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Blog - Page 16

  • Ceux qui s'y croivent....

    Chaque année, on nous refait le coup!

    Ouais, mais non! il n'y en a eu qu'un.... et j'y étais!

    Enfin... suis pas une soixantehuitarde mais plutôt une soixantuitôde... de ceux et celles qui se levaient tôt pour aller bosser à l'usine!

    50 dans dans les dents! ça me rajeunit pas!!!! ;-)

     

  • MESDAMES, MESDEMOISELLES*

    Il néglige les préliminaires

    Il manque de délicatesse

    Il ne fait pas durer le plaisir

    Il est trop routinier

    Il ne pense qu’au plaisir vaginal

    Il pense avant tout à son plaisir

    Il se focalise sur les seins et le sexe

    Il veut tout diriger

    Il insiste pour le faire!

    Il vous culpabilise

    Il est humiliant, vulgaire

    Il s’endort après l’acte

    Il est brusque dans ses caresses

    Il est brusque dans ses caresses

    Il est concentré sur son pénis

    Il est silencieux pendant l’acte

    Il a envie en pleine nuit!

    Il n’est pas à l’écoute de vos envies

    Il ne se lave pas avant l’acte

    Il ne vous embrasse plus

    Il parle de ses ex!

    Il ne vous laisse pas faire

    Il oublie de se raser avant

     

    ….*oui, “mesdemoiselles“ et tant pis pour les pisse-vinaigre!

     

    La réponse est ici:

     https://youtu.be/3iRznnlxxNU

     

  • Mai 68 et moi

    J'allais avoir 18 ans au mois d'août. Comme beaucoup d'enfants d'ouvriers, on m'avait envoyée à l'usine (à confection) pour ramener une seconde paye, bienvenue dans une famille sans père.

    Je me levais à 6h30 le matin pour aller à l'usine située à plus de 3 km; il a fallu que j'attende d'avoir 16 ans pour avoir une mobylette; sinon, je partais à vélo. Qu'il vente, grêle ou gèle, fallait aller à la pointeuse.

    A 14 ans, toujours à l'usine et payée à l'heure, je devais travailler 44 heures par semaine, donc le samedi matin. Nous, les mineurs, ont était payés de clopinettes, 0,54 centimes de francs de l'heure. C'était normal de sous-payer les gosses. On devait attendre d'avoir 21 ans pour toucher un salaire entier. Moyennant quoi, au moment de la retraite, si tu n'as pas un contrat d'apprenti à monter à ces ponctionnaires de la nation, ta retraite, de l4 ans 18 ans, elle ne vaut pas un clou. Ce n'est qu'avec les accords de Grenelle qu'on a cessé de nous sous payer. J'ai commencé à toucher le smig (non pas le smic) entier après 68.

    Un quart d'heure de retard et c'était une demi-heure impayée. Plus d'un quart d'heure, on retirait une heure sur la paye, qui était hebdomadaire, en espèces, dans une enveloppe. En ce temps là, les femmes ne pouvait pas ouvrir un compte-bancaire: il fallait l'autorisation du mari. Pour ma mère qui était veuve, ce fut difficile de l'ouvrir. Après, elle faisait trop de chèques, dépassait son écot et bien sûr, elle a eu des problèmes… On pouvait rien lui expliquer… elle était un peu “juste“.

    Moi-même, à vingt ans, maman-célibataire, j'ai eût, heureusement la chance que mon patron d'imprimerie venait d'entrer dans la banque et, quand il a constaté que le guichetier refusait absolument de m'ouvrir un compte, il est intervenu. Ouf! c'était la banque de son entreprise. Mais, les filles, on a été surveillée comme le lait sur le feu.

    Découvert bancaire, tu rêve! les découverts en ce temps-là, c'était cher, plus que très cher!!! Pourtant, depuis peu, 1966 je crois, nous les femmes, pouvions ouvrir un compte bancaire seule, sans l'autorisation du mari, incroyable par vrai? c'est pourtant pas si vieux… quelques crétins derrière leur guichet refusèrent longtemps.

    A la télévision, une seule chaîne, en noir et blanc, on a vu des trucs pas croyables: des jeunes qui tapaient à coups de bâtons et de pavés les policiers! Ils essayèrent d'entraîner les jeunes ouvriers avec eux… d'un côté, les étudiants barbus, chevelus et fumant la marie-jeanne en veux-en voilà, et les ouvriers qui disaient: “on ne comprend pas ce que vous voulez“… eux, ils étaient à l'usine et content d'avoir un travail et de faire quelque chose de leur dix doigts et cette impression de faire avancer la France…. Un boulot, un appart' et le ou la fiancée, c'était ce qu'on voulait.  Moi non plus, je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient ces chicos.

