notre bonne cuisine française!
http://www.cuisine-toulousaine.com/archive/2025/06/09/adieu-blanquette-pas-pour-moi-6551020.html
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d’une méningoencéphalite amibienne après avoir pratiqué des irrigations nasales avec l'eau de son camping-car
La revue Morbidity and Mortality Weekly Report vient de rapporter un cas de méningoencéphalite amibienne à Naegleria fowleri responsable du décès d’une femme de 71 ans, auparavant en bonne santé, deux semaines après avoir utilisé l'eau du robinet de son camping-car pour des irrigations nasales.
La femme avait développé des symptômes neurologiques sévères dans les quatre jours suivant l'utilisation d'un dispositif d'irrigation nasale rempli d'eau du robinet provenant du système d'alimentation en eau de son camping-car dans un camping au Texas. Elle est décédée 8 jours après l'apparition des premiers symptômes, et les CDC ont confirmé la présence de N. fowleri dans le liquide céphalo-rachidien de la patiente.
ENQUETE SUR LA SOURCE
L’enquête épidémiologique a révélé que la femme n'avait pas été exposée à l'eau douce à des fins récréatives, comme la natation, mais qu'elle avait apparemment procédé plusieurs fois à une irrigation nasale en utilisant de l'eau non traitée provenant du robinet d'eau de son camping-car au cours des quatre jours précédant sa maladie.
Le réservoir d'eau potable du camping-car, qui alimentait directement les robinets et la douche. Ce réservoir avait été rempli avec de l'eau collectée à une date inconnue avant que le patient n'achète le camping-car trois mois plus tôt.
Les auteurs concluent "Ce cas renforce le potentiel de risques sanitaires graves associés à une utilisation inappropriée des dispositifs d'irrigation nasale, ainsi que l'importance de maintenir la qualité de l'eau des véhicules de plaisance et de s'assurer que les systèmes d'eau municipaux respectent les normes réglementaires".
PRECAUTIONS CONCERNANT LE RINÇAGE NASAL
Les gens utilisent l'irrigation nasale, souvent à l'aide d'un pot de neti à long bec ou d'un flacon pulvérisateur, pour soulager les symptômes d'un rhume, d'une infection des sinus ou d'une allergie. Le rinçage rituel du nez peut également faire partie de pratiques religieuses, notamment dans l'islam, ainsi que dans le yoga et l'ayurvéda.
La Food and Drug Administration conseille de "ne se rincer qu'avec de l'eau distillée, stérile ou préalablement bouillie", de suivre les instructions relatives aux dispositifs d'irrigation et d'éviter cette pratique chez les jeunes enfants.
Le CDC précise: "Consultez immédiatement un médecin si vous ou un de vos proches souffrez de maux de tête, de fièvre, de confusion ou de vomissements après avoir rincé vos sinus ou vos voies nasales". Dans une fiche d'information, l'agence ajoute: "Vous ne pouvez pas être infecté en buvant de l'eau contaminée. On ne peut contracter le PAM que lorsque de l'eau contaminée pénètre dans le nez".
Source: Morbidity and Mortality Weekly Report
http://saga-mandarine.hautetfort.com/archive/2025/05/31/famine-a-gaza-l-intox-de-macron-6550074.html
Joachim “Eva” Son-Forget, ex-député ayant fait une transition de genre, s’introduit dans des bureaux, vide un minibar et vole des robes à l’élue RN Manon Bouquin
Une histoire de dingue à l’Assemblée. Eva Son-Forget s’est introduite ce dimanche 25 mai dans la chambre de Manon Bouquin, députée Rassemblement national (RN) de l’Hérault, au 101 rue de l’Université, dans le VIIe arrondissement de Paris.
L’immeuble, qui appartient à l’Assemblée nationale, abrite les bureaux de nombreux parlementaires et fait aussi office de résidence avec chambres à coucher. Comme ancienne députée, Eva Son-Forget (sous la bannière de La République en marche, entre 2017 et 2022, élue sous le nom de Joachim Son-Forget, avant d’annoncer sa transition de genre en 2024) y a toujours accès avec son badge, dont elle s’est servie pour accéder à l’accueil, désert le week-end, où Manon Bouquin avait laissé les clés de sa chambre. Elle y aurait passé plusieurs heures et en serait sortie après avoir vidé le minibar qui contenait des jus de fruits, de l’eau et de l’alcool, et emportant avec elle deux robes et une vestes laissées par l’élue d’extrême droite, pour que les services de l’Assemblée les portent au pressing.
