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  • Humour français: c'est tout ce qu'il nous reste!

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    Le petit-petit jardinier pas futé

    Je sais pas vous, mais depuis le 11 janvier, il me gave... tu peux pas allumer un poste de télé sans voir sa tronche de cochon ravi!

     

     

  • Sim-pathique que ça les amerloques! Attention, ça va vous faire tiquer...

    La NSA accusée de fouiller dans les cartes SIM: Ce qu'il faut savoir sur le "casse"

    La carte SIM de votre smartphone est sans doute compromise. Et par conséquent, vos communications aussi. C'est sans doute la plus grosse bombe, jusqu'ici, lâchée par Edward Snowden, cette fois via des documents fournis au site The Intercept. La NSA et son homologue britannique, le GCHQ, ont réussi le casse du siècle en dérobant les clés de cryptage des cartes SIM du premier fabricant mondial, le groupe franco-néerlandais Gemalto.

    Ça veut dire quoi, concrètement?

    Les agences de surveillance ont pu déchiffrer, sans l'aide des opérateurs télécoms ni d'aucun gouvernement, les communications mobiles (voix et données) des téléphones vulnérables. Impossible à déterminer, le nombre est "sidérant", selon The Intercept, alors que Gemalto fabrique deux milliards de cartes SIM par an et compte 450 clients dans le monde, dont les principaux opérateurs français. En 2009, la NSA était capable de traiter entre "12 et 22 millions de clés par seconde". Pire, elle pouvait les utiliser rétroactivement pour déchiffrer des conversations préalablement enregistrées.

    Carte SIM, clé de cryptage, comment ça marche?

    Parce que les ondes radio, qui voyagent par les airs, sont faciles à intercepter, un système de cryptage a été mis en place. Une clé est stockée sur la carte SIM, et l'opérateur dispose de l'unique copie. Lors d'un appel, une authentification a lieu avec la tour voisine, et l'échange est alors sécurisé. En théorie.

    Et Gemalto ne savait rien?

    Pour envoyer les clés aux opérateurs, Gemalto procède par courrier, ou, plus souvent, "par email ou FTP", explique The Intercept. Selon les documents fournis par l'ex-consultant de la NSA, Edward Snowden, les agences américaines et britanniques ont réussi à s'introduire dans le réseau interne de Gemalto. Elles ont vraisemblablement prélevé les précieux sésames à la source et pouvait décrypter les communications sans laisser de trace. L'entreprise jure qu'elle n'était au courant de rien et juge ces révélations "inquiétantes et perturbantes".

  • Jeu érotique

    Oui: c'est bien le jeu du livre dont tout le monde parle! Jeu officiel.

    Révèle la déesse qui est en toi...

    JEU ENTRE AMIES

     

     

     

  • Gaspards: Comme on dit à Toulouse: bêtes à manger du foin

    Ces politiques: que des guignols!

    Composé de personnalités venues d’horizons divers, le jury a ainsi eu la difficile tâche de trancher parmi cent phrases présélectionnées, toute d’un excellent niveau. Les lauréats, pourtant invités, ne se sont hélas pas déplacés pour recevoir leur prix… Un diplôme en bonne et due forme leur sera néanmoins envoyé.

    Maître de la cérémonie, Nicolas Beytout, président de L’Opinion, a insisté sur la dimension humoristique de ces Gaspards.

    La seconde édition des Gaspards de la politique, organisée par Generation Libre en partenariat avec l’Opinion, a eu lieu mercredi 11 février. Comme l’année dernière, ce prix a voulu récompenser les phrases les plus anti libérales prononcées au cours de l’année par des personnalités politiques de tout bord.

    Cinquante phrases ont été sélectionnées par la rédaction de l’Opinion et Generation Libre puis étudiées par le jury pour chacune des catégories du Prix. Les internautes ont été associés à ce trophée en élisant le Gaspard d’Or, via les réseaux sociaux, parmi 5 prétendants de choix.

    Walter, humoriste, chroniqueur sur France Inter, Europe1 et désormais dans la Nouvelle Édition de Canal+, fut le maître de cérémonie.

    Jury 2015

    Walter

     Nicolas Beytout, président et fondateur de l’Opinion

     Gaspard Koenig, dirigeant et fondateur de Generation Libre

     Christophe Chenut, directeur général de l’Opinion

     Natacha Valla, économiste

     Cécile Philippe, directrice générale de l’Institut Molinari

     Grégoire Lucas, associé Image Sept

     Mathieu Laine, dirigeant et fondateur de Altermind

     Alain-Gérard Slama, essayiste et historien

     Hugh Schofield, représentant de BBC News à Paris

     Baptiste Favrot, représentant de European Students for Liberty en France

     Nicolas Lecaussin, Directeur du développement IREF, Institut de Recherches Economiques et Fiscales

    Lauréats 2015

    M. Benoît Hamon, ancien ministre de l’Éducation nationale, Gaspard d’Or: "Quand on n’a rien à se reprocher, ce n’est pas grave d’être sur écoute" (cf. la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy).

