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INSOLITE et DEJANTES - Page 225

  • O Macarel!

    Un ver vivant dans le cerveau

    Déceler, au microscope, sur une pièce biopsique de cerveau la présence d’une larve d’un ver chez un patient résidant en Grande-Bretagne, puis retirer chirurgicalement le parasite, d’une longueur d’environ 10 cm, n’est assurément pas un geste diagnostique et thérapeutique banal. Les médecins et chercheurs britanniques, qui rapportent ce cas clinique et le séquençage de l’ADN de la larve dans la revue Genome Biology, précisent que leur patient, un chinois de 50 ans, résidait depuis plus de 20 ans au Royaume-Uni mais se rendait fréquemment dans son pays natal.

    Il s’avère que cet homme souffrait depuis quatre ans d’une sparganose cérébrale, une infection parasitaire due au développement de la larve d’un ver plat du genre Spirometra. Une première biopsie cérébrale n’avait pas permis de mettre en évidence le parasite.

    Ce patient était suivi au St Thomas’ Hospital de Londres pour divers symptômes neurologiques qui ont évolué au cours de la zoonose. Il a ainsi présenté des maux de tête, des crises d’épilepsie partielles et généralisées, des troubles de l’olfaction, des troubles de la mémoire, des douleurs progressives du côté droit du corps. Durant ces quatre années, la larve s’est déplacée d’au moins 5 cm à l’intérieur du cerveau, passant de l’hémisphère droit vers le thalamus à gauche, comme l’attestent les multiples clichés IRM réalisés au cours de sa maladie. Il manquait à la larve retirée par les chirurgiens l'extrémité buccale et les crochets. Que l'on se rassure : il s’agit là d’éléments qui ne risquent pas de repousser spontanément ! Un traitement antiparasitaire a été administré dans les suites immédiates de l’intervention chirurgicale.

    On comprend que ce cas clinique, immédiatement relaté sur leur site internet par The Daily Mail et The Telegraph le 21 novembre dernier, ait largement défrayé la chronique, et pas seulement Outre-Manche. Au-delà du buzz médiatique, que sait-on sur le plan épidémiologique de cette étonnante parasitose, qui représente le premier cas de sparganose cérébrale rapporté au Royaume-Uni ?

     

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    Le cycle de vie du parasite (spargana) est complexe et n'est pas encore totalement élucidé. Il implique au moins trois hôtes. Des carnivores, tels que les chats et les chiens, sont les hôtes définitifs de ce parasite. Ils l'hébergent dans leur intestin grêle. Les œufs évacués par les excréments de ces animaux sont sans doute mangés par des cyclops. Ces minuscules crustacés sont ainsi les premiers hôtes intermédiaires du parasite. Ces cyclops, infestés par un stade larvaire du parasite, sont probablement à leur tour ingérés par des hôtes intermédiaires secondaires que sont des serpents et des grenouilles. Des recherches ont montré qu’en moyenne 22% des grenouilles en Chine sont infestées par ce parasite, avec une fréquence variant de 3% à 90%. 

    L’homme se contamine en buvant de l'eau contenant des cyclops. Il peut également contracter la parasitose en consommant de la chair crue de serpent ou de grenouille contaminée par le parasite. Enfin, il peut s’infecter, lorsqu’il a recours à la médecine traditionnelle, en appliquant sur une plaie cutanée ouverte, voire sur les yeux, des cataplasmes de chair de grenouille ou serpent infectée par la forme larvaire du ver. Il peut aussi s’infecter en avalant de minuscules têtards vivants.

    Cette affection parasitaire se rencontre en Asie, principalement en Chine, Corée du Sud, Japon et Thaïlande. Le parasite à l’état larvaire erre dans la peau d’où il gagne habituellement le tissu sous-cutané ou le muscle. Il peut cependant atteindre les yeux, la moelle épinière, le sein, mais aussi la bouche, le cou, la cavité abdominale, le foie, les poumons. La larve peut également migrer dans le cerveau, entraînant une inflammation chronique. Le parasite y chemine au sein de multiples tunnels visibles à l’IRM, selon le plan des images, sous la forme de trajets sinueux ou circulaires.

     

    La sparganose cérébrale est la forme la plus grave de cette zoonose. Les symptômes neurologiques sont variés car ils dépendent de la localisation de la larve et de sa migration intracérébrale. Le tableau clinique peut comprendre des maux de tête (céphalées), des crises épileptiques, des paralysies des membres, une perte du langage (aphasie), des troubles visuels, des troubles des fonctions cognitives, des vertiges, des symptômes psychiatriques.