    Sous les pavés la plage? Ah? Ben à Toulouse, il y avait énormément de rue entièrement pavées comme du temps des Romains. Moi, quand j'y passais dessus en vélo, je n'ai jamais vu la plage… que des emmerdements de chaînes qui déraillent, de pneus qui crèvent et surtout, mal au fesses à force de sauter sur la selle. Bon, vous avez compris, la vie des ouvriers et des étudiants, ça pouvait pas être même combat; on ne perdait pas notre temps à user nos jeans sur les bancs des facs en voulant refaire le monde. Le monde, c'est du sang, de la sueur et des larmes. Une fois que tu as compris cela, t'est le Roi du monde.

    Tu le prends comme tu veux, mais, t'est rentier aujourd'hui? tu voyage sans fin en te demandant seulement s'il va faire beau? tu as la santé éternelle? Ben si t'est pas descendant des princes du pétrole, mon pauvre, vaux mieux te lever pour ramener ta paye… et puis, si tu réfléchi, jeans ou costume trois pièces: même combat. C'est la naissance, le mariage, les enfants, la vieillesse et la mort. Tu le tourne comme tu veux, c'est la vie! J'avais envie de leur dire ça… mais, ils étaient trop sûr d'eux pour m'écouter une seconde. Trop sûrs que le monde leur appartenait et qu'ils allaient le changer de force. Ceux, qui ont mon âge aujourd'hui et qui lançaient des pavés, ont-ils obtenu la vie éternelle? et leur pognon -qu'ils ont plus que moi parce qu'ils ont fait des études- ils feront comme les autres, ils ne l'emporteront pas dans l'autre monde. Alors?

    Dans les voitures, plus d'essence. Nous, on était en mobylette: obligées de pédaler durant toute la longueur! Puis, petit à petit, pas de courrier, pas d'électricité, pas de bus, rien dans les épiceries: pas de légumes, pas de lait, pas de farine ni de sucre, RIEN. Tout était fermé. Fallait marcher loin pour trouver un peu de victuailles.

    Mon frère, de 11 mois plus vieux, était lycéen dans un lycée à Saint-Hilaire du Harcourt (la Manche) pour des études spéciales; un seul lycée de ce type en France. Comme tout le monde était en grève et qu'ils n'avaient plus les moyens d'assurer des repas, la direction leur a dit: rentrez chez vous!

    Heu… oui. Comment? pas de bus, pas de train!!! Mon frère est parti en stop… il n'avait pas trop les cheveux longs et était propre sur lui mais, bon en ce temps-là, les gens se méfièrent des auto-stoppeurs à la nuque longue. Alors, il lui a fallu presque trois jours pour revenir à Toulouse (nous habition Rue de la Pépinière, début quartier de la Roseraie). Ma mère s'inquiétait car elle avait essayé de téléphoner au lycée, mais, rien à faire, pas de téléphone.

    Elle courait partout pour demander aux voisins comment faire. Quelqu'un lui a dit: allez à la gendarmerie, eux, vont vous renseigner… Elle a du supplier et pleurer devant un voisin (à qui il restait quelques gouttes d'essence dans la voiture) pour qu'il amène à la gendarmerie; il fallait aller à l'époque à Saint Jean de L'Union (depuis ces deux villages se sont séparés. Il y a Saint Jean et L'Union). Les gendarmes, comme d'habitude, on été serviables: ils sont au service du public. Malgré tout, ma mère et moi avons attendu plus de trois heures trente que la demande parte en Normande et revienne. C'est comme cela que nous avons su pour le frère aîné. Restait plus qu'à attendre qu'il revienne; on le guettait tous les jours. C'était durant la période du blocage de l'usine où on bossait, ma mère et moi.

    A l'usine, donc, 110 filles, communistes voulaient nous empêcher de bosser. Ma mère, au nom de son père, cheminot et cégétiste voulait les suivre. Je lui ai dit qu'on ne s'en sortait pas à deux payes (minables) et que comme on était payées à l'heure, on allait avoir des dettes et de graves problèmes avec les huissiers, la police, etc… On venait de quitter une cité HLM très dangereuse et on habitait un appartement dans une villa: le loyer avait quintuplé!

