publicité, des médias, du monde politique est atteinte profondément par une contamination de mots sans signification, d’expressions vides de sens, notre langage est devenu singulièrement indigent.

    Dès lors, il se satisfait de formules imprécises employées à tout bout de champ et souvent délibérément puisées dans le vocabulaire économique.

    Prenons quelques exemples :

    Le verbe "impacter " dérivé à tort du mot "impact" est utilisé très souvent pour relater des évènements de nature différente plus ou moins importants :

    "La consommation est impactée par la hausse des prix

    La pollution impacte la planète

    La guerre en Ukraine va impacter l’élection présidentielle "

    Alors que notre langue propose dans ces exemples là: freiner, ralentir, influencer, influer, agir, peser, menacer, mettre en péril… qui apportent des nuances et des précisions qui enrichissent la compréhension des idées émises.

    Demain, nous sourirons qu’on ait pu discourir avec sérieux:

    De notre "capital" santé, de notre "capital" beauté, de notre "investissement" conjugal, des "dividendes" affectifs .

    Ou encore du concept de "déficit" mis à toutes les sauces du verbiage cher aux journalistes :

    " Déficit" démocratique, "déficit" social, "déficit" visuel, "déficit" de popularité, "déficit" d’image.

    Demain, nous sourirons ou peut- être nous pleurerons que les Chefs d’Etat, qui se sont succédé depuis trente ans, aient pu dire, redire, se contredire, proclamer :

    " e crois à l’inversion de la courbe de chômage"

    " la priorité des priorités est (selon l’humeur ou la pression des évènements): la sécurité, le chômage, l’hôpital, les retraites, la taille des allumettes, le pouvoir d’achat, le prix du timbre-poste , l’école, l’industrie, l’agriculture …… "

    "Nous sommes à la croisée des chemins ", phrase qui peut être suivie ou précédée de "le bout du tunnel est en vue".

    " Cette réforme d’ampleur sera la crème de toutes les batailles":

    La sécurité sociale, le conditionnement des couche-culottes, la mise en place des 35 heures, la remise en cause des 35 heures, la prochaine loi de programmation militaire sanctuarisée…

    Ces expressions passe-partout composées de mots forts en apparence sont les symboles d’une langue désincarnée, d’un langage convenu et rigide destiné à dénaturer la vérité.

    Elles ont perdu par, l’usage d’une absurde répétition contredite par les faits, leur substance au fil du temps et sont devenues les vecteurs futiles de messages désormais inaudibles.

    En 1967, Maurice Genevoix, qui depuis de nombreuses années, défend sur tous les fronts la langue française, conscient de la menace que représente la déliquescence de tout langage écrivait :

    " Le langage n’est pas neutre. Né d’une culture, expression d’une culture, si par malheur il dégénère, il agit sur les structures mentales qu’il affaiblit sournoisement. Si ce processus devait encore s’aggraver, la langue ne dirait plus, elle cacherait, elle déroberait.

    Les mots devenus tabous, feraient peur. Ils cesseraient alors de signifier, ils voileraient, ils trahiraient.

    Ils deviendraient des moyens d’intimidation, des instruments d’un terrorisme au service d’intentions moins innocentes, peut-être qu’il n’y paraît ".

    Face à cette évolution préoccupante de notre langue,

    L’Académie française peut ainsi conclure :

    "La communication actuelle est caractérisée par une dégradation qu’il est essentiel de ne pas considérer comme une fatalité.

    Il est de la responsabilité mais aussi de l’intérêt de ceux qui disposent des canaux d’information et de diffusion de veiller à redonner à la communication institutionnelle la qualité et l’efficacité que l’ensemble des publics est en droit d’attendre.

    Il s’agit avant tout d’une question de volonté générale étayée par la prise de conscience de la Gravité et de l’Urgence de la Situation ".

    Daniel Péré

    10 avril 2022

    Sources : Rapport Académie Française 2021

    Le Figaro (Mme Carrère d’Encausse) janvier 2022

    Ouest-France Articles des 30 septembre 2011, 27 septembre 2021,

    17 février 2022, 19 mars 2022

    Sud-ouest Article 10 avril 2016

    Biographie M.Genevoix de A.Luneau et J. Tassin 2019

    Prochainement un article qui prouve que la pauvreté du langage nous a fait descendre au niveau du QI.