    C’est en 1882, en Chine, que le premier cas humain de sparganose a été rapporté, à Xiamen, dans la province côtière de Fujian, au sud-est du pays. Depuis, on a recensé plus d’un millier de cas dans 25 provinces en Chine continentale. Entre janvier 2000 et septembre 2010, pas moins de 110 articles ont été publiés en chinois dans la littérature médicale décrivant 164 cas de sparganose humaine (surtout des formes cutanées et musculaires), principalement survenus dans six provinces (Guangdong, Henan, Fujian, Hunan, Guangxi, Hubei). L’atteinte du système nerveux central lors de cette parasitose est très rare. En 2013, une étude chinoise, publiée dans le Journal of Clinical Neuroscience, précisait que l’âge des patients atteints de sparganose cérébrale se situait entre 3 et 83 ans et que la durée des symptômes pouvait varier de 2 semaines à 15 ans !

    La sparganose cérébrale peut donc survenir chez l’enfant, le premier cas pédiatrique ayant été décrit en 1918. Il y a deux ans, des médecins chinois ont rapporté 18 cas chez des enfants âgés de 3 à 17 ans. Parmi eux, six avaient mangé de la chair de grenouille crue, des crabes non cuits ou bu de l’eau contaminée. Dans quatre cas, les médecins avaient posé le diagnostic de tumeur cérébrale avant de réaliser leur erreur en cours d’intervention chirurgicale en retirant un ou plusieurs larves vivantes ou mortes. Chez une fillette de 9 ans qui se plaignait depuis sept mois de maux de tête et de violents vomissements, les neurochirurgiens ont retiré une larve, vivante, de 13 cm de long ! Chez cette jeune malade, l’emplacement et la taille des lésions tortueuses visibles à l’IRM avaient évolué au cours du temps. Elles avaient fini par induire un volumineux œdème (gonflement du tissu cérébral à proximité de la larve migrante), créant à l’image IRM une lésion de 6,1 cm de diamètre !

     

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    Le cas britannique de sparganose rapporté ces derniers jours serait-il un cas unique en Europe? Une recherche bibliographique nous apprend qu’un cas de sparganose a été enregistré en 1976 à Bologne, en Italie, chez un homme qui n’avait jamais voyagé à l’étranger. Il n’a finalement été rapporté dans la littérature médicale qu’en 2003, les auteurs jugeant finalement important de publier tous les détails d’un cas rare, mais très instructif. Le patient, passionné de pêche depuis son enfance, s'est probablement infecté en buvant l’eau d’une rivière contaminée par de petits crustacés infestés par les larves d’un ver du genre Spirometra. Le patient a développé une forme cutanée de la maladie, avec présence d’un nodule à la cuisse. Quatre autres cas, tous survenus en Italie, ont été publiés en 1953 (2 cas), 1964 et 1976.

    Signalons que deux observations de sparganose ont été rapportées en France. En 1977, la présence d’une larve d’un ver du genre Spirometra a été signalée dans un nodule sur la poitrine chez un homme de 21 ans habitant à Paris. En 1999, une infection oculaire à ce parasite a été rapportée chez un adolescent de 14 ans résidant dans un village en Auvergne. A ce jour, aucun cas de sparganose cérébrale n’a été rapporté en Franc

  • Note mise pour les anti-vaccins: contrarien-ne, apprends à mourir!

    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/11/03/23000-pourquoi-meningites-graves-sont-difficiles-diagnostiquer

    Pourquoi les méningites graves sont difficiles à diagnostiquer

    En 2013, il y a eu 585 cas d'infections invasives à méningocoque recensés en France. Cinquante personnes en sont mortes et 49 ont présenté des séquelles précoces.

    "Naître avec le printemps, mourir avec les roses." Si Émilie aime tout particulièrement ce premier vers du poème de Lamartine, dont elle a repris le titre pour son propre récit *, c'est qu'elle a failli périr, d'une méningite, à la fin de l'été. "J'ai juste un petit bout de doigt qui m'a été enlevé, dit-elle aujourd'hui, mais quand je vois les séquelles je me dis: pourquoi ai-je encore mes jambes? Pourquoi ai-je encore ma tête?"

    Car aujourd'hui, Émilie Sougey sait tout de la méningite, des premiers signes à l'issue parfois dramatique (50 morts en France l'an dernier), en passant par les séquelles parfois très lourdes. Elle sait que l'infection peut se propager à tout le corps et nécessiter des amputations des doigts, mains, pieds, jambes. Elle sait tout cela… Mais elle n'en savait rien ce jour de prérentrée des terminales du lycée Notre-Dame-des-Victoires, à Voiron, où elle a commencé à se sentir mal, torturée par un mal de tête terrible. Ses parents non plus.