    Il me fallait “en rajouter“ pour la faire changer d'avis, je pense y être parvenue… le portemonnaie c'est sacré! On forçait un peu pour entrer dans l'usine mais, l'avant-dernière semaine de mai, les 110 fadasses voulaient qu'on soit toutes en grève. Une fille a dit: “faut voter!". Moi, je n'avais pas l'âge... Alors, les grévistes ont été obligées de nous laisser voter. Comme l'usine comptait 450 ouvrières, il y avait tout le matériel qui permettait de voter pour les délégués syndicaux. Alors, on a voté, à bulletin secret: moi, je dis que le vote à bulletin secret devrait être obligatoire dans chaque décision et pas cette guignolerie qu'on voit partout de votes à main levée. Ceux qui ne veulent pas se soumettre aux saints diktats, sont obligés de suivre les autres pour ne pas se faire massacrer ou crever les pneus ou rayer la voiture. Honte aux cons!

     

    Donc, suite à ce vote, on a su qu'il y avait 110 fadasses pour la grève… pas beaucoup sur les plus de 450, vous le concèderez sans peine. Ouf, on allait reprendre le travail et ne pas perdre des heures sur la paye; on se regardait entre-nous, les “bonnes travailleuses“, on était rassurées. On est parties tranquilles car, tout cela avait durée une journée entière on avait tout de même perdu une journée de paye, chacune; ma mère m'a juré qu'elle avait voté pour le travail. Je n'en suis pas très sûre.

    Les 110 abruties ne l'entendirent pas de cette oreille: elles se sont mises en groupe compact, en travers le portail et l'on bloqué. On n'a pas pu pénétrer dans l'usine. Elles ont bloqué la journée entière, en vociférant contre le monde entier; cela faisait peine à voir ces visages tordues de colère et éructant n'importe quoi! Comme font tous les cocos et autres anarchistes; plus la foule hurle, plus elle veut hurler encore et toujours plus fort.

    Le lendemain matin, à 8 heures, elles étaient là. Je ne sais pas à quelle heure elles arrivaient pour nous bloquer le passage, vers les 6 heures sans doute. On est courageux quand on fout la merde… faut ce qu'il faut! Toujours est-il qu'en voyant cela, on devait rentrer en pédalant à vide, en quelque sorte puisqu'on n'avait plus de quoi “nourrir“ d'essence les mobylettes. Au mois de mai, il fait très chaud à Toulouse, croyez-moi. On n'était plus en bonnet et manteaux mais, qu'est-ce qu'on avait l'air cloche à pédaler sur des vélomoteurs (que je pensais, mais bon, imaginez la scène!). Au bout de plus de dix jours, les crétines consanguines ont fini par laisser le passage libre et on a fini par revenir travailler. Mai 68, terminé la chienlit!

     

    Alors, cela a changé quoi, mai 68 pour moi? J'ai continué à bosser et à me lever de bonne heure pour ce faire; ma mère a continué à me piquer ma paye. J'ai remarqué qu'on pouvait, petit à petit, s'habiller en pantalon, entrer dans un café seule…. Il en fallu du temps pour que les mœurs se libèrent chez les gens d'en-bas, croyez-moi.

    Le simg est devenu smic et à bien augmenté. Puis, petit à petit, on a eu plus de congés. Et une caisse de retraite complémentaire. Plus de 38 millions d'ouvriers à engraisser les p(f)onctionnaires, cela n'a pas changé. Té, regarde-les, encore en grève, les égoïstes!

    Et puis quoi encore? rien de mieux. Ya que les bourges qui se sont remplis -mieux- la panse en trouvant des boulots de p(f)onctionnaires; ils ont pu baiser et se droguer comme ils voulaient, ils appelèrent cela: la mode hippie. Ha au fait, Cohn-Bendit a écrit trois ou quatre ans après que les petits garçons aimaient qu'on leur chatouille la quêquête. Oui, je ne mens pas! voilà d'où vient Mai 68 en France. (cela “pétait“ un peu partout dans le monde). Mais chez nous, surtout des bourges et des dépravés. Il y en a encore qui traîne dans les médias… pardon, les merdias.

     

     

  • NON: ne l'appelez pas HALLYDAY

    qu'elle nous en fournisse une preuve!

