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Blog - Page 89

  • ATTENTION APRES LA CANICULE 2011

    Une épidémie de grippe “pas tout à fait classique”

    Une épidémie de grippe A(H3N2) touche depuis plusieurs semaines la Polynésie et particulièrement les îles de la Société et les Marquises. Un virus “banal” mais qui intervient à une période où, généralement, aucune épidémie n’est constatée.

    Une vague de grippe de type A (H3N2) frappe actuellement la Polynésie à une période où les épidémies ne sont habituellement pas constatées.

    Forte fièvre, maux de tête, toux grasse… depuis plusieurs semaines, la vingtaine de médecins, faisant partie du “réseau sentinelle” de la direction de la Santé, a noté un nombre croissant de malades de la grippe dans leurs cabinets, particulièrement dans l’archipel de la Société ainsi qu’aux Marquises.

    Une épidémie “pas tout à fait classique”, car intervenant entre les deux périodes habituelles où circule généralement le virus en Polynésie.

    “Nous avons souvent deux pics d’épidémie. Le premier en décembre/janvier, qui correspond à la venue des voyageurs de l’hémisphère Nord, et le second au moment de l’hiver austral, soit vers juillet/août. Là, nous sommes un peu entre les deux et l’on ne sait pas encore très bien pourquoi. Peut-être que la pandémie de l’année dernière a un peu bouleversé l’équilibre microbien”, explique le docteur Henri-Pierre Mallet, responsable du bureau de veille sanitaire à la direction de la Santé.

    Les prélèvements effectués sur les malades par les autorités ont permis de déterminer que le virus, qui sévit actuellement sur le territoire, est de type A(H3N2), un cousin de la grippe A(H1N1) qui avait suscité de nombreuses craintes en 2009 et poussé les autorités à lancer une vaste campagne de vaccination.

    Mais aujourd’hui, rien d’exceptionnel dans la forme de la maladie : “La grippe A(H3N2) est une grippe classique qui revient régulièrement. Elle est totalement banale dans le sens où on la connaît, mais on voit qu’elle n’est finalement pas moins sévère que la A(H1N1), c’est-à-dire que les gens ont aussi des syndromes grippaux marqués. Mais une grippe reste toujours potentiellement sévère”, ajoute le docteur Mallet.

    “La population s’est très mal vaccinée”

    Pour éviter d’être alité plusieurs jours avec 39 de fièvre, voire dans le pire des cas d’être hospitalisé, la meilleure arme de prévention reste la vaccination qui est fortement conseillée aux personnes âgées et/ou fragiles, ainsi qu’aux personnels de santé en contact régulier avec les patients.

    Malgré les multiples campagnes de communication, le message a toutefois toujours du mal à passer. “La population à risque s’est très mal vaccinée cette année, alors que l’on a un vaccin disponible sur le marché grâce auquel on est parfaitement protégé. Il semble que les gens ont peur des vaccins, en particulier de ceux antigrippe, en raison de l’épisode du H1N1. C’est un peu le résultat d’une campagne mal conduite”, estime aujourd’hui le responsable du bureau de veille sanitaire.

    Car la grippe, qu’elle que soit sa forme, peut s’avérer mortelle pour celui qui la contracte : “Il y a des formes plus ou moins graves selon le terrain, la fragilité et l’état immunitaire du moment. Classiquement, le risque de complication existe surtout chez les personnes âgées ou chez les personnes qui ont des maladies sous-jacentes”.

    Bonne nouvelle toutefois, l’épidémie qui touche actuellement la Polynésie devrait rapidement s’estomper, le pic étant désormais “passé”. Les spécialistes n’en ont cependant pas encore la certitude car, cette année, le virus n’a “pas le profil habituel”.

    En outre, cette vague de A(H3N2) pourrait s’avérer être un mal pour un bien. Si l’épidémie attendue pour juillet/août était de la même souche virale, les personnes atteintes à l’heure actuelle seraient, par conséquent, immunisées, ce qui endiguerait naturellement la transmission de la maladie. Pour se prémunir du virus, le vaccin reste la meilleure des solutions. Cette année, les spécialistes ont constaté une baisse du nombre de personnes qui se sont fait vacciner.

    Il va falloir patienter quelques mois pour avoir un bilan mais il se pourrait que le prochain hiver laisse quelques surprises mauvaises en France. Si nous avons une sacré canicule, attention aux virus au prochain hiver sur des organismes épuisés.

    JE VOUS PRIE DE  BIEN VOULOIR NOTER LA DATE de mon avertissement pour les imbéciles heureux qui disent que j'avais lu ailleurs l'avertissement et que je me suis empressée d'en faire mon profit.

