et, ils osent publier ça sur la toile!
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et, ils osent publier ça sur la toile!
gagné grâce aux déplacements en vélo et au jogging; lorsque j'en faisais en 79-84, j'étais la seule coureuse du quartier... on me regardait les yeux ronds, comme si j'étais une extra-terrestre!
Les femmes aux grosses fesses sont... les plus intelligentes
Est-ce que ça les rend encore plus sexy ? mais oui! C'était tout moi, ça!
Les fesses rebondies, chez une femme, c'est sexy. Mais cela pourrait aussi être un signe d'intelligence selon une étude de l'université d'Oxford.
On sait que les hommes ont toujours tendance à apprécier les jeunes femmes pulpeuses au fessier rebondi. Pour des considérations... esthétiques, essentiellement. Après tout, mesdames, il faut reconnaître que des jolies fesses rebondies, c'est très sexy. D'ailleurs, nombreuses sont les femmes qui reconnaissent aboutir au même constat à propos des fesses masculines.
Les hommes vont encore plus aimer les femmes au gros Q...I
Mais aujourd'hui, une nouvelle étude très sérieuse – si, si ! – tend à prouver que les grosses fesses sont aussi synonymes d'intelligence. Telles sont en tous cas les conclusions d'une étude menée par des chercheurs de l'université d'Oxford.
Après avoir étudié pas moins de 16 000 femmes, ces scientifiques ont rapporté que la graisse située dans les fesses stockait mieux les Oméga-3, ces fameux acides gras qui joueraient un rôle positif dans le développement du cerveau.
Mieux vaut être une poire qu'une pomme
Ces femmes en forme de poire – avec des rondeurs sur les hanches, les fesses et les cuisses – seraient ainsi bien mieux loties que les femmes en forme de pomme, dont la graisse se situe essentiellement au niveau du ventre. Ces dernières seraient davantage sujettes à des problèmes de santé de type diabète ou cholestérol.
Enfin, les chercheurs ne reculent devant rien pour vanter les mérites des fesses généreuses: il sembleraient que les enfants nés d'une mère aux grosses fesses seraient plus intelligents que ceux nés d'une mère plus mince. Par contre, ça, c'est faux et même, je peux dire, totalement l'inverse.... d'ailleurs, ma mère avait les fesses presque plates et un QI de betterave!
Après deux ans au pouvoir, après lesquels il n’y aura sans doute pas de réélection, il est désormais possible de dresser un premier bilan de la présidence de François Hollande. Deux ans permettent de planifier les budgets, de rencontrer les plus importants chefs d’État étrangers et de réaliser plusieurs réformes économiques ou sociales qui peuvent être débattues, même lorsque leurs résultats ne sont visibles que plusieurs années plus tard.
Avec une cote de popularité de seulement 18%, le score le plus bas de la Vème république, très peu de décisions prises ont été appréciées. De mémoire, deux décisions l’ont été à l’unanimité: son intervention militaire au Mali et sa reconnaissance de la responsabilité de l’État français dans la rafle de Vel d’Hiv. En revanche, les erreurs politiques, stratégiques ou diplomatiques ont été tellement nombreuses qu’il nous est impossible de toutes les énumérer. Contentons-nous d’énumérer les plus grandes.
Un début de mandat raté
Seulement deux heures après son élection, il rend hommage à Jules Ferry, certes le fondateur de l’école publique gratuite et laïque, mais également farouche partisan de l’expansion coloniale de la France, « fondée sur une vraie théorie raciste »[1] Cette erreur de communication a été aussitôt sévèrement critiquée par sa propre Garde des sceaux, Christiane Taubira. Ensuite il part en Allemagne rencontrer Angela Merkel. Il pleut des cordes et l’avion présidentiel est foudroyé – même les moins superstitieux évoquent un mauvais présage.
Des nominations douteuses
Bien qu’il s’était engagé à ne pas nommer au gouvernement ou aux postes clés de l’administration nationale les personnalités condamnées pour les crimes ou délits, il n’a pas tenu cet engagement. Si la nomination du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, condamné en 1997 à six mois de prison avec sursis et 30 000 F d’amende pour le délit de favoritisme[2] n’a pas posé problème suite à sa réhabilitation, d’autres ont été plus problématiques. Celles d’Henri Emmanuelli, nommé à la Caisse des Dépôts et des Consignations, et de Harlem Désir comme secrétaire d’État, restent incompréhensibles.