  • Un peu dépassé, non?

    Les mots que vous allez dire en français

    Voyez ici le quotidien en ligne 100% francophone !

    Chaque année, des milliers de notions et de réalités nouvelles apparaissent, liées en particulier aux nouvelles technologies (et le plus souvent en anglo-américain). Il faut pouvoir les comprendre et les nommer. Pour demeurer vivante, une langue doit être en mesure d’exprimer le monde moderne dans lequel elle évolue !

    Depuis le décret du 3 juillet 1996, France terme, dispositif coordonné et animé par la délégation à la langue française (DGLFLF), a pour mission première de désigner en français les concepts et réalités qui apparaissent sous des appellations étrangères. Publiés au Journal officiel, les termes recommandés ne sont d’usage obligatoire que dans les administrations et les établissements de l’État mais ils peuvent servir de référence pour tout le monde ! Pourquoi utiliser un terme anglais lorsqu'il existe en français ? Voici 10 exemples de mots du quotidien que vous allez pouvoir dire en français !

    1. On ne dit plus Emoji mais frimousse

    Parce que c'est quand même plus sympathique !

    1. on ne dit plus webcam mais cybercaméra

    Parce que de cyber à cyborg, il n'y a qu'un pas.

    1. on ne dit plus pop-up mais fenêtre intruse

    Parce que qui peut dire que ce n'est pas intrusif, une pop-up ?

    1. on ne dit plus hacker mais fouineur

    Parce qu’ils sondent les moindres recoins des réseaux et des systèmes informatiques pour mieux les comprendre.

    1. on ne dit plus spam mais arrosage

    Parce que c'est vrai qu'à la fin, tous ces spams pourraient bien faire couler notre boîte aux lettres électronique.

    1. on ne dit plus mail mais courriel

    Parce qu'on aura plus de chance de se faire comprendre par notre grand-mère. Et qu'au moins on prononcera le mot avec le bon accent.

    1. on ne dit plus bug mais bogue

    Parce que la version française est aussi bien et que le bug de l'an 2000 n'a pas eu lieu.

    1. on ne dit plus chat mais dialogue en ligne

    Parce qu'il est temps d'appeler un chat un chat : le chat n'a rien d'un quadrupède.

    1. on ne dit plus hashtag mais mot-dièse

    Parce que personne ne sait écrire le mot hashtag et qu'au moins avec mot-dièse on sait de quoi on parle.

    1. on ne dit plus cloud mais nuage

    Est-ce que vous aussi, vous imaginez que les données qui y sont stockées planent au-dessus de vos têtes ? C'est donc bien qu'elles sont dans les nuages !

    https://www.gouvernement.fr

  • C'était simple à prévoir!  

      États-Unis: né homme, un transgenre est autorisé à jouer au rugby contre des lycéennes et fait trois blessées dans l’équipe adverse lors du match d’ouverture de la saison

    Biologiquement un homme: il est autorisé à jouer au rugby contre des lycéennes et blesse trois filles de l’autre équipe. Cela n’a rien de surprenant, étant donné que l’instance mondiale de ce sport avait explicitement mis en garde contre le fait de laisser des hommes affronter des femmes.

    L’athlète transgenre qui joue dans l’équipe de rugby féminine du lycée de Guam a blessé trois filles du lycée Tiyan lors du match d’ouverture de la saison, selon l’entraîneur de l’équipe adverse. Conrad Kerber, qui entraîne les équipes de garçons et de filles de Tiyan, a déclaré que “la nature agressive dont nous avons été témoin a clairement montré qu’il s’agissait d’un problème concret auquel nous devons faire face”.

    Bien sûr, faire concourir un homme contre des femmes dans n’importe quel sport est évidemment injuste. Dans le rugby, un sport de contact, c’est dangereux. Tout le monde le comprend implicitement, mais World Rugby est allé plus loin et a étudié cette question exacte, produisant un rapport en 2020 qui a clairement montré à quel point le politiquement correct dans le rugby est dangereux.

    L’étude de World Rugby a révélé que les joueuses qui étaient plaquées par des hommes avaient un risque de blessure accru de 20 à 30 %. En moyenne, les hommes sont “25 à 50 % plus forts, 30 % plus puissants, 40 % plus lourds et environ 15 % plus rapides” que leurs homologues féminines.

