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Blog - Page 18

  • NON: ne l'appelez pas HALLYDAY

    qu'elle nous en fournisse une preuve!

    La veuve Smet n'a pas le droit de se revendiquer Hallyday, ni même ses enfant David et Laura!

    Les enfants sont des “Smet“ qui est le véritable nom de naissance de leur père.

    J'affirme haut et fort qu'un pseudonyme ne peut pas être utilisé par les enfants: c'est la loi.

    Lire ci-après la loi. Je possède moi-même un pseudonyme que j'ai fais enregistrer par le Tribunal de Grande Instance de Toulouse, le 29 janvier 1981, devant un greffier de l'époque et devant deux témoins de moralité.

    Dans quelles conditions peut-on utiliser un pseudonyme?

    Vérifié le 15 décembre 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre), Ministère chargé de l'intérieur

    Les conditions d'utilisation d'un pseudonyme ne font l'objet d'aucune réglementation particulière. Il s'agit d'un nom d'emprunt, librement choisi par une personne pour dissimuler au public son identité réelle dans l'exercice d'une activité particulière. Le pseudonyme est notamment utilisé dans le domaine littéraire ou artistique : nom de plume pour les écrivains, nom de scène ou nom d'artiste pour les activités liées au spectacle... Le pseudo est utilisable pour signer une œuvre par exemple

    Le pseudonyme ne se substitue pas au nom de naissance. Il ne peut pas être mentionné sur les actes d'état civil (acte de naissance et de mariage) : seul le nom de famille doit y figurer.

    Le pseudonyme n'est pas transmissible aux enfants, ni aux héritiers.

    NDELA REDACTRICE: S'ils souhaitent utiliser le pseudonyme d'un parent, les descendants doivent à leur tour en revendiquer l'usage (en passant devant notaire ou devant le TGI). Question: Leaticia Boudou, veuve Smet a-t-elle obtenu de son époux le droit d'utiliser son pseudonyme?

    Les enfants aussi?

    Qu'ils apportent, TOUS, la preuve!

    Comme il s'agit d'un acte officiel, devant officier assermenté, sur cet acte figurera la date exacte de transmission du pseudonyme.

    Si vous aimez les enfants, vite, informez-les… afin qu'ils puissent prouver officiellement qu'ils ont bien le droit de porter ce pseudonyme…

    Avant que la veuve Boudou ne se précipite. Entre parenthèses, j'estime que la loi française prévaut dans cet héritage. J'estime que la veuve Smet doit impérativement céder une partie de l'héritage de Notre Chanteur National. Parmi les 500 millions d'américains, il y en a combien qui connaissent Johnny? je vous fais le pari qu'AUCUN Français de plus de 10 ans n'a jamais entendu parler de lui… donc, il est 100% Français et soumis à la loi sur les héritages de France.

    Nous voulons La Vérité sur les actes de notoriété!

    POURQUOI AIS-JE PRIS UN PSEUDONYME?

    Parce que quand j'ai commencé ma profession, en 1983, mon unique enfant était au collège. Comme je l'amenais en voiture matin et soir et QUE JE SAVAIS que j'aurai de la notoriété sur Toulouse, j'ai pris un pseudonyme afin d'éviter que ses copines lui disent: “ta mère est une sorcière“…

    Epithète courante à l'époque et pas très plaisante, vous vous en doutez pour une jeune ado.

    De plus, je ne voulais pas que ma marraine que j'adorais et qui portait le même nom de famille que moi soit un mécontente de “salir“ son nom de famille avec une profession de “romanichel“. Or, il s'avère que ma tante était bien trop intelligente pour être mécontente: ce qu'elle voulait avant tout, c'est que je ne passe jamais au Tribunal pour escroqueries diverses. Là, oui, j'aurai eu sa totale et définitive désapprobation.

    J'adorais et je l'adore encore dans mes souvenirs celle qui est partie à l'aube de ses 100 ans et qui m'a toujours soutenu quelles que soient mes actions.

    Le choix du pseudonyme est libre à condition de :

    Ne pas porter atteinte à l'ordre public (en présentant un caractère raciste ou injurieux par exemple),

    Ne pas s'approprier la renommée d'une personne ou de s'attribuer une parenté.

    L'usage d'un pseudonyme ne constitue pas un changement de nom, qui suit une procédure particulière.