Des réceptions en catimini sulfureuses
Lors de la visite du président birman Thein Sein, le sort des centaines de musulmans Rohingyas tués et les 140.000 déplacés n’a même pas été abordé[4].
Un pitoyable cadeau
Pendant que la presse à scandale s’amuse de sa braguette ouverte lors de la visite officielle en Algérie ou de ses cravates régulièrement de travers car il a pris du ventre, certaines erreurs de goût ont malheureusement une plus grande portée. Les cadeaux que le Président français offre aux chefs d’État étrangers sont censés représenter notre pays et son image de marque. Ainsi Bernadette Chirac avait-elle offert à la princesse Diana de Galles un sac Dior en cuir noir matelassé qui est entré dans l’histoire et devenu le célèbre « Dior Lady ». Lorsque François Hollande a rencontré Barack Obama pour la première fois, sa compagne Valérie Trierweiler a offert à Michèle Obama un sac en cuir de la marque Le Tanneur. En offrant un sac cinq fois moins cher, on a sans doute voulu montrer aux Français que le gouvernement souhaite réduire ses dépenses en temps de crise. Soit. Seulement, la marque Le Tanneur n’est plus une marque française, puisque l’entreprise appartient désormais à 85,73% à la société Qatar Luxury.
Des petites blagues de mauvais goût
Si certaines petites blagues font sourire, telles que « dans le gouvernement il y a plus de femmes que d’hommes depuis le départ de Cahuzac » ou « Sarkozy tu ne le verras plus » lancée à un enfant lors du Salon de l’agriculture, d’autres sont beaucoup moins drôles et frôlent le scandale diplomatique. Tel est le cas de la petite phrase sur l’élection du Pape où « la France ne présentera pas de candidat » qui montre que le chef de l’État n’a aucune considération pour les cultes. Il est beaucoup moins drôle de confondre la Tunisie et l’Égypte devant le président tunisien le 4 juillet 2013, ou encore de présenter ses condoléances au peuple chinois suite à la prise d’otages d’In Amenas (Algérie), alors qu’on est en visite officielle au Japon. Le pire, nous semble-t-il, c’était d’envoyer un ministre de l’’Intérieur à une visite officielle en Algérie, ancienne colonie française qui nous approvisionne en gaz, et de se réjouir de le voir revenir sain et sauf, puis de s’excuser pour l’interprétation qui est faite de ses propos – et non pour les propos eux-mêmes.
La décision honteuse dans l’affaire Snowden
L’affaire Snowden aurait été une belle occasion pour François Hollande d’améliorer sa cote de popularité. Techniquement, Snowden avait été empêché de déposer une demande d’asile en France. Mais se retrouver à la tête de la patrie des droits de l’homme et refuser d’accorder l’asile à Snowden, puis l’accorder à la Femen Inna Shevchenko, poursuivie dans son Ukraine natale pour les actes de vandalisme – elle avait scié la croix de Holodomor, érigée à la mémoire des victimes de la famine sous l’ère stalinienne – c’était incompréhensible.
L’amateurisme gouvernemental
L’amateurisme du gouvernement était le plus éclatant lorsque ses grands projets à caractère électoraliste se sont vus censurer par le Conseil Constitutionnel. Tel était le cas de la loi sur l’amnistie sociale, ou encore celui de l’imposition à 75% des revenus annuels qui dépasseraient 1 M€. M. Hollande aurait pu s’entourer de technocrates ou écouter les conseils venant des experts de la société civile ; il a préféré s’entourer de ses proches au sens idéologique du terme. L’incompétence a marqué quasiment chaque action, chaque projet de loi, chaque déclaration de ses ministres. Lorsque Arnaud Montebourg a été nommé à Bercy, Michel Sapin s’est félicité d’avoir un tel collaborateur car le Ministère serait désormais dirigé par « le Cerbère à deux têtes ». Seulement, le chien de Caron de la mythologie grecque, qui transportait aux enfers les âmes des morts à travers la rivière souterraine Styx, lui, avait trois têtes. Un dieux grec plus optimiste aurait pu être choisi pour le symbole, mais celui-ci correspondait mieux à la triste situation de nos finances publiques.