    Le rapport de World Rugby a également déterminé que les directives du Comité international olympique, qui autorisent les hommes à concourir contre les femmes si leur taux de testostérone est inférieur à un seuil arbitraire, n’étaient “pas adaptées à l’objectif” car il n’y a “que de faibles réductions de la force et aucune perte de masse osseuse ou de volume ou de taille musculaire après suppression de la testostérone”.

    Pour une raison quelconque, une ligue de rugby lycéenne a déterminé qu’elle en savait plus que l’instance sportive mondiale lorsqu’il s’agissait de la sécurité des lycéennes pratiquant ce sport. Ainsi, au nom du politiquement correct et de “l’affirmation du genre”, un garçon a été autorisé à blesser des filles, et en blessera certainement d’autres si cela se poursuit pendant la saison. C’est inacceptable et irresponsable, et les officiels qui ont permis que cela se produise devraient tous être obligés de répondre de leurs défaillances

    Washington Examiner

    Les amerloques ont rangés leur cervelle dans leur congélateur!

      

  • Les sondages sont archifaux!

    En 2012, l’Intelligence artificielle a donné les 10 premiers candidats dans l’ordre!

    En 2012 l’Intelligence artificielle a donné les 10 premiers candidats dans l’ordre!!

    C’est tout simplement époustouflant. Aucun sondeur ne serait capable d’un tel exploit. ( Filteris, c’est l’ancêtre de l’application Qotmii )

    Comparez ci-dessus les prévisions de l’IA et les résultats du premier tour 2012. L’écart est minime. Bluffant!

    Et cette année, l’IA place Zemmour premier ou second depuis 4 mois sans interruption.

    Il faut donc croire à l’IA car les sondages sont soit totalement dépassés donc faux, soit truqués et sciemment manipulés. Entre le choix de l’échantillon et les corrections finales apportées par les sondeurs, on peut décréter que le soleil est bleu et que la mer est jaune.

    Je crois plutôt à une manipulation voulue par le Système, afin de décourager l’électorat zemmourien et susciter un " vote utile " pro-Marine.

    Et ça marche, car tous les médias se gardent bien de divulguer les chiffres quotidiens de l’application Qotmii, qui n’a jamais envisagé un remake de 2017 Macron/Marine, mais plutôt un duel Macron/Zemmour. Ce que le Système redoute.

    Voici le classement donné par l’IA ce jour:

    Macron 23,2%

    Zemmour 16,3

    Marine 14,8

    Mélenchon 13,8

    Pécresse 6,9

    Des chiffres parfaitement crédibles compte tenu de la fabuleuse campagne d’Éric Zemmour, capable de mobiliser 100 000 personnes au Trocadéro, capable de rassembler 120 000 adhérents en trois mois avec son parti Reconquête, capable de susciter une ferveur et un espoir inégalés, capable de faire exploser l’audimat sur tous les plateaux TV, capable d’être présent à trois évènements par jour. Il est celui qui fait le buzz sur les réseaux sociaux, comme le Président.

    Mais surtout, Éric et ses équipes ont fourni un fabuleux travail pour élaborer un programme décapant, à des années lumière des mesurettes réchauffées de ses concurrents mondialistes.

    En 35 fiches synthétiques parfaitement claires, Zemmour vous livre un programme complet, crédible et chiffré, alors que d’autres n’ont tout simplement pas de programme, comme Macron!

     

    https://programme.zemmour2022.fr/

    Avec Éric, c’est l’assurance d’un retour de la France gaullienne et c’est la fin de cette mondialisation dévastatrice, qui veut la peau de notre patrimoine culturel, de notre Histoire et de notre art de vivre.

    Marine à 23% et Eric à 10%, c’est absolument impossible. 

    Comment expliquer un tel écart alors que le programme de Marine est de moins en moins cohérent, de moins en moins clair, tant celle-ci a retourné sa veste pour se couler dans le moule bien-pensant afin de se dédiaboliser.

    Elle a adopté la religion mondialiste et s’accommode désormais de l’impérialisme bruxellois sans sourciller. Elle ne changera rien et fera tout pour être réélue. 

    Avec l’IA, Zemmour a longtemps été devant Macron, mais la guerre en Ukraine a donné un net avantage au candidat-Président, c’est évident.

    Je n’ai pas les chiffres de l’IA pour l’élection de 2017, qui fut un coup d’État politico-judiciaire soutenu ardemment par les médias. 