    Un auteur utilisant un pseudonyme doit signer tout contrat sous son nom de famille, avec mention du pseudonyme, et peut y insérer une clause empêchant son éditeur, agent ou manager artistique de révéler sa véritable identité.

    Il est possible de faire figurer un pseudonyme à la suite du nom de famille sur sa carte nationale d'identité si sa notoriété est confirmée par un usage constant et ininterrompu.

    Lors du dépôt de la demande, il faut produire :Un acte de notoriété, soit établi par le juge du tribunal d'instance, dans les tribunaux qui le proposent, soit délivré par un notaire,

    Ou une attestation de l'organisme professionnel auprès duquel l'activité sous pseudonyme est exercée (artistes, comédiens, etc.).

    L'administration dispose toutefois d'un pouvoir d'appréciation en la matière et peut refuser l'inscription.

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F355

     

    Document.pdf

    NB: j'ai effacé le nom de ma mère et le prénom de mon père: cela ne vous regarde pas. Inutile de récupérer ma signature: je l'ai tronquée, pas la peine de s'en servir pour pratique frauduleuse!

    P.S.: mon pseudonyme figure sur ma carte d'identité. NON, je ne mes pas de photocopie... faut pas plaisanter!

    RIRES pourtant: pendant des années j'ai dû me battre pour avoir par ex. un compte bancaire professionnel au nom de JOYCE avec des chèques à ce nom-là ou contre l'administration fiscale qui ne voulait pas mes déclarations et paiement à ce nom.... et, depuis 5 à 6 ans, je dois me battre contre l'administration qui ouvre les dossiers (comme à l'hôpital par ex.) au nom de JOYCE  pour dire: mais non, c'est mon pseudonyme de travail!!!!

  • Toujours plus forte!!!

    En cadeau, une carte postale inédite sur le net!

     

    En août 2017, je vous annonçais que l'année 2018 serait venteuse, pluvieuse, grêleuse (:-), voire très tempétueuse…. fortement humide toute l'année, quoi! même si pas trop frisquette, heureusement.

    Tenez-vous bien: j'annonce que 2019 sera aussi humide et désagréable que cette année!!!

    Comme je dis toujours: un homme averti en vaut 2 et une femme avertie, en vaut 4… les femmes sont plus débrouillardes, tout le monde sait cela!!!

    Je vous conseille de conserver l'URL de cette note pour pouvoir vérifier….

    Ceci est une première rapide information….

    En fin ou début 2018-2019, je vous donnerai plus de détail, quinzaine par quinzaine.

    35 années de voyance en tant que professionnelle: l'expérience fait ma différence avec les tireuses de cartes!!!!! :-)

     

  •  INCROYABLE!

     

    Ma page Facebook n'est plus bloquée!

    ?????

    Ma dernière info ne lui a pas plu???? Toujours est-il que je l'ai supprimée, pour voir...

    Donc, retour de la possibilité de remettre des articles....

    ?????

    Cela prouve que “quelqu'un“ vient lire les infos que j'y dépose!

    MDR

     

  • SCANDALE! Facebook a bloqué ma page personnalité publique!

    Ils ont peur que je les envoûte????

    S'ils pensent que j'ai ce pouvoir, alors c'est fait: Face de bouc va faire faillite, croyez-moi!

    Cela prendra le temps qu'il faut... mais, cela arrivera!

    Non mais, sans rire....

    LA LIBERTÉ D'EXPRESSION A L’AMÉRICAINE N'A RIEN A VOIR AVEC LA NOTRE!

    Mais, quels crétins congénitaux ces ricains! et leur affidés Français... parce que ce sont les employés français qui ont bloqués mon compte...

    Heureusement, j'avais une autre page: JOYCE-VOYANCE

    Trouvez-là, abonnez-vous, dite J'aime!

    Vous allez lire les mêmes articles que sur le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

    où je remet les pendules à l'heure concernant ces sciences dites occultes mais, bien sûr, qui ne le sont pas....

    Défendez, SVP, la seule voyante qui fait entrer les gens dans le 3e millénaire et qui remet l'intelligence à la mode!

     

     

  • Suite à la mort du couturier Givenchy...

    Un SPÉCIALISTE culture média sur BFM...

    "c'est lui qui, le premier, en 1945, à supprimé le corset des femmes..."

    Ben voyons, quand je vous dis que les journalistes sont des ignares, incultes!