Une courbe du chômage qui persiste à ne pas s’inverser
Et pourtant, bien que le chômage explose et que la croissance soit nulle, plus personne ne s’attend à ce que le gouvernement crée les emplois – il doit simplement créer un climat économique propice à leur création naturelle par le secteur privé, en allégeant la fiscalité des entreprises et des particuliers. Malheureusement, le gouvernement a choisi l’inverse : faire supporter la facture de la crise aux ménages et aux entreprises, tout en préservant les 5,5 millions de fonctionnaires qui constituent sa base électorale. La fin des heures supplémentaires défiscalisées, la réduction des montants que l’on peut transmettre sans impôt aux membres de sa famille, la suppression du quotient familial, l’augmentation des droits de mutation, tout y passe. Après les plus riches, maintenant c’est le tour des jeunes diplômés de quitter la France pour de bon, comme en témoignent les chiffres alarmants de l’INSEE.
Des réformes essentiellement focalisées sur les questions sociétales
Pour les socialistes, la famille est une institution de la bourgeoisie et sert à reproduire les inégalités entre les classes sociales ; ainsi vaut-il mieux la démanteler. C’est dans ce sens qu’il faut interpréter les lois sociétales du gouvernement Hollande, qu’il s’agisse du mariage pour tous, de la théorie du genre ou encore de la légalisation des nouvelles techniques de reproduction humaine qui remettent en question la filiation biologique. Le gouvernement a refusé d’écouter les arguments de la Manif pour tous, un mouvement qui a massivement mobilisé les Français, et n’hésite pas à réprimer les manifestations des Veilleurs et emprisonner leurs militants. L’État est-il à sa place, lorsqu’il légifère sur les unions matrimoniales et s’immisce ainsi dans les affaires privées des citoyens ? Le mariage doit-il vraiment être prononcé par un maire, à la place du prêtre ? Quant aux questions patrimoniales, ne sont elles pas mieux gérées par les notaires ou les avocats fiscalistes ?
On considère souvent que le vote à gauche est plus sexy, branché et cosmopolite, en évoquant les aides aux plus démunis et une politique d’immigration beaucoup plus humaniste.
Pour le moment, les membres du gouvernement Hollande ne cessent de répéter que la mauvaise gestion du gouvernement précédent a été responsable de l’état dans lequel se trouve notre pays. Mais il nous reste encore trois ans avec M. Hollande et il lui sera de plus en plus difficile d’utiliser cette excuse, surtout à la prochaine échéance électorale, car cinq ans suffisent largement à mettre en place les réformes qui porteront leurs fruits d’ici 2017. Pour le moment, malheureusement, nous n’avons rien vu – aucun audace, aucun courage, aucune vision pour la #PauvreFrance.
George Bush était célèbre pour ses « bushismes » devenues une anthologie. Qu’allons nous retenir de François Hollande ? Son inaction en attendant les municipales en France ou les élections allemandes ? Ses petites blagues maladroites ? Ses affaires de mœurs qui montrent qu’il n’est même pas capable d’être honnête avec ses proches ? Ou le déclassement international de la France, tel le naufrage d’une arche sans capitaine ? Sic transit gloria mundi…
Mais bon, ça aurait pu être pire. Il aurait pu être socialiste.
Il y a deux ans, je me demandais sur Twitter si François Hollande, le candidat de deuxième choix, allait devenir un piètre président. Second choice candidate. Second rate President ? – j’écrivais en mai 2012. Je ne soutiens pas sa famille politique, mais je n’ai pas envie que ma « prophétie » définisse son quinquennat ; je souhaite à M. Hollande de changer le cap et de réussir les trois ans qui lui restent, pour le bien de la France.
Céline Lussato, « Visite du président birman à Paris: silence sur le sort des Rohingyas », Le Nouvel Observateur, 17 juillet 2013.
Blague de fin Mai 2017.
Un vieux Monsieur est assis sur un banc en face de la grille du Coq du Palais de l'Élysée. Au bout d'une heure, il se lève et s'approche du Garde Républicain :
> > > > - "Bonjour monsieur, j'aimerais visiter l'Élysée et rencontrer le Président François Hollande."
> > > > Le Garde Républicain lui répond :
> > > > - "Monsieur Hollande n'est plus président et il n'habite plus ici."
> > > > Le vieux Monsieur s'en va sans dire un mot.
> > > > Le lendemain le vieux Monsieur est de nouveau assis sur son banc.
> > > > Au bout d'une heure, il se lève, va voir le Garde Républicain et lui dit :
> > > > - "Je veux visiter l'Elysée et rencontrer le Président François Hollande."