    Je pensais avoir laissé supposer que j'étais plutôt quelqu'un de sincère,mais apparemment, les pervers atrophiés de l'intellect resteront toujours des pervers!

  • En panne, un petit peu

    J'ai eu l'idée de faire ce blog, d'abord parce que j'en possède 10 mais qu'en payant pour ne plus avoir la pub des autres, j'avais droit à un blog supplémentaire soit 10

    et je n'en avais que 9

    J'ai donc eu l'idée de cet ultime car je recevais des tas de pps comme on dit dans le jargon qui contenaient des tas de photos amusantes....

    Je souhaite rajouter seulement des photos reçues de mes ami-es (ou des blagues) Avec ces 10 blogs -et 5 boutiques à gérer plus un site de gifs gratuits, j'ai pas mal de travail. Aussi, je n'ai pas envie de chercher à piquer des images sur d'autres blogs et sites qui font la même chose que ce blog.

    Depuis quelques temps, mes ami-es et relations ne m'envoie que des vidéos -rigolottes, d'accord- mais je n'ai plus trop de photos...

    Alors, j'attends... et donc, vous aussi par voie de conséquences.

    Ne m'en veuillez pas trop si mon blog est "maigre"...

    de toutes façons, c'est la saison des régimes :-)

  • N'AYEZ PLUS PEUR DU NUCLEAIRE!

    ATTENTION, ATTENTION, ATTENTION

    Même si René Quinton a vraiment existé et que la biographie rajoutée dans ma note est tout à fait exacte...

    que son sérum basée à l'eau de mer est exact

    que le bicarbonate de soude soit vraiment un bon désinfectant

    la finalité de la note est totalement inventée et de l'ordre du poisson d'avril

    que, j'espère vous avez mangé avec les arêtes!

    J'ai pris soin de changer l'image de l'info: "nouveaux gifs Joyce" et de remplacer l'ange de pâques par un gamin qui revient de la pêche avec un poisson. Félicitations à ceux qui avaient bien compris.

    Je répète donc: l'eau de mer avec du bicarbonate de soude ne peut pas être un remède naturel incroyable et pas cher aux rejets de radioactivité.

    C'était mon Poisson d'Avril!

     

  • Stats Mars 2011

    Visiteurs uniquesVisitesPagesPages par jour (Moy / Max)Visites par jour (Moy / Max)
    499 2 762 5 068 163 / 358

    89 / 128

     

     

    Merci pour votre fidélité !

  • URGENT, URGENT, URGENT

    envoyé par Anne:

    bonjour à tous , infos du forum radioprotection que j'ai découvert il y a peu.
     
    http://www.forum-rpcirkus.com/f11-special-japon
    je pense que Kloug travaille au CEA, il a en tout cas des infos détaillées que l'on ne trouve pas ailleurs

    Anne

    Point de situation sur la centrale de Fukushima #1 (Dai-ichi) :

    FUKUSHIMA I – Tranche n°1 :

    Réacteur : Injection d’eau douce dans le réacteur depuis le 25 mars.

    Débit de dose dans l’enceinte : 34 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 21 Sv/h

    Augmentation de la pression et de la température.

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 1,5x105 Bq/cm3, Cs-137: 1,3 x 105 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : aucun élément nouveau.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°2 :

    Salle de commande alimentée en électricité.

    Débit de dose dans l’enceinte : 40 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 1,4 Sv/h

    Réacteur : l’injection d’eau douce continue à un débit de 7 m3/h.

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 1,3x107 Bq/cm3, Cs-137: 2,3 x 106 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : injection d’eau de mer dans la piscine de stockage des combustibles usés.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°3 :

    Réacteur : Injection d’eau douce dans le réacteur en utilisant temporairement une pompe électrique au lieu de la pompe incendie à partir de 20 h 30.

    Débit de dose dans l’enceinte : 31 Sv/h

    Débit de dose dans la chambre de décompression : 1,2 Sv/h

    Le pompage de l’eau contaminée (I-131: 3,2 x105 Bq/cm3, Cs-137: 5,6 x 104 Bq/cm3) qui est passée dans le bâtiment des turbines est en cours de pompage, vers le condenseur principal.

    Piscine d’entreposage : appoints d’eau par projection d’eau de mer.

    FUKUSHIMA I – Tranche n°4 :

    Réacteur : RAS (vide de combustible au moment du séisme).

    Piscine d’entreposage : injection d’eau de mer.

    FUKUSHIMA I – Tranches n°5 et 6 :

    Réacteur : aucun élément nouveau.