    Depuis la fin 2021, époque à laquelle Éric Zemmour avait dépassé Marine dans les sondages, devenant menaçant pour le Système, on a vu brutalement  la courbe ascendante s’inverser et redescendre peu à peu vers les bas-fonds, plaçant le meilleur candidat de cette élection à la quatrième ou cinquième place.

    Tout a été bon chez les sondeurs pour justifier leurs études bidon, Éric ne pouvant dire le moindre mot sans que ses propos ne deviennent polémiques, à la plus grande joie des médias.

    En quelques jours, Éric est devenu le Diable personnifié et Marine, l’ex-Hitler en Jupons, est devenue Mère Teresa. 

    Du moins pour le premier tour. Car nul doute que le Système va la diaboliser à outrance si d’aventure elle se retrouve à nouveau face à Macron.

    Regardez l’incohérence des sondages quand on compare Zemmour à Valérie Pécresse.

    Les sondeurs placent Zemmour et Pécresse à égalité dans les bas-fonds autour de 10% chacun.

    On nous dira que Pécresse ne s’est jamais remise de son crash au  Zénith et que Zemmour ne fait que payer les polémiques qu’il suscite régulièrement. Soit.

    Mais dans ce cas, comment expliquer que l’IA place Pécresse en 5e position, alors que Zemmour reste scotché à le seconde place, après avoir tenu la première place jusqu’en janvier 2022?

    https://youtu.be/LZR73LPs_Ww

    Visiblement, si la place de Pécresse semble cohérente, entre les sondages et l’IA, il est clair que pour Zemmour l’IA donne un résultat à l’opposé des sondages. Preuve d’une manipulation.

    Zemmour est pénalisé de 5 à 8 points dans les sondages et Marine est surévaluée d’autant, pour nous imposer le scénario catastrophe de 2017.

    Par conséquent, faisons confiance à l’Intelligence artificielle. Ne cédons pas au découragement et au fatalisme.

    Le staff de Zemmour a rappelé récemment que l’IA le plaçait en seconde position et Guillaume Peltier, dans une courte vidéo, nous cite quelques exemples des élections passées.

    Les sondages se sont toujours trompés. Ne vous laissez pas berner, ne vous laissez pas voler cette élection vitale pour l’avenir de la France.

    Seul Éric peut battre Macron dans un débat. Seul Éric est courageux, sincère et honnête. Tous les autres candidats s’en remettront à Bruxelles et se coucheront devant les diktats mondialistes.

    https://youtu.be/_loxlilMHD4

    Voici ce que disait le créateur de l’application Qotmii, le 27 janvier 2022, à propos de la présidentielle:

    " À l’inverse des sondeurs, en ce moment, nous captons une tendance forte en regard d’Éric Zemmour que l’on voit assez haut (autour de 19%-21%), en première ou deuxième position, juste devant Emmanuel Macron que nous donnons ces jours-ci autour de 16%-19%, alors que les sondeurs le situent entre 22% et 26%. "

    Depuis, il y a eu la guerre en Ukraine qui a propulsé Macron au devant de la scène. Mais Éric reste toujours en seconde position.

    Mais si vous souhaitez davantage d’immigration, davantage d’islam, davantage d’insécurité et de violence, davantage de désindustrialisation, de pauvreté et de déclassement économique, si l’avenir de vos enfants vous importe peu, alors, ne votez surtout pas Zemmour.

    Votez pour n’importe quel autre candidat, ce sont tous des mondialistes fossoyeurs de la France et de notre civilisation. Ils sont tous des clones de Macron aux ordres de Bruxelles.

    Ils nous conduiront à terme vers la faillite et la guerre civile, faisant de la France le Liban des années 1980.

    Jacques Guillemain

    https://youtu.be/LZR73LPs_Ww

     

  • Murs et frontières

    Eugénie Bastié: " En 1989, il y avait 11 murs frontaliers dans le monde. Il y en a aujourd’hui environ 80. L’aboutissement de l’abolition des frontières, c’est la restauration des murs"

     

        Eugénie Bastié: "Seuls les progressistes continuent à croire à un monde sans frontières qui n'a plus rien de réel" #PAI pic.twitter.com/Cm2gEt99z8

        — CNEWS (@CNEWS) November 20, 2021