    La veuve Smet n'a pas le droit de se revendiquer Hallyday, ni même ses enfant David et Laura!

    Les enfants sont des “Smet“ qui est le véritable nom de naissance de leur père.

    J'affirme haut et fort qu'un pseudonyme ne peut pas être utilisé par les enfants: c'est la loi.

    Lire ci-après la loi. Je possède moi-même un pseudonyme que j'ai fais enregistrer par le Tribunal de Grande Instance de Toulouse, le 29 janvier 1981, devant un greffier de l'époque et devant deux témoins de moralité.

    Dans quelles conditions peut-on utiliser un pseudonyme?

    Vérifié le 15 décembre 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre), Ministère chargé de l'intérieur

    Les conditions d'utilisation d'un pseudonyme ne font l'objet d'aucune réglementation particulière. Il s'agit d'un nom d'emprunt, librement choisi par une personne pour dissimuler au public son identité réelle dans l'exercice d'une activité particulière. Le pseudonyme est notamment utilisé dans le domaine littéraire ou artistique : nom de plume pour les écrivains, nom de scène ou nom d'artiste pour les activités liées au spectacle... Le pseudo est utilisable pour signer une œuvre par exemple

    Le pseudonyme ne se substitue pas au nom de naissance. Il ne peut pas être mentionné sur les actes d'état civil (acte de naissance et de mariage) : seul le nom de famille doit y figurer.

    Le pseudonyme n'est pas transmissible aux enfants, ni aux héritiers.

    NDELA REDACTRICE: S'ils souhaitent utiliser le pseudonyme d'un parent, les descendants doivent à leur tour en revendiquer l'usage (en passant devant notaire ou devant le TGI). Question: Leaticia Boudou, veuve Smet a-t-elle obtenu de son époux le droit d'utiliser son pseudonyme?

    Les enfants aussi?

    Qu'ils apportent, TOUS, la preuve!

    Comme il s'agit d'un acte officiel, devant officier assermenté, sur cet acte figurera la date exacte de transmission du pseudonyme.

    Si vous aimez les enfants, vite, informez-les… afin qu'ils puissent prouver officiellement qu'ils ont bien le droit de porter ce pseudonyme…

    Avant que la veuve Boudou ne se précipite. Entre parenthèses, j'estime que la loi française prévaut dans cet héritage. J'estime que la veuve Smet doit impérativement céder une partie de l'héritage de Notre Chanteur National. Parmi les 500 millions d'américains, il y en a combien qui connaissent Johnny? je vous fais le pari qu'AUCUN Français de plus de 10 ans n'a jamais entendu parler de lui… donc, il est 100% Français et soumis à la loi sur les héritages de France.

    Nous voulons La Vérité sur les actes de notoriété!

    POURQUOI AIS-JE PRIS UN PSEUDONYME?

    Parce que quand j'ai commencé ma profession, en 1983, mon unique enfant était au collège. Comme je l'amenais en voiture matin et soir et QUE JE SAVAIS que j'aurai de la notoriété sur Toulouse, j'ai pris un pseudonyme afin d'éviter que ses copines lui disent: “ta mère est une sorcière“…

    Epithète courante à l'époque et pas très plaisante, vous vous en doutez pour une jeune ado.

    De plus, je ne voulais pas que ma marraine que j'adorais et qui portait le même nom de famille que moi soit un mécontente de “salir“ son nom de famille avec une profession de “romanichel“. Or, il s'avère que ma tante était bien trop intelligente pour être mécontente: ce qu'elle voulait avant tout, c'est que je ne passe jamais au Tribunal pour escroqueries diverses. Là, oui, j'aurai eu sa totale et définitive désapprobation.

    J'adorais et je l'adore encore dans mes souvenirs celle qui est partie à l'aube de ses 100 ans et qui m'a toujours soutenu quelles que soient mes actions.

    Le choix du pseudonyme est libre à condition de :

    Ne pas porter atteinte à l'ordre public (en présentant un caractère raciste ou injurieux par exemple),

    Ne pas s'approprier la renommée d'une personne ou de s'attribuer une parenté.

    L'usage d'un pseudonyme ne constitue pas un changement de nom, qui suit une procédure particulière.

    Un auteur utilisant un pseudonyme doit signer tout contrat sous son nom de famille, avec mention du pseudonyme, et peut y insérer une clause empêchant son éditeur, agent ou manager artistique de révéler sa véritable identité.