    Piscine d’entreposage : aucun élément nouveau.

    Stratégie de vidange de l’eau irradiée :

    Tranche 1 :

    Le nombre de pompes pour évacuer l’eau a été augmenté de 1 à 3 le 28 au soir. Le niveau d’eau dans le condenseur aurait diminué.

    Tranches 2 et 3 : stratégie en 3 étapes proposée par TEPCO

    - pomper l’eau du bâtiment turbine vers le condenseur.

    - transférer l’eau du condenseur vers le réservoir du condenseur.

    - transférer l’eau de ce réservoir vers le « surge tank » de la « suppression chamber ».

    Galeries inondées

    Celles-ci ne seraient pas connectées directement à la mer.

    Le débordement de l’eau par les puits verticaux vers la mer n’aurait pas été constaté pour le moment. La situation est cependant urgente au niveau du puits d’accès proche de la tranche 1 car il ne reste plus que 10 cm de marge à TEPCO se prépare à un éventuel débordement en installant des sacs de sable et morceaux de bétons.

    Au niveau des tranches 2 et 3, il resterait encore un mètre de marge dans les puits d’accès.

     

    Situation délicate où il faut poursuivre le refroidissement tout en évitant un éventuel débordement vers la mer. Le refroidissement reste la priorité pour éviter une fusion du cœur.

    Blessés / contaminés /exposés officiellement recensés :

    Personnels et intervenants : depuis le début des événements, 19 personnes (TEPCO et sous-traitants) ont été exposées à plus de 100mSv.

    Les deux intervenants exposés au niveau des jambes, ainsi qu’une autre personne atteinte, ont quitté le National Institute of Radiological Sciences à Chiba le 28 mars. Elles vont faire l’objet d’un suivi médical.

    Débits de dose / contamination sur le site

    La valeur à la porte d’entrée principale (ouest) du site a diminué par rapport au 25 : 0,120mSv/h le 28 à 21h00-Japon. Pas d’éléments complémentaires sur la contamination atmosphérique.

    Du plutonium a été détecté (Pu 238, Pu239 et Pu240) dans les échantillons de sols prélevés à 5 emplacements sur le site de Fukushima Daiichi les 21 et 22 mars.

    Le niveau de radioactivité est le même que celui détecté dans les retombées post essais nucléaires atmosphériques, la nature du Pu étant toutefois différente. TEPCO a annoncé que la quantité détectée ne posait pas de problème pour la santé.

    Il est probable que celui-ci provienne du combustible présent sur le site, mais on ne sait pas de quel réacteur.

    Le porte-parole du gouvernement, M. Edano, a annoncé un renforcement de la zone de surveillance de radioactivité, qualifiant la situation de « très sérieuse ».

    Mesure dans le milieu marin aux abords du site

    Au large : valeurs maximales mesurées à 30 km des côtes : 15 Bq/l en 131I 3,9 Bq/l en 137Cs

    Mesures dans l’environnement au-delà de la zone des 30 km

    Le MEXT publie de nombreuses valeurs sur son site internet.

    En limite des 30 km autour du site, les débits de doses ambiants mesurés tout au long de la journée varient de moins de 5 µSv/h au sud, à 48 µSv/h au nord ouest. En légère augmentation par rapport au 28 mars.

    Niveau d’irradiation toujours en légère diminution à MITO (Préfecture d’Ibaraki) : environ 0.222 µSv/h le 29 mars (9 h 00 heure du Japon)

    Niveau de radioactivité dans l’eau de boisson à MITO : pour l’iode (22 Bq/L) et pour le Cs passé sous la limite de détection.

    Le niveau d’irradiation à Tokyo le 29/03 : 0,108µSv/h (9 h 00 heure du Japon).

    Niveau de radioactivité dans l’eau de boisson à Tokyo : pour l’iode (9,8 Bq/L) et pour le Cs (0,82 Bq/L).

    Situation en France :

    Les résultats des analyses réalisées par les centres CEA sont disponibles. Les résultats ont été publiés dans le communiqué n°5 de l’IRSN.

    KLOUG

    http://www.forum-rpcirkus.com/f11-special-japon

     

  • Vous avalerez bien un peu de pesticide en salade???

    URGENT A VOIR

    si votre santé vous intéresse

    http://cuisineressentiel.hautetfort.com/archive/2011/03/06/il-y-a-quoi-dans-votre-assiette-aujourd-hui.html

  • Stats février 2011

    Visiteurs uniquesVisitesPagesPages par jour (Moy / Max)Visites par jour (Moy / Max)
    513 2 486
    4 518
    161 / 267 88 / 125

    Merci pour votre fidélité !