    "Si j'avais su…" Cette phrase terrible trotte dans la tête de tous les bénévoles de Méningites France Association Audrey et Petit Ange qui organisaient le 7 octobre dernier un colloque sur les séquelles de la méningite, à l'Institut Pasteur. "J'ai perdu ma fille d'une méningite à méningocoque B en moins de 22 heures en janvier 2003. Elle avait 4 ans", raconte Patricia Merhan-Sorel, présidente de Petit Ange, qui plaide pour une meilleure information des parents. Car dans une forme appelée Purpura fulminans, tout peut basculer extrêmement vite.

    Fièvre et maux de tête

    Or même un médecin peut se laisser surprendre et mettre une forte fièvre sur le compte d'une infection banale. "Il y a des cas où les enfants ont été renvoyés à la maison après avoir vu un médecin ou être allés à l'hôpital", regrette Mme Merhan-Sorel. Inutile de blâmer le praticien, il voit bien plus d'infections sans gravité que de gravissimes méningites. "Fiez-vous à votre instinct de maman", souffle-t-elle. N'hésitez pas à faire le 15 qui saura évaluer la situation. Voire rappeler si elle n'évolue pas favorablement.

    Car le diagnostic reste difficile et la triade classique de signes "fièvre, raideur de nuque et altération de la conscience" est fluctuante. Ainsi la "raideur de nuque" n'est pas toujours présente, en particulier chez les nourrissons. La fièvre et les maux de tête sont en revanche plus habituels, car la pression cérébrale augmente et l'infection est généralisée, c'est une septicémie. La diffusion des méningocoques (il existe aussi des méningites dues à des virus mais elles sont en principe moins dangereuses) dans tout le corps explique le risque d'atteinte des petits vaisseaux faisant apparaître des taches rouges ou violacées, comme des piqûres d'épingle, sur la peau: le Purpura fulminans.

    Ces lésions signent l'urgence et renforcent la nécessité de ne pas perdre de temps. C'est une question d'heures. "On évoque toujours les maux de tête mais avant d'arriver dans les méninges c'est une infection sanguine", explique le Dr Muhamed-Kheir Taha, responsable du Centre national de référence des méningocoques à l'Institut Pasteur de Paris.

    Vaccins

     "Même lorsque le diagnostic est précoce et le traitement est adapté, la mortalité reste forte", explique Catherine Olivier, professeur de pédiatrie à l'université Paris-VII. En 2013, il y a eu 585 cas d'infections invasives à méningocoque recensés en France, dont 14 dans les départements d'outre-mer. Le pic saisonnier a eu lieu en février (71 cas) et l'incidence la plus faible en septembre (31 cas). Un à deux cas par jour en France, c'est peu, d'où l'importance de rester vigilant avec ses enfants. Sur les 585 malades recensés l'an dernier, 50 sont morts et 49 ont présenté des séquelles précoces. Les classes d'âge les plus touchées sont, détaille l'Institut de veille sanitaire, les nourrissons de moins de un an (82 cas), les adolescents de 17-19 ans (71 cas) et les plus de 90 ans (13 cas).

    Le traitement de la méningite repose sur l'antibiothérapie en urgence mais il existe aussi des vaccins préventifs contre les souches les plus fréquentes. L'an dernier en France, sur les 561 cas d'infections invasives à méningocoque pour lesquels le sérogroupe était connu, il s'agissait essentiellement du B (326 cas, soit 58 %) et du C (146 cas, 26 %). La vaccination contre le méningocoque C est désormais recommandée à tous les nourrissons à 12 mois, avec une dose de rattrapage jusqu'à 24 ans révolus. En revanche, la vaccination contre le méningocoque B ne fait pas pour l'instant l'objet d'une recommandation générale et il n'est pas remboursé en dépit de son coût élevé, ce qui suscite la colère de pédiatres interrogés par des familles aux revenus modestes. Il est conseillé aux personnes à risque élevé d'infection (certains déficits immunologiques notamment) et à titre temporaire dans des zones géographiques délimitées ou pour une population identifiée, selon le Haut conseil de santé publique.

    *  Comme un papillon, disponible chez l'auteur Sougeyemilie@hotmail.fr.

  • Y'en a qui s'y croivent!!! 3 (ben, j'ai doublé les visiteurs, que des parigots ici!!)

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  • Le laboureur et ses enfants - nouvelle histoire

    Un vieux corse aimerait bien planter des pommes de terre dans son jardin, mais il est seul et trop faible.

    La semaine dernière il a fait de l'initiation à l'informatique. Il sait maintenant envoyer un courriel.

    L'idée lui vient alors d'écrire à son fils, qui est incarcéré au Baumettes , pour lui faire part de son problème.