    Il est possible de faire figurer un pseudonyme à la suite du nom de famille sur sa carte nationale d'identité si sa notoriété est confirmée par un usage constant et ininterrompu.

    Lors du dépôt de la demande, il faut produire :Un acte de notoriété, soit établi par le juge du tribunal d'instance, dans les tribunaux qui le proposent, soit délivré par un notaire,

    Ou une attestation de l'organisme professionnel auprès duquel l'activité sous pseudonyme est exercée (artistes, comédiens, etc.).

    L'administration dispose toutefois d'un pouvoir d'appréciation en la matière et peut refuser l'inscription.

    https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F355

     

    Document.pdf

    NB: j'ai effacé le nom de ma mère et le prénom de mon père: cela ne vous regarde pas. Inutile de récupérer ma signature: je l'ai tronquée, pas la peine de s'en servir pour pratique frauduleuse!

    P.S.: mon pseudonyme figure sur ma carte d'identité. NON, je ne mes pas de photocopie... faut pas plaisanter!

    RIRES pourtant: pendant des années j'ai dû me battre pour avoir par ex. un compte bancaire professionnel au nom de JOYCE avec des chèques à ce nom-là ou contre l'administration fiscale qui ne voulait pas mes déclarations et paiement à ce nom.... et, depuis 5 à 6 ans, je dois me battre contre l'administration qui ouvre les dossiers (comme à l'hôpital par ex.) au nom de JOYCE  pour dire: mais non, c'est mon pseudonyme de travail!!!!

  • Toujours plus forte!!!

    En cadeau, une carte postale inédite sur le net!

     

    En août 2017, je vous annonçais que l'année 2018 serait venteuse, pluvieuse, grêleuse (:-), voire très tempétueuse…. fortement humide toute l'année, quoi! même si pas trop frisquette, heureusement.

    Tenez-vous bien: j'annonce que 2019 sera aussi humide et désagréable que cette année!!!

    Comme je dis toujours: un homme averti en vaut 2 et une femme avertie, en vaut 4… les femmes sont plus débrouillardes, tout le monde sait cela!!!

    Je vous conseille de conserver l'URL de cette note pour pouvoir vérifier….

    Ceci est une première rapide information….

    En fin ou début 2018-2019, je vous donnerai plus de détail, quinzaine par quinzaine.

    35 années de voyance en tant que professionnelle: l'expérience fait ma différence avec les tireuses de cartes!!!!! :-)

     

  •  INCROYABLE!

     

    Ma page Facebook n'est plus bloquée!

    ?????

    Ma dernière info ne lui a pas plu???? Toujours est-il que je l'ai supprimée, pour voir...

    Donc, retour de la possibilité de remettre des articles....

    ?????

    Cela prouve que “quelqu'un“ vient lire les infos que j'y dépose!

    MDR

     

  • SCANDALE! Facebook a bloqué ma page personnalité publique!

    Ils ont peur que je les envoûte????

    S'ils pensent que j'ai ce pouvoir, alors c'est fait: Face de bouc va faire faillite, croyez-moi!

    Cela prendra le temps qu'il faut... mais, cela arrivera!

    Non mais, sans rire....

    LA LIBERTÉ D'EXPRESSION A L’AMÉRICAINE N'A RIEN A VOIR AVEC LA NOTRE!

    Mais, quels crétins congénitaux ces ricains! et leur affidés Français... parce que ce sont les employés français qui ont bloqués mon compte...

    Heureusement, j'avais une autre page: JOYCE-VOYANCE

    Trouvez-là, abonnez-vous, dite J'aime!

    Vous allez lire les mêmes articles que sur le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

    où je remet les pendules à l'heure concernant ces sciences dites occultes mais, bien sûr, qui ne le sont pas....

    Défendez, SVP, la seule voyante qui fait entrer les gens dans le 3e millénaire et qui remet l'intelligence à la mode!

     

     

  • Suite à la mort du couturier Givenchy...

    Un SPÉCIALISTE culture média sur BFM...

    "c'est lui qui, le premier, en 1945, à supprimé le corset des femmes..."

    Ben voyons, quand je vous dis que les journalistes sont des ignares, incultes!

     

    C'est après 1918 qu'un couturier à supprimé le corset chez les femmes.. en 1920, je crois, quand la femme se fait couper les cheveux pour être "garçonne"... j'ai juste oublié son nom mais vous trouverez en cherchant sur le net...