> > > > Le garde lui dit :
> > > > - "Monsieur Hollande n'est plus président et il n'habite plus ici."
> > > > Le vieux Monsieur s'en va sans dire un mot.
> > > > Le troisième jour, le vieux Monsieur est assis sur le même banc et fixe longuement l'Élysée.
> > > > Il se lève enfin, va voir le Garde Républicain et lui dit à nouveau :
> > > > - "J'aimerais visiter l'Élysée et rencontrer le Président François Hollande "
> > > > Le pauvre Garde Républicain est très embêté.
> > > > - "Monsieur, cela fait 3 jours que vous demandez à rencontrer Monsieur Hollande et ça fait 3 jours que je vous dis que Monsieur François Hollande n'est plus président et qu'il n'habite plus ici. Est-ce qu'il y a quelque chose que vous ne comprenez pas ?"
> > > > - "Non..... Non. .... dit le vieux Monsieur, c'est juste que ça me fait tellement plaisir de l'entendre dire."
> > > > Alors le Garde Républicain se met au garde-à-vous, le salue et lui dit :
> > > > - "A demain, Monsieur."
Je prends à l'instant sur google actualités l'article suivant et je l'écrit tel que je l'entendrais zozetté par les bobos idiots s'ils le lisaient à haute voix dans un studio télé:
plus bas le vrai article
zA Bethléem, le pape François tarrive to coeur de sonpélerinag ten Tersaint
Le souverain pontiv
(Pour commencer, on n'écrit pas pontif mais pontife… quand on ne sait pas écrire, on vérifie dans le dico avant d'écrire des âneries)
zé tarrivé sur le sol de l'EtadePalestin reconnu parle Vaticanne, avantt de se rendre ten zIsraël, abordanttt la parti la plus zzépineuse de son voyag ten Terrsainte.
Le pape François zétarrivé dimanche matin zzà Bethléemme, en Cis jordanie, lieu de naissans de Jésu, ssurlesol de l'Etat de Palestin reconnuzs par le Vatican, zavant de sse rendre ten zIsraël, tabordant la partie la plus zépineuse de son voyage ten Terrsainte. tAprès zune zétap chaleureus ten Jordani, où zil a plaidé pour une "sssolution pacific" ten Syrie et fraternisé zzavec des réfugiés, il est tarrivé en zhélicoptère militair zjordanien zà Bethléem, doù zil la tossitôt tété reçu avec touss les zhonneurs par le présdent Mahmoud tAbbas, qui l'a nembrassé, gézun parterr de dignitair palestinienz.
La place de la Mangeoire, devantttl'a basilic de laNativté, doù le souverain pontife célébreraa ttune messe pour 9femilsisszen3 privilégiés qui zont reçu des zinvitations, tétait pavoisée de drapoo du Vatican zé palestiniens et (t)zornée d'un tabloz géan de la naissance de Jézu. Ce sera son secon bain de foul, sous la protection de quelquess t3mil membress des forces de sécuritét palestinienn donzenviron zun tiers z(t)appartenantà la Garde présidentiel, taprès celui du stade d'Ammamm, dans zun voitur découvert. François zira aussi dialoguer ravec des zenfants du camp de réfugiés proche de Dheisheh, puis déjeunera t(ici on peut dire aussi zavec ou ravec) avec des familles palestinien défavorisées.
Reconaissancc d'Izsraël ré de la Palestine
Selon le Vatican, le souveraint pontif devrait taffirmer le droit pour zIsraël "d'exister et de jouir delapaix zé de la sécurité", maiszossi celui du peuple palestiniennn "d'avoir tune patrie souveraine et tindépendant". Il devrait t(ou z)également rappeler rà la reconnaissanc du "caractère sacré zé tuniversel" de la ville de Jérusalèmm zainsiquede son "nhéritage culturel zé religieux" qui en fonttun "lieu de pèlerinagpour les fidèles des troizreligions monothézistes", soitt3 milliards de croyants.