    Cher Doumé, Je suis très triste car je ne peux pas planter des pommes de terre dans mon jardin.

    Si tu étais ici avec moi, tu pourrais m'aider à retourner la terre.

    Ton père, Pascal, qui t'aime.

    ______________

     Le lendemain, le vieil homme reçoit une réponse courriel :

    Cher Père, ne touche surtout pas au jardin!

    J'ai Ton fils qui t'aime,

    Doumé

     ____________________

     A 6 heures du matin débarquent chez le vieillard :

    - le G.I.G.N., les R.G., la D.N.A.T. (Division Nationale Antiterroriste)

    - 4 tractopelleset même TF1, France 2, France 3, CNN, ....

    Ils fouillent tout le jardin et ne trouvent rien.

    __________________

    Le soir, le vieil homme reçoit un nouveau courriel de son fils :

    Cher Père,

    > >  Je pense que la terre du jardin est maintenant retournée et que tu peux planter tes pommes de terre. Je ne pouvais pas faire mieux.

    > >         Ton fils qui t'aime, Doumé

     

  • Pour qui pé-tétons? a ton pet, je vole, dis la mouche!!!

    Je répond à une question fondamentale de tout être humain

    Le titre est de moi, bien sûr!

    et même le texte!!!

     

    Pourquoi certains pets sentent-ils plus mauvais que d'autres?

    Quelques données et réponses subjectives en résumé:

    1. on a calculé qu'en moyenne un sujet présentait 13,6 émissions gazeuses anales par jour. Chaque émission a un vol variant entre 15 et 100 ml, ce qui fait une évacuation moyenne de 600 ml par j. pour un sujet sain.

    Les gaz intestinaux proviennent

    - de l'ingestion de l'air avalé lors de la déglutition, au cours des repas ou en avalant sa salive.

    - de l'activité chimique intestinale

    - de la diffusion sanguine: l'azote passant du sang vers la lumière intestinale

    - des produits - Hydrogène et méthane - de la fermentation par la flore intestinale

    - du dioxyde de carbone produit terminal de métabolisme aérobie et anaérobie des substrats énergétiques, protides, glucides, lipides

    L'oxygène est consommé par la flore intestinale. De sorte que le pet: c'est surtout de l'azote, du gaz carbonique, de l'hydrogène, du méthane.

     2. Ce qui sent mauvais, c'est du dioxyde de soufre et d'autres gaz, cela doit dépendre surtout des aliments ingérés et de l'état de la flore intestinale; plus vous mangez de viandes ou de poissons, plus le pet sent mauvais. Donc, pensez à bien diversifier votre alimentation: fruits et légumes vous aideront à bien digérer les viandes et poissons;

  • Y'en a qui s'y croivent!!! 1

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  • Oh, les parigots: pourquoi vous ne vendez pas votre Tour Eiffel….

    ... au lieu de l'aéroport Toulouse-Blagnac?

    Cela vous ferait très mal aux tripes?

    Ben, c'est pareil pour nous, les Toulousains!

    Je dis que la gauchiasse a vendu un peu de l'âme toulousaine pour récupérer des nèfles!

    Si c'est saboteurs faisaient les vraies réformes structurelles, alors, nous aurions pu conserver des pans entiers de notre patrimoine français.

    J'appelle cela de la forfaiture!

    La gauchiasse vend la France aux étrangers, chaque jour un peu plus.

    Vite, faut les dégommer! Les déchoir de la nationalité française qu'ils salissent.

    Ils vendent leur âme pour du fric?

    Alors, leur retirer leurs biens et avoirs en France, les bannir eux et leur famille, de près ou de loin, qu'ont les perdent définitivement, que leurs noms soient maudis à jamais…. Hors la France: saboteurs!

    Définitivement!

    La France, la terre de France est notre bien, à nous, ceux qui triment et payent leurs impôts et taxes diverses à ces avariés de la tête à la panse remplie de nos désespoirs!

    Sortons ces affreux traitres de leurs dorures républicaines.

    Dehors tous! Démission, démission, démission!

    Dehors les traîtres de la France: le peuple souverain de France, te banni gauchiasse!

    Sortons-les! Mort aux cons, disait-ils en 68! Que les cons de 68 se regardent l'ombilic et voient la diarrhée merdique de haine et de “vouloir tout“ qui est leur apanage!

    Frottons-leur la cervelle au savon avant de les renvoyer!

    Félicitations et même respect! pour ces 18 000 toulousains qui ont tenté de sauver le navire Toulouse-Blagnac! Amis d'Airbus, protégez nos brevets! Le loup est dans la bergerie.