    M. Laurent Wauquiez, député UMP de Haute-Loire, Gaspard de l’interventionnisme: "Il faut) se donner les moyens de ravoir (sic) une vraie stratégie industrielle et cela passe par l’entrée de l’État au capital".

    M. Gérard Filoche, membre du Bureau national du PS, Gaspard de  l’autoritarisme: "Aucun salarié de ce pays ne travaille le dimanche par "volontariat" mais parce que le patron le veut".

    M. François Hollande, Président de la République, Gaspard du jacobinisme: "La France, même quand elle fait du libéralisme, le fait par l’État".

    Mme Anne Hidalgo, Maire de Paris, Gaspard du paternalisme: "Un maire, c’est le souci de protéger, l’obsession de trouver une solution à chaque problème, une réponse à chaque question".

    M. Arnaud Montebourg, ancien ministre du Redressement productif, Gaspard du dirigisme: "Lorsque je reçois l’Autorité de la concurrence qui vient à mon bureau, je lui dis: vous êtes contre les ententes et moi je les organise".

    Espoirs 2016

    Face à des candidats brillamment anti-libéraux, le jury a désigné nos Espoirs pour l’année prochaine:

    Michel Sapin, Ministre des Finances, "Il n’y aurait pas autant de jeunes arrivant sur le marché du travail, le chômage baisserait".

    Bruno Le Maire, Député UMP, "Je suis opposé à la libéralisation sauvage des professions réglementées".

    Denis Payre, Président-fondateur de Nous Citoyens: "(La) loi d’Emmanuel Macron, le risque de casser certaines professions qui fonctionnent bien pour plaire à quelques ultra libéraux de la Commission".

    Et aussi

    Gaspard de l’autoritarisme

    Victorin Lurel, Ministre des Outre-Mer, PS

    "Toute chose égale par ailleurs, Chavez c’est De Gaulle plus Léon Blum. De Gaulle parce qu’il a changé fondamentalement les institutions et puis Léon Blum, c’est-à-dire le Front populaire, parce qu’il luttait contre les injustices (…) le monde gagnerait à avoir beaucoup de dictateurs comme Hugo Chavez".

    (RTL, 09/03/2013, à l’occasion des obsèques d'Hugo Chavez)

    Gaspard de l’interventionnisme

    Laurent Wauquiez, Député-Maire du Puy, UMP

    "Je suis très méfiant sur cette espèce de veau d’or qu’est le libre-échange, dont à chaque fois on nous explique que c’est la modernité et que ça crée des emplois. Je ne suis pas convaincu et je pense même que parfois, une petite dose de protectionnisme, ce n’est pas une mauvaise idée".

    (France Info, 19/06/2013)

    Gaspard du jacobinisme

    Arnaud Montebourg, Ministre du Redressement productif, PS

    "When innovation destroys system, we have to go slowly"

    (Conférence Le Web, 12/12/2013)

    Gaspard du paternalisme

    Esther Benbassa, Sénatrice du Val-de-Marne, EELV

    "Dans un pays comme le nôtre, où la menace de la sanction est brandie très tôt dans l’existence d’un enfant et continue d’encadrer en toute occasion la vie des adultes, bref, dans le contexte français".

    (Débat au Sénat à propos des restrictions souhaitables à la liberté d’expression sur twitter, 07/02/2013)

    Gaspard du dirigisme

    Marine Le Pen, Députée européenne, présidente du FN

    "Bienvenue dans le monde du poulet chloré, du bœuf aux hormones et de l’horreur ultra-libérale".

    (Conférence de presse, 26/06/2013)

    … Et le Gaspard d’Or

     Vincent Peillon, Ministre de l’Education Nationale, PS

    "Toute notre ambition consiste à regagner du temps public sur le temps privé".

    (Débat au Sénat, 22/05/2013)

    Read more at http://www.generationlibre.eu/notes/remise-des-gaspards-de-la-politique-2013/#5jvdu6g65IsRw4yI.99

  • C'est déjà ça!

    Le vaccin antigrippe protégerait contre la souche H7N9

    Malgré son efficacité réduite contre le virus de la grippe saisonnière cette année, le vaccin protégerait contre une infection au H7N9 – souche particulièrement virulente apparue en Chine en 2013.

    Les anticorps qui ciblent cette nouvelle souche ne représentent qu’une petite partie du vaccin mais paraissent largement neutraliser les virus H7. " Nous devons maintenant développer des moyens pour amplifier cette réaction immunitaire ", indique le Pr Patrick Wilson, de l’Université de Chicago, principal coauteur de l’étude parue dans le " Journal of Clinical Investigation ".