"zIl ne parlera pas de politic, seulement de questionzspirituelles", restime NabizAbou Nicolas, un des nombreusszArabes zisraéliens présenttt pour cette mes, venuz de Nazareth, principale ville tarabe d'Iszzzraël, toù contrairement à ses prédécesseurs zJean Pol II et Benoît XVIzz, le pap n'a pas prévuu de se rendre. Pour zun habitan de Bethlém, tIbrahim zHandal, to contrair, "zil est différent des zautres pap en termes d'humanité et jz'espère qu'il peut tapporter de véritables changements sur le tterrain". "Pourvu qu'il puisse contribuerr zà la fin de l'occupation z(israélienne, NDLR) et taporter la paix. La foi déplace les montagnes", tajoutetil. De son côté, le pèr Dominic tTran, venu de Saïgon, zau Vietnam, confie que "notrpays ra subi tune guerr longuezé terrible, don nous savons ce que céézet nous prions pourqu'il ramène r(z)ici l'espri de la paix sur Ter".
Prière communn tavec les chefs des zEglises chrétiennes d'Orian
Le chef de l'Eglise catholic repartira n(z)en zhélicoptère dans l'aprèsmidi pour l'aérport Ben Gourion de Telle-Avive doù il sera zofficiellment taccueilli en zIsraël par le président chimon Perezz "Nous l'accueillons en thomme de paixz", a zaffirmé Mossssieurrr Péreze, dans zun entretien publiésamedi par le quotidienz français Le Figaro. zIl se rendra tensuite à Jérusalem pour le point culminant -- du poinde vue strictman religieux -- de son pèlerinage oecuméniccc. François zy rencontrera le patriarch de Constantinopl, Bartholomééé, le chef spirituel de l'Egliz torthodox dans le monde, 50tans taprèz le sommetthistorique entre le pape Paul VI zé le chef de l'Egliszzorthodoxe de l'époc, Athénaagora
Le momennntttfoor de cette rencontre sera tune prière commun zavec les chefs des zEglises chrétiennes d'Orien dans la basilic du Saint-Sépulc, sur le site de la crucifixxion zet de la résurrection de Jésu, selontla tradition. Relancer l'élantécuménic entre zEglises chrétiennes très divizzées é le dialog intereligieux sonttparmi les prioritéé du pontificat de François. Danzune région troublée, la visit de ce pap rétif fo protocol et qui a refusé tune "papamobil" blindée donne zoossi des sueurfroides tà la sécuritéz
La police zisraélienne a mobilisé des millierrrr d'agents, tun dispositif baptisé "tOpération soutane blanch", ezzapris des mesures d'éloignementà l'encontr d'une quinzaind'activistes d'extrêmdroite soupçonnés de vouloir "provoquer des troubles" durant le séjour du pap. Elle a tannoncé dimanche zavoirtarrêté dans la nuit 26 membres de cette mouvanc qui manifestéé contre la visite du pap François sur le monSion à Jérusalem, doù zil doit célébrer une messe lundi.
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A Bethléem, le pape François arrive au coeur de son pèlerinage en Terre sainte
Le Point.fr - Publié le 25/05/2014 à 09:46
Le souverain pontif est arrivé sur le sol de l'Etat de Palestine reconnu par le Vatican, avant de se rendre en Israël, abordant la partie la plus épineuse de son voyage en Terre sainte.
Le pape François est arrivé dimanche matin à Bethléem, en Cisjordanie, lieu de naissance de Jésus, sur le sol de l'Etat de Palestine reconnu par le Vatican, avant de se rendre en Israël, abordant la partie la plus épineuse de son voyage en Terre sainte. Après une étape chaleureuse en Jordanie, où il a plaidé pour une "solution pacifique" en Syrie et fraternisé avec des réfugiés, il est arrivé en hélicoptère militaire jordanien à Bethléem, où il a aussitôt été reçu avec tous les honneurs par le président Mahmoud Abbas, qui l'a embrassé, et un parterre de dignitaires palestiniens.
La place de la Mangeoire, devant la basilique de la Nativité, où le souverain pontife célébrera une messe pour 9.603 privilégiés qui ont reçu des invitations, était pavoisée de drapeaux du Vatican et palestiniens et ornée d'un tableau géant de la naissance de Jésus. Ce sera son second bain de foule, sous la protection de quelque 3.000 membres des forces de sécurité palestiniennes dont environ un tiers appartenant à la Garde présidentielle, après celui du stade d'Amman, dans une voiture découverte. François ira aussi dialoguer avec des enfants du camp de réfugiés proche de Dheisheh, puis déjeunera avec des familles palestiniennes défavorisées.