     

    C'est après 1918 qu'un couturier à supprimé le corset chez les femmes.. en 1920, je crois, quand la femme se fait couper les cheveux pour être "garçonne"... j'ai juste oublié son nom mais vous trouverez en cherchant sur le net...

     

     

  • Définition de la Tradition

     

    Gustav Mahler:

    "La tradition n’est pas la vénération des cendres mais la transmission du feu"

  • Comment Cloclo s'est accaparé Podium...

    Dans le courant de la fin de l'année 1971, mon patron vint me voir et me dit: “Josyane, tu va avoir beaucoup de travail sur la photocomposeuse

    “????

    “Nous allons réaliser un magazine qui sortira tous les mois.. un magazine sur la musique; Il y aura beaucoup de travail, on va devoir donner un sacré coup de collier“.

    J'ai 21 ans, je suis maman célibataire, le travail ne m'a jamais fais peur… aujourd'hui encore.

    J'ai été embauchée pour être “opératrice en photocomposeuse“… Je suis très rapide pour écrire à la machine à écrire (en ce temps-là, c'est tout ce qui existe en matière d'écriture). La photocoposeuse est un sorte de machine à écrire qui justifie le texte. C'est IBM qui tente de s'emparer le marché des imprimeries avec cet appareil qui se veut révolutionnaire. Afin de remplacer les linotypie (machine qui sort le texte en plomb, à l'envers… avatar de l'invention de l'imprimerie de Gutemberg en 1435 environ).

    Le seul problème, ces machines ultra-moderne pour l'époque ne sont pas fiable du tout: jugez-en. Il faut taper le texte deux fois. Une première fois, on aperçoit un curseur qui se déplace sur une ligne gradué et il faut relever le code. Ex; vert 9. Le seconde fois, avant de retaper le texte, il faut tourner un gros bouton et le positionner sur la couleur verte et le grade 9… cela permet de voir le texter se justifier et de réaliser une colonne bien droite. Sauf que, ces machines ne sont pas fiables et le texte est rarement justifié. Le patron s'en arrache les cheveux, la machine a coûté très cher… et ne sert à rien. Il préfère les bonnes vieilles lignes de plomb.

    Mais comme il est un patron qui réalise toutes les impressions du parti communiste de la région Midi-Pyrénées, il n'allait tout de même pas licencier une jeune maman célibataire! de plus, il était secrètement amoureux de moi (il m'avait proposé de m'installer dans un appartement et de payer le loyer, à condition que je le reçoive deux fois par semaine… comme si j'étais une cocotte de la Belle Epoque!). Ce que j'avais, bien sûr refusé… Non mais!

    L'imprimerie possédait deux machines offset et deux linotypes. Elle comptait une quinze d'ouvriers et d'ouvrières, car, en plus de sortir les feuilles imprimées, il fallait souvent ce que l'on surnomme le “travail de table“: réaliser des carnets, de petits livrets, des blocs-notes… bref tout ce qui se faisait en matière de petits supports d'écrits. Comme le travail de photocompo ne pouvait se réaliser avec la fameuse machine, je devais me trouver du travail dans les autres départements de l'imprimerie: la photogravure, la retouche de négatif, le travail de table, le montage du papier en machine, la surveillance des machines typos….

    J'avais aperçu très souvent les trois protagonistes du magazine que nous allions fabriquer. Il y avait le patron d'un orchestre (très connu et très suivi dans les baloches et fêtes des environs de Toulouse, du nom de Sentimental Trumpet); il y avait un journaliste de radio, Sud Radio pour la nommer. Je pense qu'il faisait dans les rencontres sportives du Téfécé et du Stade Toulousain… et enfin, un caméramen de FR3 Midi-Pyrénées qui, par la suite est devenu un grand éditeur parisien, spécialiste des livres écrits par des célébrités… comme mon amie Pierrette Brès.

    Le magazine s'intitula Podium. Il était vendu dans tous les kiosques de France. Cela m'impressionnait. Le premier numéro, en couverture, parlait d'un étonnant nouveau chanteur dont la chanson “The fool“ était sur toutes les lèvres cette fin d'année-là; les trois co-directeurs en parlaient entre eux: incroyable, il était aveugle! La seconde une fut réservée à Johnny et informait sur sa nouvelle tournée, qualifiée de “caravane“. Les trois co-directeurs qui avaient un emploi ailleurs nous avait délégué un drôle de personnage, barbu et chevelu, genre artiste engagé, étudiant éternel aux Beaux-Arts de Toulouse, qui faisait la liaison avec les “patrons“ et les autres quidams extérieurs. Il faisait la mise en page; coordonnait les divers articles, les emplacements publicitaires, faisaient des dessins amusants et… les mots croisés.