    Son équipe a cherché à déterminer si les vaccins contre la grippe saisonnière pouvaient éventuellement induire une production d’anticorps contre des souches plus rares. 83 anticorps ont été isolés dans le sang de 28 personnes vaccinées. Résultat, 7 % de ces anticorps ont réagi in vitro contre les souches rares de la grippe H7 – alors qu’elles n’avaient pas été ajoutées au vaccin ayant servi à inoculer les patients – et trois d’entre eux auraient même totalement neutralisé la souche H7N9.

    Les anticorps auraient aussi permis de protéger des souris à qui les chercheurs auraient administré des doses mortelles du virus H7N9, alors que tous les rongeurs non traités auraient succombé à l’infection.

     " Pour l’heure, il est clair que le vaccin contre la grippe saisonnière offre une protection plus étendue et que tout le monde devrait de ce fait être vacciné ", conclut le Pr Wilson.

    http://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/le-vaccin-antigrippe-protegerait-contre-la-souche-h7n9

  • Ils sont quand même forts ces Bretons !!!

    > > > > > Dans un club de violonistes deux musiciens bavardent. Un Corse et un Breton. Tous les deux sont fiers de leur talent.

    > > >  Le Corse dit :

     > > - La semaine dernière j'ai joué un concerto dans la Cathédrale d'Ajaccio, devant 6 000 personnes.

     > >  Tu vas pas me croire, mais j'ai tellement bien joué que j'ai fait pleurer la statue de la Sainte Vierge ....

    > > >  Perplexe, le Breton hoche la tête, et dit :

    > > > - Moi, hier, à la cathédrale de Quimper, j'ai joué devant plus de 10 000 personnes, tu vas pas me croire mais à un moment, j'ai vu Jésus se décrocher de la croix et venir vers moi.

     > > > Je me suis arrêté de jouer, et dans un silence de mort, il m'a dit :

    > > > - Mon fils, j'espère que tu connais bien ta partition !

    > > > > Surpris je lui dis :

    > > - Seigneur, je la connais ma partition, pourquoi tu me dis ça ?

    > > > > > > Et il m'a répondu :

    > > > - Parce que la semaine dernière, à la cathédrale d'Ajaccio, un petit Corse prétentieux a tellement mal joué qu'il a fait pleurer ma mère."

  • Tout l’art du bon gros fake franchouille.

    La loi Macron, c’est comme le Canada dry, ça ressemble à de la libéralisation, ça a le goût de la simplification, mais c’est du socialisme pur jus.

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  • Au pageot, le ski?

    Grippe : pourquoi l'épidémie est-elle si forte cette année?

    Cette année, l'épidémie de grippe saisonnière est particulièrement forte et touche toutes les régions de l'Hexagone. Le vaccin ne serait efficace qu'à 30%, à cause d'une mutation inopinée d'une des souches. Mais est-ce la seule raison qui explique l'importance de cette épidémie ? Deux spécialistes nous ont éclairés sur la question.

    D'après les chiffres du Bulletin épidémiologique de l'Institut de veille sanitaire (InVS) de cette 6ème semaine de 2015, 1 500 000 personnes ont contracté la grippe saisonnière depuis le début de l'hiver.

    On recense 590 000 nouveaux cas cette semaine, soit 914 cas sur 100 000 habitants au niveau national. La grippe a engendré 5 460 passages aux urgences pour cette seule semaine, dont 533 hospitalisations. Au total, depuis le début de la surveillance de l'épidémie, dont le pic est attendu cette semaine, 483 cas graves ont été observés, dont 42 décès.

    Et 60% des virus qui circulent sont des virus de la souche A (H3N2). Comment en est-on arrivé là?

    Quels sont les facteurs qui peuvent expliquer cette flambée de l'épidémie par rapport aux années précédentes ? Doit-on incriminer uniquement la faible efficacité du vaccin ?

    Sylvie Van Der Werf et Bruno Lina, responsables respectifs du Centre national de référence (CNR) Nord des virus de la grippe de l'Institut Pasteur et du CNR Sud des virus de la grippe aux Hospices civils de Lyon, ont accepté de nous informer sur ce sujet.

    Un virus mutant particulièrement virulent qui échappe au vaccin

    La première raison qui explique l'importance de l'épidémie de grippe cette année tient en quatre caractères : H3N2, le nom du virus majoritaire.

    (On a à faire à des virus H3N2 en majorité, et à des virus variants par rapport à ceux qui ont circulé précédemment, ce qui implique qu'il y a une partie de la population qui a une immunité réduite vis-à-vis de ces virus. C'est une des raisons pour lesquelles on a cette année une épidémie relativement importante“, explique Sylvie Van Der Werf.