Reconnaissance d'Israël et de la Palestine
Selon le Vatican, le souverain pontife devrait affirmer le droit pour Israël "d'exister et de jouir de la paix et de la sécurité", mais aussi celui du peuple palestinien "d'avoir une patrie souveraine et indépendante". Il devrait également appeler à la reconnaissance du "caractère sacré et universel" de la ville de Jérusalem ainsi que de son "héritage culturel et religieux" qui en font un "lieu de pèlerinage pour les fidèles des trois religions monothéistes", soit 3 milliards de croyants.
"Il ne parlera pas de politique, seulement de questions spirituelles", estime Nabil Abou Nicolas, un des nombreux Arabes israéliens présents pour cette messe, venu de Nazareth, principale ville arabe d'Israël, où contrairement à ses prédécesseurs Jean Paul II et Benoît XVI, le pape n'a pas prévu de se rendre. Pour un habitant de Bethléem, Ibrahim Handal, au contraire, "il est différent des autres papes en termes d'humanité et j'espère qu'il peut apporter de véritables changements sur le terrain". "Pourvu qu'il puisse contribuer à la fin de l'occupation (israélienne, NDLR) et apporter la paix. La foi déplace les montagnes", ajoute-t-il. De son côté, le père Dominic Tran, venu de Saïgon, au Vietnam, confie que "notre pays a subi une guerre longue et terrible, donc nous savons ce que c'est et nous prions pour qu'il amène ici l'esprit de la paix sur Terre".
Prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient
Le chef de l'Eglise catholique repartira en hélicoptère dans l'après-midi pour l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv où il sera officiellement accueilli en Israël par le président Shimon Peres. "Nous l'accueillons en homme de paix", a affirmé M. Peres, dans un entretien publié samedi par le quotidien français Le Figaro. Il se rendra ensuite à Jérusalem pour le point culminant -- du point de vue strictement religieux -- de son pèlerinage oecuménique. François y rencontrera le patriarche de Constantinople, Bartholomée, le chef spirituel de l'Eglise orthodoxe dans le monde, 50 ans après le sommet historique entre le pape Paul VI et le chef de l'Eglise orthodoxe de l'époque, Athénagoras.
Le moment fort de cette rencontre sera une prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient dans la basilique du Saint-Sépulcre, sur le site de la crucifixion et de la résurrection de Jésus, selon la tradition. Relancer l'élan oecuménique entre Eglises chrétiennes très divisées et le dialogue inter-religieux sont parmi les priorités du pontificat de François. Dans une région troublée, la visite de ce pape rétif au protocole et qui a refusé une "papamobile" blindée donne aussi des sueurs froides à la sécurité.
La police israélienne a mobilisé des milliers d'agents, un dispositif baptisé "Opération soutane blanche", et pris des mesures d'éloignement à l'encontre d'une quinzaine d'activistes d'extrême droite soupçonnés de vouloir "provoquer des troubles" durant le séjour du pape. Elle a annoncé dimanche avoir arrêté dans la nuit 26 membres de cette mouvance qui manifestaient contre la visite du pape François sur le mont Sion à Jérusalem, où il doit célébrer une messe lundi.
http://www.lepoint.fr/monde/a-bethleem-le-pape-francois-arrive-au-coeur-de-son-pelerinage-en-terre-sainte-25-05-2014-1827549_24.php
Nicole.
Alors qu’elle vérifie minutieusement les calculs de son budget pour le mois écoulé, elle comprend enfin pourquoi ce mois-ci est bien plus simple à boucler que les précédents : tout indique que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie lui a versé 911 euros. Par erreur. Nicole écarte rapidement la thèse conspirationniste (9/11, le 11 septembre, Al Qaïda, la CIA, les chemtrails et autre projet HAARP ne sont pas responsables de ce surplus sur son compte), et comprend qu’on lui a versé une indemnité journalière. Sauf qu’elle est en parfaite santé et qu’elle se rend chaque jour au travail, comme d’habitude.
Là où d’autres auraient gardé l’amour républicain tarifé indûment perçu, Nicole en informe la CPAM par téléphone. Originalité : c’est " Les 4 saisons de Vivaldi " qui a été choisi comme musique d’attente et ça tombe bien puisque le morceau complet du compositeur italien dure à peu près 45 minutes, temps qu’il faut à Nicole pour tomber sur un interlocuteur auquel elle expliquera qu’elle touche des indemnités journalières alors qu’elle est en parfaite santé (" Vous allez rire, j’appelle d’ailleurs de mon travail ") :
Vous pourriez avoir des problèmes. Si vous touchez des indemnités journalières, vous n’avez pas le droit de travailler.