Contactée, l’élue RN confirme les informations de Libé, qu’elle a elle-même apprises ce mercredi 28 mai, par les services de la résidence, qui l’ont également informée du dépôt d’une plainte. Un collaborateur d’élu aurait vu, le lundi matin, Son-Forget se faire courser par la sécurité du bâtiment. Contactés, les services de l’Assemblée n’avaient, mercredi après-midi, pas répondu à nos relances. Egalement joint, l’avocat de l’ex-LREM, Sipan Ohanians.
Libération
3 h 47 du matin. Votre téléphone vibre.
La voix de votre mère tremble au bout du fil:
" Mon chéri... j'ai… mal à la poitrine... je ne sais pas… quoi faire... "
Vous vous redressez d'un coup dans vos draps. Votre cœur s'emballe.
Elle habite à 200 kilomètres. Seule.
– Maman, appelle ton médecin tout de suite!
– Il n'y en a plus... Docteur Mercier a fermé… le mois dernier...
Le vertige vous prend. Votre mère, 73 ans, au milieu de la nuit, avec cette douleur qui lui coupe le souffle. Et vous, à des centaines de kilomètres, incapable de l'aider.
Qui appeler? Où l'envoyer? Les urgences les plus proches sont à 50 kilomètres, avec 6 heures d'attente...
L'angoisse. Ne pas pouvoir sauver quelqu'un qu'on aime.
Dans le pays de Pasteur.
Dans le pays où la Sécurité sociale est née pour que chacun puisse se soigner sans mendier.
Dans le pays qui s’est relevé des ruines de la guerre en garantissant des soins gratuits pour tous.
Cette menace pèse sur des millions de Français, 6 millions de Français n'ont plus même de médecin traitant.
Dans les déserts médicaux, il faut parcourir 250 kilomètres pour enfin voir un dentiste qui accepte de nouveaux patients… Plus de deux mois d'attente pour un cardiologue… Et même 9 mois ou un an pour un dermatologue, quand c’est encore possible… La moitié des maternités, fermées en 30 ans… Des urgences bondées… Nos anciens, abandonnés…
Nos grands-parents trouvaient un médecin au coin de la rue.
Nos enfants doivent traverser trois départements.
Nos campagnes sont même contraintes de faire appel à des "médicobus" pour remplacer les médecins absents, comme en brousse africaine…
Aujourd’hui en France, le système de santé est-il devenu celui d’un pays sous-développé?
L’HOPITAL PUBLIC EST A L’AGONIE
En région parisienne, l’AP-HP a perdu 627 infirmiers, rien qu’en une seule année (2022). Et l’hémorragie continue.
De plus en plus de services doivent fermer la nuit, faute de personnel.
" Il y a des nuits où une seule sage-femme est présente, contre quatre normalement ", témoigne l'Ordre des sages-femmes.
Imaginez cette soignante, seule, face à tous les accouchements de la nuit, à travailler pour 4, sans pause. On se croirait en temps de guerre.
La quasi-totalité des soignants (96 %) souffrent de fatigue intense au travail. 57 % ont connu la dépression ou le burn-out!
Le résultat fait froid dans le dos.
CHAQUE JOUR, AU MOINS UN PATIENT MEURT DANS LE COULOIR DE L’HOPITAL, PARCE QU’IL NE PEUT ETRE PRIS A TEMPS!
Et attention: ces décès concernent des patients ne présentant initialement aucun signe de gravité ou dont l’état aurait pu évoluer rapidement.
Oui, aujourd’hui, les services d’urgences deviennent dangereux pour les patients!
Et quand ce n’est pas la mort, c’est l’humiliation.
À Langres, en Haute-Marne, en octobre 2024, Gérald, 53 ans, a été hospitalisé… dans le garage de l’hôpital, dans un bruit assourdissant!
Voilà où en est notre hôpital public. Il faut immédiatement sauver nos soignants et nos hôpitaux, c’est littéralement une question de vie ou de mort!
Les plus faibles d’entre nous sont les premiers touchés:
SOS HÔPITAL!
Ne laissons pas mourir notre système de santé!
Chaque jour, au moins un patient meurt dans le couloir de l’hôpital!?
Prenons exemple sur la Suisse, l’un des systèmes de santé les plus performants du monde.
Aux Pays-Bas, des " maisons de santé " accueillent 24h/24 les patients non graves, désengorgeant les hôpitaux.
Ils ont relevé leur système de santé. Pourquoi pas nous?
Notre souveraineté sanitaire est brisée
La France subit des ruptures de médicaments en cascade.
En 2023, l'Agence nationale de sécurité du médicament a enregistré 4 925 signalements de ruptures ou risques de rupture de stock, soit une augmentation de 31 % en un an.
Nous sommes donc en dépendance grave aux chaînes d'approvisionnement étrangères. Pendant le Covid, nous avons découvert avec effroi que la France ne savait même plus fabriquer des masques…
Résultat: en 2024, 39 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments, et 35 % d'entre eux n'ont pas trouvé d'alternative thérapeutique, selon une étude.