    “Ce virus variant est apparu durant le printemps et l'été derniers aux États-Unis, où il a été responsable d'une épidémie de grande ampleur“, ajoute le Professeur Lina.

    “Une partie des souches de virus H3N2 qui circulent à l'heure actuelle est variante par rapport à la souche qui est dans la composition vaccinale de cet hiver“, précise la chercheuse.

    Cette saison, la composition du vaccin choisie par l'OMS en fonction des données scientifiques récoltées contient en effet une souche B, une souche A de type H1N1 et une souche A H3N2. Mais chaque année, les délais obligent l'OMS à donner ses recommandations pour le vaccin dès la mi-février, pour la composition vaccinale de l'hiver qui suit.

    "Actuellement, il y a une part de virus H1N1 qui circule (25-30%), 10 à 15% de virus de type B, mais de façon très majoritaire, ce sont les virus H3N2 qui circulent (60% environ) ", détaille S. Van Der Werf. "Et la tendance naturelle observée est l'augmentation progressive de la circulation de la souche H3N2 qui a muté au détriment de celle du vaccin", ajoute Bruno Lina.

    Les deux responsables des CNR des virus de la grippe s'accordent pour dire que de manière générale, " les virus H3N2 donnent classiquement des épidémies de plus grande ampleur, et des infections plus sévères chez les personnes âgées. " D'autant que le virus H3N2 mutant est plus facilement transmissible, précise Bruno Lina.

    Une mutation imprévisible à laquelle il faut faire face

    Si la première raison à incriminer demeure la souche mutante H3N2, il est normal de se demander si une telle mutation aurait pu être pressentie et anticipée lors de la mise en place du vaccin.

    " Malheureusement, les méthodologies dont on dispose aujourd'hui n'ont pas permis de prévoir l'émergence de ce variant, ni son caractère dominant ", avoue Sylvie Van Der Werf. " L'année dernière, peu de virus H3N2 circulaient au moment où la décision a été prise sur la composition vaccinale du vaccin actuel. "

    " L'évolution des virus est quelque chose de totalement imprévisible.

    On ne sait pas aujourd'hui prévoir l'évolution des virus, même si on sait qu'ils vont évoluer et que des mutations vont survenir ", explique quant à lui Bruno Lina, professeur de virologie à l'Université Lyon-1. " On est en fait très démuni face à ces mutations et les modèles de calculs prédictifs complexes se sont toujours trompés. "

    Une responsabilité individuelle et des mesures d'hygiène à renforcer

    " Au-delà de la vaccination, la prévention passe par les règles d'hygiène simples (lavage des mains, mouchoirs jetables, masques, éternuements contrôlés etc.).

    Le vaccin contre la grippe est un vaccin extrêmement bien toléré avec très peu d'effets secondaires et peu de contre-indications (la seule contre-indication étant l'allergie avérée aux protéines des œufs). Dans ce sens, c'est un vaccin sûr et aux bénéfices reconnus qu'on ne peut que recommander sans aucune hésitation ", conclut Sylvie Van Der Werf.

    " Malheureusement, on est désormais au milieu de l'épidémie de grippe, qui va durer encore environ 4 semaines. La vaccination à cette période est trop tardive sachant que le vaccin met deux à trois semaines à installer une immunité. Elle ne pourrait éviter qu'un nombre très limité de cas ", regrette par ailleurs Bruno Lina.

    "La vaccination réalisée durant l'automne est aujourd'hui nécessaire pour protéger les personnes fragiles (personnes âgées, immunodéprimés, asthmatiques etc.).

    Mais ce que l'on propose aussi au-delà de leur propre vaccination, c'est la vaccination altruiste des personnes de leur entourage, pour éviter que l'entourage ne soit le vecteur de la maladie ", insiste-il.

    Pour le responsable du CNR de Lyon, " la grippe n'est pas une fatalité ". Chacune des personnes concernées peut agir en prévention par la vaccination de façon précoce, même si ça n'empêchera pas l'apparition d'une épidémie“.

    Et une fois que celle-ci est installée, on peut réduire la diffusion de la grippe par des mesures d'hygiène, et diminuer son impact sur les malades via la prescription d'antiviraux", ajoute le Docteur en médecine.

    " Même si individuellement ils ne sentent pas à risque, les non vaccinés participent à l'extension de l'épidémie, qui n'existe que par la transmission à partir d'individus infectés. Aujourd'hui il y a une déresponsabilisation individuelle face à la grippe alors que la vaccination est un acte de prévention individuel ainsi qu'un acte civique", conclut-il.

    Rappelons que d'après l'InVS, la grippe tue au moins 6 000 personnes chaque année, principalement parmi les personnes âgées et fragiles de plus 65 ans.

     

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