- Mais je ne suis pas malade !
- Vous savez très bien que cette somme correspond à des indemnités journalières pour votre arrêt maladie !
- Je n’ai jamais déposé d’arrêt maladie !
Et là, paf, le lutin (peu commode) raccroche. Nicole tente à nouveau l’appel, mais ses six ou sept tentatives suivantes sont infructueuses (et puis Vivaldi l’agace). Elle se décide à écrire à la Caisse. Son employeur, inquiet que la Caisse lui demande des comptes par la suite, appelle un ami qui y travaille pour intercéder en sa faveur (Quand c’est la République qui distribue de l’amour, ce sont les bons amis qui font les bons comptes, n’est-ce pas).
Quelques jours plus tard, Nicole reçoit une lettre. C’est un attaché de direction à la CPAM qui lui écrit, reconnaissant que ses services ont commis une bévue et il l’informe que le problème était en passe d’être sur le point de pouvoir être bientôt réglé incessamment sous peu. Il va jusqu’à louer son honnêteté :
Nous n’aurions jamais pu, sans votre honnêteté, nous apercevoir de ces sommes indûment versées.
Nicole n’en croit pas ses oreilles en parfaite santé.
Et quelques jours plus tard, ce sont ses yeux en parfaite santé qui s’écarquillent lorsqu’elle découvre un nouveau courrier, exigeant le recouvrement de 1422 euros, les prestations lui ayant toujours été versées pour ses jours d’arrêt maladie du 3 au 7, courrier assorti d’un autre, la convoquant au service des arrêts de travail pour examen médical.
Dans sa réponse écrite (elle n’a pas 75 minutes de Vivaldi à perdre), elle tente de conserver son calme et demande à la Caisse de cesser ses versements et qu’elle refuse de se rendre à l’examen, puisqu’elle est en bonne santé et qu’elle n’a aucune envie de s’absenter de son travail.
La réponse à sa réponse est calquée sur la même logique que ce qui a amené Nicole au milieu de ces petits engrenages aux mouvements inexorables : en ne se rendant pas à l’examen médical, elle joue avec le feu puisque ses prestations pourraient ne plus lui être versées ! Et puis, elle a intérêt à avoir une excuse en béton pour ne pas se rendre à l’examen médical, non mais des fois. Un mot de ses parents ou de l’État-maman fera l’affaire.
En France, dès qu’un enfant s’égare ou qu’une bévue est commise, la première question posée est " Mais où est donc l’État-maman ? " Nicole, elle, ne sait pas trop bien comment dialoguer avec lui et lui faire comprendre son erreur. Et c’est finalement l’attachant attaché de direction qui lui apportera des éléments d’explication lorsque, en désespoir de cause, elle se rend directement dans les locaux de la Caisse :
Notre système de traitement est un peu archaïque. Il y a des lutins hommes derrière les écrans, mais, dans la masse des dossiers traités chaque jour, bon, des fois, il arrive que se glissent des erreurs dans nos livraisons d’amour. Ce ne sont pas les lutins hommes qui font les erreurs, notez bien, mais le plus souvent, ce sont les machines qui ne parviennent pas à déchiffrer ou interpréter les arrêts maladie. Voili voilà, rien de grave. Signez là, là et là, je tamponne ici et là et tout devrait rentrer dans l’ordre… Vous voulez un petit cachou ?
Décidément, l’amour républicain semble n’en faire qu’à sa tête. Les visions chamaniques sténographiées sur papyrus des auspices et les aruspices de la Providence, introduites avec effort dans les calculateurs collectivistes, sont parfois capricieusement retranscrites, et font des victimes comme Nicole, innocentes, qui reçoivent un amour dont elles se seraient bien passé, harcelées par les avances de lutins qui veulent à tout prix refiler au plus grand nombre un peu de leur amour vicié.
Espérons pour les habitants de la République du Solidarland que les lutins cesseront un jour de prendre leur argent pour le manger et leur cracher le reste à la figure…
L’État-providence est à la solidarité ce que le viol est à l’amour. – @jabial
http://h16free.com/2014/05/23/31309-made-in-france-e16-elle-court-elle-court-la-maladie-damour