Il y a quelques jours, le Doliprane, médicament le plus prescrit en France, a même été vendu aux Américains…
Un pays qui ne maîtrise plus ses médicaments essentiels n'est plus souverain.
LA BUREAUCRATIE: LE CANCER QUI RONGE NOTRE SYSTEME DE SANTE
Asphyxiés par la paperasse, les soignants n’ont plus le temps de soigner! Ils passent des heures à remplir des dossiers, justifier chaque acte, répondre à des normes kafkaïennes… pendant que les patients attendent. Et c’est pareil pour les médecins généralistes.
L’hôpital est devenu une machine bureaucratique où les décisions se perdent dans la hiérarchie, où chaque innovation doit franchir une montagne de procédures, et où le temps de soin est grignoté chaque jour un peu plus.
Nous ne voulons pas d’un hôpital géré comme une entreprise de reporting. Nous voulons des médecins qui soignent, pas des infirmières croulant sous la paperasse.
LES VRAIS RESPONSABLES DE CE DESASTRE
Pendant des décennies, l'État a volontairement bridé la formation de médecins avec le numerus clausus. Les politiques savaient mais ont tardé à réagir. Une erreur criminelle dont nous payons le prix aujourd'hui. Pendant que nos facultés de médecine refusaient des milliers d'étudiants brillants, on savait déjà que les générations de médecins partiraient massivement à la retraite.
Résultat: nous importons aujourd'hui des médecins formés à l'étranger, exactement comme font les pays pauvres incapables de former leurs propres élites.
Les ARS – ces Agences Régionales de Santé – ferment nos hôpitaux de proximité depuis leurs bureaux, en totale déconnexion d'avec le terrain. La grande machine administrative décide du sort de nos maternités à coups de tableaux Excel.
Quarante ans de mauvais choix: fermetures d'hôpitaux ruraux, sous-financement chronique, bureaucratisation à outrance. L'hôpital français est étouffé par une administration pléthorique pendant que les vrais soignants craquent.
Et pour couronner cette gestion désastreuse: 1,2 milliard d'euros donnés chaque année pour soigner les clandestins par l’Aide Médicale d’État – sans parler de la fraude à la carte Vitale qui atteint des sommets –, pendant que les Français renoncent aux soins faute d'argent!
ILS ONT CASSE LE SYSTEME DE SANTE FRANÇAIS.
Maintenant, ils vous demandent de payer toujours plus cher pour des soins toujours plus rares, alors que des étrangers se font soigner à vos frais!
Il est temps de reconquérir notre santé
Cette spirale mortifère doit s'arrêter.
Il ne s’agit pas seulement de santé. Il s’agit de justice, de dignité.
Notre système de santé est en train de s’effondrer.
C’est pourquoi en signant cette pétition nous exigeons de tous les élus locaux et nationaux de se battre pour:
La France qui soigne plutôt que celle qui gère la pénurie
Imaginez: votre mère peut à nouveau voir un médecin dans l'heure. Votre fille accouche dans une vraie maternité, pas dans un couloir d'hôpital. Votre père âgé reçoit des soins palliatifs dignes, apaisé, entouré des siens.
Imaginez: nos étudiants en médecine n'émigrent plus au Canada faute de places. Nos infirmières ne craquent plus, épuisées par la surcharge. Nos pharmaciens ne vous disent plus " désolé, rupture de stock ".
Cette France-là est possible. À condition d’agir ensemble.
Signez cette pétition, pour dire: nous ne laisserons pas notre système de santé mourir en silence.
Signez pour vos proches. Signez pour vous. Signez pour tous ceux qu’on n’écoute plus.
La santé des Français d'abord. Toujours.
Le National Health Service (NHS) anglais a annoncé le lancement d'une campagne de vaccination contre la gonorrhée cet été, une première mondiale
L'Angleterre lance début août 2025 un programme de vaccination pour prévenir la gonorrhée.
Cette décision fait suite à l'acceptation par le gouvernement de l'avis du Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) en faveur d'un déploiement du vaccin au sein du NHS, compte tenu du nombre record de 85 000 cas de gonococcie diagnostiqués en Angleterre en 2023, soit trois fois plus qu'en 2012.
Dans son avis le JCVI considère que le programme doit principalement cibler les hommes gays, bisexuels et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (GBMSM) qui courent un risque accru d'être infectés. Ces critères de risque peuvent inclure, sans s'y limiter, les éléments suivants:
des antécédents récents de gonococcie ou de diagnostic d'une autre IST bactérienne; les personnes doivent également se voir proposer la vaccination après un diagnostic de gonococcie (qu'elle soit symptomatique ou asymptomatique);
des comportements sexuels à haut risque avec des partenaires multiples lors d'un dépistage et d'une évaluation de la santé sexuelle.