    En, le voyant réaliser la grille (c'était très long et il le faisait en deux autres taches) j'étais fortement curieuse. Cela me plaisait et je lui posais des tas de questions. Il me dit que sur une grille 10 par 10, il ne fallait pas plus de 11 cases noires; “et s'il y en a plus? demandais-je…

    Cela veut dire que le réalisateur de la grille n'est pas bon… 12 est un grand maximum“.

    Je m'attelais à la tache, moi qui adorais les chiffres et les lettres (les lettres surtout). Et j'ai réalisé un grille après beaucoup de travail. Je lui ai fièrement montré et il l'a tellement approuvé qu'elle est passée dans le magazine: le roi n'était pas mon cousin!

    Nous recevions tous les 15 jours, deux 30 tonnes de ramettes de papier. Et, j'aidais les gars à les ranger dans l'atelier; ça pèse le papier, vous le savez mais une ramette, outre son poids avait une surface de 1,20 ou 1,30 m de surface sur au moins 90 cm… (je dis au pif, je ne me souvient plus de la surface exacte, c'était dur à manipuler)… les hommes en prenaient deux à la fois, moi, une seule… mais, que c'était lourd! J'étais hyper-costaude… pour rire, on faisait le “bras d'acier“ souvent, entre nous et… j'étais la 2e.. je battais toutes les femmes et même des hommes et même, un jour, le massicottier… il était pourtant hyper-costaud!

    L'imprimerie, je l'ai dis avait deux machines offset.. le seul souci était qu'elle était une seule couleur… pour réaliser le magazine qui était quadri, nous devions passer chaque feuille, 4 fois en machine… c'était très, très long. Surtout, le lavage des encriers entre les passages. Une machine était réservée au noir, qui était la couleur la plus utilisée, la seconde était pour les trois autres couleurs. Chaque fois, reprendre la pile de papier, l'aérer à plusieurs reprises avant de re-monter une pile qui “prendrait“ la nouvelle couleur. Quand c'était imprimé, il fallait massicoter puis passer à la plieuse, rassembler et piquer les agrafes au milieu.

    On était toujours en retard…. on travaillait 6 jours sur 7; de 6 heures le matin à deux ou trois heures la nuit suivante…. j'en ai fais, des heures supplémentaires! mais, j'en avais besoin pour payer la nourrice de ma fille, hop', la moitié de la paye en l'air… (pas d'alloc de frais de garde, en ce temps-là!

    Au bout de huit mois, ce n'était plus possible de travailler ainsi… le Vieux Loubet a commandé une autre offset, à deux planétaires… ainsi, on pouvait, d'un coup, passer deux couleurs… Podium marchait très bien… il était considéré comme un magazine de très haut niveau de réalisation dans la cohorte des magazines pour les jeunes. Le papier était de 110 grammes et la couv' de 130, glacée, genre kromecott.. Les textes étaient fort bien écrits et “se tenaient“ pour un magazine de la jeunesse. Les ventes augmentaient de mois en mois…. de 50 000 exemplaires mensuels, on était passé à 55, 60, 70.. La pub rentrait à flots….

    Cependant, malgré le 2e planétaire, le magazine était réalisé avec beaucoup trop de lenteur… on en était arrivé à devoir planifier chaque numéro un mois et demi à l'avance.

    Un jour, il fallu se rendre à l'évidence, ce n'était plus possible; malgré l'amitié des fils Loubet, de leur père et des créateurs de Podium, une décision s'imposait: trouver une autre imprimerie et, tant que faire, un associé car le magazine s'était bien trop développé. Les trois co-directeurs se sont mis à rechercher l'une et l'autre.

    Et puis, c'est le fils cadet du patron qui m'a expliqué que n'ayant pas trouvé d'investisseurs suffisamment intéressés, Lafon qui, depuis six mois travaillait pour sa chaîne à Paris, réussi à obtenir un rendez-vous de Claude François, qu'il avait rencontré lors de passages sur la chaîne.