Le JCVI estime que bien qu'un nombre disproportionné d'infections gonococciques se produisent au sein des GBMSM, cela ne couvre pas l'ensemble de la population à risque. Des efforts doivent être faits pour s'assurer que le vaccin est proposé aux personnes présentant un risque similaire, y compris, mais sans s'y limiter, les femmes transgenres et les personnes de sexe différent assignées à l'homme à la naissance. En outre, la vaccination devrait être envisagée pour toute autre personne, quel que soit son sexe, qui peut être hétérosexuelle ou s'identifier autrement et qui présente des marqueurs équivalents de risque accru, y compris, mais sans s'y limiter, les personnes ayant des antécédents récents de diagnostic d'IST bactérienne et les travailleurs du sexe.
Les patients éligibles, se verront proposer le vaccin par les services de santé sexuelle mandatés par les autorités locales.
Selon une étude de l'Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), les personnes qui reçoivent le vaccin pourraient être protégées contre la gonococcie dans une proportion allant de 32 à 42% et contribuer à lutter contre les niveaux croissants de souches de la maladie résistantes aux antibiotiques.
Une analyse menée en 2002 par des chercheurs de l'Imperial College de Londres a estimé que la vaccination des personnes les plus exposées au risque de gonococcie permettrait d'éviter 110 000 cas et d'économiser 7,9 millions de livres sterling (9,4 millions d'euros) au NHS sur une période de 10 ans.
Les prestataires locaux identifieront et contacteront les personnes éligibles par l'intermédiaire des services de santé sexuelle, les vaccinations commençant dès le début du mois d'août.
Les personnes éligibles se verront également proposer les vaccins contre le mpox, l'hépatite A et B et le papillomavirus humain (HPV) lors de leur rendez-vous pour le vaccin contre la gonorrhée.
Source: Center for Infectious Disease Research and Policy, NHS England, Joint Committee on Vaccination and Immunisation
Zones Associées: Royaume-Uni
La "Grande Muette" prévient une nouvelle fois le gouvernement
Une vingtaine de généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.
Souvenons-nous, le 22 avril 2014 "Boulevard Voltaire" publiait un de mes articles: "La Grande muette grogne de plus en plus fort".
Au plus haut niveau de l’Etat on n’a pas voulu l’entendre grogner.
Les réactions ne se sont pas faites attendre: Les généraux chefs d’état-major des trois armées, Terre, Air et Mer, plus une vingtaine d’autres officiers généraux, avaient menacé de démissionner.
Même le Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ami de longue date de François Hollande, avait proposé de remettre son portefeuille au Président de la république.
Il s’agissait là de la goutte d’eau qui allait faire déborder la coupe.
**Nous envoyons allègrement nos jeunes soldats dans des pays étrangers risquer leur peau dans des guérillas sans fin prévisibles. Le but est de sauver des vies au nom de la liberté et de la lutte contre le terrorisme mais avec des armes désuètes et du matériel obsolète. Comme nous sommes les seuls à le faire alors pour le moins donnons-leur les moyens de se défendre face à un ennemi insaisissable.
Prenez bien garde de ne pas aller trop loin!
**Que l’on se souvienne que le 8 janvier 1961 le 1er REP (Régiment étranger de parachutistes) se mettait en grève et refusait de partir en opération après la mort de 11 paras en estimant qu’ils étaient morts pour rien. L’Algérie allait devenir indépendante selon la volonté de De gaulle, et ils obéissaient ainsi aux paroles de l’aumônier, le père Delarue: "Vous êtes tombés au moment où, s’il faut en croire les discours, nous ne savons plus, ici, pourquoi nous mourrons!".
EN 2014, L’EUROPE N’ÉTAIT PAS EN GUERRE… LA FRANCE NON PLUS.
Ce n’est plus le cas en 2025.
La "Grande muette" parle de nouveau alors prenez garde car le tonnerre gronde.
20 généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.
**L’heure est grave. La France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.
Le constat est accablant: c’est la guerre raciale. Que veulent ces partisans haineux et fanatiques.
Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture. Il ne peut, et ne doit, exister aucune ville, aucun quartier, où les lois de la République ne s’appliquent pas.
Des individus encagoulés saccagent des commerces et menacent les forces de l’ordre "qui ne font qu’appliquer les directives données, par vous, gouvernants.
Nous ne pouvons être, devant de tels agissants des spectateurs passifs. "Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part".
Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Et cela provoquera, au final, une explosion et l’intervention de nos camarades d’active pour la sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
La guerre civile mettra un terme à ce chaos et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ".
Le message est clair: l’extrême gauche veut le chaos et "si elle le provoque" elle pourrait comptabiliser ses pertes.
Manuel Gomez