    Lafon, Bernadini et Capdevielle, les trois acolytes se rendirent au rendez-vous avec la super vedette de ce temps-là (après Johnny que je dis!), étalèrent quelques magazines devant lui et expliquèrent leur souhait de trouver un investisseur. Cloco les a écouté sans trop les interrompre puis il dit: “je ne m'associe pas, j'achète!". Il savait déjà ce qu'il allait en faire: laisser tomber le luxe et la sobriété du magazine pour en faire le nouveau journal de la jeunesse, criard et m'a-tu-vu que l'on sait. Qui, plus tard, à été marié à un autre magazine et dont on modifia le nom… on ne donne pas ce qu'elle veut à la jeunesse, on la met dans une case “débile sous culturée“.. elle devient ce qu'on lui donne à “manger“.

    Lafon est resté à Paris, Bernardini a acheté le plus vieux hebdomadaire de France, un journal sur les courses de chevaux qui, je crois, date de 1775 environ, Capdevielle est resté chef d'orchestre un certain temps… il devait se battre contre la montée en puissance d'un autre orchestre, de Montauban, appelé Goldfinger… nous, les jeunes, on n'allait plus que dans les fêtes animées par l'un ou l'autre de ces sacrés bons orchestres qui jouaient “notre“ musique… Un jour, Goldfinger est devenu “Gold“… Mais, ça, c'est une autre histoire….

    Je pense avoir les deux ou trois premiers numéros de Podium qui traînent, quelque part, chez moi…

     

     

  • Et moi alors?

    J'assure ma clameur orgueilleuse!!!!

    En cherchant des infos sur vikipédia, je suis tombée par hasard sur la biographie de gens nés à Toulouse. Et puis j'ai regardé quelles sont les personnes qui peuvent y figurer. Le site demande que la personne biographiée soit assez célèbre… qu'elle ait fait au moins deux émissions de télévision… ou publié des ouvrages, même à compte d'auteur… dépenser des sous pour garder les livres auto-publiés dans son salon, ce n'est pas mon style! … en même temps, comme nous dit l'autre, personne n'en voudrait puisque je ne suis pas assez connue!

    Pour les émissions en télévision, j'en ai compté 303… les émissions de radio? je ne les compte plus!!

    Les articles dans la presse? là non plus, je ne les compte pas…

    J'ai eu mon premier site internet en 1996 (quand la France comptait 20 000 internautes à tout casser)… et depuis, j'ai tenu des dizaines de blogs et de sites, qui font des tas de visites, sans compter mes chaînes YouTube, Dailymotion, mes pages Facebook…

    En 36 ans de carrière, j'ai dû réaliser dans les 20 ou 30 000 consultations au minimum…

    Il parait qu'il ne faut pas être orgueilleux (-se en l'occurrence) et que quelqu'un va se décider à faire ma publicité ou l'ouverture sur plus de médias… j'ai toujours attendu que l'on reconnaisse mes mérites… mais, la caravane est passée et je suis restée sur le sable.

    Vous en connaissez beaucoup des voyantes capables de faire de la rétrocognition? ou de la psychométrie? Je suis même capable de dire ce qui va arriver à quelqu'un, à travers la “sensation“ sentie sur une personne qui m'en parle et pourtant ne la connait pas du tout, dont elle a entendu parler seulement.

    J'ai été consultée par plus de 88 journalistes et animateurs de télé de toutes les chaînes et je ne sais plus combien m'on dit: je vais parler de vous à tel ou tel producteur d'émission!

    Seule, Mme Pierrette BRES, ancienne journaliste de Fr2 a tenu sa promesse… et m'a fais travailler dans une rubrique d'explication des rêves dans Matin Bonheur et m'a obtenu quelques papiers dans divers magazines ou quotidiens.

    Quand vous n'êtes pas habitant de Paris… vous n'êtes rien, n'est-ce pas De Caunes  (j'ai vu sur viki qu'il était né à Toulouse!)…

    J'ai mis hier, sur le blog de mon site, une note où je prouve comment des gens qui ont des capacités super-extraordinaires ne seront jamais connu-es car leurs immenses pouvoirs feraient peur à tout le monde….

    Bon, d'accord, pendant ce temps-là, je vis tranquille, je ne suis pas bousculées, starisée… je trouve cela un peu injuste…

    Alors, si quelqu'un se “sent“ d'écrire ma biographie sur vikipédia, qu'il ou elle me contacte, je donnerai des preuves “écrites“ de mes dires…

    A force de raser les murs, plus personne ne vous voit! J'ai pourtant, tant de choses à “donner“ encore à la société française….